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Baisse d’impôts sur le revenu : 15 € par habitant !

Baisse d’impôts sur le revenu : 15 € par habitant !

 

Hollande doit préciser ses orientations pour la petite ristourne fiscale relative à l’impôt sur le revenu. Une baisse très virtuelle dans la mesure où elle doit ce satisfaire d’une enveloppe d’un milliard soit environ  15 € par habitant et à titre exceptionnel ! (notons que la fiscalité sur les ménages a augmenté de 50 milliards) En objectera évidemment que chaque habitant ne recevra pas un chèque en 2017 puisse qu’on vise les foyers fiscaux qui en moyenne doivent comporter autour de trois personnes. En outre la moitié d’entre seulement sont soumis à l’impôt sur le revenu. Enfin on visera les couches moyennes (un titre moins infamant pour parler maintenant de couches pauvres). Au total le chèque sera donc de l’ordre de 200 € pour les gens heureux élus. Valls a réitéré récemment la promesse de faire baisser les impôts des ménages mais à condition que la croissance progresse de 1,7 % en 2017. Une condition qui rend très hypothétique la promesse fiscale. En effet pour la plupart des instituts économiques la France aura bien du mal à atteindre +1,3 % pour le PIB en 2017. Du coup l’annonce de Valls ressemble à une promesse de coiffeur. «Nous avons fait baisser l’impôt sur le revenu depuis que je suis premier ministre. Dans mon discours de politique générale, j’avais dit que nous baisserions de cinq milliards l’impôt sur le revenu. Nous y sommes et nous allons poursuivre la baisse de l’impôt sur le revenu», a déclaré Valls sur BFM, tout en rappelant que «l’impôt est nécessaire (…) si nous voulons une armée forte, l’école de la République, les hôpitaux publics». Fait nouveau: le premier ministre ne conditionne pas cette future baisse des impôts à une croissance de 1,7% l’an prochain. C’était pourtant la condition fixée en juin dernier par François Hollande. «Si (…) la croissance était de 1,7% en 2017, ce geste fiscal, qui ne pourrait être supérieur à 2 milliards d’euros, viendrait s’ajouter aux allégements accordés depuis 2014 et qui ont d’ores et déjà concerné 12 millions de contribuables», avait-il précisé. Le président de la République avait par ailleurs précisé que la mesure concernerait les classes moyennes. De leur côté, toutes les entreprises bénéficieront d’une baisse de l’impôt sur les sociétés à 28% en 2020 contre 33,3% aujourd’hui pour la grande majorité d’entre elles, a confirmé Manuel Valls. Pour les PME, la mesure doit figurer dans le projet de Budget pour 2017. Cette baisse portera sur «une partie importante de leurs bénéfices», a indiqué Manuel Valls, renvoyant à une présentation plus détaillée par les ministres des Finances et du Budget «dans quelques jours». «L’objectif, c’est que l’entrée en vigueur soit la plus simple pour les sociétés», affirme le chef du gouvernement.

 

 

 

 

« Une semaine de congés payés en plus » (Marie-Noëlle Lienemann)…..pourquoi pas 10 ou 15?

« Une semaine de congés payés en plus »  (Marie-Noëlle Lienemann)…..pourquoi pas 10 ou 15?

 

Pour tenter d’exister dans la primaire à gauche Marie-Noëlle Lienemann n’hésite pas à s’engager dans la fuite en avant des frondeurs ; pour cela,  elle propose une sixième semaine de congés payés et la semaine de quatre jours sans parler des référendums pour défaire les lois votées. Bref du populisme qui la rapproche de plus en plus de Mélenchon,  elle qui a commencé par être rocardienne ; une sorte de parcours à l’envers qui la conduira à l’extrême gauche ou plus exactement vers rien du tout quand elle aura épuisé tous les charmes et les avantages de sa révolutionnaire position de sénatrice. Décrire qu’on pourrait même proposer davantage qu’une sixième semaine, une dixième ou une quinzième  avec aussi des semaines de trois jours à condition évidemment d’oublier les contraintes économiques, la compétitivité, la croissance et le chômage. La démonstration en tout cas que les primaires ressemblent une sorte de cirque médiatique ou la démagogie triomphe. De ce point de vue le spectacle offert à droite n’est guère plus réjouissant. Pour lutter contre le chômage, cette figure de l’aile gauche s’engage pour une « sixième semaine » de congés payés. « On pourrait la capitaliser sur un compte épargne-temps pour permettre la réduction du temps de travail tout au long de la vie. » Autre proposition : la semaine de quatre jours, qui ne serait pas imposée par l’État mais le fruit de négociations par branche. La cinquième semaine datait de 1982 et du gouvernement Mauroy ; quant aux 35 heures de Martine Aubry, une partie de la gauche l’assume toujours difficilement… Comme beaucoup à gauche, Lienemann veut « dé-monarchiser » les institutions. Dans un référendum organisé dès 2017, elle soumettrait ­plusieurs pistes : suppression du 49-3, désignation du Premier ministre par le Parlement, part de proportionnelle et ­élargissement du recours au référendum notamment pour abroger ­certaines lois, comme cela existe en Italie

Sondage popularité : Hollande et Valls à 15 et 17 %

 

Sondage  popularité : Hollande et  Valls à 15 et 17 %

Globalement Hollande et Valls progressent très légèrement mais demeurent  à de très bas niveaux. Hollande gagne 3 point est atteint 15 % La cote du Premier ministre évolue de façon similaire en un mois, avec 77 % (-2) d’avis défavorables et 17 % (+2) d’opinions favorables. Le redressement du couple exécutif entraîne l’ensemble du gouvernement, dont l’action est jugée favorablement par 14 % (+3) des Français interrogés, contre 81 % (-3) d’un avis opposé, selon cette enquête pour le Huffington Post et iTÉLÉ. Contrairement aux attentats de janvier et novembre 2015 à Paris, qui avaient entraîné un net rebond de l’exécutif, les drames de Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray n’ont eu qu’une faible incidence en termes de confiance dans les enquêtes d’opinion. Selon YouGov, l’insécurité s’impose désormais en tête des préoccupations des Français (29 %, +19), devant le chômage et l’emploi (28 %, -4). Pour lutter contre le terrorisme, ils plébiscitent « la prolongation jusqu’en janvier 2017 » de l’état d’urgence mis en place en France (76 %, contre 16 % d’un avis contraire), même s’ils sont 64 % (contre 27 %) à le juger « pas efficace ». Les trois-quarts d’entre eux (76 %) se disent également favorables au « placement de l’ensemble des individus fichés S en centre de rétention ». 15 % seulement y sont défavorables. Les deux-tiers des personnes interrogées (65 %) souhaitent « un gouvernement d’unité nationale », contre 20 % d’un avis contraire. L’impopularité de l’exécutif ne profite pas à l’opposition, avec seulement 21 % (-1) des personnes interrogées qui pensent que « Les Républicains » protègent leurs intérêts. Si des élections avaient lieu demain, 38 % (+2) des Français interrogés souhaiteraient « voir élu un gouvernement de droite », 26 % (stable) un gouvernement de gauche et 36 % (-2) ne savent pas. Enquête réalisée en ligne les 27 et 29 juillet.

(AFP)

Manif loi travail : rebelote le 15 septembre

Manif loi travail : rebelote le 15 septembre

 

 

Sans doute pour faire oublier l’échec total de la dernière mobilisation contre la loi travail, les organisations contestataires remettent une nouvelle fois le couvert et promettent encore une manif pour le 15 septembre. Notons quand même la subtilité sémantique, il ne s’agit pas vraiment d’une manif mais d’une journée » d’action et d’initiative » ! Formulation suffisamment vague permettant de contester toute évaluation de la mobilisation. De toute évidence ces organisations contestataires (comme le gouvernement d’ailleurs) ne sortiront pas grandies  de la gestion de la loi travail. D’une certaine façon elles auront même encore contribué à affaiblir le poids et la crédibilité de leur intermédiation sociale. Sept organisations syndicales et de jeunesse hostiles à la loi Travail, dont la CGT, Force ouvrière, Solidaires et la FSU, ont donc appelé vendredi à une « journée d’actions et d’initiatives » le 15 septembre pour demander l’abrogation de ce texte. Le processus d’adoption de cette réforme très contestée est entré mercredi dans sa dernière ligne droite, après un nouvel échec des « frondeurs » de gauche, qui n’ont pu réunir assez de signatures de députés pour une motion de censure. Dans un communiqué commun, la CGT, FO, la FSU, Solidaires, le syndicat étudiant Unef et les organisations lycéennes Unl et Fidl dénoncent dans ce nouveau recours du gouvernement à l’article 49-3 de la Constitution un « déni de démocratie ». « C’est bien la preuve (…) que ce texte de régression sociale reste minoritaire », écrivent ces organisations, qui invitent les salariés, les chômeurs, les retraités, les lycéens et les étudiants à envoyer une carte postale au chef de l’Etat, pour lui dire qu’elles seront encore mobilisées à la rentrée. Ces organisations « donnent rendez-vous à l’ensemble des salariés, privés d’emplois, étudiants, lycéens, retraités pour une journée d’actions et d’initiatives le 15 septembre, pour obtenir l’abrogation de la loi Travail ». Celle-ci doit revenir devant les députés le 20 juillet pour une lecture définitive et être promulgué en août. Mais il faudra encore de nombreux décrets d’application pour qu’elle entre pleinement en vigueur.

(Avec Reuters)

Electricité: l’UFC va proposer des prix jusqu’à 15% moins chers

Electricité: l’UFC va proposer des prix jusqu’à 15% moins chers

Peut-être une réaction aux augmentations rétroactives d’EDF validé par ailleurs par le Conseil d’État, en tout cas l’organisation de consommateurs va organiser une action groupée auprès des fournisseurs d’électricité pour obtenir auprès des producteurs des prix notoirement plus attractifs.  Paradoxe apparent ce sont les producteurs privés concurrents de DF qui ont introduit une action auprès du conseil d’État pour faire augmenter les tarifs d’EDF ! L’UFC-Que Choisir a dit, mardi 21 juin, espérer pouvoir proposer aux consommateurs une offre d’électricité jusqu’à 15% moins chère que les tarifs réglementés pratiqués par EDF, dans le cadre d’une opération d’abonnement groupé à laquelle les groupes Engie et Lampiris comptent participer. L’association de consommateurs, qui avait déjà mené deux campagnes d’achat groupé pour le gaz naturel uniquement, a donné mardi le coup d’envoi d’une nouvelle opération pour stimuler la concurrence dans le secteur de l’énergie et proposer aux particuliers des offres plus avantageuses que celles actuellement disponibles sur le marché, en gaz mais aussi en électricité. « Les prix vont baisser en proportion du nombre de consommateurs qui auront manifesté leur intérêt », a expliqué le président de l’UFC-Que Choisir, Alain Bazot, lors d’une conférence téléphonique. « Si on atteignait 300.000 (participants), qui serait vraiment un très beau score (…), on pourrait espérer des offres à -14%, peut-être -15% par rapport aux tarifs réglementés » de l’électricité appliqués par EDF à 88% des ménages français. « L’enjeu pour nous, c’est que les consommateurs comprennent que ce n’est pas une fatalité d’être aux tarifs réglementés d’EDF, qu’on peut changer à tout moment, que c’est facile, que c’est gratuit », a souligné M. Bazot. Dans le gaz, où l’ouverture à la concurrence est un peu plus poussée, l’UFC-Que Choisir espère un gain d’environ 10% par rapport aux tarifs réglementés appliqués cette fois par Engie (ex-GDF Suez) à 57% des 10,6 millions d’abonnés au gaz. Les fournisseurs ont jusqu’à fin juin pour dire s’ils participent à cette campagne, qui fonctionne selon le principe d’une enchère inversée – l’offre la moins chère l’emportera. Les offres lauréates seront dévoilées le 22 septembre. »On se prépare à répondre pour l’électricité », a indiqué une porte-parole d’Engie à l’AFP. Le belge Lampiris, en cours de rachat par Total et lauréat des précédentes opérations de l’UFC-Que Choisir dans le gaz, a aussi dit envisager de se porter candidat, dans le gaz et l’électricité.EDF a lui indiqué qu’il ne participerait pas car l’électricien « souhaite garder le contact direct avec ses clients ». Les consommateurs peuvent eux s’inscrire gratuitement du 21 juin au 21 septembre, notamment sur internet (www.choisirensemble.fr) ou par téléphone. Chacun d’entre eux recevra ensuite, à partir du 10 octobre, une offre personnalisée à laquelle il sera libre de souscrire ou pas jusqu’au 30 novembre.

(Avec AFP)

Les grandes fortunes de France ont « perdu » 12,4 milliards en 15 jours….vite un téléthon !

Les grandes fortunes de France ont « perdu » 12,4 milliards en 15 jours….vite un téléthon !

 Un drame évidemment cette nouvelle qui touche les plus grands fortunes qui ont perdu près de  13 milliards en une  quinzaine de jours. Un drame pourtant dont les médias parlent peu avec d’innocentes victimes. Des victimes en quelque sorte de la volatilité des marchés (dont ils sont par ailleurs largement responsables pour avoir poussé les cours bien au-delà du raisonnable). Du coup on se demande si on ne devrait pas organiser un téléthon ! Surtout pour l’héritière de l’Oréal Madame Bettencourt qui voit sa fortune passer de 33 mulards à 30 milliards. Les fins de mois ne seront pas évidentes et les rations de caviar risquent de se réduire. On voit bien que la crise touche toutes les catégories de français, à quand un RSA pour milliardaire en difficulté ? Depuis le 16 août dernier, les huit plus grandes fortunes françaises ont en effet  vu leur patrimoine fondre de 9%. Sur la seule journée d’hier, ils ont « perdu » 3,5 milliards. Du coup, Bernard Arnault, le plus touché, n’est plus le Français le plus riche. Selon des calculs réalisés à partir des données du site Bloomberg qui recense les plus grandes fortunes de la planète, les Français figurant dans ce top 200 ont perdu pas moins de 3,5 milliards de dollars (3,1 milliards d’euros) sur la seule journée d’hier. Au total depuis le 16 août, ce sont 13,9 milliards de dollars qui se sont évaporés, soit 12,4 milliards d’euros. Une somme colossale. Elle équivaut quasiment au déficit de la Sécurité sociale (assurance maladie et retraite) ou, plus trivialement, au prix de 125.000 Mercedes classe S neuves. Et si tous ont vu fondre leur patrimoine depuis le 16 août dernier, certains ont bien plus souffert que d’autres. A commencer par Bernard Arnault dont le patrimoine professionnel s’est contracté de 3 milliards d’euros (-9,6%) sur la période. La valeur des actions détenues par le patron de LVMH est passée en 15 jours de 32,2 à 29,2 milliards d’euros.  Sa grande rivale dans ce type de classement, Liliane Bettencourt, a plutôt mieux résisté à la tempête boursière. L’héritière de L’Oréal a certes, elle aussi, pâti du recul du cours de l’entreprise familiale depuis le 16 août. Elle a perdu, elle, quelque 2,6 milliards de d’euros (-8%) sur la période. Au 1er septembre, Bloomberg évalue sa fortune professionnelle à 33,3 milliards de dollars soit 29,5 milliards d’euros… ce qui lui permet tout de même de redevenir la première fortune de France, devant Bernard Arnault. Derrière ces deux mastodontes, François Pinault clôt le podium des plus grosses pertes. Le fondateur de l’empire Kering a vu lui sa fortune décroître de 1,5 milliard d’euros. Arnault, Bettencourt, Pinault… Les marchés ont semble-t-il, une fois n’est pas coutume, sanctionné les groupes de luxe qu’ils jugent sans doute particulièrement exposé au ralentissement de la croissance chinoise. D’ailleurs, après ces trois grandes figures du luxe français, on retrouve les frères Wertheimer, propriétaires de Chanel qui ont, chacun, « perdu » 1,25 milliard d’euros (-12,5%)…A contrario, les stars de la tech française ont un peu mieux résisté. Si Patrick Drahi a perdu 1,15 milliard d’euros depuis 15 jours (sa fortune est évaluée au 1er septembre à 14,1 milliards d’euros), c’est essentiellement dû à la journée d’hier où le cours de l’action Numericable-SFR a dégringolé de 4,3% hier. Xaviel Niel (Free) n’a lui perdu « que » 621 millions d’euros (-8,6%) sur la période avec une fortune estimée par Bloomberg à 7,9 milliards de dollars (plus de 7 milliards d’euros). Celui qui s’en sort le mieux, au final c’est Serge Dassault. Son patrimoine n’a fondu que de 6% en 15 jours. Une baisse inférieure à celle du CAC 40 sur la période.

 

Ryanair : baisse des prix de 10 à 15%

  • Ryanair : baisse des prix de 10 à 15%
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  • Double coup de com. pour Ryanair  dont le PDG annonce uen réduction des prix  de 10 à 15 % des prix et qui en même temps règle ses comptes avec la France en dénonçant la folie administrative du pays. En réalité, on ne sait pas quelle sera l’évolution du prix du pétrole ( donc des prix du transport aérien) mais c’est l’occasion de parler de Ryanair.  « C’est le résultat de la baisse du prix du pétrole que nous allons répercuter », a-t-il justifié. « Nous continuons aussi à voir le nombre de passagers que nous transportons augmenter et à baisser nos coûts ».  Sur les douze mois achevés fin mars, Ryanair a ainsi vu son trafic progresser de 11% pour atteindre 90,5 millions de passagers. La compagnie compte dépasser le cap des 100 millions de passagers annuels dès l’exercice prochain et a pour ambition d’atteindre les 160 millions d’ici à  2024. La baisse de la consommation de carburant et la hausse du nombre de sièges dans les nouveaux appareils, ainsi que l’obtention de tarifs « intéressants » de la part des aéroports  »qui veulent se développer », participent aussi à la réduction des coûts, a remarqué Michael O’Leary.  La politique de prix bas ne se fait pas au détriment de la sécurité, a assuré le patron de Ryanair. « Nous avons toujours été irréprochables sur ce sujet. La première raison est que nos avions sont neufs » avec un âge moyen de la flotte de 5 ans. Cette dernière « grossit de 10% par an en fonction du programme de livraison de Boeing », a expliqué M. O’Leary. « J’aimerais aussi acheter des Airbus mais on n’a jamais réussi à se mettre d’accord sur les prix« , a-t-il remarqué. 

Crise immobilière : des prix qui ont trop flambé depuis 15 ans

Crise immobilière : des prix qui ont trop flambé depuis 15 ans

 

 

Inutile de chercher ailleurs la crise de l’immobilier, elle  tient à la hausse des prix au cours de ces 15 dernières années, des prix qui ont flambé. Du coup se pose un problème général de solvabilité pour les accédants et en particulier pour les jeunes primo accédants. Dans le même temps les banques ont resserré les conditions du crédit pour éviter d’accumuler des actifs douteux. Pour un  prix moyen de 230 000 euros , il faut une garantie de rémunération mensuelle « assurée »  de l’ordre de 4500 euros, garantie que bien peu peuvent présenter Le prix de l’achat moyen (mais il y a beaucoup de dispersion autour cette moyenne) est en effet passé à 230 000 euros . Dans la capitale, avec un budget constant corrigé de l’inflation de 230.000 euros, un acheteur peut aujourd’hui s’offrir un 27 m2, contre 57 m2 quinze ans plus tôt. À Nice, on est passé avec la même somme de 111 m2 en 1999 à 59 m2 cette année. Même glissade spectaculaire à Lyon, où ceux qui se payaient un 137 m2 en 1999 doivent se contenter maintenant d’un 70 m2.  Au cours des quinze dernières années, le smic n’a progressé que de 53 % quand, selon la Fnaim, les tarifs de la pierre se sont envolés à Paris (+ 165 %), à Lyon (+ 151 %) et à Nice (+ 142 %). Comment expliquer un tel phénomène?  « Ce phénomène de France immobilière à deux vitesses existe aussi entre les centres-villes et la périphérie» Jean-François Buet, président de la Fnaim. «Cette hausse des prix a été rendue supportable à cause de deux particularités: les taux des crédits immobiliers ont fortement reculé depuis quinze ans, passant dans la période de 6,40 % à 2,85 % aujourd’hui. Et la durée des crédits immobiliers a été allongée pour s’établir aujourd’hui à 17,5 ans», explique Jean-François Buet, président de la Fnaim. Reste que l’envolée des prix de la pierre ne concerne pas toute la France mais seulement les très grandes agglomérations. Pour l’immobilier comme pour les autres domaines, les écarts se creusent entre les grandes agglomérations et le reste du pays. Sans parler des territoires ruraux (où la les prix s’écroulent).  la comparaison avec les villes moyennes est édifiante. Avec 230.000 euros, à Mulhouse, l’acheteur peut quasiment se payer la même surface aujourd’hui (152 m2) qu’il y a quinze ans (157 m2). À Nevers, la surface achetable a un peu plus régressé. Mais la chute n’est pas sensible (206 m2 en 2014, contre 223 m2 en 1999). En fait, entre les grandes agglomérations et les villes moyennes, l’écart s’est creusé depuis la crise économique déclenchée fin 2008. À Paris comme à Nice et à Lyon, la surface achetable avec 230.000 euros a continué à reculer depuis, même s’il ne s’agit plus d’une chute spectaculaire. Autrement dit, le prix de la pierre a encore légèrement progressé. En revanche, dans les villes moyennes, la surface achetable pour ce budget corrigé de l’inflation s’est remise à progresser depuis cinq ans. À Nevers, elle est passée de 159 m2 à 206 m2. À Mulhouse de 128 m2 à 152 m2.

 

Régions : le Sénat pour 15 régions au lieu de 13

Régions : le Sénat pour 15 régions au lieu de 13

Le bricolage des régions continue, de 12 on est passé  13 puis le sénat en prévoit désormais 15, encore un effort et on reviendra au découpage actuel. Une grande avancée aussi le changement de nom de la région centre qui prend la dénomination «  centre-val de Loire » mais demeure une région minuscule sans aucune réalité économique ou culturelle. Peut-être pourrait-on demander aux habitants de cette région de décider eux mêmes du nom de leur région (ou tout cas d’être consultés). De toute manière tant que les départements demeureront cette reformes est illusoire. D’autant que les réalités économiques (atour des points nodaux des flux de biens et de personnes) ne font apparaitre qu’à pine une dizaine de régions réelles. La commission spéciale du Sénat sur la réforme territoriale a modifié mardi la nouvelle carte des régions dessinée par l’Assemblée. Elle propose 15 régions au lieu de 13, et une région Alsace.  A quoi ressemblera vraiment cette nouvelle carte des régions ? Réuni mardi en commission spéciale sur la réforme territoriale, le Sénat a modifié la carte dessinée par l’Assemblée nationale, proposant 15 régions au lieu de 13 et créant une région Alsace. La région Alsace est ainsi séparée d’une grande région qui l’englobait initialement avec les régions Champagne-Ardenne et Lorraine. La commission du Sénat a également rétabli les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, que la carte de l’Assemblée unifiait. La région Centre est nommée Centre-Val de Loire, selon le Sénat. Mais ce n’est pas tout, le Sénat a également rétabli la possibilité pour deux départements de fusionner. La commission a aussi modifié les conditions de changement de région pour un département. Les membres de la commission ont par contre maintenu le nombre de conseillers régionaux et approuvé la date des élections départementales les 22 et 29 mars. L’examen du texte en deuxième lecture commencera en séance plénière au Sénat le 28 octobre, après une déclaration du Premier ministre Manuel Valls sur l’ensemble de la réforme.

 

Djihadiste : une Ado de 15 ans retrouvée à Marseille mais relâchée !

Djihadiste : une Ado de 15 ans  retrouvée à Marseille mais relâchée !

Preuve que notre stratégie de lute contre les djihadiste est complètement inadaptée  la situation, une ado de 15 ans en partance pour le djihad arrêtée à  Marseille a simplement été remise à ses parents ! Assia, 15 ans, domiciliée chez ses parents à Villefontaine dans l’Isère, était recherchée depuis mardi dans la région de Marseille. Une mesure d’opposition à sortie du territoire avait été prise.  Les enquêteurs ont retrouvé la trace de l’adolescente grâce à la carte bancaire qu’elle avait subtilisée à ses parents. Ses parents sont venus la chercher. Il n’y a pas eu d’interpellation.  « On a décidé d’aller à Marseille, on l’a cherché toute la journée (…) Elle s’est jetée dans nos bras. On est tellement heureux. Tout le monde s’embrasse, on pleure, on rit. On est très soulagés, tellement heureux qu’elle ne soit pas partie à l’étranger« , a réagi sur BFMTV la mère d’Assia. La disparition de cette adolescente avait été jugée « inquiétante » par les autorités. En plus de la mesure d’opposition à sortie du territoire, le parquet de Vienne avait ouvert une enquête et lancé un appel à témoins. L’adolescente avait également été inscrite au fichier des personnes recherchées.

 

 

Hôpitaux : les RTT plafonnés à 15 jours par an ?

Hôpitaux : les RTT plafonnés à 15 jours par an ?

Il est clair que les 35 heures ont crée la pagaille dans de nombreux secteurs et en particulier dans les hôpitaux ou la «  production », elle ne peut subir d’arrêt. L’hôpital public veut don assouplir les 35 heures. C’est la proposition que compte faire Frédéric Valletoux, le président Fédération hospitalière de France (FHF), devant les députés ce jeudi 18 septembre au matin, selon Le Parisien. Frédéric Valletoux s’explique: « Une étude que nous avons menée auprès de 151 hôpitaux publics montre que les 35 heures sont devenues un carcan qui a déstabilisé l’hôpital, car les moyens n’ont pas suivi », Et d’ajouter: « Aujourd’hui, on commence par gérer le temps de travail des personnels et, ensuite seulement, on organise la prise en charge des patients.«  Évoquant des « situations très hétérogènes, avec un nombre de RTT qui varie de 0 à plus de 20 par an selon l’établissement », la FHF propose « de plafonner les RTT à 15 jours par an ». Selon Frédéric Valletoux, « cela permettra de dégager 640.000 journées de travail par an, soit 3.200 équivalents temps plein, soit encore 413 millions d’euros ». Cette diminution des RTT serait-elle compensée financièrement? La réponse du Président est claire : « Les hôpitaux n’en ont pas les moyens, ça doit se faire à moyens constants [...] Il faut réduire le temps de travail quotidien, d’un quart d’heure, d’une heure… au choix et réduire parallèlement le nombre de jours de compensation. »

Air France: grève entre le 15 et 18 septembre

Air France: grève entre le 15 et 18 septembre

 

La grève chez Air France sera sans doute assez suivie  entre le 15 et 18 septembre. L’enjeu c’est de protester contre la restructuration de la compagnie. Pour résumer une compagnie qui se recentre pour les vols non  rentables sur se filiales low cost.-( deux à trois fois moins chères), elle devrait prochainement en acquérir encore une autre. Le low cost a gagné la batille du marché en Europe avec près de 40% de parts de marché grâce à des structures et des niveaux de coûts beaucoup plus compétitifs. Le Spaf, deuxième syndicat des pilotes d’Air France, a appelé à son tour vendredi à la grève entre le 15 et le 18 septembre pour défendre les conditions d’emploi des pilotes, menacées selon lui par le plan de réorganisation de la compagnie. Il s’agit du deuxième appel à la grève après le préavis déposé la semaine dernière par le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire, pour la période du 15 au 22 septembre. Subissant de plein fouet la concurrence des champions du low-cost que sont Easyjet et Ryanair sur les vols moyen-courrier, Air France entend créer de nouvelles bases en Europe pour sa filiale à bas coûts Transavia, en dehors de celles déjà existantes en France et aux Pays-Bas ( ). Pour le marché français et Transavia France, les syndicats réclament un contrat de travail unique pour l’ensemble des pilotes d’appareils de plus de 100 places au sein des trois compagnies Air France, Transavia et Hop ! pour les vols régionaux. La direction d’Air France souhaite quant à elle que les rémunérations et conditions de travail des pilotes soient adaptées aux spécificités de fonctionnement de Transavia. « La nouvelle stratégie décidée au plus haut niveau de l’entreprise, sans aucune concertation avec les organisations professionnelles représentatives des pilotes, laisse présager un nouveau passage en force avec la mise en place de mesures qui impacteront fortement les conditions de travail et le périmètre d’emploi des pilotes Air France », écrit le syndicat des pilotes d’Air France (Spaf) dans un communiqué.

 

Hollande veut reporter le 14 juillet au 15, enfin un vrai changement !

Hollande veut reporter le 14 juillet au 15, enfin un vrai changement !

 

Les sceptiques  vont ravaler leur salive sarcastique car Hollande va opérer le plus grand changement depuis son arrivée. Le 14 juillet reporté au 15 à cause du mondial de foot. Une vraie réforme celle-là. En effet pour redorer son blason, Hollande a prévu d’assister à la finale si la France est qualifiée ; il ne pourra pas revenir à temps pour le défilé qui serait alors reporté au 15 juillet. D’après un sondage officieux, les Français ne seraient pas contre sous réserve que le 15 soit auusi un jour férié ; une reforme qui pourrait en déclencher d’autres. Ainsi on parle auusi du report du premier janvier au 2 ou encore d’un décalage de Noel au 26 décembre   . En tout cas Hollande soutient l’équipe de foot. (Sans doute le seul élément qui pourrait faire remontre sa cote si la France va en finale).  «Il faut gagner!» a lancé ce vendredi le président de la République, comme un fan de foot ordinaire. Interrogé par Canal + sur les chances de vaincre la Coupe du Monde au Brésil, François Hollande assure son soutien à l’équipe de France «jusqu’au bout». Au bout, c’est à dire à la finale du 13 juillet dont l’éventuelle victoire, admet le président, compliquerait l’organisation du défilé du 14.  Comme à son habitude, François Hollande ne s’est pas privé de faire une référence à peine voilée à son propre parcours: «Vous avez dit que l’on est à mi-chemin, ce qui compte ce n’est pas le mi-chemin, c’est le bout du chemin, c’est l’arrivée. Ça vaut pour tout !» Sous-entendu: il faudra juger son quinquennat lorsqu’il sera terminé. De  quoi vraiment porter la poisse à l’équipe de France de foot.

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros

Habitat : transition énergétique , un coût de 15 à 30 000 euros 

François Brottes, le président de la commission des Affaires économiques à l’Assemblée nationale les détails relatifs à  la rénovation thermique de l’habitat, qui constitue l’un des défis majeurs des prochaines années. Selon lui, le futur texte aura un triple avantage « Aujourd’hui, c’est très compliqué d’obtenir un « écoprêt ». Il faut devoir faire toutes sortes de travaux, etc. On va simplifier la norme, ce qui peut permettre de gagner du temps et de l’énergie à la sortie », a assuré François Brottes. « On va avoir un système de crédit d’impôt qui va être doublé, donc beaucoup plus attractif », a affirmé le député socialiste. Interrogé sur le manque à gagner pour l’Etat, il a tenu à relativiser. « Quand vous faites un crédit d’impôt pour que les gens fassent des travaux, quand vous faites travailler des entreprises qui vont payer des impôts, qui vont mobiliser de la TVA, qui vont neutraliser du chômage (qui coûte cher à toute la société), vous avez tout de suite des dépenses passives qui se transforment en dépenses actives pour la croissance », a-t-il indiqué. François Brottes a également insisté sur le concept de tiers financeur. Il s’agit en fait de « permettre aux gens d’avoir quelqu’un qui porte le financement à leur place ».  « On peut convaincre les propriétaires. La rénovation thermique, cela coûte entre 15.000 et 30.000 euros par logement. Le tiers financeur porte le financement de cet investissement, et récupère le capital qu’il a investi et les intérêts au moment de la mutation (héritage, vente, etc.) », a-t-il détaillé. « Comme le bien a pris de la valeur, et comme le propriétaire a bénéficié du confort, il est tout de même gagnant. Il faut juste qu’il accepte qu’il y ait un moment de remboursement. Le problème, c’est d’avoir des acteurs tiers financeurs qui portent le financement pendant plusieurs dizaines d’années ».

 

Sondage Hollande : encore en baisse, à 15% !

Sondage Hollande : encore en baisse,  à 15% !

 

Il va descendre jusqu’où ? Il est maintenant à 15% ! En effet La popularité de François Hollande comme de Manuel Valls s’effrite ce mois-ci, seuls 15% des Français ayant une opinion favorable de l’action de président, et 30% de celle du Premier ministre, selon un sondage YouGov pour Le Huffington Post .Le chef de l’Etat recule de 1 point sur un mois, le Premier ministre de 3. 77% des personnes interrogées ont un avis négatif de l’action de François Hollande, 54% de celle de Manuel Valls. 7% sont sans opinion concernant le président de la République, 17% concernant le chef du gouvernement. « Le Premier ministre, s’il reste deux fois plus populaire que le président de la République, n’imprime pour autant toujours pas sa marque de modernité à Matignon », commente YouGov. D’autre part, 16% seulement des sondés (en recul de deux points) portent un jugement favorable sur l’action du gouvernement. 76% émettent un jugement défavorable, 8% n’ont pas d’opinion. « Les élections européennes sont passées par là et les réponses apportées par l’exécutif suite à la défaite des listes du parti majoritaire n’ont manifestement pas convaincu les Français », estime l’institut de sondages. Par ailleurs, l’UMP voit son crédit dans l’opinion faiblir dangereusement à la suite de l’affaire Bygmalion. 26% des Français seulement (-5 points par rapport à mai) jugent que le parti d’opposition est « composé de personnes compétentes ».

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