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Salaires- Social : Pour un SMIC à 1500 € nets

salaires- Social : Pour un SMIC à 1500 € nets

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. C’est vrai aussi pour l’ensemble des salaires qui en moyenne sur deux ans ont perdu 5 % par rapport à l’inflation ( L’augmentation moyenne des salaires aura été de 7 à 8 % sur deux ans quand l’inflation aura dépassé 12 %). Pour compenser cette différence ,il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Social : Pour un SMIC à 1500 € net

Social : Pour un SMIC à 1500 € net

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. C’est vrai aussi pour l’ensemble des salaires qui en moyenne sur deux ans ont perdu 5 % par rapport à l’inflation ( L’augmentation moyenne des salaires aura été de 7 à 8 % sur deux ans quand l’inflation aura dépassé 12 %). Pour compenser cette différence ,il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Pour un SMIC à 1500 € net

Pour un SMIC à 1500 € net

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. Pour compenser cette différence il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Salaire : Xavier Bertrand promet 1500 € nets par mois !

Salaire : Xavier Bertrand promet 1500 € nets par mois !

 

Le candidat aux présidentielles se transforme à son tour en syndicaliste et comme la plupart des autres prétendants à la magistrature suprême propose une augmentation salariale significative. Dans le même temps, Xavier Bertrand comme Macron n’est pas à une contradiction près; il  propose aussi des négociations entre partenaires sociaux. On se demande bien sûr quoi si déjà les décisions sont prises. Ou alors cela se limitera à l’adaptation de la grille salariale des branches qui mécaniquement doit évoluer pour nombre d’entre elles sous l’effet de l’augmentation du SMIC  ( notons qu’il ne s’agit pas vraiment du SMIC mais d’une prime !).

Xavier Bertrand promet donc une augmentation d’environ 150 € nets mensuels pour tous les salariés travaillant à temps complet toucheront au moins 1.500 euros net par mois ».

En 2021, le montant du Smic mensuel brut s’élève à 1.589,47 euros, soit 1.257 euros net, sur la base de la durée légale du travail de 35 heures par semaine.

 Avec la proposition de Xavier Bertrand un salarié au Smic sera ainsi payé 10,48 euros brut de l’heure. Enfin, le Smic annuel monte à 19.073 euros brut, soit 15.084 euros net.

L’augmentation s’effectuera par le biais d’une prime ou sorte de 13e mois.

Le candidat présidentiel promet de faire financer cette augmentation par l’État et donc de rembourser le surcoût pour les entreprises. Le mode de financement paraît particulièrement vague puisqu’il se fonde sur des économies à réaliser. En réalité, cette nouvelle dépense budgétaire sera forcément financée par la dette.

« Il ne peut pas y avoir d’augmentation importante du revenu et du pouvoir d’achat si nous ne travaillons pas davantage », a souligné Xavier Betrand.

Ce dernier souhaite ainsi que les heures travaillées au-delà de 35 heures soient sans impôts et sans charges sociales, « un principe gagnant-gagnant ». Toutes les entreprises bénéficieront en échange d’un allègement de cotisations sociales. La mesure fera l’objet d’un accord collectif ou d’un référendum au sein de l’entreprise.

Xavier Bertrand propose aussi que les salariés qui le souhaitent puissent se faire racheter par leur employeur une semaine de congés payés ou une partie des RTT. Ces deux mesures s’appliqueraient aussi bien au secteur privé qu’à la fonction publique.

1500 € aux entreprises : plus de 204.000 demandes pour une aide dérisoire

1500 € aux entreprises : plus de 204.000 demandes pour une aide dérisoire

 

Ce n’est sans doute pas une aide de 1500 € qui évitera la vague de défaillances qui va affecter nombre de petites et moyennes entreprises. Pour autant « c’est toujours ça de pris » estime beaucoup de demandeurs. La vérité c’est que cette aide ne changera pas grand-chose. Certaines entreprises n’en avaient d’ailleurs sans doute pas besoin quant aux autres la somme est trop dérisoire pour constituer le moindre ballon d’oxygène. Autant dire que cette mesure générale est complètement inefficace vis-à-vis du sauvetage de société en difficulté du fait de la pandémie. Pour certaines entreprises, il n’y aura pas de rattrapage du chiffre  d’affaires, les clients abandonnant purement et simplement leur demande. Pour d’autres, il sera possible d’en récupérer une partie  mais  se pose surtout un problème de trésorerie qui devrait être réglé non pas par une somme ridicule mais par des prêts sans intérêt au remboursement très étalé dans le temps. Finalement,  la mesure du gouvernement est une disposition à caractère très médiatique qui ne couvre même pas la charge salariale d’un employé ou du patron qu’il est seul pour un seul mois..

Le fonds de solidarité prévoit de compenser jusqu’à 1.500 euros la perte de chiffre d’affaires des très petites entreprises et indépendants réalisant moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires et employant moins de dix salariés. Pour être éligibles, les entreprises doivent avoir perdu 50% de leur chiffre d’affaires du mois de mars par rapport au mois de mars de 2019, et ainsi de suite pour le mois suivant.

Dans un premier temps, le gouvernement avait fixé ce critère à 70% de perte d’activité, avant de l’abaisser mardi face aux critiques des entrepreneurs concernés. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a indiqué qu’1,7 milliards d’euros devraient être dépensés pour le seul mois de mars. Bercy considère qu’environ 600.000 entreprises pourraient en bénéficier. Pour cela, elles doivent s’adresser à l’administration fiscale, qui est chargée de verser cette aide.

 

La poste -activités sociales : 1500 euros par agent !

La poste -activités sociales : 1500 euros par agent !

 

1500 euros par agent, selon un rapport de la Cour des comptes publié aujourd’hui qui note des «progrès» dans la gestion mais recommande encore des «améliorations». Le montant se décompose de la façon suivante: 212,5 millions au titre de l’action sociale dans le cadre du conseil d’orientation et de gestion des activités sociales (Cogas), 27,5 millions pour la prime de restauration, 45,5 millions au titre de l’aide au logement et 130 millions au titre de la part patronale de la complémentaire santé obligatoire. A La Poste, l’action sociale est sous la responsabilité partagée d’une structure spécifique, le Cogas, dérogatoire au droit commun des comités d’entreprise, et la direction des ressources humaines (DRH). «Si des progrès ont été obtenus dans l’administration du budget», la Cour des comptes estime que «des améliorations s’imposent».  «La question d’une évolution en profondeur du modèles institutionnel des activités sociales de La Poste n’est pas envisagée par l’entreprise» Philippe Wahl, PDG du groupe La Poste  Parmi elles, les Sages estiment que la gouvernance partagée du Cogas a entraîné la mise en place d’un réseau de commissions territoriales «complexe et lourd» qu’elle appelle à «alléger». «La question d’une évolution en profondeur du modèles institutionnel des activités sociales de La Poste n’est pas envisagée par l’entreprise, répond Philippe Wahl, PDG du groupe, dans une lettre adressée au président de la Cour des Comptes, Didier Migaud.

 




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