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Covid France vendredi 15 avril 2022 : encore +137.342 cas en 24h.

Covid  France vendredi 15 avril 2022 : encore +137.342 cas  en 24h.

Jeudi 14 avril 2022 : on enregistre encore plus 137 342 cas en 24 heures ,143.910 morts au total, +133 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.626 (+10) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 115.284 (+123 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 1,01 le taux d’incidence à 1.383,36 et la tension hospitalière à 32,6 %. Le taux de positivité est à 33,4 %.

La France compte actuellement 24.828 (+50) personnes hospitalisées et 1.648 (-2) malades en réanimation.

Selon les données de Santé Publique France, Découvrez le bilan des différentes régions françaises et leur évolution :

  • Ile-de-France : 4.931 (-44) hospitalisées, 424 (+15) en réanimation et +22 décès en 24h
  • Grand Est : 2.230 (-25) hospitalisés, 137 (-3) en réanimation et +10 décès en 24h
  • Hauts de France : 2.414 (+47) hospitalisés, 159 (+4) en réanimation et +12 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.436 (-1) hospitalisés, 130 (-5) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.256 (-10) hospitalisé, 172 (+6) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Bretagne: 1.297 (+11) hospitalisés, 62 (+3) en réanimation et +10 décès en 24h
  • Normandie : 1.720 (+6) hospitalisés, 72 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.754 (-2) hospitalisés, 116 (-6) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 921 (0) hospitalisés, 52 (-4) en réanimation et +14 décès en 24h
  • Occitanie: 2.124 (0) hospitalisés, , 166 (-16) en réanimation et +13 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 1.020 (+55) hospitalisés, 60 (+3) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 1.079 (+8) hospitalisés, 62 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h

 

 

Coronavirus: confinement jusqu’au 15 avril, pour quoi faire ?

Coronavirus: confinement jusqu’au 15 avril, pour quoi faire ?

 

 

Le confinement a surtout pour objectif d’étaler la pandémie dans le temps d’éviter la paralysie des établissements hospitaliers. Cette mesure ne changera cependant pas sans doute le nombre probable d’infectés au total. On prévoit que de l’ordre de 50 % la population sera touchée par le virus. Une grande partie sera symptomatique et ressentira rien. Une autre partie manifestera quelques symptômes secondaires enfin une minorité très faible enregistrera des conséquences graves surtout les populations présentant par ailleurs des pathologies qui affectent les capacités d’autodéfense.

On s’attendait évidemment à cette décision du Premier ministre mais pourquoi jusqu’au 15 avril. Sans doute pour ménager l’opinion publique qui en ce moment est en train de se retourner contre un gouvernement particulièrement hésitant et contradictoire. Cette mesure n’a de sens que si parallèlement est mise en place une stratégie de traitement radical des populations suspectes. Ce qui suppose évidemment des masques, des appareils respiratoires, des tests et surtout du personnel. Or le gouvernement et Macron en particulier ont déclaré un état de guerre mais sans en prendre les moyens. Notons que vient d’imposer à General Motors de fabriquer des appareils respiratoires.

La France elle n’a pris encore aucune mesure de réquisition des entreprises ou des personnels. L’action de Macron se limite surtout à multiplier les discours. Sans parler de ce premier ministre qui a commis un acte criminel en autorisant le premier tour des municipales qui a favorisé la contamination.  “Il est clair que nous ne sommes qu’au début de la vague épidémique” qui a “submergé le Grand-Est” et qui arrive désormais en Ile-de-France et dans les Hauts-de-France, a déclaré le chef du gouvernement à l’issue d’un conseil des ministres à l’Elysée, le deuxième en une semaine. Il y a longtemps que la vague épidémique à commencer et il y a longtemps que le gouvernement aurait dû prendre des mesures d’urgence. »Trop  peut, trop tard » pourrait résumer l’action du gouvernement qui aura attendu plus d’un mois fournir de simples masques.

L’action très spectaculaire qui consiste à transporter par avion par TGV quelques malades graves d’une région à une autre révèlent l’inconsistance de la stratégie de lutte de la part de l’État.  Ce transfert de malades n’a guère de sens puisqu’il ne porte que sur quelques unités ( alors qu’on compte 30 000 infectés officiels) et que de toute façon les régions réceptrices vont aussi connaître la propagation de la pandémie de la population locale. Ce qu’il faut, c’est ouvrir des lits dans les régions touchées, avec évidemment du matériel et du personnel et en réorganisant notamment un système sanitaire complètement cloisonné.




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