Archive pour le Tag '14-18'

Commémoration 11 novembre-Poème en hommage aux poilus de 14-18

Commémoration 11 novembre-Poème en hommage aux poilus de 14-18

« Quelques pierres, quelques noms »

Au cœur de nos villages, quelques pierres, quelques noms

Modestes anonymes que l’histoire n’oublie pas

Quelques pierres dressées refusant l’abandon

De ceux qui se souviennent de la gloire d’un trépas

Car ces hommes étaient jeunes car ces hommes étaient beaux

En partant, ils riaient comme on part en moisson

Mais dans les champs rougis par le sang des agneaux

Le fer faucha leur vie bien avant la saison

Ils riaient, ils chantaient leur jeunesse insolente

Ils lisaient dans leurs pères leurs rides de demain

Ils avaient des amis, ils avaient des amantes

Mais déjà la faucheuse décomptait leurs matins

Dans les terres lointaines, leurs rires se sont éteints

Dresser face à l’horreur, à l’ignoble oppression

Ils préférèrent mourir, assumant leur destin

Plutôt que de trahir l’honneur de la Nation

Des noms qu’on reconnaît, des familles connues

D’autres noms inconnus, qui se sont sacrifiés

Des fils de la patrie qui auront tout perdu

Pour que poussent longtemps des fleurs de liberté

Gaston René Bessay

11 novembre-Poème en hommage aux poilus de 14-18

Poème en hommage aux poilus de 14-18

« Quelques pierres, quelques noms »

Au cœur de nos villages, quelques pierres, quelques noms

Modestes anonymes que l’histoire n’oublie pas

Quelques pierres dressées refusant l’abandon

De ceux qui se souviennent de la gloire d’un trépas

Car ces hommes étaient jeunes car ces hommes étaient beaux

En partant, ils riaient comme on part en moisson

Mais dans les champs rougis par le sang des agneaux

Le fer faucha leur vie bien avant la saison

Ils riaient, ils chantaient leur jeunesse insolente

Ils lisaient dans leurs pères leurs rides de demain

Ils avaient des amis, ils avaient des amantes

Mais déjà la faucheuse décomptait leurs matins

Dans les terres lointaines, leurs rires se sont éteints

Dresser face à l’horreur, à l’ignoble oppression

Ils préférèrent mourir, assumant leur destin

Plutôt que de trahir l’honneur de la Nation

Des noms qu’on reconnaît, des familles connues

D’autres noms inconnus, qui se sont sacrifiés

Des fils de la patrie qui auront tout perdu

Pour que poussent longtemps des fleurs de liberté

Gaston René Bessay

Poème en hommage aux poilus de 14-18 : « Vosges sanglantes »

Poème en hommage aux poilus de 14-18 :

 

 

« Vosges sanglantes »

 

Les cieux ont perdu leur couleur

Les arbres nus et mutilés

Tous les oiseaux sont morts de peur

La terre est un ventre percé

 

Dans la plaine un chêne orgueilleux

Tend  son tronc gris et calciné

Les branches noircies par le feu

Sa tête git à terre coupée

 

Le sol  est devenu stérile

Brulé par la pluie  des mitrailles

Par les obus,  les escarbilles

L’enfer qui fouilla les entrailles

 

La terre a recouvert les hommes

Des jeunes faits pour  être aimés

Ils dorment désormais sous des dômes

De pierres et d’oublis assemblés

 

Le sens des Vosges un  siècle après

Imbibe encore l’humus maudit

Et parfois des gouttes rosées

Tombent d’un sapin qui gémit

 

Gaston René Bessay

Devoir de mémoire- Poème en hommage aux poilus de 14-18

Poème en hommage aux poilus de 14-18

« Quelques pierres, quelques noms »

Au cœur de nos villages, quelques pierres, quelques noms

Modestes anonymes que l’histoire n’oublie pas

Quelques pierres dressées refusant l’abandon

De ceux qui se souviennent de la gloire d’un trépas

Car ces hommes étaient jeunes car ces hommes étaient beaux

En partant, ils riaient comme on part en moisson

Mais dans les champs rougis par le sang des agneaux

Le fer faucha leur vie bien avant la saison

Ils riaient, ils chantaient leur jeunesse insolente

Ils lisaient dans leurs pères leurs rides de demain

Ils avaient des amis, ils avaient des amantes

Mais déjà la faucheuse décomptait leurs matins

Dans les terres lointaines, leurs rires se sont éteints

Dresser face à l’horreur, à l’ignoble oppression

Ils préférèrent mourir, assumant leur destin

Plutôt que de trahir l’honneur de la Nation

Des noms qu’on reconnaît, des familles connues

D’autres noms inconnus, qui se sont sacrifiés

Des fils de la patrie qui auront tout perdu

Pour que poussent longtemps des fleurs de liberté

Gaston René Bessay

Macron-14-18-Chaos d’une semaine : l’errance politique et intellectuelle

Macron-14-18-Chaos d’une semaine : l’errance politique et intellectuelle

L’Élysée serait satisfait de la semaine et d’itinérance mémorielle de Macron. En faite Macron s’est servi de la commémoration de 14 18 pour faire une tournée électorale. Et cette itinérance mémorielle s’est transformée en une sorte de cocktail d’errance politique, sociale et intellectuelle. D’abord Macron a confondu commémoration et histoire en particulier concernant l’hommage à Pétain  les facteurs explicatifs de cette grande guerre sont multiples économiques, sociaux et géopolitiques. Les historiens eux-mêmes sont parfois divisés sur la nature de ce conflit qui par ailleurs ce termina par un traité de Versailles dit  de paix préparant la guerre de 39 45. Macron n’a pas compris qu’il n’appartenait pas au chef de l’État de rendre compte de l’histoire et qu’il devait se borner à commémorer les événements qui permettent d’unifier, de servir la paix et le progrès. Une confusion intellectuelle qui témoigne des insuffisances d’un président dont les connaissances se limitent au champ littéraire mais y ignore tout ou presque des réalités économiques, sociales sociétales et même politiques. On peut le vérifier avec ses déclarations très contradictoires sur le problème de l’augmentation du carburant qu’il assume mais finalement sans trop assumer en proposant des chèques ….. payés par les régions. Pendant cette tournée électorale, chaque jour Macron a été bousculé et au lieu d’expliquer il a joué au professeur condescendant, au monarque qui s’entretient avec ses sujets. ; Avec cette condescendance et cette absence de compassion et d’humanisme, de connaissance,  bref en technocrate froid plus sensible aux  intérêts des nantis qu’aux difficultés des moins favorisés. Le pire sans doute c’est que Macron ne s’aperçoit même pas de l’indécence de sa posture, ni même du ridicule de ses mots quand il affirme que l’augmentation du carburant » c’est pas bibi » ou « qu’il assume » la fiscalité. Contrairement à ce qu’affirme la plupart des médias Macron n’est pas quelqu’un de très intelligent. Il ne fait que répéter le catéchisme des élites sorte de logiciel qui tourne en boucle dans les salons et dont les algorithmes reposent sur le fait que les Français sont des paresseux et des sujets trop gâtés, trop râleurs ( des gaulois !). . Des gens par exemple  qui se plaignent du chômage alors qu’il n’y a qu’à traverser la rue pour  trouver du boulot ! Quel mépris, quelle ignorance et quelle bêtise !

Poèmes en hommage aux poilus de 14-18 :

Poèmes en hommage aux poilus de 14-18 :

 

 « Quelques pierres, quelques noms »

 

Au cœur de nos villages, quelques pierres, quelques noms

Modestes anonymes que l’histoire n’oublie pas

Quelques pierres dressées refusant l’abandon

De ceux  qui se souviennent de la gloire d’un trépas

 

Car ces hommes étaient jeunes car ces hommes étaient beaux

En partant, ils riaient  comme on part en moisson

Mais dans les champs rougis par le sang des agneaux

Le fer faucha leur vie bien avant la saison

 

Ils riaient, ils chantaient leur jeunesse insolente

Ils lisaient dans leurs pères leurs rides de demain

Ils avaient des amis, ils avaient des amantes

Mais déjà la faucheuse décomptait leurs matins

 

Dans les terres lointaines, leurs rires se sont éteints

Dresser face à l’horreur, à l’ignoble oppression

Ils préférèrent mourir, assumant leur destin

Plutôt que de trahir l’honneur de la Nation

 

Des noms qu’on reconnaît, des familles connues

D’autres noms inconnus, qui se sont sacrifiés

Des fils de la patrie qui auront tout perdu

Pour que poussent longtemps des fleurs de liberté

 

Oh vous jeunes héros, et vous pères perdus

Nous entendons vous voix résonner dans nos cœurs

Que jamais nul n’oublie que vous avez vaincu

En offrant votre sang pour vos frères et vos sœurs

 

« Vosges sanglantes »

 

Les cieux ont perdu leur couleur

Les arbres nus et mutilés

Tous les oiseaux sont morts de peur

La terre est un ventre percé

 

Dans la plaine un chêne orgueilleux

Tend  son tronc gris et calciné

Les branches noircies par le feu

Sa tête git à terre coupée

 

Le sol  est devenu stérile

Brulé par la pluie  des mitrailles

Par les obus,  les escarbilles

L’enfer qui fouilla les entrailles

 

La terre a recouvert les hommes

Des jeunes faits pour  être aimés

Ils dorment désormais sous des dômes

De pierres et d’oublis assemblés

 

Le sens des Vosges un  siècle après

Imbibe encore l’humus maudit

Et parfois des gouttes rosées

Tombent d’un sapin qui gémit

 

GRB

14-18- « Itinérance mémorielle » : la sémantique précieuse ridicule de Macron

14-18- «  Itinérance mémorielle » : la sémantique précieuse ridicule  de Macron

 

L’itinérance mémorielle,  c’est l’expression employée par Macron  pour justifier le voyage officiel de 6 jours dans l’Est et le Nord.  de la France. Une expression de précieuses ridicules qui ne signifie pas grand-chose de la part d’un président qui a l’habitude de solliciter l’ingénierie sémantique pour masquer le vide de son action. En clair, il s’agit simplement d’une tournée électorale pour évoquer la politique du pouvoir et ses perspectives alors que les élections européennes se rapprochent et que le parti du président dans le dernier sondage dégringole encore pour se situer même derrière le rassemblement national. Il s’agit donc bien d’autres choses que la seule célébration de l’armistice de 1918. En très grande difficulté en France, Macron voudra profiter de la présence de nombreux chefs d’État étrangers pour se redonner une stature à dimension internationale. La même opération que celle relative à l’accord sur le climat qui a fait là une des médias internationaux n’est concrètement qui n’a pas changé grand-chose y compris en France ; sauf pour justifier l’injustifiable fiscalité sur les carburants qui une nouvelle fois frappe les moins favorisés, les moins nantis financièrement et ceux qui sont contraints d’utiliser leur véhicule personnel pour se rendre au travail. Pour parler plus clairement, Macron entreprend une campagne électorale d’une part pour justifier sa politique actuelle, d’autre part pour tenter de faire remonter la pente au parti introuvable  d’en marche. Un parti majoritaire à l’assemblée nationale mais complètement absent sur le terrain et comme son inspirateur, hors-sol puisque pour l’essentiel composé de personnalités sans expérience politique et sans légitimité sociale. On connaît Macron, son pire ennemi c’est sans doute lui-même ; il ne manquera sans doute pas l’occasion de sortir l’une de cette petite phrase arrogante dont il a le secret et qui témoigne en faite de son vrai rapport à l’opinion. Macron a commencé dés dimanche en considérant que la fiscalité sur le carburant était préférable à celle sur le travail ! On a du mal à percevoir la pertinence de l’explication. Cela d’autant plus que la fiscalité sur le carburant porte  précisément et essentiellement sur les parcours domiciles travail  en particulier de ceux qui n’ont pas d’autre choix.

Absence de Macron à la commémoration de 14-18 à Amiens : lamentable !

Absence de Macron à la commémoration de 14-18 à Amiens : lamentable !

 

 

 

Toute évidence, une faute de goût et une faute diplomatique ; peut-être que l’l’impasse de Macron à la commémoration d’Amiens provient de l’absence de la reine d’Angleterre. Celui qui se considère sans doute comme le roi de France n’a pas voulu condescendre à côtoyer seulement la première ministre britannique et le prince William. Pourtant cette bataille d’Amiens marque le basculement de la guerre de 14 18.  Cette absence très remarquée du chef de l’État français témoigne aussi de sa désinvolture puisque son entourage a expliqué que le président ne pouvait pas interrompre ses congés au fort de Brégançon. Macron a pourtant s’est pourtant autorisée à prendre un bain de foule sous les caméras sans doute pour commémorer sa baisse de popularité et tenter d’y remédier. En tout cas ; cette absence témoigne du caractère de Macron, sorte de gosse gâté très mal élevé qui s’autorise qui fait la leçon à ceux qui font une entorse au protocole. Bref, une sorte de monarque absolu condescendant, fantasque,  un peu irresponsable. La présence à la commémoration d’Amiens s’imposait pourtant. En effet Le 8 août 1918, les alliés lancent «l’offensive des Cent Jours», une série d’attaques qui permettra de repousser les forces allemandes de plus en plus loin, aboutissant au dénouement du 11 novembre. «Aller vite, marcher fort, en manœuvrant par-devant, appuyer par-derrière avec tout le monde, jusqu’à obtention du résultat», préconisait Foch dans son ordre du 9 août, lu par Florence Parly. Si dans le souvenir français, Verdun occupe une place particulière, les Britanniques, eux, s’attachent surtout à la Somme et à Amiens. La plupart de leurs morts tombés sur ces champs de bataille n’ont pas été rapatriés. Des mémoriaux subsistent, où les familles viennent fréquemment se recueillir. Dans l’âpre contexte du Brexit et de l’impasse actuelle entre Bruxelles et le Royaume-Uni pour trouver un accord de sortie, la cérémonie d’Amiens permettait également à Londres, en rappelant le prix du sang payé il a un siècle, de faire valoir son attachement au Vieux Continent - à son histoire, à ses valeurs, à son avenir.

 




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