Archive pour le Tag '1400'

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

Les pays en développement ont payé un montant record de 1.400 milliards de dollars pour le service de leur dette extérieure en 2023, en raison des taux d’intérêt très élevés, selon un rapport de la Banque mondiale publié mardi.

Parmi ces pays, « les plus pauvres et vulnérables » ont déboursé un montant record de 96,2 milliards de dollars pour le service de leur dette, dont près de 35 milliards pour les seuls coûts d’intérêt. Un record également. Ces pays sont ceux éligibles à un prêt de l’Association internationale de développement (IDA), l’agence de la Banque mondiale qui prête aux pays les plus pauvres.

La Banque mondiale  indique que le taux payé sur les prêts des créanciers officiels a doublé pour atteindre plus de 4%. Les taux appliqués par les créanciers privés ont été encore pires, atteignant 6%, au plus haut depuis 15 ans.

Retraites moyennes: autour de 1400 euros

Retraites moyennes: autour de 1400 euros


D’après une étude de la Drees, Le montant moyen des pensions tourneraient autour de 1400 € net en 2021 ( Il y a évidemment beaucoup d’écarts autour de cette moyenne).

Les retraites constituent le premier poste de dépenses de la protection sociale , avec 338 milliards d’euros de pension versés en 2021.

Le nombre de retraités continue d’augmenter. Avec 722.000 nouveaux retraités en 2021, les différents régimes français totalisaient pratiquement 17 millions de pensionnés, soit 90.000 de plus en un an. En additionnant les réversions (versées aux veuves le plus souvent), un peu plus de 18 millions de personnes touchaient une pension de retraite fin 2021.

L’âge médian des retraités de droit direct augmente. Il atteignait 73 ans et 2 mois en 2021, contre 72 ans et 8 mois en 2020.

Dans le détail, il est de 73 ans et 5 mois pour les femmes et de 72 ans et 5 mois pour les hommes. « Les bénéficiaires d’une pension de droit direct qui ont entre 70 et 74 ans fin 2021 sont les plus nombreux, notamment car il s’agit des générations du baby-boom », explique la Drees. Ils représentent ainsi 23 % de l’ensemble des retraités de droit direct.

Fin 2021, l’Agirc-Arrco compte 13 343 000 retraités, dont 5 200 ayant-droits orphelins. Le nombre de retraités Agirc-Arrco est en hausse de 1,1% par rapport à 2020.

Des Chiffres qui recoupent ceux de l’Agirc-Arrco

En 2021, la pension moyenne tous régimes des retraités de droits directs à l’Agirc-Arrco est de 1 493 € par mois, et la pension Agirc-Arrco représentent un tiers de la pension totale, soit 491 €.

Plus d’un tiers des retraités Agirc-Arrco est poly-pensionné, ces retraités perçoivent une pension Agirc-Arrco et d’un autre régime (Ircantec, CNAVPL…).
.

Pensions moyennes: autour de 1400 euros

Pensions moyennes: autour de 1400 euros


D’après une étude de la Drees, Le montant moyen des pensions tourneraient autour de 1400 € net en 2021 ( Il y a évidemment beaucoup d’écarts autour de cette moyenne).

Les retraites constituent le premier poste de dépenses de la protection sociale , avec 338 milliards d’euros de pension versés en 2021.

Le nombre de retraités continue d’augmenter. Avec 722.000 nouveaux retraités en 2021, les différents régimes français totalisaient pratiquement 17 millions de pensionnés, soit 90.000 de plus en un an. En additionnant les réversions (versées aux veuves le plus souvent), un peu plus de 18 millions de personnes touchaient une pension de retraite fin 2021.

L’âge médian des retraités de droit direct augmente. Il atteignait 73 ans et 2 mois en 2021, contre 72 ans et 8 mois en 2020.

Dans le détail, il est de 73 ans et 5 mois pour les femmes et de 72 ans et 5 mois pour les hommes. « Les bénéficiaires d’une pension de droit direct qui ont entre 70 et 74 ans fin 2021 sont les plus nombreux, notamment car il s’agit des générations du baby-boom », explique la Drees. Ils représentent ainsi 23 % de l’ensemble des retraités de droit direct.

Fin 2021, l’Agirc-Arrco compte 13 343 000 retraités, dont 5 200 ayant-droits orphelins. Le nombre de retraités Agirc-Arrco est en hausse de 1,1% par rapport à 2020.

Des Chiffres qui recoupent ceux de l’Agirc-Arrco

En 2021, la pension moyenne tous régimes des retraités de droits directs à l’Agirc-Arrco est de 1 493 € par mois, et la pension Agirc-Arrco représentent un tiers de la pension totale, soit 491 €.

Plus d’un tiers des retraités Agirc-Arrco est poly-pensionné, ces retraités perçoivent une pension Agirc-Arrco et d’un autre régime (Ircantec, CNAVPL…).
.

Environnement : un appel de 1400 chercheurs

Environnement : un appel de 1400 chercheurs

 A quelques semaines de l’élection présidentielle, 1 400 scientifiques, climatologues, géographes, sociologues, philosophes, historiens, océanographes, astrophysciens, mathématiciens et économistes, venus de toute la France, s’inquiètent, dans cette tribune publiée mardi 1er février sur franceinfo, de « l’absence de débat démocratique (…) sur les graves bouleversements en cours et à venir ».

Si l’importance des questions climatiques et environnementales est aujourd’hui unanimement reconnue, le sujet est très peu abordé dans les grands-messes politiques, comme l’ont illustré les débats du congrès Les Républicains ou l’interview d’Emmanuel Macron sur TF1 fin décembre. Mi-janvier, une tribune de journalistes spécialistes de l’environnement et un collectif d’experts de l’énergie et du climat en faisaient déjà l’amer constat. Or, le prochain président ou la prochaine présidente de la République devra prendre des décisions importantes face à ces bouleversements. « Les électeurs et électrices ont besoin de connaître les propositions des candidats et des candidates à l’élection présidentielle, et leurs conditions de mise en œuvre », estiment les signataires de cette tribune. Ils s’expriment ici librement.


Scientifiques issus de différentes disciplines, nous observons, analysons et anticipons les changements environnementaux en fonction des choix socio-économiques, tentons de déterminer leurs conséquences et d’évaluer la pertinence des actions envisagées.

 

« Quels que soient nos opinions politiques et nos engagements personnels, nous constatons avec inquiétude l’absence de débat démocratique dans la campagne présidentielle sur les graves bouleversements en cours et à venir, qu’ils concernent le climat, l’océan, la biodiversité ou les pollutions. »

 

La technicité et la complexité des sujets, l’affirmation de leur caractère anxiogène, la conviction qu’ils dépassent les clivages politiques et n’ont qu’un faible intérêt pour le grand public – la promesse donc d’un audimat en berne –, sont souvent avancées pour justifier ce silence. Pourtant, selon la dernière enquête de l’Ademe (Agence de la transition écologique), l’environnement est une préoccupation majeure des Français, qui perçoivent de plus en plus les effets d’un climat qui change (+1,7 °C depuis 1900 en France). D’après l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc), deux tiers d’entre eux sont déjà directement exposés aux risques climatiques.

Le monde agricole prend conscience de sa grande vulnérabilité à l’intensification du cycle de l’eau et des extrêmes chauds. De grandes entreprises développent des politiques climatiques. Plusieurs collectivités se sont dotées de Giec locaux ou de conseils de citoyens, soulignant la forte capacité de mobilisation de nos compatriotes. Tous ont compris que les modèles de production et de consommation hérités du passé seront remis en cause, alors même que la crise sanitaire a révélé les fragilités multiples du pays.

Il est sans doute plus commode de réduire le débat sur les nécessaires transformations structurelles à un affrontement entre partisans du nucléaire et défenseurs des énergies renouvelables ; il est sans doute aussi plus confortable de confondre décarbonation de l’ensemble du secteur de l’énergie et production électrique bas-carbone, alertes sur l’état de l’environnement et militantisme radical, lucidité et catastrophisme.

« Ces simplifications finissent par créer une prison intellectuelle, qui empêche de mettre sur la table les choix qui s’offrent encore à nous, et d’en débattre de manière démocratique, c’est-à-dire publique, éclairée et contradictoire. »

 

Les défis qui nous attendent incluent la diminution des émissions de gaz à effet de serre et la préservation du vivant. Mais ils portent aussi sur la nature et le rythme de l’adaptation, la juste répartition des risques et des efforts, la solidarité entre générations ou entre territoires. De fait, ils concernent l’emploi, le transport et la mobilité, l’alimentation, le partage et l’accès aux ressources – notamment à l’eau potable –, le foncier, la santé, la fiscalité, l’éducation, la formation professionnelle, la recherche et l’innovation, la préservation du patrimoine historique et culturel, l’habitat, la réduction des inégalités et des fractures territoriales, le tournant numérique, la prévention et l’indemnisation des catastrophes, la sécurité intérieure, la souveraineté et la défense nationale, la politique européenne et internationale.

« Si beaucoup d’objectifs de court et long termes sont connus et fixés par nos engagements nationaux et internationaux, différentes trajectoires sont possibles et doivent être discutées. Et si l’on choisit l’inaction, il est nécessaire d’en exposer et d’en assumer les conséquences. »

Encore faut-il que les citoyens puissent décider en leur âme et conscience. Pour cela, les candidats et candidates à l’élection présidentielle doivent pouvoir s’exprimer, et donc être interrogés, sur des questions de fond.

Elles sont nombreuses. Ainsi, comment fait-on pour :
- tripler le rythme des baisses des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2024, sans augmenter les inégalités sociales et territoriales ? Orienter les investissements de la France vers la neutralité carbone ? Agir sur les autres gaz à effet de serre, notamment le méthane ? Développer les puits de carbone, alors que nos forêts souffrent déjà du climat qui change ?
- réduire notre dépendance aux énergies fossiles, sans augmenter la précarité énergétique, en accompagnant la reconversion de certains emplois et en formant une main-d’œuvre qualifiée pour satisfaire les nouveaux besoins ?
- intégrer les enjeux environnementaux dans les accords commerciaux internationaux, pour diminuer notre empreinte carbone, la déforestation importée, la consommation d’eau ou de plastiques ?
- transformer les filières agricoles, industrielles, touristiques, pour répondre aux impacts du changement climatique, au renchérissement des matières premières, à l’adoption de nouvelles normes internationales, aux attentes des consommateurs ?
- adapter les villes pour réduire leur vulnérabilité aux extrêmes chauds, secs et humides, selon une logique bas-carbone, tout en luttant contre l’habitat insalubre et le mal-logement, sans augmenter l’artificialisation des sols ?
- se préparer à des événements climatiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, renforcer les systèmes de gestion de crise et d’assurance et engager des moyens à la hauteur des enjeux d’adaptation et de résilience ? Anticiper les déplacements de populations, d’infrastructures et d’activités, notamment sur les littoraux, et considérer dès à présent le devenir des territoires les plus exposés ?
- peser sur la diplomatie mondiale du climat et de la protection de l’environnement, afin que les Etats respectent leurs engagements et que l’accord de Paris joue véritablement son rôle ?
- œuvrer pour que l’éradication de la pauvreté dans le monde soit combinée avec l’adoption de modèles de développement durable et l’émancipation des femmes ?

Le constat scientifique vis-à-vis de la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique, l’érosion de la biodiversité et les pollutions est clair.

« Il n’existe pas de remède miracle, de panacée totalement indolore. L’innovation technologique ou les injonctions individuelles à la sobriété ne suffiront pas à elles seules. »

Mais si les évolutions que nous vivons ont une vitesse et une ampleur inédites à l’échelle de l’histoire humaine, nous pouvons encore atténuer les crises et nous préparer à surmonter leurs effets préjudiciables. Des éléments factuels existent sur le potentiel, les coûts, les bénéfices et les limites des multiples leviers d’action à notre disposition. L’année 2022 sera d’ailleurs marquée par la publication, le 28 février et le 4 avril, des rapports des groupes II et III du Giec sur l’adaptation et sur l’atténuation.

C’est pourquoi, alors que se multiplient les discours de l’inaction, il est plus que jamais essentiel de pouvoir délibérer sereinement sur les alternatives, les opportunités et les contraintes des différentes options envisagées, en cessant de déconnecter les choix techniques et les dimensions économiques, sociales, territoriales. Pour cette raison, les électeurs et électrices ont besoin de connaître les propositions des candidats et des candidates à l’élection présidentielle, et leurs conditions de mise en œuvre.

Affaire Navalny: Arrestation de 1400 manifestants

Affaire Navalny: Arrestation de 1400 manifestants

 

Le phénomène Navalny, premier opposant actuellement en prison et dans un état de santé précaire été considéré comme très accessoire par le pouvoir central russe. Certes l’ensemble de la population russe est loin d’être mobilisé sur les enjeux démocratiques d’autant que le pays n’a jamais vraiment connu  la démocratie.

Pour autant des manifestants protestent contre la détention arbitraire de naval ni tout autant que sur les entraves au libertés. Et le pouvoir se voit contraint de procéder à des arrestations préventives massives avant des manifestations pro navales ni. La police a rassemblé mercredi plus de 1400 manifestants alors que des Russes dans des dizaines de villes participaient à des rassemblements organisés par les alliés du critique du Kremlin en grève de la faim, Alexei Navalny, pour sa santé défaillante en prison.

Sa porte-parole a été emprisonnée pendant 10 jours, et un autre proche allié a été arrêté, le jour même où le président Vladimir Poutine a prononcé un discours sur l’état de la nation avertissant l’Occident de ne pas franchir les «lignes rouges» de la Russie et n’a fait aucune mention de Navalny. .

«C’est l’un des derniers halètements d’une Russie libre, comme beaucoup le disent. Nous sommes sortis pour Alexei … contre une guerre en Ukraine et la propagande sauvage », a déclaré Marina, étudiante à la manifestation de Moscou.

OVD-Info, un groupe qui surveille les manifestations et les détentions, a déclaré que 1 496 personnes avaient été arrêtées, dont 662 à Saint-Pétersbourg et 95 dans la ville d’Oural en Oufa.

Les manifestants du centre de Moscou ont scandé: «Liberté pour Navalny!» et «Laissez entrer les médecins!». L’épouse de Navalny, Yulia, a rejoint le rassemblement dans la capitale, où les manifestants ont scandé son nom.

Ces manifestations demeurent cependant très minoritaires, le taux de participation semblait plus faible que lors des manifestations plus tôt cette année avant que Navalny ne soit emprisonné pendant 2 ans et demi pour des violations de la libération conditionnelle liées à ce qu’il a dit être des accusations de détournement de fonds à motivation politique.

La police a déclaré que 6000 personnes avaient manifesté illégalement à Moscou, tandis que la chaîne YouTube de Navalny a déclaré que le taux de participation dans la capitale était jusqu’à 10 fois plus élevé.

Des dizaines de fourgons de police ont été déployés dans le centre de Moscou. La place où les militants espéraient se rassembler était entourée de barrières métalliques, tout comme la Place Rouge.

ADP : suppression de 1400 postes

ADP : suppression de 1400 postes

 

Conséquence directe de la crise sans précédent qui affecte le transport aérien «des mesures de départs volontaires qui concerneraient jusqu’à 1.400 salariés, dont 700 qui ne seraient pas remplacés», affirme l’Unsa Sapap dans un communiqué. Ces postes seraient «supprimés dans un premier temps, en attendant la reprise de l’activité», a précisé à l’AFP Laurent Garssine, secrétaire général du 3e syndicat d’ADP.

ADP emploie environ de 6.300 personnes. Le gestionnaire des aéroports parisiens souhaite négocier un accord d’activité partielle de longue durée (APLD), un accord de performance collective (APC) et un dispositif de rupture conventionnelle collective (RCC). Avec ce dispositif la direction espère économiser environ 60 millions par an.

Retraites: Le point indexé mais sur quel niveau , 1000 ou 1400 euros ?

Retraites: Le point indexé  mais sur quel  niveau , 1000 ou 1400 euros ?

 

Bribe par bribe, le gouvernement lâche  des informations sur le futur régime de retraite . Le problème, c’est que souvent ces bribes sont contradictoires. Même après l’intervention prévue mercredi pour le Premier ministre, de nombreuses interrogations vont demeurer dues en particulier à des contradictions mêmes au sein du gouvernement. Hier , le gouvernement et a indiqué que  l’indexation de la retraite serait calculée sur les salaires. Il s’agit d’une information qui n’est pas négligeable. Rappelons toutefois que le système actuel est fondé sur un principe d’indexation sur l’inflation depuis 1 993. Le problème c’est que cette indexation n’a pas été respectée et que les pensions ont été figées pendant plusieurs années. On peut donc décider d’un principe et y déroger ensuite pour de nombreuses raisons. L’autre question fondamentale qui se pose est de savoir sur  quel niveau se fondera cette indexation. Or il semble bien que l’objectif essentiel de la réforme des retraites au-delà caractère plus ou moins universel, c’est de faire diminuer le niveau moyen des retraites. Jean Peyrelevade sur LCI un spécialiste de la question à d’ailleurs affirmé que cette baisse était incontournable et qu’elle attendrait 25 % d’ici 2050, soit en moyenne 0,5 % par an . Une diminution qui serait considérable en valeur absolue si l’inflation continuait d’être faible aujourd’hui. Il est clair que l’indexation produira des effets différents selon que le niveau moyen de la retraite sera de 1000 € , comme prévu en 2050,  ou 2400 € environ comme actuellement (autour de 1000 € seulement pour les femmes). Le gouvernement garantit pourtant que la valeur du point dans le futur système universel de retraites sera indexée sur les salaires, a déclaré mardi le haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye.

“Nous allons apporter un certain nombre de garanties sur quelques dispositifs : le point évoluera – valeur d’achat et valeur de service – sur les salaires”, a-t-il dit à la veille des annonces du Premier ministre Edouard Philippe. Le système actuel est indexé sur l’inflation depuis 1993.

“C’est une avancée considérable qui a un impact extrêmement positif sur les fonctionnaires (…) et un impact considérable pour les salariés du privé et les indépendants”, a dit Jean-Paul Delevoye lors de la séance des questions au gouvernement.

La démocratie en Russie: 1400 arrestations !

La démocratie en Russie: 1400 arrestations !

Ce n’est plus le régime communiste depuis longtemps mais c’est la même dictature au service de Poutine et de ses partisans qui par ailleurs pillent le pays. Ainsi de l’ordre de 1500 manifestants ont été arrêté pour n’importe quel motif alors qu’ils militent  pour des élections libres.  la réponse du pouvoir est claire et directement inspirée de l’ancien KGB d’où a émergé Poutine. En Russie il n’y a pas de place pour l’opposition, pour le débat encore moins pour l’alternative politique.

L’opposition dénonce le rejet des candidatures indépendantes en vue des élections locales du 8 septembre, qui s’annoncent difficiles pour les candidats soutenant le pouvoir dans un contexte de grogne sociale. Les domiciles et les permanences de plusieurs candidats exclus avaient été perquisitionnés par avance et, mercredi, l’opposant numéro un au Kremlin Alexeï Navalny avait été renvoyé en prison pour 30 jours pour des infractions aux « règles des manifestations ».

Ces procédures font suite à l’ouverture d’une enquête pour « entrave au travail de la Commission électorale » de Moscou au cours de manifestations mi-juillet. Elles peuvent aboutir à des peines atteignant cinq ans de prison, rappelant les sévères condamnations prononcées au moment du mouvement de 2011-2012 contre le retour à la présidence de Vladimir Poutine.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol