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Sondage Macron :un bond de 13 points mais plus de 70% doutent de se capacités gérer la crise !

Sondage Macron :un bond de 13 points mais plus de 70% doutent  de se capacités  gérer la crise !

 

 

Les sondeurs ont un peu de mal pour expliquer comment le chef de l’État peut avoir fait un bon de 11 à 13 % dans l’opinion alors que  de moins en moins de Français le croient capable de gérer la crise (seulement 29 %) . Il y a une sorte de mystère qui peut aussi s’expliquer par le soutien de grands médias à Macron très bousculé par cette crise sanitaire et sans doute par la crise économique qui suivra. On observera le grand flou des explications des sondeurs.

« Les sondages contiennent beaucoup d’éléments contradictoires, consent Frédéric Micheau, directeur du département Opinion pour Opinionway. Les cotes de confiance d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe ont connu un bond. Dans le même temps, la défiance à l’égard de leur gestion de crise ne cesse de progresser. » Ce hiatus est en train de se résoudre… au détriment de l’exécutif. « Depuis le milieu de semaine dernière, la défiance progresse et les cotes de popularité stagnent », note Frédéric Micheau.

Pour Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, ces paradoxes sondagiers sont bien la preuve que les Français répondent aux questions qu’on leur pose : « Il y a une différence entre satisfaction et approbation. Le premier renvoie à ce réflexe qui consiste à faire bloc autour de la figure présidentielle, le second pose la question de la gestion au jour le jour. »

Bruno Cautrès, chercheur au Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), en appelle à la même prudence dans la lecture des questions posées par les instituts : « Il faut différencier l’appréciation générale du jugement sectoriel de l’action publique. Tout le monde a à cœur de dire qu’il faut se serrer les coudes mais quand vous êtes interrogé sur la gestion elle-même de la crise, vous ne jugez plus seulement la figure présidentielle, vous repensez aux cafouillages du gouvernement. »

L’opinion tient pour le moment sur un réflexe patriotique. Ce qu’analyse Chloé Morin, experte à la Fondation Jean-Jaurès : « Au fond, en dehors du socle d’inconditionnels du Président, la quille du bateau qui empêchera un basculement ou un ballottement désordonné, le réflexe de soutien ne repose pas sur une adhésion spontanée. » Tout est très volatil, poursuit-elle : « Les opinions varient en fonction des questions posées. Cela souligne combien le socle de soutien gouvernemental est fragile et pétri de doutes. »

« Les Français envoient autant de signaux qu’ils reçoivent de consignes contradictoires de la part de l’exécutif », sourit Bruno Cautrès. Le chercheur du Cevipof juge « mauvaise » la communication du gouvernement : « Jusqu’à samedi et la conférence de presse menée par Edouard Philippe et Olivier Véran, on observait deux tuyaux de communication, celui alimenté par les gens sérieux (le Premier ministre, le ministre de la Santé, le directeur général de la santé) et celui des amateurs (Didier Guillaume, Sibeth Ndiaye). Pendant quinze jours, les Français se sont retrouvés pris au milieu d’injonctions contradictoires. » Or, cette instabilité accroît les inquiétudes et les sentiments mêlés.

Confinés pour une durée indéterminée, les Français lisent, écoutent et discutent tout. Pour Paris Match et Sud Radio, l’Ifop les interroge tous les mois sur leurs sujets de conversation. Dans la livraison parue mardi soir (où Emmanuel Macron enregistrait un bon de popularité de 13 points à 46 %), au moins la moitié des personnes interrogées reconnaissait avoir parlé de douze sujets (confinement, pénurie de masques, décès de médecins…). Onze concernent l’épidémie de Covid-19 et ses conséquences. « Les Français sont inquiets et surinformés », constate Frédéric Dabi. « Dans un tel contexte, la communication surdéveloppée ne produit pas immédiatement des effets de réconfort. D’autant que la rhétorique guerrière employée par Emmanuel Macron peut être anxiogène », ajoute Frédéric Micheau d’Opinionway.

Sondage Macron: +13% grâce au coronavirus

Sondage Macron: +13% grâce au coronavirus

 

 

L a crise du Coronavirus aura masqué , en tout cas pour un temps, les autres questions  politiques. Du coup, tous les hommes politiques remontent dans l’opinion des Français y compris le chef de l’État qui remonte de 13 points et franchit pour la première fois la barre des 50% depuis près de deux ans, et celle d’Édouard Philippe gagne 10 points, selon un sondage Harris Interactive-Epoka publié vendredi. Le chef de l’État progresse dans toutes les tranches d’âge, de 10 points chez les 65 ans et plus à 17 points chez les moins de 35 ans. Il gagne 17 points dans les catégories supérieures et 12 dans les catégories populaires.

Porté par la gestion de la crise sanitaire, Emmanuel Macron obtient pour la première fois la confiance d’une majorité de Français depuis le printemps 2018, dans ce baromètre mensuel pour LCI réalisé dans le contexte des interventions télévisées fortement suivies de l’exécutif. Également très exposé depuis le début de la crise, le premier ministre obtient quant à lui la confiance de 48% des Français interrogés, son meilleur niveau depuis décembre 2017.

Le regain de confiance dans l’exécutif se traduit également par une hausse de 6 points de la cote du gouvernement à 35%. La cote d’Olivier Véran, peu connu le mois dernier, bondit de 26 points à 48% et le ministre de la Santé vient talonner Jean-Yves Le Drian, son collègue chargé des Affaires étrangères, en tête à 49% (+3). Bruno Le Maire (Économie) gagne 10 points à 45%, Jean-Michel Blanquer (Éducation) 8 à 43%, Gérald Darmanin (Comptes publics) 9 à 40% et Christophe Castaner (Intérieur) 7 à 32%.

Plusieurs  autres personnalités sont en nette hausse dans cette enquête réalisée au lendemain du premier tour des élections municipales, dont François Baroin (36%, +6), François Bayrou (29%, +5) ou Gérard Larcher (26%, +4).

Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 mars auprès de 917 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

Aéroports européens : moins 13,5% au premier trimestre

Aéroports européens : moins 13,5% au premier trimestre

 

Au total, les aéroports européens ont enregistré un recul de 13,5% de leur fréquentation au premier trimestre, mais ce sont les aéroports italiens qui sont les plus touchés, a indiqué ACI Europe, qui représente 500 aéroports dans 46 pays, dans un communiqué.

Avant même la décision lundi de placer tout le pays en confinement, «les aéroports italiens étaient déjà confrontés à une baisse énorme du trafic passagers avec un recul de 60% sur la plupart des plates-formes au cours du week-end», a noté Olivier Jankovec, directeur général d’ACI Europe.

«Maintenant, ils doivent lutter contre un effondrement total de la connectivité aérienne», a-t-il poursuivi, appelant le gouvernement à «répondre rapidement et positivement aux demandes des aéroports italiens de mise en œuvre de mesures de soutien d’urgence».

Dans toute l’Europe, «l’épidémie de Covid-19 se transforme en un choc sans précédent pour notre industrie», a ajouté M. Jankovec, n’écartant pas que des «mesures d’aides soient nécessaires ailleurs qu’en Italie pour permettre aux aéroports de remplir leur rôle d’infrastructure critique».

L’organisation prévoit pour 2020, une baisse de 7,5% du nombre de passagers dans les aéroports européens contre 2,3% de croissance prévue auparavant.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.

Sondage parti d’opposition: 41% aucun, 25% RN et LFI 13%.  

D’après un sondage Elabe pour BFM, 4 Français interrogés sur 10 (41%) déclarent qu’aucun mouvement politique ne parvient à incarner l’opposition à l’exécutif à leurs yeux. Un chiffre similaire à celui enregistré en septembre 2019 par Elabe, à la même question.

Le premier parti cité à cette question est le Rassemblement National (RN). Il est pour 25% des Français interrogés (+1% par rapport au même sondage en septembre 2019), le principal groupe politique d’opposition. Le parti d’extrême droite est nettement devant La France Insoumise (LFI) à 13% (-1%). Le parti Les Républicains (LR) est lui cité par 7% (-1%) des personnes interrogées, alors qu’Europe Ecologie / Les Verts (EELV) l’est par 5% (=).

À noter que le RN de Marine Le Pen est le premier groupe politique cité comme principale force d’opposition quelle que soit la catégorie professionnelle des Français interrogés.

Il ressort que des catégories de la population sont particulièrement représentées chez certains partis. Ainsi, les personnes se sentant proches du RN sont plus nombreuses au sein des ouvriers (23%), les personnes âgées de plus de 65 ans se sentent plus proches de LaREM ou de LR (16% et 18%). LFI fédère avant tout les moins de 25 ans, et enfin les professions intermédiaires expriment une plus forte proximité avec EELV que la moyenne (14%).

Etude ELABE réalisée pour BFMTV sur un échantillon 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 4 et 5 février 2020.

Retour du revenu de base pour 13 départements ?

Retour du revenu de base pour 13 départements ?

 

Le retour de l’utopie du revenu de base avec la demande de 13 départements sans doute surtout alléchés par le montant financier qui serait transféré aux départements (prime d’activité notamment). De toute manière le fond et la forme sont tellement flous que cette hypothèse n’est pas prête d’être mise en œuvre.  . La Gironde, l’Ardèche, l’Ariège, l’Aude, la Dordogne, le Gers, la Haute-Garonne, l’Ille-et-Vilaine, les Landes, le Lot-et-Garonne, la Meurthe-et-Moselle, la Nièvre et la Seine-Saint-Denis, départements administrés par la gauche, travaillent depuis plusieurs mois à ce projet avec la Fondation Jean-Jaurès, club de réflexion proche du Parti socialiste. Ils ont également fait appel à l’Institut des politiques publiques, chargé de dresser l’état des lieux des bas revenus en France et de définir le modèle de revenu de base à expérimenter. L’IPP présentait mercredi à Sciences-Po Bordeaux ses 18 scénarios d’expérimentation qui ont permis aux responsables départementaux de dégager un modèle qui doit encore être affiné. “Nous avons tranché en faveur de trois principes fondamentaux”, a expliqué le président du conseil départemental de la Gironde, Jean-Luc Gleyze (PS). “Un principe d’inconditionnalité de versement de ce revenu de base, l’ouverture aux jeunes de moins de 25 ans – mais il reste à préciser s’il faut inclure les jeunes à partir de 21 ans ou de 18 ans -, et enfin la dégressivité en fonction des revenus”, a-t-il précisé. Une question notable reste à trancher, celle des allocations à inclure. Autant dire que c’est le flou le plus absolu.  “Le RSA et la prime d’activité, c’est la base, mais il reste à déterminer si on inclut les aides au logement”, a dit Jean-Luc Gleyze.

Grand Paris Express un petit dérapage de 13 milliards

Grand Paris Express un petit dérapage de 13 milliards

 

D’après le rapport de la Cour des comptes sur le Grand Paris Express, dévoilé mardi par Reuters, le coût de la grande boucle autour de Paris formée par de nouvelles lignes de métro automatique pourrait atteindre 38,5 milliards d’euros. Les évaluations les plus pessimistes publiées cet été tablaient sur… 35 milliards d’euros alors qu’en 2013, les dépenses globales étaient estimées à 25,5 milliards d’euros «seulement». Surtout, alors que Paris a remporté cet été l’organisation des Jeux olympiques de 2024, il n’est plus sûr que l’ouverture partielle du réseau puisse être envisagée: la Cour fait part de ses «sérieuses interrogations sur la capacité à respecter les échéances olympiques». A ce sujet, la ministre des Transports a été on ne peut plus clair: supermétro de 200 km et 68 nouvelles gares ne sera jamais prêt pour les JO. «Le gouvernement présentera dans les prochains jours le calendrier recalé (du Grand Paris Express, NDLR) sur des bases réalistes pour tenir les délais et éviter la dérive des coûts», a confirmé la ministre des Transports, Elisabeth Borne, ce mardi après-midi devant le Sénat.

Popularité : Hollande a seulement 13 %

Popularité : Hollande a seulement 13 %

François Hollande perd deux points de confiance en avril, avec seulement 13% d’opinions favorables, et les Français sont massivement hostiles (75%) à ce qu’il se représente à la présidentielle en 2017, selon un sondage YouGov diffusé jeudi 7 avril. Au lendemain de l’abandon de la réforme constitutionnelle sur la déchéance de nationalité, près de quatre Français sur cinq (78%) jugent négativement l’action du chef de l’Etat. Il recueille encore 42% (+1) d’avis favorables chez les sympathisants PS, mais c’est chez les électeurs centristes qu’il a le plus perdu (11%, -9) en un mois, selon cette enquête pour Le Huffington Post et iTELE. Seules 14% des personnes interrogées se disent favorables à ce que le président sortant se représente à l’élection présidentielle en 2017, contre 75% d’un avis contraire.

(Avec AFP)

Bygmalion-UMP : une enquête pour 13 millions supplémentaires

Bygmalion-UMP : une enquête pour 13 millions supplémentaires

 

L’affaire Bygmalion ce n’est pas la découverte de « seulement » 18 millions de fausse déclaration mais de 13 millions supplémentaire, soit plus de 31 millions. . Une paille ! Et de toute évidence Sarko n’était au courant de rien ! «  Vous me voyez, moi, pour compter les billets pour savoir si je dépassai les limites !»  Sans doute la ritournelle qui sera servie par l’intéressé ces prochains jours. Le parquet de Paris a donc élargi le 26 octobre l’enquête sur les fausses factures présumées de la société Bygmalion pour la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2012 à d’autres dépenses de l’ex-UMP, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Un document en possession des juges, et faisant apparaître des dépenses présidentielles comme des dépenses de l’ex-UMP, devenue Les Républicains, sont au cœur de cette nouvelle piste qui concerne 13,5 millions d’euros, explique cette source, confirmant une information de L’Obs.  Les juges soupçonnent au moins une partie de cette somme de n’avoir pas été intégrée dans les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, dit-elle.  Selon L’Obs, ce document a été saisi lors de perquisitions au siège des Républicains. Intitulé « Situation budgétaire », il dresse la liste des dépenses et des recettes effectuées par le parti de droite en 2012.  Le parquet de Paris a établi un réquisitoire supplétif le 26 octobre dernier pour étendre son enquête à ces dépenses jugées suspectes.  Ces 13,5 millions d’euros qui intriguent les juges s’ajoutent aux 18 millions d’euros de fausses factures présumées émises par Bygmalion, et qui auraient été destinées à masquer des dépassements de dépenses durant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, rappelle la source judiciaire.  Au total, treize personnes sont mises en examen dans cette enquête. Parmi elles figurent d’anciens responsables de la campagne de l’ex-chef de l’Etat, d’ex-cadres de l’UMP et d’anciens responsables de la société Bygmalion.  Nicolas Sarkozy, aujourd’hui président des Républicains, a été entendu début septembre dans le cadre d’une audition libre. L’enquête des juges, initialement ouverte pour faux, usage de faux, abus de confiance, tentative d’escroquerie et complicité et recel de ces délits, a été étendue fin novembre au délit de financement illégal de campagne électorale. Dans un entretien publié mardi dans Le Parisien, Nicolas Sarkozy « conteste formellement que les comptes de la campagne présidentielle aient ‘dérapé’ ». L’ex-directeur adjoint de la campagne de 2012, Jérôme Lavrilleux, l’a accusé à la mi-octobre dans L’Obs de ne « pas assumer ». Selon l’eurodéputé, « les comptes ont débordé de tous les côtés. » « Les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 ont dérapé, et pas seulement le budget consacré aux meetings. Il ne faudrait plus appeler cette affaire ‘Bygmalion’, mais celle des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy », a déclaré Jérôme Lavrilleux à

Médecins : grève le 13 novembre contre la bureaucratie

Médecins : grève le 13 novembre contre la bureaucratie

En cause le processus d’étatisation de la médecine libérale et la bureaucratie. Avec le danger d’une dérive des consultations sur faiat du tiers payant et du déficit de la sécu (10 milliards annelles et de 200 milliards de déficit cumulé). L’ensemble des syndicats de médecins libéraux appellent donc à une journée de fermeture des cabinets le 13 novembre, toujours pour protester contre la généralisation du tiers payant prévue par la loi santé. Le premier syndicat des généralistes, MG France, a annoncé jeudi qu’il ralliait le mouvement lancé par les quatre autres confédérations (CSMF, FMF, le Bloc et SML). « Le gouvernement doit nous entendre en donnant des moyens aux soins primaires organisés autour des médecins généralistes et en retirant de son projet de loi l’obligation sur le tiers payant », dit MG France dans un communiqué. « Car cette obligation ne peut résoudre le désaccord profond entre les régimes d’assurance maladie obligatoires et complémentaires sur le processus tiers-payant. » La généralisation du tiers payant permettra au patient de ne plus avancer de frais de santé mais les organisations professionnelles estiment qu’elle alourdira les obligations administratives des médecins. Certains syndicats jugent en outre qu’elle les place en position de dépendance totale vis-à-vis de l’Assurance maladie et disent redouter, comme la CSMF, une étatisation de la santé. Ce syndicat a déjà appelé à la « désobéissance civile » sur le sujet du tiers payant, qui devrait être en place en 2017. La loi santé portée par la ministre Marisol Touraine doit être examiné en seconde lecture à l’Assemblée à partir du 16 novembre.

Déficit sécu : 10 milliards au lieu de 13 ? C’est sûr ?

Déficit sécu : 10 milliards au lieu de 13 ? C’est sûr ?

 

 

Curieux ce bilan, quand même pas très brillant de la sécu annoncé par une ministre très fragilisée ; Il n’y aurait que 10 milliards de déficit en 2014 au lieu de 13 prévus. 300 millions pour la maladie, 500 millions pour la branche famille, un peu plus d’1 milliard pour les retraites. 3 milliards donc qui auraient été économisés ;   mais sur un budget de l’ordre de 475 milliards, on peut vite se tromper de quelques milliards ( surtout avec les transferts de toutes natures). Bizarre en tout cas que ce bilan ( qu’il faudra quand même faire vérifier par la cour des comptes) soit annoncé précipitamment par une ministre de la santé sérieusement secouée politiquement ( et qui pourrait bien sauter au prochain remaniement).    On annonce donc  seulement 10 milliards pour le  «trou» de la Sécu. De près de 24 milliards d’euros en 2010, il est passé à moins de dix milliards quatre années plus tard. Du jamais vu depuis 2007, soit l’année qui a précédé le début de la crise financière. Marisol Touraine, l’avait laissé entendre mardi soir lors d’une audition à l’Assemblée nationale. La ministre de la Santé l’a certifié, dans un communiqué, publié conjointement par Bercy, un peu plus tard dans la soirée, confirmant une information des Échos.  Le seul déficit de la Sécurité sociale s’établit en 2014 à 9,7 milliards d’euros, soit 2,8 milliards de moins qu’en 2013. Surtout, ce montant est inférieur de deux milliards aux 11,7 milliards qu’avait prévus le gouvernement en septembre dernier. Si l’on y ajoute le fonds de solidarité vieillesse, le solde est en déficit de 13,2 milliards (contre 15,4 milliards anticipés jusque-là). Dans le détail, toutes les branches du régime général améliorent leur solde par rapport à la prévision de septembre, explique le communiqué. Parmi elles, l’assurance vieillesse (-1,2 milliard d’euros), dont les comptes se rapprochent de l’équilibre, avec un solde qui progresse de deux milliards d’euros. Autre exemple: les dépenses de l’assurance maladie, qui seront inférieures de 300 millions d’euros par rapport à l’objectif fixé dans la dernière loi de financement. Conséquence: après s’être creusé en 2013, le déficit de la branche maladie diminue de nouveau, de -6,8 milliards à 6,5 milliards. Idem du côté de la branche famille, dont le «trou» a reculé de 500 millions d’euros, à 2,7 milliards. Seul le Fonds solidarité vieillesse – qui assure le financement des allocations du minimum vieillesse – affiche un déficit plus élevé qu’en 2013: -3,5 milliards (contre 2,9 milliards). Ces résultats sont, pour l’heure, provisoires en attendant qu’ils soient validés par la Cour des Comptes qui rendra son avis le 30 juin prochain. «(Cette performance) a été atteinte sans avoir procédé à aucun transfert de charge de l’assurance maladie vers les ménages: ni déremboursement, ni franchise», réagit Marisol Touraine.

 

Sondage Popularité: Hollande à 13% et Valls à 37%

Sondage Popularité: Hollande à 13% (-1) et Valls à 37% (+1)

 

Un sondage qui ne signifie pas grand-chose puisque Hollande perd un point et Valls en gagne un car cette évolution se situe dans la marge d’erreur statistique ; Il faut retenir l’impopularité constante de Hollande et l’ enlisement de Valls.  Selon IFOP   La cote de popularité de François Hollande s’établit en novembre à 13%, en baisse d’un point en un mois, et celle de Manuel Valls à 37%, en hausse d’un point, selon le baromètre IFOP publié par le Journal du Dimanche. 13% des personnes interrogées se déclarent « satisfaites de François Hollande comme président de la République » (1% très satisfaites et 12% plutôt satisfaites) contre 85% qui en sont mécontentes (43% très mécontentes et 42% plutôt mécontentes). 2% ne se prononcent pas. 37% des sondés sont « satisfaits de Manuel Valls comme Premier ministre » (4% très satisfaits et 33% plutôt satisfaits) contre 60% qui en sont mécontents (21% très mécontents et 39% plutôt mécontents). 3% ne se prononcent pas. Sondage réalisé par téléphone du 14 au 22 novembre auprès d’un échantillon de 1.894 personnes, représentatif de la population française adulte (méthode des quotas).

 

Sondage 2017 : Hollande soutenu par 13% des Français !

Sondage 2017 : Hollande soutenu par 13% des français !

 

Seulement 13 % des Français souhaitent que l’actuel chef de l’État se représente à la présidentielle, et 27 % des sympathisants de gauche, dont 26 % de ceux qui ont voté pour lui au premier tour de la présidentielle en 2012 selon un sondage Opinion Way pour le Figaro . Les chiffres sont plus faibles encore pour François Hollande lorsqu’il s’agit du potentiel de vote à l’occasion de ces primaires. Dans l’hypothèse d’une primaire contre Martine Aubry, Arnaud Montebourg et l’écologiste Cécile Duflot, François Hollande (14 %) arrive 18 points derrière l’actuelle maire PS de Lille (32 %) mais devant l’ancien ministre de l’Économie (12 %), qui lui-même distance l’ancienne ministre du Logement (5 %). Seule configuration favorable au chef de l’État: celle où il se retrouverait seul face à Montebourg. Dans ce cas, Hollande l’emporterait à 24 % mais seulement avec deux points d’avance… Une quasi-égalité. À l’inverse, François Hollande serait nettement distancé si Manuel Valls devait entrer dans le jeu. Hollande, un seul point devant Montebourg, n’obtiendrait que 10 % derrière Valls à 31 % et Aubry à 28 %. Sur l’ensemble des Français, l’ordre d’arrivée reste le même avec le premier ministre en tête et les écologistes loin derrière. Chez les seuls sympathisants socialistes, Manuel Valls l’emporterait devant Martine Aubry avec 6 points d’avance. Frédéric Micheau, directeur des études chez OpinionWay, note dans ce sondage «un net rejet d’une nouvelle candidature du chef de l’État, et un principe très soutenu de la primaire». Quant aux écologistes, son avis est quelque peu lapidaire: «Pour l’instant, la candidature de Cécile Duflot ne recueille qu’un faible écho, proche des résultats d’Eva Joly en 2012.» Selon lui, «sa stratégie de sortie du gouvernement, d’opposition au sein de la majorité, y compris dans une forme de théâtralité, comme lors de l’épisode de la minute de silence à l’Assemblée en mémoire du jeune militant écologiste Rémi Fraisse, ne paye absolument pas».

 

Reforme territoriale 13 régions : la réformette adoptée par l’assemblée

Reforme territoriale 13 régions : la réformette adoptée par l’assemblée

La gauche a voté la reforme à 13 région mais Sarkozy reviendra sous s’il  est élu notamment sur la région Alsace. De toute manière une réformette car la vraie reforme et celle qui devrait être conduite parallèlement c’est la réforme des départements qui sont et de loin les collectivités locales les plus dépensiers. Du faiat de transferts de compétences ais auusi et surtout de la dérive totale des structures, des dépenses de personnel et des aides sociales. Sur le pan économique, 10 régions tout au plus seraient nécessaires s’i l’on s’entente à la réalité des flux de biens et de personnes qui structurent l’espace socio économique. Surtout il faudrait supprimer les départements qui nourrissent les barons de la politique qui  arrosent les électeurs avec l’argent public. Cela suppose une réforme institutionnelle  qui passe par une majorité conséquente des assemblées (réunies en congrès où il faut recueillir les 3/5 ème) ou par un referendum dont tout le monde a  peur. Conclusion, la suppresion des départements ce n’est pas pour demain ! La carte des 13 nouvelles régions a donc  été adoptée en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, dans la nuit de mercredi à jeudi, après un ultime débat passionnel marqué notamment par le baroud d’honneur des députés UMP alsaciens contre la fusion avec Champagne-Ardenne et Lorraine. Environ six heures de débats ont encore été nécessaires dans l’hémicycle pour aboutir au vote de l’article 1er du projet de loi de réforme territoriale, qui prévoit la réduction du nombre de régions métropolitaines de 22 à 13 à compter de 2016. Sur la soixantaine d’amendements pour le supprimer ou le réécrire encore, aucun n’a été adopté.  Le dialogue est « allé à son terme », a plaidé le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, défendant notamment les choix de découpage au nom de la nécessité de donner aux régions la « taille critique » nécessaire face à d’autres régions européennes. La taille ne fait pas la puissance, ont objecté des députés de droite mais aussi de gauche, invoquant les cas des régions allemandes ou espagnoles. Observant qu’ »aucune carte ne fera jamais l’unanimité » et affirmant que le gouvernement n’entend « ni heurter ni gommer les identités locales », le secrétaire d’Etat à la Réforme territoriale André Vallini a appelé à « faire enfin cette nouvelle carte des régions et cette réforme territoriale que les Français attendent». Mais la dizaine d’élus UMP alsaciens ont fait bloc jusqu’au bout pour tenter de maintenir l’Alsace seule, quelques heures après avoir déployé une grande banderole « Ne tuez pas l’Alsace » dans la salle des Quatre-Colonnes. Depuis Mulhouse, où il poursuivait sa campagne pour la présidence de l’UMP, Nicolas Sarkozy a promis, si l’UMP revient au pouvoir, de « défaire » la carte de la réforme territoriale et affirmé que « l’Alsace est la région la plus ouverte au cœur de l’Europe ».  Les députés devraient probablement achever jeudi la deuxième lecture de ce texte, qui prévoit aussi de repousser les régionales de mars à décembre 2015, et fera l’objet d’un vote solennel le 25 novembre.

 

Régions : le Sénat pour 15 régions au lieu de 13

Régions : le Sénat pour 15 régions au lieu de 13

Le bricolage des régions continue, de 12 on est passé  13 puis le sénat en prévoit désormais 15, encore un effort et on reviendra au découpage actuel. Une grande avancée aussi le changement de nom de la région centre qui prend la dénomination «  centre-val de Loire » mais demeure une région minuscule sans aucune réalité économique ou culturelle. Peut-être pourrait-on demander aux habitants de cette région de décider eux mêmes du nom de leur région (ou tout cas d’être consultés). De toute manière tant que les départements demeureront cette reformes est illusoire. D’autant que les réalités économiques (atour des points nodaux des flux de biens et de personnes) ne font apparaitre qu’à pine une dizaine de régions réelles. La commission spéciale du Sénat sur la réforme territoriale a modifié mardi la nouvelle carte des régions dessinée par l’Assemblée. Elle propose 15 régions au lieu de 13, et une région Alsace.  A quoi ressemblera vraiment cette nouvelle carte des régions ? Réuni mardi en commission spéciale sur la réforme territoriale, le Sénat a modifié la carte dessinée par l’Assemblée nationale, proposant 15 régions au lieu de 13 et créant une région Alsace. La région Alsace est ainsi séparée d’une grande région qui l’englobait initialement avec les régions Champagne-Ardenne et Lorraine. La commission du Sénat a également rétabli les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, que la carte de l’Assemblée unifiait. La région Centre est nommée Centre-Val de Loire, selon le Sénat. Mais ce n’est pas tout, le Sénat a également rétabli la possibilité pour deux départements de fusionner. La commission a aussi modifié les conditions de changement de région pour un département. Les membres de la commission ont par contre maintenu le nombre de conseillers régionaux et approuvé la date des élections départementales les 22 et 29 mars. L’examen du texte en deuxième lecture commencera en séance plénière au Sénat le 28 octobre, après une déclaration du Premier ministre Manuel Valls sur l’ensemble de la réforme.

 

Police : grève le 13 novembre

Police : grève le 13 novembre

 

 

Après les notaires, les huissiers, les inspecteurs du permis de conduire, les pilote d’Air France, bref les catégories les moins favorisées ! c’est maintenant aux policiers de se lancer dans la grève. Des grèves  qui témoignent  en tout cas du réveil du corporatisme, du délitement de l’autorité du gouvernement  et de la situation pitoyable du pays. A quand une grève des banquiers ? A noter que la grève lancée par le syndicat alliance se situe quelques semaines avant les élections syndicales. Une sorte de rituel qu’on rencontre auusi à la SNCF ou à la RATP.  Le syndicat Alliance Police nationale a donc appelé à une « manifestation nationale d’envergure sur la voie publique » à Paris, place de la République, le 13 novembre, a annoncé son secrétaire général Jean-Claude Delage. « J’appelle mes collègues à une manifestation nationale d’envergure », a déclaré celui qui est également vice-président de la fédération fonction publique de la CFE-CGC, depuis le local de Dunkerque (Nord) du syndicat.  »Les collègues vivent le pire, s’impatientent et veulent des réponses ». « Le 13 novembre, on va exiger d’être entendu par Beauvau, Matignon et j’espère l’Elysée. Ce sera le dernier avertissement avant la désespérance », a-t-il encore prévenu, évoquant « un mal-être qui ne s’exprime pas encore complètement à l’extérieur mais ne saurait tarder ».
 La manifestation fera écho à celle qui s’était tenue un an plus tôt, le 13 novembre 2013 place des Invalides, qui avait réuni 5.000 policiers. Le choix du lieu cette fois sera plus symbolique et le policier table sur deux fois plus de participants.  En visite dans le Nord à quelques semaines d’élections professionnelles, le syndicaliste a expliqué avoir choisi d’annoncer la manifestation depuis Dunkerque car « le quotidien des difficultés, c’est dans des zones comme celles-ci ».   »Les collègues ont l’impression que les conditions de travail, les conditions de vie au travail, se dégradent à cause de restrictions budgétaires, de locaux inadaptés, de textes tels que la réforme pénale qui viennent contrarier la fonction de police », a rapporté Jean-Claude Delage. « Management archaïque », « de moins en moins d’initiative laissée sur le terrain », « manque de moyens matériels et humains », « création des zones de sécurité prioritaires sans moyens supplémentaires », c’est une longue liste de critiques formulées par Alliance. Le syndicat demande notamment la mise en œuvre d’un plan pluri-annuel pour dynamiser les perspectives de carrières.  »Quasi tous les commissariats du département sont en situation d’insalubrité », a expliqué de son côté Bruno Noël, secrétaire zonal pour le Nord/Pas-de-Calais. Les policiers du nord de la France subissent également de plus en plus difficilement les problèmes posés par l’explosion du nombre de migrants dans Calais et ses alentours, a indiqué le policier.  »Les migrants sont de plus en plus violents envers les collègues », a regretté Noël.

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