Archive pour le Tag '130'

Banques : 130 milliards de prêts garantis aux entreprises

Banques : 130 milliards de prêts garantis aux entreprises

 

Les banques ont consenti 130 milliards de prêts garantis à 630 000 entreprises dont près de 90 % très petites.

Il s’agissait à l’occasion du confinement de fournir des liquidités aux entreprises, dans la limite de 25 % du chiffre d’affaires annuel, avec un montant garanti à 90 % par l’Etat. On laisse  la possibilité aux entreprises de ne pas rembourser le capital la première année, puis d’étaler les échéances sur cinq ans maximum.

Le risque est évidemment pour les banques même si le montant est garanti à 90 % par l’État. Il faut en effet s’attendre en dépit de ces prêts à une vague de faillites courant 2021. Des faillites qui vont surtout concerner les petites et moyennes entreprises. On s’attend mécaniquement à une vague de environ 1 million de licenciements en 2021 après autour de 800 000 ans de 2020.

Heureusement toutes les entreprises ne seront pas touchées de la même manière et Bercy indique que 60 % de ces prêts reçus par les entreprises n’ont pas été dépensés par les dites entreprises. Parmi les 40 % qui restent, certains  vont s’en sortir mais dans plusieurs secteurs en particulier la restauration-hôtellerie mais aussi la construction par exemple les faillites seront nombreuses. Dans la seule  de restauration 25 % des établissements pourraient fermer définitivement.

Les dommages seront aussi évidemment pour les banques qui vont accumuler ce qu’on appelle pudiquement les créances douteuses et qui vont se transformer en actifs pourris. La banque centrale européenne a d’ores et déjà prévus les conséquences financières et annoncer un soutien aux banques.

Allemagne : un plan de relance de 130 milliards qui s’ajoutent aux 1000 milliards déjà prévus

Allemagne : un plan de relance de 130 milliards qui s’ajoutent aux 1000 milliards déjà prévus

Il est clair que l’Allemagne a pris la mesure de l’ampleur des conséquences désastreuses de la crise sanitaire. C’est pourquoi elle a d’abord décidé d’un plan de relance de 1000 milliards auxquels s’ajoutent maintenant un plan de 130 milliards. Un double objectif , sauver le maximum d’entreprises de la défaillance et relancer une économie largement affectée par la faiblesse de croissance de l’Europe mais aussi par la réduction de la demande en Chine et aux États-Unis. «La taille du plan de relance sera de 130 milliards d’euros pour les années 2020-2021, dont 120 milliards seront dépensés pour le gouvernement fédéral», a affirmé Angela Merkel lors d’une conférence de presse à l’issue de deux jours de réunion entre conservateurs et sociaux-démocrates, les partenaires de la coalition gouvernementale.

«Nous avons donc un plan de relance économique, un plan pour l’avenir et, bien sûr, en plus de cela, nous nous occupons maintenant de notre responsabilité pour l’Europe et de la dimension internationale», s’est-elle félicitée. Même si l’Allemagne a été jusqu’à présent moins frappée que ses voisins par la pandémie sur le plan humain, avec quelque 8.500 morts, son économie, fortement dépendante des exportations a, elle, été fortement secouée.

Parmi les mesures annoncées figurent, outre la baisse temporaire de la TVA et des transferts de dettes des communes vers l’État fédéral, une allocation de 300 euros par enfant pour les familles ou encore de nouvelles aides pour les entreprises en difficulté. Le point le plus discuté fut la mise en place d’une prime à l’achat pour soutenir le secteur automobile, pratiquement à l’arrêt depuis plusieurs mois.

Les membres de la «grande coalition» se sont prononcés contre une prime à l’achat de voitures à essence ou diesel à faibles émissions. En revanche, la prime à l’achat d’un véhicule électrique sera doublée, passant de 3.000 à 6.000 euros.

Ce plan de relance s’ajoute à l’énorme plan de plus de 1.000 milliards d’euros mis en place en mars, au plus fort de la pandémie, prévoyant des aides aux entreprises et des milliards d’euros de prêts garantis. Alors que l’Allemagne a vu son taux de chômage continuer à grimper en mai, à 6,3%, poussant les entreprises à solliciter le chômage partiel pour plus de 11 millions de salariés depuis mars, le gouvernement a voulu apporter à nouveau son soutien aux entreprises en difficulté.

Angela Merkel a justifié ces aides pour soutenir les millions de travailleurs actuellement au chômage partiel: «cela montre combien l’ensemble (de l’économie) est fragile et qu’il est nécessaire de réussir à stimuler l’économie pour que les emplois soient assurés».

 

 

Accueil de 130 migrants pour cacher les contradictions

Accueil de 130 migrants pour cacher les contradictions

 Fortement critiquée notamment par l’Italie la France tente de racheter en accueillant 130 migrants. La France avait  interdit l’accès de ses ports à l’Aquarius et au Lifeline, deux navires humanitaires ; Une position particulièrement hypocrite quand dans le même moment Macron reprochait aux italiens leurs postures nationalistes. D’un certain point de vue, la France essaye de se rattraper aux branches mais de manière un peu ridicule quand on sait par contre qu’on a autorisé l’Aquarius à faire une escale technique à Marseille mais sans débarquement des passagers ; L’objectif est bien entendu de montrer la fermeté de la France et en même temps la fidélité aux valeurs humanistes.  Le Lifeline, au bord duquel se trouvaient 234 migrants, a attendu six jours fin juin en Méditerranée faute de feu vert des autorités italiennes, avant d’être finalement autorisé à accoster au port de la Valette, à Malte.“Cette réponse démontre l’importance de la coordination entre partenaires européens dans le respect du droit international”, a estimé la porte-parole du Quai d’Orsay. “C’est la même démarche coopérative qui a inspiré les conclusions du dernier Conseil européen des 28 et 29 juin, s’agissant en particulier du projet d’établir des centres contrôlés sur le territoire de l’Union”. Des conclusions européennes inapplicables puisque fondées uniquement sur la décision de caque Etat et dont les contradictions apparaitront lors de chaque arrivée massive d’immigrés. La position du gouvernement français dans la crise de l’Aquarius lui a valu des critiques de l’opposition de gauche, de certains élus de la majorité et d’associations de défense des migrants. Emmanuel Macron, qui a invoqué le droit maritime international pour justifier la décision de la France de ne pas laisser accoster le navire, a riposté en fustigeant les “déclarations d’estrade” et une vision par un “petit bout de la lorgnette”.

Jérusalem : 130 pays contre les Etats-Unis

Jérusalem : 130 pays contre les Etats-Unis

 

Une résolution contre les États-Unis qui ont décidé de faire de Jérusalem la capitale Israël : Neuf pays ont voté contre, 35 autres se sont abstenus. Vingt et un autres pays n‘ont pas voté, 128, l’ont approuvé. Un désaveu vis-à-vis de Donald Trump qui pourtant avait menacé les pays en faveur de la résolution par des représailles financières. Mais c’est d’autant et peut-être davantage un vote contre l’imprévisible et provocateur Donald Trump que contre les États-Unis eux-mêmes. On sait qu’une grande majorité des membres de l’ONU souhaite que cette question de la capitale Israël soit négociée entre les deux parties et non imposées de manière unilatérale soit par Israël, soit encore moins par les États-Unis. Au-delà se pose la question de la coexistence est d’abord de la reconnaissance de deux pays. Pour l‘ambassadeur de France à l‘Onu, François Delattre, la résolution adoptée jeudi ne fait que confirmer les clauses du droit international relatives à Jérusalem. Ce vote ne doit ni diviser ni exclure, a-t-il estimé. A Ramallah en Cisjordanie, un porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas s‘est félicité de ce vote. “Ce vote est une victoire pour la Palestine”, a estimé Nabil Abou Rdainah. “Nous allons poursuivre nos efforts aux Nations unies et dans tous les forums internationaux pour mettre fin à cette occupation et pour créer notre Etat palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale”, a-t-il ajouté. Israël a rejeté la résolution de l‘Assemblée générale et remercié Donald Trump pour sa position sur Jérusalem. “Israël rejette la décision des Nations unies et dans le même temps est satisfait du nombre élevé de pays qui n‘ont pas voté en faveur de celle-ci”, a déclaré le cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu. “Israël remercie le président Trump pour sa position sans équivoque en faveur de Jérusalem et remercie les pays qui ont voté ensemble avec Israël, ensemble avec la vérité”, ajoute le cabinet du chef du gouvernement.

Bureau politique-Les Républicains : 30 membres sur 130 votent l’ épuration

Bureau politique-Les Républicains : 30 membres  sur 130 votent l’  épuration

Épuration de type stalinien chez les Républicains avec le deux seulement une trentaine de membres présents sur 126 (la plupart étant évidemment absents). Le chiffre même du nombre de votants met en lumière la crise que connaît le parti les Républicains. Un petit tiers seulement des membres du bureau politique était présent. Les deux autres tiers ont fait valoir des absences pour motifs diplomatiques ou plus exactement politiques puisque la plupart étaient contre  les exclusions. Certes on peut éventuellement comprendre que certains Républicains membres du gouvernement ne puissent plus appartenir au parti en cause par contre la mise à l’écart des constructifs est davantage discutables. Lourdement battus lors de la consultation présidentielle, les Républicains dont l’ambition est de rassembler commencent donc par éliminer. Visiblement le petit cercle de radicaux qui s’est prononcé pour l’épuration n’a pas compris grand-chose du big-bang politique provoqué par Macron. Première observation Macon a largement puisé dans les propositions de la droite pour établir son programme, pire il a même choisi un Républicain comme premier ministre. Tout cela montré le caractère complètement vain de pseudos oppositions entre la gauche sociale démocrate et la droite libérale. C’est même la première fois que la droite choisit un responsable comme Vauquiez  aussi anti européen et aussi proche des thèses du Front National. Certes Wauquiez sera élu par les plus radicaux des Républicains mais il sera encore davantage en contradiction avec ses électeurs qui dans une très grande majorité souhaitent une attitude plus constructive de leur parti. Wauquiez en s’appuyant les extrêmes risques de devenir le Hamon de droite, c’est-à-dire de se couper de l’essentiel de l’électorat des Républicains qui traditionnellement depuis l’UMP avaient vocation à rassembler gaullistes, européens, libéraux et humanistes. Il est clair qu’avec ce le bureau politique augure mal de l’avenir des Républicains qui se ratatinent sur les questions identitaires, nationalistes, antieuropéennes et antilibérales. Été en désaccord Le parti Les Républicains (LR) a don  « réussi » à trancher.  Mardi 31 octobre, le bureau politique du mouvement a donc voté l’exclusion des membres du gouvernement issus de ses rangs – Gérald Darmanin (ministre des comptes publics) et Sébastien Lecornu (secrétaire d’Etat pour la transition écologique et solidaire) –, ainsi que des figures de proue du groupe dissident Les Constructifs à l’Assemblée nationale, Thierry Solère et Franck Riester. Le premier ministre, Edouard Philippe, qui ne s’est pas rendu aux convocations de son parti, n’a pas été formellement exclu pour des raisons juridiques ; mais le bureau politique a acté son départ. Comme souvent ces dernières semaines, aucune des figures de la droite modérée, tels Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Dominique Bussereau ou Jean-Pierre Raffarin, n’a pris la peine de se déplacer.  D’un point de vue politique, ces exclusions pourraient accélérer la création d’une nouvelle formation politique à laquelle Les Constructifs réfléchissent depuis cet été. A moins qu’ils ne rejoignent La République en marche, à l’instar du ministre de l’économie, Bruno Le Maire.

Une prime de 130 euros pour les petits boulots des jeunes

Une prime de 130 euros pour les petits boulots des jeunes

 

Hollande n’avait pas prévu de nouvelles annonces , il a toutefois déclaré que la prime d’activité serait étendu aux jeunes de moins de 25 ans. Une annonce sans doute pour faire du neuf aces du vieux car en vérité Hollande n’a faiat que répéter ce qu’il a déjà dit et décidé. Pas vraiment de nouveauté donc. Sans doute avait-il pris connaissance dimanche matin de ce sondage qui lui faiat perdre encore 5 points auprès de l’opinion. Et de ce fait a-t-il improvisé pour cette mesurette.  Il a donc annoncé l’élargissement de cette prime à toutes les personnes ayant des « petits boulots », y compris les moins de 25 ans. D’un montant mensuel de 130 euros pour un célibataire, elle devrait toucher un million de jeunes. Une « très mauvaise réponse » aux problèmes des jeunes qui ne seront pas incités à travailler, a considéré sur BFMTV l’ancien ministre UMP Eric Woerth.  Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, a salué en revanche un « président plus que jamais à l’écoute des Français pour améliorer leur quotidien. »




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