Archive pour le Tag '- 15%'

Page 6 sur 8

UE : 15 jours pour décider d’une la ligne de crédit spécial

 

Face à la demande de rebondir formuler notamment par Macron et les pays du Sud la réponse de Merkel a été nette : pas question. La chancelière allemande a refusé une nouvelle fois la mutualisation de dettes supplémentaires qui découleraient des gestions laxistes des pays du Sud. La chancelière a renvoyé au dispositif actuel notamment le mécanisme européen de stabilité (MES) qui dans certaines limites permet d’aider les pays en difficulté à gérer leurs problèmes budgétaires.

Les dirigeants européens ont décidé de demander aux ministres des Finances de la zone euro régler sous quinzaine la question de la ligne de crédit spécial qui pourrait être sollicitée auprès du Mécanisme européen de stabilité (MES), le fonds européen de gestion des crises financières et de sauvetage, a-t-on appris jeudi de sources diplomatiques.

Des pays comme l’Italie, la Grèce et l’Espagne demandent à ce la zone euro ne s’épargne aucun effort pour lutter contre les retombées de la crise sanitaire tandis que d’autres pays, Allemagne et Pays-Bas notamment, veulent adopter une ligne plus prudente.

 

15% de terres agricoles en bio d’ici 2022 : même pas la moitié

15% de terres agricoles en bio d’ici 2022 : même pas la moitié

E n dépit d’une demande constante, des problèmes se posent particulièrement à la France d’une part quant à  la capacité de l’offre mais aussi la réalité bio. Sur le plan quantitatif de toute manière, les objectifs ne seront pas atteints. Et quand on va continuer d’apporter une grande partie de produits bio de l’étranger. Dans son plan Ambition Bio 2022, le gouvernement vise 15% de surfaces agricoles utiles cultivées en bio. Deux ans avant l’échéance, la France agricole n’en est qu’à la moitié. Par exemple Au total, 57% des fruits et 25% des légumes bio sont des importations,.

 

Les produits labellisés bios sont absolument partout. Plébiscités par des consommateurs en quête d’une alimentation plus saine et respectueuse de l’environnement, ils connaissent un véritable boom avec une hausse à deux chiffres des ventes depuis plusieurs années, frôlant en 2018 les 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+15,7%). Un bond incontestable, mais qui ne se fait pas sans heurts, notamment en amont de la filière.

Car si 20 fermes se convertissent tous les jours à ce mode de production sans pesticides selon l’Agence Bio, la production a du mal à suivre. Et les objectifs du gouvernement pour développer les terres bios tricolores et accompagner la demande en produits AB sont loin d’être tenus. C’est en tout cas le constat fait par plusieurs sénateurs, dans un rapport rendu public mercredi sur les financements publics consacrés à l’agriculture

TechnipFMC : 2 milliards de déficits mais un bonus de 15 millions pour le patron

TechnipFMC : 2 milliards de déficits mais un bonus de 15 millions pour le patron

 

On voudrait encourager l’incompétence qu’on ne s’y prendrait pas autrement en effet la société TechnipFMC (qui opère dans le pétrole) a accordé plus de 15 millions de bonus pour le départ de son patron au même moment où l’entreprise enregistrait  un déficit de près de 2 milliards (). Il s’agit évidemment aussi d’une provocation vis-à-vis de la justice sociale. Le problème n’est pas nouveau dans la mesure où la plupart des patrons sont passés du statut de dirigeant salarié à celui de dirigeant actionnaire. D’un certain point de vue,  ces dirigeants sont plus proches des actionnaires que de l’intérêt des entreprises et des salariés. Souvent poussé par les fonds de pension et autres les entreprises privilégient les résultats de court terme et leur propre intérêt jusqu’à ce que cela mette en péril l’existence même de l’entreprise. Les salaires sont déjà indécents mais les bonus scandaleux d’autant que la plupart du temps les patrons n’ont pas mis un sou dans l’entreprise mais qu’ils ont hérité de stock-options. On objectera que le phénomène est mondial que bien souvent d’ailleurs dans les pays étrangers les dirigeants ont des revenus encore plus importants. Encore une fois l’objectif de cette dérive vise à rendre les patrons de plus en plus solidaires avec les actionnaires. Bien entendu on conviendra qu’il n’est pas anormal que les dirigeants compétents soient bien rémunérés mais cela dans des conditions décentes par rapport au concept de justice sociale et même d’efficacité économique. Il conviendrait sans doute d’envisager un système plus équilibré de répartition des richesses de l’entreprise de sorte que le les bénéfices soient affectés de manière équitable entre les actionnaires, les investissements et les salariés. On fera observer que dans les grandes entreprises qui accordent de telles rémunérations les salariés ne sont pas forcément mal payés. Mais le problème c’est que ces entreprises ont sous-traité une grande partie de leurs activités à des PME ou  les employés sont plutôt nettement moins bien traités.

Biodiversité : 15% des espèces de flore sauvage menacées

Biodiversité : 15% des espèces de flore sauvage menacées

La flore de France métropolitaine est menacée par les activités humaines. 15% des espèces risquent de disparaître, révèle l’Union nationale pour la conservation de la nature (UICN).Selon les critères de la liste rouge de l’Union nationale pour la conservation de la nature (UICN), 15% des espèces de flore sauvage de France métropolitaine, soit 750 plantes à fleurs ou fougères, sont menacées de disparition, une « situation préoccupante », principalement liée aux activités humaines.  Fougères, plantes à graines ou à fleurs, conifères: c’est la première fois que le risque de disparition de l’ensemble de la « flore vasculaire » (qui possède des vaisseaux permettant la circulation de la sève, ce qui exclut les mousses et les algues) est évaluée en métropole selon les critères de la liste rouge de l’Union nationale pour la conservation de la nature (UICN). Pendant plus de trois ans, 4.982 de ces espèces indigènes sauvages recensées en France ont fait l’objet d’un « examen approfondi » de la part de dizaines de botanistes. Résultat: 742 espèces, soit 15% d’entre elles, « encourent un risque de disparition », classées menacées ou quasi-menacées, selon le communiqué commun de l’UICN-France, du Muséum national d’Histoire naturelle, de l’Agence française pour la biodiversité et des Conservatoires botaniques nationaux. Et 97 d’entre elles sont endémiques à la métropole française, c’est-à-dire qu’on ne les trouve nulle part ailleurs au monde.

« Cela fait plusieurs dizaines d’années qu’on constate la régression de la flore sauvage dans le pays. Ça confirme ce que tout le monde avait ressenti sur le terrain », indique Frédéric Hendoux, directeur du Conservatoire botanique national du Bassin parisien.

« Ce qui est inquiétant avec la flore, c’est que les espèces végétales sont à la base de tous les écosystèmes (…). Quand une espèce végétale disparaît, il y a des réactions en chaîne sur le reste du vivant, en particulier les insectes, souvent étroitement liés à certaines espèces », poursuit-il.

Cette première liste rouge de la flore sauvage métropolitaine compte 51 espèces en « danger critique ». Comme la Saxifrage de Gizia endémique du Jura, avec ses fleurs blanches ou jaunâtres à l’odeur musquée, ou le Panicaut vivipare, victime de la disparition des milieux humides du Morbihan où pousse cette petite plante à fleurs bleues. Comme 132 espèces, l’astragale de Marseille, typique des garrigues littorales, est classée « en danger », en raison notamment de la surfréquentation du bord de mer. La pivoine mâle, avec ses fleurs roses remarquables qui fleurissent une semaine par an dans les sous-bois, est elle « vulnérable », en raison notamment de la déforestation.

Au total 312 espèces sont, comme cette fleur convoitée des collectionneurs, classées « vulnérables ». Et 321 sont « quasi-menacées », comme l’adonis couleur de feu, l’anémone sauvage ou encore la linaire effilée, autrefois répandue dans les champs des Landes et de Gironde mais décimée par les herbicides.

Et 24 autres sont d’ores et déjà éteintes ou ont disparu de métropole, comme l’endémique violette de Cry, qui n’a plus été observée depuis 1927. Sans surprise, le premier responsable de cette « situation préoccupante » est l’être humain.

Gafa : 15 milliards de chiffres d’affaires et seulement 50 millions d’impôts

Gafa : 15 milliards de chiffres d’affaires et seulement 50 millions d’impôts

Les grands du numérique réalisent de l’ordre  15 milliards de chutes d’affaires en France mais ne paie qu’un impôt dérisoire de l’ordre de 50 millions et encore pas tous. D’où la proposition de la France d’imposer de manière forfaitaire le chiffre d’affaires  sur la base de 3 %. Du coup on ferait passer l’impôt de 50 millions à 500 millions soit 10 fois plus. Une proposition française mollement soutenue par l’union européenne et en particulier par l’Allemagne qui craint des mesures de rétorsion sur l’industrie automobile. Du coup, la France envisagerait de décider seule d’une taxation. La plupart des grands du numérique échappent à l’impôt parce que leur chiffre d’affaires est supposé réalisé à partir de pays à la fiscalité insignifiante. Certains Gafa qui font du business en France n’ont même pas de filiale française. Il y a là évidemment une distorsion de concurrence avec les entreprises françaises cela d’autant plus que ces plates-formes favorisent le développement de produits étrangers ou mettent en tutelle les producteurs français.

Aix-politique gouvernementale : attendre 15 ou 20 ans ! (Philippe)

Aix-politique gouvernementale : attendre 15 ou 20 ans ! (Philippe)

Avec un certain humour mais aussi un certain culot Philippe a développé son discours sur la méthode et en a profité pour faire fait son propre éloge lors des journées économiques d’Aix en Provence. Il a conclu en affirmant qu’il faudrait attendre 15 ou 20 ans pour voir les effets concrets de la politique gouvernementale. Ce décalage de l’évaluation dans le temps, témoigne peut être des doutes du Premier ministre que traduisent des sondages.  «Dans ce monde qui est marqué à son commencement par la colère, ce qui paye in fine, ce qui assure et la gloire et le succès, c’est la ténacité», a assuré le chef du gouvernement, alors que l’exécutif subit actuellement une baisse dans les sondages. Une colère «potentiellement dévastatrice», a-t-il même indiqué. Avant d’ajouter, plus grave, voire de prévenir: «le monde qui vient est un monde dangereux pas seulement sur le mode de la remise en cause du multilatéralisme et des guerres économiques. C’est aussi un monde dangereux tout court. Et dans un monde dangereux tout court, il est préférable d’être stable sur ses appuis et préparé».  Et pour se faire, Édouard Philippe n’a pas, de son propre aveu, 40 options. Il faut «regarder avec lucidité la situation du pays telle qu’elle est», une situation qu’il ne juge «pas réjouissante». Avant, là encore, d’expliciter: «C’est un pays dans lequel depuis très longtemps, il y a eu une forme de renoncement à prendre des décisions parfois difficiles à assumer, parfois difficiles à expliquer». Le constat du chef du gouvernement est d’ailleurs sans appel. Pour lui, le modèle français est «un système extrêmement ambitieux en termes de solidarité (…) mais dont on ne peut pas dire que les effets et l’efficacité sont au rendez-vous», avant de citer, en exemple de ce modèle inefficace selon lui, «une école qui ne fonctionne pas comme elle devrait fonctionner». D’où «la division par deux des classes de CP et CE1», mesure du programme du président Macron qu’il a citée deux fois au cours de sa courte prise de parole dont Edouard Philippe est persuadé qu’elle portera ses fruits mais dont il faudra attendre «15 ou 20 ans pour véritablement en voir les effets» concrets.

Alors, pour convaincre, et parce qu’on vit en démocratie et qu’il est naturel -«et c’est tant mieux», a-t-il deux fois insisté- que les gens n’aient pas les mêmes avis ou les mêmes perceptions, il faut «expliquer» la politique menée. «Et quand vous avez fini, il faut recommencer», a-t-il ajouté,

Notre-Dame-des-Landes : 15 projets validés

Notre-Dame-des-Landes : 15 projets validés

Finalement l’Etat aura longtemps hésité entre la guerre à NNDL et la paix des champs ; Finalement, une fois les passions politiques retombées, on a bien été contraint d’admettre que le mieux c’est de rendre la terre à ceux qui veulent la cultiver. Ainsi 15 projets ont été approuvés et 6 sont en cours d’études. D’une certaine manière c’est une défaite pour ceux qui n’ont pas digéré l’annulation du projet aéroport et qui voulait se venger  sur les zadistes écolos gauchos. Inévitablement, cette question devait se réguler d’elle-même. Les zadistes radicaux peu   intéressés par les travaux agricoles sont partis, ne restent que quelques dizaines de zadistes qui veulent expérimenter des projets agricoles et sociétaux.  La surface occupée est assez modestes : 140 hectares sur 1500 qui étaient destinés à l’aéroport nouveau.   Après avoir annoncé en janvier l’abandon du projet de construction d’un nouvel aéroport sur cette commune, le gouvernement a donc ouvert la voie au maintien sur le site de personnes menant une activité et s’inscrivant dans “une démarche de retour à l’Etat de droit”. “Aujourd’hui, l’Etat a signé des conventions d’occupation précaire avec 15 porteurs de projet agricole pour une surface de 140 hectares”, peut-on lire dans un communiqué de la préfecture. Il s’agit, dans le détail, de projets d’élevages ovins et bovins, de maraîchage, de cultures céréalières, d’herbes aromatiques et de plantes médicinales. Des projets de pépinière, de production de semences potagères et d’apiculture ont aussi été validés. L’examen se poursuit pour six autres projets, précise encore la préfecture.

Bure : 500 gendarmes pour évacuer 10 à 15 pèlerins !

Bure : 500 gendarmes pour évacuer 10 à 15 pèlerins !

 

Une grosse opération médiatique mais une opération policière anecdotique. En effet le pouvoir, sans doute pour se dédouaner vis-à-vis de Notre Dame des Landes, a sorti les grands moyens pour virer sans ménagement la dizaine de contestataires vivant près d’un bois à Bure.  500 gendarmes ont ainsi mobilisé pour repousser un ennemi composé d’une dizaine d’écolos. Encore heureux qu’on n’est pas mobilisée l’aviation, l’artillerie ou la bombe nucléaire.  Bien entendu la problématique de Bure  reste en l’état et la grande question se pose toujours concernant le débat des conséquences de l’enfouissement de déchets nucléaires particulièrement dangereux à 500 m sous terre et pour 100 000 ans ! Un débat que semblerait d’ailleurs souhaiter Nicolas Hulot interpeller à l’Assemblée nationale avec à l’appui une affiche une photo le représentant en train de manifester contre le site de Bure Résultats, Quinze personnes ont dû quitter les lieux après un contrôle d‘identité. Sept personnes ont été placées en garde à vue à la suite de l’évacuation. Le directeur de l‘Observatoire du nucléaire, organisme indépendant de surveillance de l‘industrie, a jugé “absurde” et “démesurée” l‘opération de police, dans une interview à Reuters. “C‘est une opération militaire absurde dans la mesure où les études montrent que ce projet d‘enfouissement de déchets radioactifs est infaisable et que techniquement et industriellement il est impossible à réaliser”, a déclaré Stéphane Lhomme. Il voit dans cette opération “une gesticulation à des fins politiques nationales pour peut-être reprendre la main après avoir été obligé de reculer sur l‘aéroport de Notre-Dames-des-Landes”.

15 ministres pas plus (promesse de Macron)…il y en a 31

15    ministres pas plus (promesse de Macron)…il y en a 31

 

Pendant sa campagne Macron avait annoncé qu’il voulait limiter le nombre de ministres en vue d’assurer une plus grande cohérence dans la conduite des affaires du pays. 15 ministres avait-il dit. Aujourd’hui on  compte 31 ministres et secrétaires d’État, autant dire autant que dans certains gouvernements antérieurs. 31 ministres c’est évidemment deux fois de trop d’autant plus que certains secrétaires d’Etat dont double emploi  avec la responsabilité d’un ministre. « Je constituerai un gouvernement de 15 membres maximum, très ramassé, avec des personnes de la société civile et des personnes du monde politique venant de la gauche, du centre, de la droite. » La promesse d’Emmanuel Macron, faite le 12 mars 2017 sur le plateau de TF1, semble aujourd’hui lointaine : s’il fait effectivement toujours la part belle à la société civile et dépasse les clivages traditionnels, le nouveau gouvernement nommé vendredi compte aujourd’hui 31 membres, 19 ministres (dont trois ministres délégués) et 12 secrétaires d’Etat. Deux nouveaux membres viennent ainsi s’ajouter à l’équipe nommée en juin après les législatives. Le gouvernement Philippe I, resté en place un mois entre la présidentielle et le scrutin de juin, comptait pour sa part 18 ministres et 4 secrétaires d’Etat. Au fil du temps, l’exécutif s’est donc fait de moins en moins « ramassé »…

21 jours de maladie pour les fonctionnaires territoriaux, 15 jours dans le privé

21 jours de maladie pour les fonctionnaires territoriaux, 15 jours dans le privé

21 jours de maladie en moyenne pour la territoriale contre environ 15 jours pour les salariés du privé. En outre d’après une  étude de Sofaxis, courtier en assurance auprès des collectivités territoriales et des établissements de santé, en  2016, les arrêts-maladies des fonctionnaires employés dans les collectivités territoriales ont clairement progressé. Cumulées sur l’année, ces absences représentent 9,5% de l’effectif contre 9,3% un an plus tôt, selon une étude parue mercredi 15 novembre cette étude de Sofaris, courtier en assurance auprès des collectivités territoriales et des établissements de santé. Incroyable Comme en 2015, 44% des agents ont été absents au moins une fois, dont 75% pour une maladie ordinaire. Un peu plus d’un arrêt déposé sur cinq se limite à un ou deux jours et 59% ont été inférieurs à sept jours. Le coût moyen des absences pour raisons de santé s’est élevé à 2.099 euros par agent employé, un coût direct qui a aussi des effets indirects sur l’organisation quotidienne des collectivités, souligne la dernière étude. Parallèlement au vieillissement des agents, la durée du travail a augmenté, suite aux dispositions réglementaires liées aux dernières réformes des retraites.  Les agents territoriaux occupent à 77% des postes de catégorie C (la plus modeste) dans les métiers techniques, physiquement et psychologiquement exigeants (activité de maintenance de locaux, nettoyage, entretien des espaces verts, surveillance scolaire et périscolaires…). Alors que l’âge de départ à la retraite est de 62 ans, il est de 55 à 57 ans pour ces catégories dites « actives », mais le cadre règlementaire contribuant à l’allongement du temps de travail, une part croissante des agents de 60 ans et plus vont continuer d’être employés, avec « un risque d’usure professionnelle » souligne l’étude !!!

.

L’Etat vend 4,15% du capital d’Engie

L’Etat  vend  4,15% du capital d’Engie

 

L’État a choisi Engie dans la branche énergie pour vendre  un peu plus de 4 % capital d’Engie. Progressivement l’État ce désengage de cette entreprise  pour ne plus contrôler qu’environ 25 %. Évidemment il n’a pas été envisagé de vendre des participations dans Edf dont la situation financière est catastrophique est dont  l’action a perdu 90 % de sa valeur. À l’inverse, Engie est sur la voie d’un net redressement. Engie a accusé en 2016 une perte nette de 400 millions d’euros après une perte de 4,6 milliards en 2015. Le producteur et fournisseur de gaz et d’électricité a été une nouvelle fois pénalisé par des dépréciations d’actifs liées aux prix de l’énergie en Europe. Son résultat net récurrent part du groupe a par ailleurs reculé de 4,3% à 2,5 milliards d’euros. L’Ebitda a atteint 10,7 millions d’euros, en baisse de 5,2%. En organique, le repli est de 2,7%. Le chiffre d’affaires est ressorti à 66,6 milliards, en baisse de 4,6% (-4% en organique). Ces chiffres sont conformes à « la guidance » 2016. Engie a indique que la génération de cash était restée très soutenue à 9,7 milliards d’euros permettant une poursuite de la réduction de la dette nette. Les programmes de rotation de portefeuille et d’investissements atteignent respectivement 8 milliards d’euros de cessions à ce jour soit plus de 50 % de l’objectif à fin 2018, et 4,7 milliards d’euros d’investissements de croissance en 2016. Le programme de performance  » Lean 2018  » est en avance par rapport à sa feuille de route 2016. Le groupe décide d’accélérer sa mise en œuvre en révisant ses objectifs de 20 % à la hausse (1,2 milliard d’euros de gains nets à horizon 2018). En 2017, Engie prévoit un résultat net récurrent part du groupe compris entre 2,4 et 2,6 milliards d’euros qui marque une accélération de la croissance organique portée par ses moteurs de croissance.  L‘Agence des participations de l‘Etat (APE) a annoncé mardi soir la clôture d‘une opération de cession de 4,15% du capital d‘Engie pour 1,53 milliard d‘euros, notamment via un placement accéléré auprès d‘investisseurs institutionnels. L‘Etat a placé 4,1% du capital du producteur et fournisseur de gaz et d’électricité, soit 99,9 millions d‘actions, auprès d‘institutionnels, à 13,80 euros par action, a précisé l‘APE. Il a vendu en parallèle 11,1 millions d‘actions, soit 0,46% du capital, qui seront proposées ultérieurement aux salariés et anciens salariés du groupe, au même prix par action, soit un montant total de 153 millions d‘euros. “Cette cession de titres s’est déroulée dans de très bonnes conditions pour les intérêts patrimoniaux de l’Etat. Elle constitue la première étape du plan de cessions d’actifs pour un montant de 10 milliards d’euros”, a déclaré par la suite le ministre de l‘Economie et des Finances.

Macron législatives, un raz-de-marée avec 15 % des voix !

Macron législatives, un raz-de-marée avec 15 % des voix !

 

 

En termes d’élus ce sera un véritable ras de marée pour en marche avec sans doute plus de 400 députés sur 577. Autant dire que les autres partis sont réduits à pas grand-chose hormis les Républicains. Pourtant par rapport aux inscrits la république en marche ne recueille qu’un peu plus de 15 % des voix. Le résultat de la logique du mode de scrutin. Un scrutin majoritaire qui favorise les candidats arrivés en tête. L’énorme victoire de la république en marche est juridiquement indiscutable mais pose évidemment la question politique de la représentativité réelle des élus. En cause évidemment la très grande fatigue des électeurs après une période d’élection qui aura duré environ un an, des primaires qui auront fini en eau de boudin,  des programmes le plus souvent surréalistes  et des candidats aux présidentielles au profil croquignolesque ( Hamon, Fillon, Le Pen, Mélenchon et autres petits candidats exhibitionnistes pas même capables de se faire élire député ). Plus fondamental encore le doute sur la capacité des politiques à réellement réformer  le pays pour l’inscrire dans une dynamique économique capable de résoudre le chômage. En pourcentage des électeurs inscrits, le grand vainqueur de ce premier tour de scrutin, LREM / Modem n’obtient « que » 15,4%. Et, bien entendu, c’est pire pour les autres familles politiques : LR /UDI 10,3% ; FN 6,3% ; La France Insoumise 5,3% et PS et ses alliés…4,5%. La domination « écrasante » des soutiens à Emmanuel Macron est donc à relativiser dans ce contexte. Certes, en raison des règles du scrutin, LREM et ses alliés du MoDem devraient se retrouver avec une majorité absolue de députés littéralement écrasante. Pour autant, on ne peut parler de véritable vote massif d’adhésion mais plutôt d’un vote de raison voire de résignation. Macon triomphe grâce à son programme et à sa personnalité mais surtout en raison de la nullité de ses opposants. Autant d’éléments qui expliquent l’ampleur de l’abstention.

Le coût automobile : 15% du budget et un minimum d’environ 50 centimes du km

Le coût  automobile : 15% du budget et un minimum d’environ 50 centimes du km

 

 

 

 

Il est coutume de ne retenir souvent que le prix du carburant pour apprécier le coût d’un déplacement en automobile. Il faut évidemment prendre en compte tous les coûts notamment l’amortissement, l’entretien, assurance. Les sommes consacrées à automobile sont très importantes : 15% du budget des ménages, en moyenne c’est 3500 euros par an. Mais il y a beaucoup de dispersion autour de cette moyenne en fonction des types de véhicules. Une étude de l’Argus, qui compile ce que coûtent 1500 modèles vendus en France pour chaque kilomètre parcouru, peut se révéler précieuse pour choisir sa nouvelle voiture.  La Dacia Sandero reste championne toutes catégories des voitures les moins chères à l’usage. Son prix de revient kilométrique (PRK) passe de 0,53 €/km à 0,47 € en 2017. La Suzuki Celerio et sa grande sœur la Dacia Logan sont également en tête du classement. Un véhicule très compétitif qui s’explique, selon le magazine, par les crédits-auto très bas. En outre, ces véhicules consomment toujours moins de carburant et les prix à la pompe restent relativement bas en 2016.A l’inverse, le BMW Série 5 Gran Turismo est le véhicule le plus cher à l’utilisation. Pour 15.000 km parcourus, il coûte 5,02 euros par kilomètre durant la première année de sa détention. Cela s’explique par son prix d’achat élevé dans sa catégorie et son moteur à essence gourmand, combinés à sa faible valeur de revente. Autre enseignement de cette étude, les véhicules à essence reviennent en grâce aux yeux des acheteurs au détriment du diesel. Si les véhicules diesel représentent encore 52,1 % des ventes en 2016, les ventes sont en baisse de 5,1%. «Le scandale du diesel a provoqué une véritable prise de conscience des acheteurs. Mais pas seulement. Les nouvelles motorisations à essence ont aussi gagné en sobriété, réduisant ainsi l’écart avec les blocs diesels», expliquent les auteurs de l’étude. Enfin, les voitures d’occasion qui roulent au diesel ne se revendent plus aussi bien qu’avant. Si un diesel consomme toujours moins qu’un moteur à essence, sa rentabilité ne se calcule pas seulement en fonction du prix à la pompe. L’amortissement d’un diesel dépend surtout du kilométrage annuel parcouru. En deçà de 20.000 km annuels, il ne présente plus de véritable avantage financier par rapport à un véhicule équipé d’une motorisation à essence de dernière génération, moins énergivore. En revanche, la question est tout autre pour les gros véhicules et les automobilistes qui roulent plus de 25.000 km par an.

Fillon veut 15 ministres « compétents » : où ? À pôle emploi ?

Fillon veut  15 ministres « compétents » : où ? À pôle emploi

 

François Fillon veut réduire de manière drastique le nombre de ministres à une quinzaine, en outre il les veut compétents. Dés lors,  on se demande où il va bien les recruter. À pôle emploi peut-être ? Il est clair en tout cas qu’il aura des difficultés à trouver les qualifications souhaitées dans le personnel politique actuel pour l’essentiel presque tous des fonctionnaires ou des apparatchiks qui vivent de la politique depuis des années. C’est bien le drame de l’impuissance du monde politique. D’ailleurs François Fillon n’exclut pas de recruter des personnalités de la société civile.  S’inscrivant en faux contre ceux qui disent que des ministres de la société civile ont des difficultés en politique car ils ne connaissent pas les codes, le député de Paris a cité plusieurs noms de personnalités de droite et de gauche qui ne venaient pas au départ du monde politique comme André Malraux, Georges Pompidou, Pierre Messmer, Raymond Barre, René Monory, Simone Veil à droite, Robert Badinter, Hubert Curien et Claude Allègre à gauche. « J’ai été pendant 25 ans spécialiste des questions militaires et on m’a nommé aux affaires sociales », a-t-il dit, rappelant qu’il avait exercé cette fonction sous Jacques Chirac, dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Celui que les sondages placent en troisième position dans la primaire a égratigné ses concurrents en leur reprochant de ne pas aller assez loin dans l’allongement du temps de travail pour les fonctionnaires (il propose 39 heures par semaine) et dans la baisse des charges sur d’autres salaires que les plus bas de l’échelle. Il a dit accepter qu’on le qualifie de « Thatchérien », reconnaissant le mérite de Margaret Thatcher d’avoir « redressé » la Grande Bretagne pendant son passage au 10 Downing Street.

(Avec RTL)

Terrorisme: Un mineur de 15 ans soupçonné!

Terrorisme Un mineur de 15 ans  soupçonné!

De plus en plus fou, après les femmes : les enfants. L’État islamiste ira bientôt chercher ses candidats au suicide dans les écoles maternelles. Cette fois c’est un mineur de 15 ans soupçonné de préparer « une action violente » imminente et connu des services de renseignement français a été arrêté samedi à Paris, deux jours après l’interpellation d’un commando de femmes djihadistes en Ile-de-France, a-t-on appris dimanche de source judiciaire. On se demande bien quel peut-être le niveau de connaissances théologiques (de connaissances de court)  de l’intéressé qui justifie de projeter l’assassinat d’innocents. Le suspect, qui était entendu à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret, près de Paris, a été interpellé dans le 12e arrondissement de la capitale. Il était assigné à résidence depuis 2015 dans le cadre de l’état d’urgence instauré après les attentats du 13 novembre, a-t-on précisé de même source. Il projetait de commettre un attentat dans un lieu public à Paris, indique une autre source judiciaire. Selon les deux sources, l’adolescent était en lien avec Rachid Kassim, un Roannais de 29 ans, membre présumé du groupe Etat islamique (EI), qui aurait « téléguidé » l’une des trois jeunes femmes du commando. Le Français est très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur le réseau crypté Telegram, où il diffuserait régulièrement des appels au meurtre. Il aurait inspiré Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, les meurtriers du père Jacques Hamel le 26 juillet dernier à Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime). « Des femmes, des sœurs passent à l’attaque. Où sont les frères? », écrit Rachid Kassim sur Telegram, selon un extrait cité par Le Monde. (Avec Reuters)

1...45678



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol