Archive pour le Tag '1600'

Super-profits: 1600 milliards distribués aux actionnaires

Super-profits: 1600 milliards distribués aux actionnaires

Grâce à la reprise économique mais surtout à une immense spéculation générale dans le monde soutenu par les politiques accommodantes des banques centrales, les profits boursiers ont pu augmenter de 1600 milliards $ en 2022.

Les profits ont surtout été réalisés dans le secteur de l’énergie dont les bénéfices ont d’autant plus augmenté que les cours s’envolaient alors qu’évidemment cela aurait dû être l’inverse. Ainsi les pétroliers et autres fournisseurs et distributeurs d’énergie ont ajouté de l’inflation à l’inflation pour spéculer. Résultat: cette hausse des prix dans le secteur de l’énergie a contaminé l’ensemble de l’économie et c’est le client qui paye la facture via l’inflation. En France, pays qui a le plus contribué à la croissance des dividendes en Europe avec 59,8 milliards d’euros (+4,6%), TotalEnergies et LVMH ont été les plus gros payeurs de dividendes.

Le montant total des dividendes reversés est en hausse de 8,4% par rapport à 2021, année du précédent record grâce au rebond de l’activité économique mondiale après la crise sanitaire, selon un rapport du gestionnaire d’actifs Janus Henderson.

Les producteurs de pétrole et de gaz ainsi que les sociétés financières ont représenté la moitié de cette croissance, selon l’indice Global Dividend qui recense les 1.200 plus grosses capitalisations boursières. En raison de la flambée des prix de l’énergie qui a gonflé leurs bénéfices, ils ont «augmenté leurs distributions de plus de 66%, sous forme de dividendes ordinaires ou extraordinaires», précise le gestionnaire d’actifs.

Douze pays ont enregistré des records de dividendes libellés en dollars, les États-Unis, le Canada, le Brésil, la Chine, l’Inde ainsi que Taïwan, et plusieurs autres dans leur monnaie, la France, l’Allemagne, le Japon et l’Australie. Si les marchés émergents ont enregistré une progression «d’environ un cinquième», les marchés plus traditionnels comme les États-Unis ont observé une croissance relativement «inférieure au reste du monde». Les dividendes avaient bien résisté durant la pandémie dans le pays, qui est aussi moins exposé aux secteurs ayant explosé cette année. Sept des entreprises du top 10 de Janus Henderson restent américaines.

Deux secteurs ont fortement contribué à la croissance des dividendes américains: l’énergie (avec un versement exceptionnel important pour Pioneer Natural Resources et d’importants dividendes pour Chevron et Exxon) et les sociétés financières (avec Wells Fargo, Morgan Stanley et Blackstone notamment). Chevron et Exxon ont par ailleurs assorti leurs dividendes d’énormes rachats d’actions, qui ont eux aussi atteint des records en 2022.

Profits boursiers : 1600 milliards distribués aux actionnaires

Profits boursiers : 1600 milliards distribués aux actionnaires

Grâce à la reprise économique mais surtout à une immense spéculation générale dans le monde soutenu par les politiques accommodantes des banques centrales, les profits boursiers ont pu augmenter de 1600 milliards $ en 2022.

Les profits ont surtout été réalisés dans le secteur de l’énergie dont les bénéfices ont d’autant plus augmenté que les cours s’envolaient alors qu’évidemment cela aurait dû être l’inverse. Ainsi les pétroliers et autres fournisseurs et distributeurs d’énergie ont ajouté de l’inflation à l’inflation pour spéculer. Résultat: cette hausse des prix dans le secteur de l’énergie a contaminé l’ensemble de l’économie et c’est le client qui paye la facture via l’inflation. En France, pays qui a le plus contribué à la croissance des dividendes en Europe avec 59,8 milliards d’euros (+4,6%), TotalEnergies et LVMH ont été les plus gros payeurs de dividendes

Le montant total des dividendes reversés est en hausse de 8,4% par rapport à 2021, année du précédent record grâce au rebond de l’activité économique mondiale après la crise sanitaire, selon un rapport du gestionnaire d’actifs Janus Henderson.

Les producteurs de pétrole et de gaz ainsi que les sociétés financières ont représenté la moitié de cette croissance, selon l’indice Global Dividend qui recense les 1.200 plus grosses capitalisations boursières. En raison de la flambée des prix de l’énergie qui a gonflé leurs bénéfices, ils ont «augmenté leurs distributions de plus de 66%, sous forme de dividendes ordinaires ou extraordinaires», précise le gestionnaire d’actifs.

Douze pays ont enregistré des records de dividendes libellés en dollars, les États-Unis, le Canada, le Brésil, la Chine, l’Inde ainsi que Taïwan, et plusieurs autres dans leur monnaie, la France, l’Allemagne, le Japon et l’Australie. Si les marchés émergents ont enregistré une progression «d’environ un cinquième», les marchés plus traditionnels comme les États-Unis ont observé une croissance relativement «inférieure au reste du monde». Les dividendes avaient bien résisté durant la pandémie dans le pays, qui est aussi moins exposé aux secteurs ayant explosé cette année. Sept des entreprises du top 10 de Janus Henderson restent américaines.

Deux secteurs ont fortement contribué à la croissance des dividendes américains: l’énergie (avec un versement exceptionnel important pour Pioneer Natural Resources et d’importants dividendes pour Chevron et Exxon) et les sociétés financières (avec Wells Fargo, Morgan Stanley et Blackstone notamment). Chevron et Exxon ont par ailleurs assorti leurs dividendes d’énormes rachats d’actions, qui ont eux aussi atteint des records en 2022.

Bosch Rodez : 1600 emplois menacés

Bosch Rodez : 1600   emplois menacés

 

Bosch Rodez, encore un site industriel menacé d’une part par la baisse des ventes de véhicules diesel aussi par une insuffisance de compétitivité d’après la direction.  Le site d’Onet-le-Château, spécialisé dans les injecteurs de moteurs diesel et qui emploie 1.600 personnes, est l’une des usines françaises les plus exposées à la baisse accélérée des motorisations diesel en France et en Europe. “On demande un projet industriel et le ministre, qui connaît le dossier, a clairement abondé dans notre sens”, a déclaré Pascal Raffanel, de CFE-CGC, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, où a eu lieu la rencontre. Bruno Le Maire s’est engagé à contacter Heiko Carrie dans la perspective de la visite à l’usine Bosch de Rodez, le 22 mars prochain, du délégué interministériel aux restructurations d’entreprises, Jean-Pierre Floris. Fin janvier, la direction du groupe allemand, en déplacement à Rodez, s’est engagée à investir 14 millions d’euros pour moderniser l’une des deux lignes de production que compte l’usine, sous réserve qu’un accord de compétitivité soit signé par le personnel d’ici le mois d’avril. Dans le cadre de cet “accord de transition 2018-2021”, l’une des clés de la direction proposée à l’intersyndicale Sud, CFDT, CFE-CGC,CGT est le recours à une activité partielle, qui supposerait une participation de l’Etat. “L’Etat n’ira pas s’il n’y a pas de projet industriel”, a expliqué mercredi Pascal Raffanel, selon qui Bruno Le Maire a confirmé par ailleurs à l’intersyndicale “le déclin des activités diesel et la nécessité d’une diversification des activités du site”.

Pollution en Europe : un coût de 1600 milliards

Pollution  en Europe : un coût de 1600 milliards

 

Une étude de l’OMS et de l’OCDE met en avant le coffre effarant de 1600 milliards pour le coût de la pollution. Un chiffre qui peut sans doute être contesté sur le plan méthodologqiue mais qui donne quand même uen indication sur les conséquences économiques de la pollution. « Le coût économique de l’impact sanitaire de la pollution de l’air en Europe », avance un chiffre monumental de 1 600 milliards de dollars pour le coût de la pollution dans 53 pays européens en 2010. Il s’agit de l’estimation du coût économique des quelques 600 000 décès prématurés et maladies engendrées par la pollution. Un coût qui atteint même 20% du PIB au sein de dix pays de la zone Europe.  482 000 décès ont été provoqués par des maladies cardiaques et respiratoires, des accidents vasculaires cérébraux ou encore des cancers du poumon en 2012. La pollution intérieure y ajoute 117 200 décès supplémentaires (et c’est cinq fois pire dans les pays les moins riches). 90% de la population en Europe ont été exposés à des niveaux de particules fines supérieures à la normale, note l’OMS.  . Une pollution pourtant qui risque  cependant d’être mal prise en charge lors de ma conférence infranationale sur le climat à Paris en fin d’année. Hoolnde lui même indiquant qu’i ne fallait pas s’attendre à de grandes décisions. François Hollande a en effet  déclaré au début du mois  qu’un accord mondial à la conférence sur le climat organisée fin 2015 à Paris n’était pas garanti, notamment en raison des obstacles financiers.  »Chacun pense que ce sera une réunion où nous trouverons facilement un accord. Je ne le pense pas », a déclaré le président dans un discours en clôture d’une conférence sur la « croissance verte » réunie à l’Elysée. « Plus j’avance dans la préparation de cette conférence, plus je regarde les obstacles », a ajouté le chef de l’Etat, qui a fait de la lutte contre les gaz à effet de serre une priorité. La France accueillera du 30 novembre au 11 décembre la 21e Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (Cop 21), qu’elle espère voir déboucher sur un accord universel et contraignant visant à maintenir le réchauffement en deçà de 2°C.

Vivarte : 1600 licenciements mais 3 millions d’indemnités pour le patron

Vivarte : 1600 licenciements mais 3 millions d’indemnités pour le patron

 

Un petit chèque de  3millions d’euros pour l’ ex patron de Vivarte qui vient pourtant d’annoncer 1+600 suppressions de postes. Sans doute pour le récompenser sa mauvaise gestion !  On se  demande si les patrons sont vraiment conscients des dégâts qu’ils causent à leur propre image. Retraites chapeaux, indemnités, salaires, stock-options autant d’éléments qui discréditent le patronat des grandes entreprises. Pas étonnant que les français aient tellement de mal à adhérer à la rationalité de la culture économique. Ces avantages patronaux sont complètement irrationnels. De telles pratiques portent un grave préjudice à l’ensemble des patrons y compris des PME qui le plus souvent ne peuvent se payer de tels gâchis financiers. Mais dans les grands groupes il d’usage de se servir d’abord avant même de servir l’intérêt de l’entreprise et bien sûr celui des salariés. Selon le journal Le Parisien-Aujourd’hui en France, qui révèle le chiffre, l’ex-PDG ne sera resté que deux ans en poste avant de partir, en « désaccord sur la conduite future du groupe ». Selon le détail de l’accord, Marc Lelandais a touché un « bonus pour restructuration » d’un million d’euros, auquel s’ajoute une indemnité de sortie d’un autre million, et un dernier million pour solde de tout compte. Un très gros parachute doré qui fait un peu grincer des dents chez les 17.000 salariés du groupe (La Halle, André, Kookaï), sonnés par l’annonce de 1.600 suppressions de postes. 174 des 620 magasins de La Halle aux vêtements vont fermer, et peut-être 23 de plus ; 37 magasins André également.

 




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