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Chômage : à 18 % en France pour la BCE

Chômage : à 18 % en France pour la BCE

En intégrant, les  personnes en situation de sous-emploi,  la BCE considère que le taux de chômage en France atteint 18 %. Un chiffre avancé par de nombreux experts qui ne retiennent pas seulement les chômeurs de catégorie A défini par Pôle emploi. . En France en  2016, 29,2 millions de personnes, âgées de 15 à 64 ans, sont ainsi considérées comme actives, au sens du Bureau international du travail, relève l’Insee dans un rapport intitulé «Photographie du marché du travail en 2016», et publié ce mercredi. Parmi ces actifs, l’Insee recense donc 26,2 millions d’individus ayant un emploi et 3 millions au chômage. À 87,9%, les actifs sont âgés entre 25 et 49 ans. Avec la méthode de la BCE le chiffre réel de chômeurs attendrait atteindrait le double. Il faudrait encore y ajouter ceux qui ont été mis sur la touche via l’allocation adulte handicapé,  le RSA et autres allocations soit au total 7 à 8 millions de chômeurs. Pour rappel, la définition du chômage qui fait force de loi est celle du Bureau International du Travail (BIT). Est ainsi considéré comme chômeur quelqu’un qui n’a pas d’emploi, est en recherche active et est disponible pour prendre un poste dans les deux prochaines semaines. L’étude de l’abaisser intègre  la population considérée comme inactive mais qui est, pourtant, proche du marché du travail. Il s’agit, premièrement, des personnes qui sont au chômage, sont disponibles mais ne recherchent plus de travail car une majorité d’entre elles sont « découragées », explique la BCE. Ces personnes représentent 2,6% de la population en âge de travailler dans la zone euro. Autre catégorie qui rentre dans ce champ: les personnes sans emploi, qui recherchent du travail mais ne sont pas disponibles dans les deux semaines, par exemple parce qu’elles s’occupent d’un proche malade. Elles représentent environ 1% des habitants de la zone euro en âge de travailler. Enfin, la BCE ajoute aussi les personnes en situation de sous-emploi, c’est-à-dire les personnes qui travaillent à temps partiel mais qui souhaiteraient travailler plus. Ce qui représente cette fois 3% de la population en âge de travailler. . Dans l’Hexagone ce taux de chômage « élargi » n’a cessé de croître depuis 2005 pour s’élever à 18% à fin 2016. Soit pas loin du double du taux de chômage tel qu’il est communiqué par l’Insee (10% au dernier pointage).

 

2017 sondage 18 avril : Macron en tête

2017 sondage 18 avril : Macron en tête

Score serré entre Le Pen et Macron ;  cependant ce dernier semble en tête. Des sondages cependant à prendre avec prudence en raison notamment de la marge d’erreur. Emmanuel Macron reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle avec 23,5% (+0,5) devant Marine Le Pen (22,5%,=) et François Fillon (19,5%,=), selon le « rolling » quotidien d’Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio publié mardi. Le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, continue de talonner le candidat de la droite et du centre mais perd un demi-point à 19% d’intentions de vote, devant le candidat socialiste Benoît Hamon dont le score reste inchangé à 7,5%. Nicolas Dupont-Aignan, candidat souverainiste de Debout la France, reste à 4% devant Philippe Poutou (NPA, 1,5%), François Asselineau et Jean Lassalle (1%), et Nathalie Arthaud (0,5%). L’indice de participation pour le premier tour est de 71%. L’enquête a été réalisée en ligne du 14 au 18 avril auprès de 2.804 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 3.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

2017 sondages 11 avril – deux duels : en tête Le Pen-Macron à 24% et Fillon –Mélenchon à 18%

2017 sondages 11 avril - deux duels : en tête Le Pen-Macron à 24% et Fillon –Mélenchon à 18%

Si l’on s’en  tient à la dizaine de sondages les plus récents Le Pen et Macron sont à 24% mais Macron écraserait Le Pen au second tour.  Jean-Luc Mélenchon consolide sa montée en puissance récente et oscille et attient 18% juste au dessus de Fillon.  Fillon  par les affaires judiciaires (dernière révélation Pénélope aurait eu un emploi fictif dans administration dès 1980 !). , cible celui qu’il considère comme son rival et dont l’électorat est jugé volatil à l’approche du premier tour du 23 avril. L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy est convaincu de pouvoir refaire son retard dans les ultimes moments de cette campagne inédite, comme il y est parvenu pour la primaire de la droite et du centre en novembre 2016. Il insiste sur l’inexpérience présumée d’Emmanuel Macron, son incapacité à former, selon lui, une future majorité cohérente, et la « supercherie » de son aspiration au renouvellement des pratiques politiques, lui « l’héritier » de François Hollande qu’il a surnommé « Emmanuel Hollande ». Il avait évoqué dimanche un échange privé avec le candidat d’En Marche ! Prouvant selon lui ses revirements sur la constitutionnalisation de la déchéance de nationalité. La réplique d’Emmanuel Macron, invité de Public Sénat et Sud Radio, a été cinglante : « François Fillon est un homme de peu de valeur, (…) Il a perdu tout repère : éthique, moral, de comportement. » Son président, Pierre Gattaz, a mis les électeurs français en garde contre l’éventualité d’un second tour entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, qui mèneraient selon lui à la « catastrophe absolue ».

Sondage 2017 du 10 avril : Le Pen (24%) , Macron (23%), Fillon (18,5%) et Mélenchon (18%)

Sondage 2017 du 10 avril :  Le Pen (24%) , Macron (23%), Fillon (18,5%) et Mélenchon (18%)

 

Selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio, publié lundi, la candidate du Front national recule de 0,5 point, tout comme Emmanuel Macron (En Marche !), François Fillon (Les Républicains) étant stable et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) gagnant un point. Ce dernier a progressé de trois points en une semaine. Le candidat socialiste Benoît Hamon perd quant à lui 0,5 point, à 9%. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) serait sixième, avec 4,0%, en baisse de 0,5 point. Dans l’hypothèse d’un second tour Macron-Le Pen, l’ancien ministre de l’Economie l’emporterait avec 58% des voix. Le sondage a été réalisé en ligne du 6 au 10 avril auprès de 2.616 personnes issues d’un échantillon de 2.800 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage 2017 : Le Pen, (26,5%), Macron (26%), Fillon (18%)

Sondage 2017 : Le Pen, (26,5%), Macron (26%), Fillon (18%)

 

Dans les intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle mesurées chaque jour par IFOP-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio auprès de 1.376 personnes entre le 14 et le 17 mars et publiées vendredi, 26,5% des sondés voteraient pour la candidate d’extrême droite (stable), 26% pour l’ex-ministre de l’Economie (+0,5 point) et 18% (stable) pour l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy. Le candidat socialiste, Benoît Hamon, recueille 13,5% des intentions de vote (stable) et son rival de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, 10,5% (-0,5 point). Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 61% des suffrages contre 39%. A 37 jours du premier tour, selon ce sondage, quatre Français sur dix disent pouvoir encore changer d’avis. Un ratio qui monte à 49% pour Emmanuel Macron. En revanche, 81% des sondés disant vouloir voter pour Marine Le Pen affirment être sûrs de leur vote. Le ratio est de 61% pour Benoît Hamon, 60% pour François Fillon et 47% pour Jean-Luc Mélenchon.

Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

 

Marine Le Pen reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 26,5%, devant Emmanuel Macron (25,5%) et François Fillon (18%), selon le sondage quotidien IFOP-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio publié jeudi. La candidate du Front national et celui d’En Marche ! sont stables, tandis que François Fillon (Les Républicains) recule de 0,5 point. C’est l’écart le plus important mesuré entre Emmanuel Macron et François Fillon depuis le début de ce sondage. Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen, avec 61% contre 39%. Le socialiste Benoît Hamon est stable, à 13,5%, tandis que Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) recule de 0,5 point, à 11%. Le sondage a été réalisé du 13 au 16 mars auprès d’un échantillon de 1.386 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Le Pen (26,5%) Macron (25,5%) et Fillon (18,5%), (Ifop)

Le Pen (26,5%) Macron (25,5%) et Fillon (18,5%), (Ifop)

 

Marine Le Pen reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 26,5%, devant Emmanuel Macron (25,5%) et François Fillon (18,5%), selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio publié mercredi. La candidate du Front national est stable, alors que celui d’En marche ! progresse de 0,5 point et que François Fillon (Les Républicains) recule de 0,5 point. C’est l’écart le plus important mesuré entre Emmanuel Macron et François Fillon depuis le début de ce sondage. Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen, avec 61,5% contre 38,5%. Le socialiste Benoît Hamon recule de 0,5 point, à 13,5%, tandis que Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) est stable, à 11,5%. Le sondage a été réalisé du 12 au 15 mars auprès d’un échantillon de 1.399 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage 2017 : Le Pen (25,5%) Macron (19,5%) et Fillon (18,5%)-Ifop

Sondage 2017 : Le Pen (25,5%) Macron (19,5%) et Fillon (18,5%)-Ifop

 

 

Marine Le Pen (25,5%, -0,5 point) devance Emmanuel Macron (19,5%, stable) et François Fillon (18,5%, +0,5) dans les intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud Radio publié mardi. Arrivent ensuite le socialiste Benoît Hamon (14,5%, stable), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise, 11,5%, stable) et François Bayrou (5%, -0,5) qui n’a pas dit s’il serait ou non candidat. Au second tour, Emmanuel Macron (En marche !) battrait Marine Le Pen (Front national) avec 62,5% (+0,5) contre 37,5%. Le sondage a été réalisé du 10 au 14 février auprès d’un échantillon de 1.402 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Bpifrance perd 18,5 millions d’euros avec Viadeo

(Kylie MacLellan; Danielle Rouquié pour le service français)

Bpifrance perd 18,5 millions d’euros avec Viadeo

 

 

On peut s’tonner que BPI ait perdu près de 20 millions dans une start-up un peu sulfureuse comme Viadéo à l’objet socail douteux et surtout concurrencé par le géant mondial LinkedIn. Les principaux usages de la plateforme Viadeo étaient: La création et la gestion de son profil professionnel (rédiger un curriculum vitæ, mettre à jour ses activités, ses compétences etc.),  la création et la gestion de son réseau (rentrer en contact avec d’autres membres, recommander un utilisateur à un autre, etc.). Les utilisateurs, notamment les commerciaux, peuvent s’en servir pour trouver des prospects.  Des questions se posent général sur la gestion de BPI banque publique composée presqu’exclusivement de fonctionnaires et qui ont à décider du soutien financier à apporter à des entreprise essentiellement du privé. Surtout quand il s’agit de start-up dont la spécialité des dirigeants est d’acheter et de vendre rapidement des entreprises.  La banque publique Bpifrance a perdu 18,5 millions d’euros avec ses investissements dans Viadeo, le réseau social professionnel français placé en début de semaine en redressement judiciaire, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier. Ces investissements de Bpifrance dans Viadeo ont été réalisés en deux temps. Le premier remonte à avril 2012 et a été réalisé pour un montant de 10 millions d’euros par le Fonds stratégique d’investissement, filiale par la suite apporté à Bpifrance lors de sa création fin 2012. Le second a quant à lui été réalisé par Bpifrance pour 8,5 millions d’euros en 2014 lors de l’introduction en Bourse (IPO) de Viadeo. Si cet investissement ne figure pas dans le rapport d’activité 2014 de la banque publique, il ressort par recoupement de la communication financière de Viadeo de l’époque et du rapport 2014-2015 des ministères de l’Economie et des Finances sur l’Etat actionnaire.

SNCF: grève à partir du 18 mai

SNCF: grève à partir du 18 mai

Il n’est pas certain que la grève reconductible décidée par Sud, rejoint par la CGT, à partir du 18 mai soit suivie par tous les syndicats. Cependant il faut s’attendre d’une manière ou d’une autre à une poursuite de la mobilisation dans le cadre de la négociation en cours. Une  négociation en cours concernant le nouveau statut des cheminots. En vue de la libéralisation, un projet de décret est en effet en discussion pour redéfinir les conditions d’utilisation du personnel ferroviaire. En clair c’est la remise en cause du statut. À cela s’ajoute un environnement économique et surtout financier catastrophique pour l’entreprise. Avec un trafic qui stagne voire régresse et surtout une situation financière ingérable. Tellement ingérable qu’elle a entraîné récemment la démission du patron des infrastructures. La Situation est surtout caractérisée par un endettement abyssal de l’ordre de 45 milliards d’euros et qui pourrait encore augmenter de 11 milliards d’ici 2020. Selon le cabinet SECAFI,  Cette dette devrait atteindre 56,7 milliards en 2020, soit 11,7 milliards de plus par rapport à 2014. Or, les économies réalisées par le groupe SNCF ne devraient pas dépasser 4,8 milliards sur la période – 2,5 milliards issus de la fusion entre RFF et SNCF Infra et 2,3 milliards dans les coûts de production. Résultat, il manque, selon Secafi, de 1 à 1,5 milliard d’euros par an pour assurer la maintenance du réseau. A cela, il faut ajouter les intérêts de la dette qui coûtent 1,5 milliard d’euros par an au groupe public. Le rapport constate que la réforme « a omis de clarifier les grands principes du modèle économique du futur système ferroviaire » dans un contexte de restrictions budgétaires du côté de l’État comme des régions, et d’une libéralisation du marché de l’autocar. Une situation intenable qui ne permet ni d’assurer le financement des investissements, ni l’entretien pourtant urgent du réseau et ni la stabilisation de la dette. Une des variables d’ajustement consistera à supprimer au moins 10 000 emplois sur 150 000 actuels d’ici 2020. La protestation du 9 mars sera aussi justifiée par des revendications salariales pratiquement bloquées depuis plusieurs années du fait de l’inflation mais surtout en raison de la situation financière dramatique de l’entreprise.

Le RSA jeune, à partir de 18 ou 12 ans ?

Dans un contexte de préoccupation électorale politique qui n’accorde que très peu de chances à la gauche dans la perspective de 2017 toute réforme est forcément teintée de préoccupation électorale. En réalité, le débat sur le revenu universel a largement dérapé. Certes on peut se réjouir que les différentes allocations soient à la fois rationalisées et regroupées  dans un but de simplification mais aussi de gestion plus rigoureuse. En fait il n’est pas certain qu’on parvienne à regrouper ces minima sociaux pour des questions de complexité juridique, en outre ce regroupement n’est pas nécessairement très sexy aux yeux de l’opinion publique. Sans doute pourquoi le gouvernement a décidé d’annoncer un RSA jeune à partir de 18 ans et qui serait mis en application en 2018. Une triple  démagogie évidemment. D’abord parce que la gestion de cette annonce devra être assurée par le futur gouvernement, vraisemblablement de droite. Démagogie aussi  celle qui consiste à installer les jeunes de 18 à 25 ans en tout cas certains dans l’assistanat même si la somme ne permet pas évidemment de sortir de la pauvreté. Dernière démagogie celle du financement puisque le RSA actuel financé en partie par les départements. Un financement de l’actuel RSA qui pourrait mettre en faillite la moitié des départements d’ici un an ou deux. Or le financement du RSA jeune n’est pas du tout prévu et la facture pourrait atteindre entre 3 et 5 milliards. Dans cette course à la démagogie pourquoi aussi ne pas envisager le RSA à partir de 12 ans ? Un rapport remis lundi au gouvernement propose donc d’élargir les minimas sociaux aux jeunes dès l’âge de 18 ans. L’initiative est critiquée par une partie de la gauche tandis qu’à droite, on s’insurge contre une mesure favorisant l’assistanat.  C’est une mesure de gauche qui ne plaît pas…à gauche. Lundi, le député PS Christophe Sirugue a remis à Manuel Valls son rapport sur les minimas sociaux. Une mesure préconisée par ce document a cristallisé les débats:l’élargissement des minimas sociaux aux jeunes âgés de 18 à 25 ans. Actuellement, les jeunes n’ayant jamais travaillé ne bénéficient pas du RSA sauf conditions très particulières (avoir un enfant ou être marié avec un actif de plus de 25 ans qui lui-même rempli les conditions d’obtention). Manuel Valls a indiqué ce mardi que le gouvernement définira « le contenu précis (de la mesure) durant les six prochains mois, pour une mise en oeuvre en 2018″. Cette idée d’une extension du RSA aux jeunes de moins de 25 ans laisse de nombreux élus circonspects. En premier lieu, l’ancienne ministre du Travail socialiste Martine Aubry. Pour la maire de Lille, il « vaut mieux donner un boulot à des jeunes plutôt qu’une allocation d’assistance ». Il n’en reste pas moins que le RSA jeune n’est pas une panacée. « C’est facile de donner une allocation mais c’est beaucoup moins facile d’accompagner les jeunes qui ont décroché vers le marché du travail et de leur proposer une formation adéquate » souligne Antoine Bozio, directeur de l’institut des politiques publiques et professeur à la Paris School of Economics.

S’il se montre critique, le chercheur ne condamne pas pour autant l’idée. Il évoque « le grand échec » que représentent les jeunes qui ont décroché du système scolaire et « qui ont très peu de chances de trouver un emploi ». « Plus on va attendre et les laisser glisser vers la pauvreté plus il va devenir difficile de les ramener vers la vie active. Il faut donc intervenir au plus tôt », plaide-t-il.

 

Assaillant du 18 éme arrondissement : un terroriste ou un touriste ?

Assaillant du 18 éme arrondissement : un terroriste ou un touriste ?

 

Il est curieux de constater les efforts que font aussi bien le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve que la ministre de la justice Christiane Taubira pour minimiser les événements. Ainsi Bernard Cazeneuve a-t-il déclaré dimanche que l’assaillant du commissariat du 10e arrondissement n’avait pas de complices. Une déclaration sans doute un peu hâtive puisqu’on ne connaît pas l’identité exacte de l’intéressé (peut-être tunisien) et encore moins son itinéraire. On se demande bien alors pourquoi l’enquête était confiée à la brigade anti terroriste. »Ce que nous avons aujourd’hui, c’est que l’identité sur laquelle l’enquête était partie n’était pas la bonne, qu’il est sans doute d’origine tunisienne, que son nom serait Tarek Belgacem et qu’il aurait séjourné dans plusieurs pays de l’Union européenne, le Luxembourg, la Suisse, l’Allemagne ». De quoi se demander si l’auteur de l’attentat. De quoi se demander si l’auteur de l’attentat était un terroriste ou un touriste. On peut observer une situation aussi surréaliste après l’attentat contre des militaires qui protégeaient une mosquée à Valence. Une situation qui permet aussi de s’interroger sur l’adaptation du système juridique à l’actuel environnement terroriste. En effet d’après le procureur de Valence qui instruit l’affaire « La piste terroriste est pour l’instant écartée par les enquêteurs ». Cela au motif que pour l’instant celui qui a tenté  de tuer des militaires avec sa voiture n’a pas été repéré comme appartenant à un réseau par les services de police. Dès lors  on se demande vraiment ce qu’il faut commettre comme acte criminel pour être qualifié de terroriste surtout lorsqu’on s’attaque au symbole même de l’action régalienne,  c’est-à-dire l’armée. Peut-être faudrait-il adresser au procureur de Valence la définition du mot terrorisme à savoir d’après le Larousse : « Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par  une organisation pour créer un climat  d’insécurité, pour exercer un chantage  sur un gouvernement, pour satisfaire une  haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système ». On sait clairement que l’État islamique a invité ses sympathisants du monde entier à tuer par tous les moyens possibles ceux  qu’ils considèrent comme des mécréants. On a aussi découvert dans l’ordinateur de l’intéressé des éléments de propagande en faveur de l’État islamique. Comment admettre qu’on puisse considérer dans ces conditions que l’attentat commis ne relève pas de l’action terroriste. La preuve supplémentaire sans doute que nos états démocratiques sont bien mal outillés pour lutter contre cette situation de guerre y compris sur le territoire national Après le geste d’un automobiliste qui a foncé sur des militaires de garde devant la mosquée de Valence vendredi, a déclaré samedi le procureur de Valence, Alex Perrin.  .  L’homme, un Français d’origine tunisienne âgé de 29 ans, est hospitalisé après avoir été touché à un bras et aux jambes de trois balles tirées par les militaires, déployés dans le cadre de l’opération Sentinelle. Ceux-ci comptent trois blessés légers dans leurs rangs et un fidèle de la mosquée a également été touché par une balle perdue lors de la fusillade. Alors que la garde à vue de l’assaillant devait être prolongée dans la journée, les enquêteurs ne disposent à ce stade d’aucun élément laissant penser qu’il s’agissait d’un acte terroriste, ce qui explique que la section antiterroriste du parquet de Paris n’ait pas été saisie, a indiqué le procureur. « En l’état des vérifications (…), nous n’avons rien trouvé sur lui, dans son véhicule, à son domicile qui puisse nous rattacher à un réseau terroriste ou une action terroriste », a-t-il dit lors d’un point de presse. « Rien ne nous renvoie sur d’autres personnes, ou de sa famille ou des tiers, et notamment rien ne nous renvoie sur une appartenance à un réseau quel qu’il soit », a-t-il poursuivi, en soulignant que, « pour l’instant, on est vraiment dans ce qui nous semble être un comportement solitaire ». Alex Perrin, a précisé que l’homme, qui aurait crié « Allah est grand » en fonçant à trois reprises sur les militaires, n’était connu ni de la police ni des services de sécurité. « Lorsqu’il a été pris en charge par les services de secours, il a tenu des propos assez confus indiquant qu’il souhaitait tuer des militaires parce les militaires tuaient des gens (…) et, d’autre part, qu’il souhaitait se faire tuer par des militaires », a-t-il expliqué. Si son audition, qui devait commencer samedi après-midi, confirme ces éléments, il risque une mise en examen pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, aucune préméditation n’étant encore établie. L’individu résidait à Bron, ville de la banlieue lyonnaise dont il fréquentait la mosquée, et était venu voir sa belle famille à Valence. Entendue par les policiers, son épouse « a été étonnée de ce passage à l’acte (…) sur lequel il n’avait pas manifesté de volonté, d’intention particulière », a encore dit le procureur, précisant en outre que ses premiers contacts avec les enquêteurs « n’ont pas montré quelqu’un qui présenterait un déséquilibre mental ». Bref comme pour le 18e arrondissement, un homme normal, un touriste aussi peut-être ?

La semaine catastrophique de Hollande (feuilleton humoristique-18 octobre 2015)

La semaine catastrophique de Hollande (feuilleton humoristique-18 octobre2015)

Sale temps pour le Roy, François de Tulle, Normal Premier. La température s’est brusquement rafraichie dans le royaume. A peine 20% de soutien des sujets de plus en plus sceptiques dans le dernier sondage. Et le Chambellan Valls de Vienne qui plonge aussi avec le monarque. Du coup, le chambellan décide de jouer la carte internationale en  allant se balader à l’étranger et près du front ; il confirme que la France va continuer de bombarder les infidèles de l’Etat islamique et sans distinction des nationalités. En clair dans le cadre de la simplification des procédures administratives, il ne sera plus nécessaire de montrer sa carte d’identité avant de recevoir une bombe. Peu de chances d’ailleurs car en dépit des déclarations guerrières de Hollande, la France n’a réalisé  que deux frappes en un mois. A ce rythme,  on s’installe dans une nouvelle guerre de cent ans. Pendant ce temps là,  le Tsar Poutine bombarde tout ce qui bouge en Syrie, surtout les opposants à Bachar. Évidemment faute de réplique infranationale cordonnée, les migrants affluent toujours mais  sont promenés de Hongrie, en Croatie et en Slovénie. Il faut dire qu’à l’humanisme béat de l’Europe a succédé le réalisme hypocrite : on accueille toujours les migrants mais en leur interdisant de franchir les frontières. Des frontières dont le contrôle sera renforcé partout, ainsi en a décidé dans sa grande sagesse la réunion des chefs d’Etat européens. On va même demander aux turcs de développer le tourisme migratoire de longue durée moyennant finances de la commission européenne. Objectif : retenir les migrant le plus longtemps possible ; encore un effort et on va financer l’Etat islamique pour qu’ils retiennent les syriens chez eux. Des syriens toujours auusi indélicats et qui ne veulent pas venir en France auto proclamée terre d’asile ; pourtant les extrémiste ne cessent  de vocifèrer » : la France est envahie » ! En fait elle l’ est déjà mais par les crétins  mais ceux-là pas question de les refouler en Patagonie : ils sont français. La princesse Ségolène par exemple qui affirme que le plan d’Air France n’est plus nécessaire et qu’il faut nommer un médiateur. Ce que contredit le Chambellan Valls mais qui met quand même un copain à lui (son conseiller) comme DRH ; Sil dirige auusi bien Air France que la France, tout est à craindre. Faute de succès à l’intérieur le monarque de France peut se réjouir des malheurs de l’impératrice de Prusse, Angela,  en prise avec le truquage de Volkswagen. Cette dernière a décidé qu’il fallait rapatrier 8.5millions de véhicules. Problème : on ne sait pas pour quoi faire ! On peut effectivement enlever  le logiciel truqué mais respecter les normes c’est un problème que  ne sait pas résoudre actuellement le premier constructeur mondial. A moins de brider les moteurs et la vitesse. Comme on envisage à Paris : à 30kms heure ou mieux à 10 kms heure. En tout cas, c’est grâce à cet argument environnemental que Hollande et son chambellan ont brusquement décidé d’augmenter le gaz oïl en France.  Par contre les pensions, elles, vont être diminuées car les régimes sont dans le rouge. On partira à 63, puis 65 ans avant sans doute 70 ou 80 ans lors du 28 ème plan de réforme des retraites. Ségolène, pour faciliter  la transition énergétique,  a déjà prévu une prime pour motoriser électriquement les déambulateurs des travailleurs âgés. Pour arrondir les angles  de la grogne sociale, le monarque a dégainé  l’arme atomique : une grand conférence sociale ou on ne traitera pas du chômage, du financement de la protection sociale ou des conditions de travail mais de bricoles pour amuser la galerie médiatique. Il faut bien faire rire un peu ce peuple dont le moral n’a jamais été aussi si bas. Même le ténébreux prince noir Sarko s’y met pourtant Pas évident de faire l’humoriste et de faire du stand-up ! Témoin  cette phrase prononcée à Limoges par Sarkozy : « Je voudrais leur dire qu’on a reçu le coup pied au derrière, mais ce n’est pas parce que vous voulez renverser la table que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur », a déclaré le président des Républicains. Un phrase en tout cas qui confirme le diagnostic de Berlusconi à propos de Sarko : « Sarkozy « crétin et suffisant  »; à  la décharge de Sarkozy il n’est pas le seul dans ce cas dans la classe politique française. C’est même ce qui la caractérise. La preuve,  les trois principaux candidats aux présidentielles présentent  toutes ces qualités requises. De quoi s’interroger sur les avantages prétendus de la démocratie par rapport à une vraie monarchie non républicaine. Si c’est pour élire un con, autant le faire descendre d’une lignée royale. D’autant qu’en vérité ce pays est ingérable, les sujets imprévisibles. Avant on pouvait combler leur satisfaction avec du pain des et jeux (panem et circenses) mais le pain se fait rare quant aux jeux, ce n’est pas avec le honte des bleus –rouges de honte comme leur maillot- contre les All  blacks qu’on va réconcilier le bas peuple avec le sport distractif.

God save the king

« Marine Le Pen ne fera pas pus de 18% » en 2017 ( Jean Marie Le Pen)

« Marine Le Pen ne fera pas pus de 18% » en 2017  ( Jean Marie Le Pen)

 

Le vieux continue de se lâcher contre sa fille et considère qu’elle ne fera guère plus de 18% ( en fait autour de 25% au second tour de 2017 d’après les sondages) mais quelle ne sera pas élu évidemment. Il considère que Fn est mal préparé au pouvoir, comme lui, en 2002. Il y a évidemment des attaques claires contre sa fille dans cette interview mais aussi uen lucidité à savoirt que le FN est un parti d’opposition qui n’est pas préparé pour la gestion. Il est d’ailleurs  considéré comme tel par l’opinion puisque Plus de 75% des Français n’accordent pas de crédibilité au programme économique du FN.  Dans un entretien au journal Society, Jean-Marie Le Pen revient donc sur sa carrière et notamment sur sa qualification au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2002 : « J’ai envisagé avec une certaine angoisse qu’il y ait une déferlante populiste. » Dans cette même interview, il dit aussi craindre « une déferlante démographique qui va submerger l’Europe en provenance d’Afrique ».  Jean-Marie Le Pen continue d’enchaîner les déclarations chocs dans la presse. Dans le nouveau numéro de l’hebdomadaire Society paru vendredi, l’ancien patron du FN se confie dans un long entretien. Il évoque l’actualité politique bien sûr, mais revient aussi sur sa carrière, et notamment sur son accession au second tour de l’élection présidentielle, le 21 avril 2002. Il avait déjà confié, à Serge Moati entre autres, ses doutes dans l’entre-deux-tours du scrutin. A Society, il admet plus clairement avoir eu peur de prendre le pouvoir. « En 2002, c’est vrai, j’ai envisagé avec une certaine angoisse qu’il y ait une déferlante populiste », affirme-t-il avant d’expliquer : « Je ne suis pas spécialement un homme politique qui a la réputation d’être peureux mais je sais évaluer le danger. Quand vous vous retrouvez dans l’hypothèse d’être président de la République alors que vous n’avez pas l’appareil pour le faire, vous ne trouvez pas que ça puisse susciter légitimement une impression d’angoisse? Si ce n’est pas le cas, c’est que vous êtes un branleur. » A travers ses mots, il cible ses équipes de l’époque, et notamment Marine Le Pen, qui débutait son ascension au sein du parti.

Air France: grève entre le 15 et 18 septembre

Air France: grève entre le 15 et 18 septembre

 

La grève chez Air France sera sans doute assez suivie  entre le 15 et 18 septembre. L’enjeu c’est de protester contre la restructuration de la compagnie. Pour résumer une compagnie qui se recentre pour les vols non  rentables sur se filiales low cost.-( deux à trois fois moins chères), elle devrait prochainement en acquérir encore une autre. Le low cost a gagné la batille du marché en Europe avec près de 40% de parts de marché grâce à des structures et des niveaux de coûts beaucoup plus compétitifs. Le Spaf, deuxième syndicat des pilotes d’Air France, a appelé à son tour vendredi à la grève entre le 15 et le 18 septembre pour défendre les conditions d’emploi des pilotes, menacées selon lui par le plan de réorganisation de la compagnie. Il s’agit du deuxième appel à la grève après le préavis déposé la semaine dernière par le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire, pour la période du 15 au 22 septembre. Subissant de plein fouet la concurrence des champions du low-cost que sont Easyjet et Ryanair sur les vols moyen-courrier, Air France entend créer de nouvelles bases en Europe pour sa filiale à bas coûts Transavia, en dehors de celles déjà existantes en France et aux Pays-Bas ( ). Pour le marché français et Transavia France, les syndicats réclament un contrat de travail unique pour l’ensemble des pilotes d’appareils de plus de 100 places au sein des trois compagnies Air France, Transavia et Hop ! pour les vols régionaux. La direction d’Air France souhaite quant à elle que les rémunérations et conditions de travail des pilotes soient adaptées aux spécificités de fonctionnement de Transavia. « La nouvelle stratégie décidée au plus haut niveau de l’entreprise, sans aucune concertation avec les organisations professionnelles représentatives des pilotes, laisse présager un nouveau passage en force avec la mise en place de mesures qui impacteront fortement les conditions de travail et le périmètre d’emploi des pilotes Air France », écrit le syndicat des pilotes d’Air France (Spaf) dans un communiqué.

 

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