Archive pour le Tag '2 ans'

Inflation-Prix Alimentaire: pas encore de baisse mais +20% sur 2 ans

Inflation-Prix Alimentaire: pas encore de baisse mais +20% sur 2 ans

Le gouvernement et les distributeurs entretiennent la confusion entre baisse de prix et ralentissement de l’inflation. Dans les faits il y a pratiquement pas de baisse de prix mais un net tassement de l’inflation étend entendu que les inflations précédentes se cumulent. La baisse de 0,1 % constaté est tout à fée relative puisqu’elle ne s’applique qu’à une partie seulement des produits vendus.
En juin, l’institut Circana aurait mesuré une première cassure dans le cycle de hausse de 16 mois consécutifs. Les prix des produits de grande consommation ont légèrement reflué de 0,1% sur un mois et cela concerne 35% des produits vendus en magasin, principalement les boissons (-0,2% en juin) et les produits d’entretien et d’hygiène (-0,4%).

Une décrue légère que l’institut explique principalement par les effets positifs du trimestre anti-inflation mis en place dans la majorité des enseignes. Et qu’il faut tempérer par la hausse des prix sur un an qui s’établit toujours à 15% (16% le mois précédent) et à 20,7% sur deux ans.

Les marques optent pour des promotions – par nature temporaires – plutôt que des renégociations à la baisse qui les engageraient sur la durée.

À date, quasiment aucune grande marque n’a renégocié ses tarifs selon les distributeurs. Michel-Edouard Leclerc appelle d’ailleurs ce mercredi le gouvernement à changer la loi pour les y contraindre.

« Bruno, il faut y aller, il ne faut pas simplement s’agiter, il faut prendre l’arrêté », a appelé le distributeur ce matin sur France Info qui espère que le ministre de l’Economie mettra fin à l’encadrement des périodes de négociation qui n’ont lieu que durant deux mois dans l’année.

Prix Alimentaire: pas encore de baisse mais +20% sur 2 ans

Prix Alimentaire: pas encore de baisse mais +20% sur 2 ans

Le gouvernement et les distributeurs entretiennent la confusion entre baisse de prix et ralentissement de l’inflation. Dans les faits il y a pratiquement pas de baisse de prix mais un net tassement de l’inflation étend entendu que les inflations précédentes se cumulent. La baisse de 0,1 % constaté est tout à fée relative puisqu’elle ne s’applique qu’à une partie seulement des produits vendus.
En juin, l’institut Circana aurait mesuré une première cassure dans le cycle de hausse de 16 mois consécutifs. Les prix des produits de grande consommation ont légèrement reflué de 0,1% sur un mois et cela concerne 35% des produits vendus en magasin, principalement les boissons (-0,2% en juin) et les produits d’entretien et d’hygiène (-0,4%).

Une décrue légère que l’institut explique principalement par les effets positifs du trimestre anti-inflation mis en place dans la majorité des enseignes. Et qu’il faut tempérer par la hausse des prix sur un an qui s’établit toujours à 15% (16% le mois précédent) et à 20,7% sur deux ans.

Les marques optent pour des promotions – par nature temporaires – plutôt que des renégociations à la baisse qui les engageraient sur la durée.

À date, quasiment aucune grande marque n’a renégocié ses tarifs selon les distributeurs. Michel-Edouard Leclerc appelle d’ailleurs ce mercredi le gouvernement à changer la loi pour les y contraindre.

« Bruno, il faut y aller, il ne faut pas simplement s’agiter, il faut prendre l’arrêté », a appelé le distributeur ce matin sur France Info qui espère que le ministre de l’Economie mettra fin à l’encadrement des périodes de négociation qui n’ont lieu que durant deux mois dans l’année.

Emploi: amélioration pas avant 2 ans (Lemaire)

Emploi: amélioration pas avant 2 ans (Lemaire)

Bruno Lemaire le ministre de l’économie et des finances a fait preuve de réalisme vis-à-vis de l’évolution possible du chômage. Il considère en effet il n’y aura pas d’amélioration significative avant deux ans. Il a sans doute raison. Plusieurs facteurs explicatifs en cause, d’abord le niveau de la croissance. Certes l’activité générale a retrouvé un peu de dynamisme cependant c’est encore trop peu pour des créations d’emplois significatives. En effet la croissance en 2017 va s’améliorer mais elle sera comprise entre 1,8 et 2 %, on espère un % du même ordre en 2018. Ce n’est sans doute qu’en 2019 que les réformes engagées et la conjoncture internationale permettront à la France d’aller au-delà de ces 2 %. Deuxième élément,  nombre d’entreprises était encore en surcapacité de moyens de production ; de ce fait les embauches  sont encore trop rares et s’effectuent par le biais de CDD voire de recours à l’intérim. Autre élément,  la diminution assez drastique des emplois aidés qui permettaient cette de donner des statistiques de chômage davantage présentables mais des mesures forcément éphémères. Dernière raison,  la question récurrente de la compétitivité y compris des plus qualifiés lesquels subissent  encore des charges sociales difficilement supportables par rapport à la concurrence internationale. D’où l’idée du ministre de l’économie d’alléger aussi ses charges. Notons aussi que les réformes décidées par Macron mettront du temps à ce concrétiser, il faudra sans doute au moins un à deux ans avant d’en mesurer les effets concrets tant sur l’activité que sur l’emploi. Invité dimanche de l’émission « Le Grand Rendez-vous » d’Europe 1/Les Echos/Cnews, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a estimé qu’il faudra deux ans pour obtenir « une amélioration en profondeur de l’emploi dans notre pays », alors que le chômage est reparti à la hausse au troisième trimestre. « C’est vrai qu’il y a eu au cours du dernier mois une nouvelle augmentation du chômage », a-t-il reconnu, mais selon lui, « les signaux sont encourageants (et) la transformation en profondeur viendra d’ici deux ans ». Selon lui, une baisse des charges salariales au-delà de 2,5 Smic pourrait aider à renforcer la compétitivité de l’industrie en France. « Je crois qu’il faut maintenant que nous réfléchissions à un allègement de charges au-dessus de 2,5 Smic pour nos entreprises industrielles qui veulent exporter », a-t-il estimé. Il a jugé ceci nécessaire face à un déficit commercial qui continue de se creuser et face aux 1,4 million d’emplois industriels perdus en France ces 25 dernières années. « Il faut innover plus, investir plus, et se poser la question du coût du travail sur les salariés plus qualifiés », a-t-il ajouté. « C’est un choix que je fais d’ouvrir le débat, je ne dis pas que la décision est prise », a-t-il poursuivi, en précisant que cela ne pourrait pas se faire dès 2018. « Ce sont des décisions qui seront prises par le premier ministre (Edouard Philippe) et le président de la République (Emmanuel Macron) », a-t-il souligné. Bruno Le Maire a également insisté sur la nécessité d’investir dans l’innovation, notamment afin de permettre à l’Europe de rester dans la course à l’espace face aux concurrents américains et chinois. Dans ce secteur, Arianespace fait face à la concurrence de l’Américain SpaceX, qui recourt à des lanceurs réutilisables pour réduire les coûts de lancements des satellites. Il a cité la décision de sanctuariser le Crédit impôt recherche (CIR), qui « est une façon de rester dans la course pour l’innovation », et le fonds pour l’innovation de rupture qui sera créé début 2018 avec 10 milliards d’euros grâce à des cessions de participations publiques.

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

 

L’union européenne faiat encore semblant se croire aux perspectives de rééquilibrage budgétaire en Grèce. Elle accorder 2 ans de plus là où elle aurait pu accorder 20 ans. De toute manière, la Grèce ne s’en sortira pas ; les saignées imposées tuent sa croissance et ses rentrées fiscales. Responsables, ceux qui ont fait entrer la Grèce dans l’Euro: Draghi en premier en tripatouillant les comptes (avec Goldman Sachs), l’Allemagne contente de vendre ses produits, les autres pays, la Grèce elle-même. Tout cela finira soit par une faillite, soit par une annulation de la dette ( qu’envisage maintenant Merkel). « Les ministres ont approuvé les mesures donnant à la Grèce deux ans de plus pour corriger son déficit excessif, suite à un accord entre le gouvernement grec et la troïka des créanciers », ont-ils indiqué dans un communiqué.  Athènes aura donc jusqu’en 2016, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB, soit dans les clous européens.  Les ministres ont fondé leur décision sur les efforts entrepris par la Grèce en termes de réformes et d’ajustement budgétaire. Le pays a adopté un programme musclé comprenant des économies de 18 milliards d’ici 2016, et un budget pour 2013 imposant 9 milliards d’euros d’économies.  Conscients de ces efforts, la zone euro, le FMI et la BCE avaient décidé le 12 novembre d’accorder deux ans de plus à la Grèce pour ramener ses finances publiques à l’équilibre. Mais ce délai avait un coût d’environ 32 milliards d’euros. Une solution pour le financer a finalement été trouvée la semaine dernière.  La zone euro et le FMI se sont mis d’accord la semaine dernière sur les moyens de réduire nettement la dette grecque, avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB d’ici 2020.  Parmi ces mesures, figurent en premier lieu une très complexe opération de rachat de la dette grecque par Athènes, une réduction significative des taux d’intérêt des prêts bilatéraux déjà consentis à la Grèce, un allongement de la durée de remboursement des prêts et un report pour le paiement des intérêts.

 




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