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Inflation: Une aumône de 100 euros pour les pauvres

Inflation: Une aumône de  100 euros pour les pauvres

 

 

Alors qu’on s’oriente officiellement vers une inflation de leur de 10 % ( inflation sous-estimée par l’INSEE du fait de l’évolution structurelle de la consommation notamment des ménages dans les dépenses contraintes ne cessent  d’augmenter, le gouvernement envisage une aumône de 100 € pour les pauvres.

 

Au rythme actuel, l’inflation moyenne en Europe aura atteint et même dépassé les 10 % d’ici la fin de l’année . Après avoir grimpé de 7,4% en avril à 8,1% en mai, l’inflation atteint désormais 8,6% en moyenne dans les 19 pays ayant adopté la monnaie unique. ). En cause d’abord l’envol les prix des matières premières, ensuite l’effet de la guerre en Ukraine, enfin la spéculation. D’après Michel Édouard Leclerc la hausse de la moitié des prix ne serait pas justifiée. Producteurs et intermédiaires profitent de la conjoncture augmentée indûment leurs tarifs en organisant au besoin une certaine rétention.

 

En France, , l’indice des prix à la consommation a grimpé à 5,8% au mois de juin après 5,2 % en mai. On sera sans doute proche de 10 % vers la fin d’année. Bilan pour les ménages dont le revenu moyen et de l’ordre de 2000 €, une perte de 200 € par mois. Une perte que ne pourront compenser l’augmentation des salaires et de la redistribution.

À défaut de mesures structurelles susceptibles de modifier de manière durable le fonctionnement des marchés et de peser sur l’inflation, les pauvres devront se contenter pour l’instant d’un chèque de 100 €. «On souhaite prévoir une indemnité alimentaire d’urgence de 100 euros par foyer et 50 euros par enfant pour 9 millions de personnes et on travaille en complément sur un chèque alimentaire plus qualitatif pour accéder à des produits bio, frais et locaux», a déclaré Olivia Grégoire , la porte-parole du gouvernement.

 

 

Le projet de loi pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres. «On a déjà engagé 25 milliards d’euros depuis le mois d’octobre sur ces mesures de soutien aux Français et on mettra à peu près la même somme dans les mois qui viennent», a commenté Olivia Grégoire, en disant également espérer la mise en place «à la rentrée un dispositif spécifique pour les gros rouleurs qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler».

 

Une aumône de 100 euros pour les pauvres

Une aumône de  100 euros pour les pauvres

 

 

À défaut de mesures structurelles susceptibles de modifier de manière durable le fonctionnement des marchés et de peser sur l’inflation, les pauvres devront se contenter pour l’instant d’un chèque de 100 €. «On souhaite prévoir une indemnité alimentaire d’urgence de 100 euros par foyer et 50 euros par enfant pour 9 millions de personnes et on travaille en complément sur un chèque alimentaire plus qualitatif pour accéder à des produits bio, frais et locaux», a déclaré Olivia Grégoire lors d’un déplacement à La Chapelle-sur-Erdre, près de Nantes.

Le projet de loi pouvoir d’achat devrait être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres. «On a déjà engagé 25 milliards d’euros depuis le mois d’octobre sur ces mesures de soutien aux Français et on mettra à peu près la même somme dans les mois qui viennent», a commenté Olivia Grégoire, en disant également espérer la mise en place «à la rentrée un dispositif spécifique pour les gros rouleurs qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler».

 

«Nous arrivons au pic de l’inflation. La bonne nouvelle c’est que cela devrait ensuite descendre, sans doute vers la fin de l’année et le début de l’année prochaine».

Ou peut-être  plus tard!

Société-Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Société-Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Pétrole : mouvement de yo-yo sous les 100 $

Pétrole : mouvement de yo-yo sous les 100 $

le marché du pétrole risque d’être déstabilisé pendant un long moment du fait de la guerre en Ukraine mais aussi des menaces inflationnistes sur la croissance. Du coup,  le baril va d’enregistrer des mouvements de yo-yo réguliers mais cependant sur une tendance globale haussière. Les prix du pétrole ont par exemple continué de baisser mercredi, se rapprochant de leur niveau d’avant l’invasion militaire russe en Ukraine, lestés par les craintes d’un ralentissement de la demande en or noir, sur fond d’optimisme quant aux pourparlers de cessez-le-feu entre Moscou et Kiev.

Au terme d’une séance très volatile, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a lâché 1,89% pour terminer à 98,02 dollars.

Le SMIC annuel du grand patron d’Apple : 100 millions de dollars

Le SMIC annuel du grand patron d’Apple : 100 millions de dollars

 

En plus de son salaire, le patron d’Apple recevra de près de 90 millions de dollars en actions.

Mais là, trop c’est trop, estime en substance le fonds souverain de Norvège concernant la rémunération de Tim Cook, le directeur général d’Apple. Le fonds, le plus richement doté au monde avec plus de 1100 milliards d’euros d’actifs, possède 1, 03% du capital d’Apple. Il a annoncé dimanche qu’il allait voter contre les rémunérations des dirigeants d’Apple et notamment celle de son numéro un lors de l’assemblée générale des actionnaires prévue le 4 mars. Une enveloppe totale de 99 millions de dollars sur un an.Soit de quoi faire au moins 100 000 personnes en Afrique !

Le pétrole au-delà des 100 $ avec l’Ukraine ?

Le pétrole au-delà des 100 $ avec l’Ukraine ?

 

Le pétrole pourrait très rapidement atteindre les 100 $ le baril compte tenu notamment de la crise en Ukraine. Le pétrole était déjà sur une tendance haussière depuis un moment du fait de la reprise économique et contingentement de l’OPEP plus.

Les prix du pétrole bondissaient e n ce début de semaine pour atteindre 95 $. Plusieurs experts pensent même que le pétrole pourrait même atteindre les 125 à 150 $ le baril.

En effet, la Russie est l’un des premiers producteurs et exportateurs mondiaux de  pétrole avec l’Arabie Saoudite, avec une part estimée à 12% selon les estimations de JP Morgan. Or la quasi moitié de ces exportations  sont à destination de l’Europe.  Avec ses 1,5 million de barils par jour, soit un volume supérieur à la production d’un pays comme le Nigéria, le pipeline de Droujba fournit le brut russe aux raffineries de Pologne, d’Allemagne, de République tchèque, de Hongrie, de Slovaquie, via le Belarus et l’Ukraine. Le risque est de flambée des prix est donc important en cas de suspension des livraisons de pétrole.

 

Le pétrole vers les 100 $ avec l’Ukraine

Le pétrole vers les 100 $ avec l’Ukraine

Le pétrole pourrait très rapidement atteindre les 100 $ le baril compte tenu notamment de la crise en Ukraine. Le pétrole était déjà sur une tendance haussière depuis un moment du fait de la reprise économique et contingentement de l’OPEP plus.

 Les prix du pétrole bondissaient mardi matin en Asie sur fond d’escalade de la crise russo-ukrainienne. Vers 00H25 GMT le cours du baril américain de West Texas Intermediate (WTI) grimpait de 2,61%, à 93,45 dollars, après être monté de plus de 3% plus tôt dans les échanges.

Plusieurs experts pensent même que le pétrole pourrait même atteindre les 125 $ le baril.

Pétrole : le Brent vers les 100 $ ?

Pétrole : le Brent vers les 100 $ ?

Le baril de pétrole ne cesse d’augmenter, hier mercredi il a fini à environ 90 $ pour le Brent. Précédemmentn le mouvement haussier du pétrole était justifié par la reprise économique mondiale. Cela avait d’ailleurs amené l’OPEP a continué de gérer le contingentement en tenant compte de cette conjoncture. En réalité, la reprise en 2022 semble moins importante que prévu et le FMI a d’ailleurs révisé à la baisse ses prévisions pour l’activité mondiale.

Du coup, pour tenter d’expliquer le mouvement continu de hausse, les experts indiquent que le phénomène de progression du prix du pétrole provient aussi largement de la situation géopolitique et notamment des événements à la frontière entre la Russie et l’Ukraine. Des événements qui ont nettement nourri les tensions entre Poutine et les États-Unis.

 «Le marché intègre le risque de nouveaux épisodes géopolitiques à la frontière russo-ukrainienne », a pointé, dans une note, Bart Melek, responsable de la stratégie matières premières chez TD Securities.

Une explication qui n’est pas totalement fausse mais certainement insuffisante pour comprendre la hausse continue du pétrole depuis des semaines et des mois.

En effet c’est aussi le résultat de la politique monétaire. Les banques centrales ont en fait fait tourner la planche à billets et déversé des sommes considérables de liquidités. Du coup, les monnaies se sont trouvées dévaluées et les pays producteurs de pétrole mais aussi de matières premières ont réajusté leur prix. Des hausses qui ensuite se répercutent et contaminent l’ensemble des économies.

Bref l’amortissement de la politique monétaire accommodante se fait comme d’habitude par l’inflation et la dévaluation de fait des monnaies.

Fin décembre 2019, le prix du baril était autour de 60 $ ( Un niveau particulièrement bas), il est passé aujourd’hui à 90 $ et pourrait tendre vers les 100 $. Un phénomène qui découle aussi du décalage entre la valeur réelle des monnaies et la richesses produites. Aujourd’hui la dynamique de hausse est sans doute excessive mais même si comme c’est probable le prix du baril retrouve des niveaux de prix plus modérés, il intégrera l’inflation générée par la politique monétaire très généreuse. Le pétrole aura du mal à redescendre sous les 80 $.

Covid Omicron : environ 100 cas en Europe

Covid Omicron : environ 100 cas en Europe

109 cas concerneraient l’Europe. En France, 12 cas ont été recensés, selon les autorités sanitaires. Les États-Unis en comptent pour leur part 10 au total, dont deux concernant des malades n’ayant pas voyagé à l’étranger, signe que les transmissions sont désormais aussi locales.

L’Australie a pour sa part annoncé aujourd’hui trois premiers cas à Sidney, malgré l’interdiction faite aux étrangers d’entrer sur son territoire et les restrictions de vols vers l’Afrique australe.

La Tunisie et le Mexique ont eux annoncé leurs premiers cas ce vendredi.

Covid-19 France : le taux d’incidence au-repasse au dessus de 100 !

Covid-19  France : le taux d’incidence au-repasse au dessus de 100 !

En moyenne le nombre de contaminés quotidiens est repassé à 10 000, c’est-à-dire avant près le double d’il y a quelques semaines. Par ailleurs Le taux d’incidence, lui, est désormais établi à 100,2 cas pour 100.000 habitants sur les sept derniers jours, selon Santé publique France. C’est une première depuis le mois de septembre. À titre de comparaison, le 15 octobre, ce taux était de 48,8. Le 30 octobre, il était de 61,2. La circulation virale a donc doublé en un mois.

 

L’épidémie s’aggrave de nouveau en France, où 70 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan du jour de Santé publique France. 7361 malades sont actuellement hospitalisés, dont 631 depuis la veille. Ils étaient 7111 dimanche. 1257 patients sont soignés dans les services de soins critiques, dont 144 admis ce lundi. Ils étaient 1210 dimanche. 3241 nouveaux cas ont été détectés.

« Fraude sociale » : un montant de 100 milliards ???

« Fraude sociale » : un montant de 100 milliards ???

 

 

Récemment encore Zemmour a fait référence au chiffre de la fraude sociale en s’appuyant sur des affirmations de l’ancien magistrat Charles Prats . D’après ce dernier, la fraude sociale et fiscale s’élèverait à 100 milliards  dont  la grande partie serait imputable aux immigrés.

 

D’abord par définition tout ce qui est frauduleux est forcément statistiquement difficile à apprécier. Du coup, les évaluations varient de manière considérable.

 

Un milliard d’euros : c’est le montant de la fraude aux organismes sociaux détectée en 2019, selon le rapport de la Cour des comptes. « En 2019, les principaux organismes sociaux ont détecté un milliard d’euros de préjudices subis ou évités au titre de fraudes avérées ou suspectées », « Les fraudes détectées se concentrent sur le revenu de solidarité active (RSA), la prime d’activité et les aides au logement pour les caisses d’allocations familiales (CAF), les professionnels de santé et les établissements de santé pour les caisses primaires d’Assurance maladie, le minimum vieillesse pour les caisses de retraite, les reprises d’activité non déclarées pour Pôle emploi », précisent les sages de la rue Cambon.

Au total, la fraude aux prestations sociales pourrait toutefois atteindre un montant bien plus élevé que celui évoqué par la Cour des comptes : « 14 milliards, voire encore davantage », indique au Point Pascal Brindeau, le rapporteur de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

Et pour justifier en tout cas expliquer cette fraude, on se focalise surtout sur le nombre de cartes vertes de l’assurance-maladie. « En comparant les chiffres de l’Insee et le nombre d’assurés sociaux des différents régimes, nous avons découvert environ cinq millions d’assurés sociaux de plus que de résidents en France », explique Pascal Brindeau. « On peut dire de manière certaine que pour le seul régime de l’Assurance maladie, il y a 2,4 millions d’assurés supplémentaires au nombre de résidents qu’on ne sait pas expliquer », dévoile le député UDI. « En estimant la part liée aux autres régimes, on peut évaluer ce nombre autour de trois millions. C’est ahurissant », ajoute-t-il.

De là à en conclure que la fraude atteint 100 milliards il y a un pas que franchit l’ancien magistrat Charles Prats qui n’est pourtant pas spécialement compétent en matière statistique.

Pourquoi donc la réitération de ce chiffre et l’attribution de sa responsabilité à l’immigration. Tout simplement sans doute parce qu’on ne veut pas cibler directement tous les bénéficiaires de l’énorme dépense sociale de plus de 800 milliards par an (toutes prestations confondues).

Du coup indirectement on laisse entendre que ce sont surtout les immigrés qui sont responsables de l’ampleur de cette dépense nationale. Une manière d’éviter des débats de fond qui fâcheraien t les Français concernant par exemple la retraite, l’allocation adulte handicapé, l’insuffisance de compétitivité et de productivité (qui affecte la croissance et les ressources fiscales)  sans parler des coûts particulièrement excessifs de gestion de cette couverture sociale.

Société–Fraude sociale : un montant de 100 milliards ???

Société–Fraude sociale : un montant de 100 milliards ???

 

 

Récemment encore Zemmour a fait référence au chiffre de la fraude sociale en s’appuyant sur des affirmations de l’ancien magistrat Charles Prats . D’après ce dernier, la fraude sociale et fiscale s’élèverait à 100 milliards part dont  la grande partie serait imputable aux immigrés.

 

D’abord par définition tout ce qui est frauduleux est forcément statistiquement difficile à apprécier. Du coup les évaluations varient de manière considérable.

 

Un milliard d’euros : c’est le montant de la fraude aux organismes sociaux détectée en 2019, selon le rapport de la Cour des comptes. « En 2019, les principaux organismes sociaux ont détecté un milliard d’euros de préjudices subis ou évités au titre de fraudes avérées ou suspectées », « Les fraudes détectées se concentrent sur le revenu de solidarité active (RSA), la prime d’activité et les aides au logement pour les caisses d’allocations familiales (CAF), les professionnels de santé et les établissements de santé pour les caisses primaires d’Assurance maladie, le minimum vieillesse pour les caisses de retraite, les reprises d’activité non déclarées pour Pôle emploi », précisent les sages de la rue Cambon.

Au total, la fraude aux prestations sociales pourrait toutefois atteindre un montant bien plus élevé que celui évoqué par la Cour des comptes : « 14 milliards, voire encore davantage », indique au Point Pascal Brindeau, le rapporteur de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

Et pour justifier en tout cas expliquer cette fraude on se focalise surtout sur le nombre de cartes vertes de l’assurance-maladie. « En comparant les chiffres de l’Insee et le nombre d’assurés sociaux des différents régimes, nous avons découvert environ cinq millions d’assurés sociaux de plus que de résidents en France », explique Pascal Brindeau. « On peut dire de manière certaine que pour le seul régime de l’Assurance maladie, il y a 2,4 millions d’assurés supplémentaires au nombre de résidents qu’on ne sait pas expliquer », dévoile le député UDI. « En estimant la part liée aux autres régimes, on peut évaluer ce nombre autour de trois millions. C’est ahurissant », ajoute-t-il.

De là à en conclure que la fraude atteint 100 milliards il y a un pas que franchit l’ancien magistrat Charles Prats qui n’est pourtant pas spécialement compétent en matière statistique.

Pourquoi donc la réitération de ce chiffre et l’attribution de sa responsabilité à l’immigration. Tout simplement sans doute parce qu’on ne veut pas cibler directement tous les bénéficiaires de l’énorme dépense sociale de plus de 800 milliards par an (toutes prestations confondues).

Du coup indirectement on laisse entendre que ce sont surtout les immigrés qui sont responsables de l’ampleur de cette dépense nationale. Une manière d’éviter des débats de fond qui fâcherait les Français concernant par exemple la retraite, l’allocation adulte handicapé, l’insuffisance de compétitivité et de productivité qui affecte la croissance et les ressources fiscales sans parler des coûts particulièrement excessifs de gestion de cette couverture sociale.

Fraude sociale : un montant de 100 milliards ???

Fraude sociale : un montant de 100 milliards ???

 

 

Récemment encore Zemmour a fait référence au chiffre de la fraude sociale en s’appuyant sur des affirmations de l’ancien magistrat Charles Prats . D’après ce dernier, la fraude sociale et fiscale s’élèverait à 100 milliards part dont  la grande partie serait imputable aux immigrés.

 

D’abord par définition tout ce qui est frauduleux est forcément statistiquement difficile à apprécier. Du coup les évaluations varient de manière considérable.

 

Un milliard d’euros : c’est le montant de la fraude aux organismes sociaux détectée en 2019, selon le rapport de la Cour des comptes. « En 2019, les principaux organismes sociaux ont détecté un milliard d’euros de préjudices subis ou évités au titre de fraudes avérées ou suspectées », « Les fraudes détectées se concentrent sur le revenu de solidarité active (RSA), la prime d’activité et les aides au logement pour les caisses d’allocations familiales (CAF), les professionnels de santé et les établissements de santé pour les caisses primaires d’Assurance maladie, le minimum vieillesse pour les caisses de retraite, les reprises d’activité non déclarées pour Pôle emploi », précisent les sages de la rue Cambon.

Au total, la fraude aux prestations sociales pourrait toutefois atteindre un montant bien plus élevé que celui évoqué par la Cour des comptes : « 14 milliards, voire encore davantage », indique au Point Pascal Brindeau, le rapporteur de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

Et pour justifier en tout cas expliquer cette fraude on se focalise surtout sur le nombre de cartes vertes de l’assurance-maladie. « En comparant les chiffres de l’Insee et le nombre d’assurés sociaux des différents régimes, nous avons découvert environ cinq millions d’assurés sociaux de plus que de résidents en France », explique Pascal Brindeau. « On peut dire de manière certaine que pour le seul régime de l’Assurance maladie, il y a 2,4 millions d’assurés supplémentaires au nombre de résidents qu’on ne sait pas expliquer », dévoile le député UDI. « En estimant la part liée aux autres régimes, on peut évaluer ce nombre autour de trois millions. C’est ahurissant », ajoute-t-il.

De là à en conclure que la fraude atteint 100 milliards il y a un pas que franchit l’ancien magistrat Charles Prats qui n’est pourtant pas spécialement compétent en matière statistique.

Pourquoi donc la réitération de ce chiffre et l’attribution de sa responsabilité à l’immigration. Tout simplement sans doute parce qu’on ne veut pas cibler directement tous les bénéficiaires de l’énorme dépense sociale de plus de 800 milliards par an (toutes prestations confondues).

Du coup indirectement on laisse entendre que ce sont surtout les immigrés qui sont responsables de l’ampleur de cette dépense nationale. Une manière d’éviter des débats de fond qui fâcherait les Français concernant par exemple la retraite, l’allocation adulte handicapé, l’insuffisance de compétitivité et de productivité qui affecte la croissance et les ressources fiscales sans parler des coûts particulièrement excessifs de gestion de cette couverture sociale.

Endettement mondial : hausse à 100% du PIB

Endettement mondial : 100% du PIB

 

Pour parler simplement le monde a consommé par avance une année de richesse mondiale. Nombres d’experts répondront que cette situation ne constitue pas un problème tant que les taux d’intérêt restent aussi bas. La question fondamentale est de savoir jusqu’à quand ces taux pourront rester aussi bas si l’inflation actuellement poussée par la montée des matières premières de base et l’énergie continue de s’envoler et de contaminer la sphère de la consommation.

En continuant d’inonder les marchés financiers de liquidités les banques centrales ne font rien d’autre que de faire tourner la machine à billets. Une sorte de fausse monnaie en quelque sorte qui connaîtra une dévaluation notamment à travers le phénomène inflationniste en cours.. La dette publique mondiale a bondi de 14% en 2020 par rapport à 2019, pour un montant total de 88.000 milliards de dollars, s’approchant du seuil des 100 % du PIB, indique le rapport annuel de surveillance budgétaire du FMI, publié dans le cadre des assemblées générales d’automne.

Celle des économies développées a atteint 122,7% du PIB. Les niveaux varient de 254,1% pour le Japon, 155,8% en Italie, 133,9% aux États-Unis, 115,1% en France et 69,1% pour l’Allemagne. Les économies émergentes ont aussi enregistré une forte hausse, à 64% contre 54,7% en 2019, avec, là encore, des écarts importants. La dette du Brésil, de loin la plus élevée des grands émergents, frise les 100%, à 98,9%, à l’inverse de la Russie, à 19,3%. L’année 2020 a également connu une envolée des déficits publics, à 10,2% du PIB à l’échelle mondiale, à un niveau comparable pour les pays

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