Archive pour le Tag '100%'

Fauteuils roulants: seront remboursés à 100%

Fauteuils roulants: seront  remboursés à 100% 

« Dès demain, la liste de tous les fauteuils qui seront pris en charge va sortir », a averti le chef de l’État, dans une vidéo diffusée sur TikTok, assurant que cette liste était « très large ». Pour les fauteuils « plus spécifiques », en « raison de la nature du handicap », et pour le handisport, une « prise en charge complète » sera aussi possible après « entente préalable » avec la Sécurité sociale, avec une réponse dans un délai maximal de « deux mois », a-t-il promis.

Environ un million de personnes en France utilisent un fauteuil roulant, dont des seniors à mobilité réduite et des personnes en situation de handicap, aux besoins spécifiques. Et un fauteuil manuel peut coûter jusqu’à 10 000 euros, un électrique jusqu’à 50 000 euros.

Actuellement, l’Assurance maladie rembourse jusqu’à 600 euros dans le premier cas de figure, et jusqu’à 5 200 euros, dans le second. En parallèle, les départements, via la prestation de compensation du handicap (PCH), participent souvent au financement, jusqu’à plusieurs milliers d’euros. Mais les associations de défense de personnes handicapées dénoncent la lourdeur des procédures administratives pour obtenir des aides au financement des fauteuils, ainsi que le reste à charge, souvent trop élevé à leurs yeux.

 

Ferroviaire Italie: un plan de 100 milliards d’euros en cinq ans

Ferroviaire Italie:un plan de 100 milliards d’euros en cinq ans

 Le nouveau directeur général de Ferrovie dello Stato (FS), Stefano Donnarumma, vient d’annoncer dans son plan stratégique de 2025 à 2029 une forte accélération des investissements du groupe dans les dix prochaines années. Après avoir investi 157 milliards d’euros de 1990 à 2016, soit environ 6 milliards par an en moyenne, FS était déjà passé à la vitesse supérieure grâce au plan de relance européen dont il a bénéficié à hauteur de 24,5 milliards.

DZ Mafia: 100 personnes devant la justice

DZ Mafia:  100 personnes devant la justice 

119 personnes ont été interpellées, dont plus de 100 mises en examen, depuis le 1er octobre en lien avec le gang marseillais de narcotrafiquants DZ Mafia, à l’issue d’enquêtes qui ont prouvé la diversification du réseau, ont annoncé samedi la police et le parquet marseillais.

Lors d’une conférence de presse, le procureur de Marseille Nicolas Bessone a notamment fait état de « commanditaires communs » dans deux affaires emblématiques récentes: l’attaque visant un véhicule dans lequel aurait dû se trouver le rappeur SCH, dont l’un des proches avait été tué, le 26 août à la sortie d’une discothèque de la Grande Motte (Hérault), et une extorsion de fonds visant le propriétaire d’une boîte de nuit et d’un restaurant et de commerces marseillais.

Il a souligné que ces affaires marquaient « l’extension du domaine d’activité de cette organisation criminelle » au-delà du trafic de drogues et avaient permis de démontrer ses liens avec le « banditisme traditionnel » ainsi que sa « capacité à se projeter » au-delà de sa région d’origine.

En 2023, le narcobanditisme avait coûté la vie à 49 personnes à Marseille, un sanglant record sur fond de bataille de territoires entre la DZ Mafia et un autre gang de narcotrafic, baptisé Yoda, le premier ayant finalement pris le dessus.

Trump : Menace de taxer à 100 % les BRICS

Trump : Menace de taxer à 100 % les BRICS

 

Les Brics qui veulent se libérer du dollar envisage même de créer leur propre monnaie ce qui évidemment provoquerait un affaiblissement du dollar monnaie ultra dominante pour les échanges internationaux. 
«Nous exigeons de ces pays qu’ils s’engagent à ne pas créer une nouvelle monnaie des BRICS, ni à soutenir une autre monnaie pour remplacer le puissant dollar américain», a déclaré le président américain élu sur son réseau Truth Social, «faute de quoi, ils seront soumis à des droits de douane de 100 % et devront s’attendre à dire adieu à leurs ventes dans la merveilleuse économie américaine.»

 

Le groupe des BRICS comprend neuf pays, dont le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud.

Lundi, Trump  a dit par ailleurs vouloir imposer au Mexique et au Canada des droits de douane de 25% sur l’ensemble des produits importés aux Etats-Unis, malgré l’accord de libre-échange en vigueur entre Washington et ces deux pays.

 

La dette atteint aussi les 100 % au Royaume-Uni

La dette atteint  aussi les 100 % au Royaume-Uni
La dette du secteur public tutoie des sommets jamais atteints depuis les années 1960 au Royaume-Uni. Celle-ci s’élevait en août à 2.546 milliards de livres (un peu plus de 3.000 milliards d’euros), soit exactement 100% du produit intérieur brut (111% pour la France), selon une estimation provisoire publiée ce vendredi par l’Office national des statistiques (ONS).

En cause, aides distribuées pendant l’épidémie de Covid et la crise de l’énergie. Pour rappel, l’an dernier, elle avait déjà dépassé ce palier, selon des chiffres provisoires qui avaient depuis été révisés à la baisse.

En cumulé depuis début avril, début de l’année fiscale britannique, le Royaume-Uni a emprunté 6,2 milliards de livres (7,4 milliards d’euros) de plus que les projections de l’organisme public de prévisions budgétaires (OBR).

Le  Premier ministre Keir Starmer a déjà prévenu que son premier budget, attendu le 30 octobre, serait « douloureux » avec de probables réductions des dépenses publiques et augmentations d’impôts. En effet, selon l’OBR, la « trajectoire ascendante permanente » de la dette risque d’être « insoutenable », au point justement de rendre indispensable cette réduction des dépenses et cette augmentation des impôts.

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Budget de l’Etat : 100 milliards à trouver !

Budget de l’Etat : 100 milliards à trouver !

 

Pour être dans les clous avec un déficit limité à 3 % du PIB en 2027, le budget devra trouver l’équivalent de 100 milliards sur quatre ans. Notons que le programme NFP prévoit lui au contraire au moins 100 milliards de dépenses supplémentaires. Aucun parti politique lors des récentes élections n’a d’ailleurs précisé clairement la nature des économies à réaliser;  Un rééquilibrage indispensable pour éviter une hausse des taux d’intérêt appliqués à la France qui se traduisent par une ardoise de plus de 50 milliards de charges financières en 2024 ( et près de 70 milliards soient le premier budget en 2027). La plupart des solutions avancées par les partis politiques consistent surtout à augmenter les impôts alors que la France détient déjà le record mondial de prélèvements obligatoires.

Une note confidentielle de l’administration du Trésor, envoyée aux ministres cet été, évalue à plus de 100 milliards d’euros l’effort qui doit être fait sur nos finances publiques d’ici 2028. Et ainsi, respecter les règles européennes et espérer faire passer le déficit public en dessous des 3%.

Le dérapage des dépenses est si important, et la trajectoire de déficit si dégradée qu’il faudrait faire pour 2025, plus de 30 milliards d’euros d’économies, pour espérer tenir les engagements budgétaires de la France. D’ici quatre ans, cela porte l’effort à plus de 100 milliards d’euros au moins. « A minima », souligne bien le document.  Des prévisions budgétaires assombries Telles sont les préconisations des experts de Bercy, établies avec des prévisions de croissance autour de 1% cette année, et révisées un peu à la baisse l’an prochain (1% contre 1,4 % prévu au départ, comme cela était noté dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles au printemps).  « La détérioration de l’environnement macro économique-croissance identique mais moins riche en recettes fiscales cette année, et croissance plus faible en 2025, conduit également à réviser les recettes prévues de prélèvements obligatoires de -2,6 Milliards d’euros en 2024 et de – 9,2 Milliards en 2025 », précise encore la note.  Et d’ajouter, « cette révision est notamment portée par la baisse attendue d’impôt sur les sociétés ». La charge de la dette de l’Etat, elle, est en forte hausse, tout comme les dépenses des collectivités qui, selon Bercy, seront beaucoup plus élevées qu’anticipées dans les années à venir.

Aussi, si rien n’est fait, le déficit continuera donc à se creuser fortement : 5,6% du PIB à la fin de cette année, puis 6,2% en 2025 pour se stabiliser en 2027, à 6,5%… Soit loin des 3% attendus par la Commission européenne, et précédemment annoncés par la France.

Budget : 100 milliards à trouver !

Budget : 100 milliards à trouver !

 

Pour être dans les clous avec un déficit limité à 3 % du PIB en 2027, le budget devra trouver l’équivalent de 100 milliards sur quatre ans. Notons que le programme NFP prévoit lui au contraire au moins 100 milliards de dépenses supplémentaires. Aucun parti politique lors des récentes élections n’a d’ailleurs précisé clairement la nature des économies à réaliser;  Un rééquilibrage indispensable pour éviter une hausse des taux d’intérêt appliqués à la France qui se traduisent par une ardoise de plus de 50 milliards de charges financières en 2024 ( et près de 70 milliards soient le premier budget en 2027). La plupart des solutions avancées par les partis politiques consistent surtout à augmenter les impôts alors que la France détient déjà le record mondial de prélèvements obligatoires.

Une note confidentielle de l’administration du Trésor, envoyée aux ministres cet été, évalue à plus de 100 milliards d’euros l’effort qui doit être fait sur nos finances publiques d’ici 2028. Et ainsi, respecter les règles européennes et espérer faire passer le déficit public en dessous des 3%.

Le dérapage des dépenses est si important, et la trajectoire de déficit si dégradée qu’il faudrait faire pour 2025, plus de 30 milliards d’euros d’économies, pour espérer tenir les engagements budgétaires de la France. D’ici quatre ans, cela porte l’effort à plus de 100 milliards d’euros au moins. « A minima », souligne bien le document.  Des prévisions budgétaires assombries Telles sont les préconisations des experts de Bercy, établies avec des prévisions de croissance autour de 1% cette année, et révisées un peu à la baisse l’an prochain (1% contre 1,4 % prévu au départ, comme cela était noté dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles au printemps).  « La détérioration de l’environnement macro économique-croissance identique mais moins riche en recettes fiscales cette année, et croissance plus faible en 2025, conduit également à réviser les recettes prévues de prélèvements obligatoires de -2,6 Milliards d’euros en 2024 et de – 9,2 Milliards en 2025 », précise encore la note.  Et d’ajouter, « cette révision est notamment portée par la baisse attendue d’impôt sur les sociétés ». La charge de la dette de l’Etat, elle, est en forte hausse, tout comme les dépenses des collectivités qui, selon Bercy, seront beaucoup plus élevées qu’anticipées dans les années à venir.

Aussi, si rien n’est fait, le déficit continuera donc à se creuser fortement : 5,6% du PIB à la fin de cette année, puis 6,2% en 2025 pour se stabiliser en 2027, à 6,5%… Soit loin des 3% attendus par la Commission européenne, et précédemment annoncés par la France.

« Pour un gouvernement 100% société civile ! »

« Pour un gouvernement 100% société civile  ! » 

La crise politique actuelle renforce la défiance déjà criante envers les responsables politiques. 85% des jugements des Français sur les politiques sont négatifs, nous apprend la fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et l’institut Montaigne dans une étude publiée ce 30 août. Les Français rejettent plus que jamais les partis politiques, dont on a pourtant besoin pour faire vivre notre démocratie. Aucun ne dispose d’une majorité, ni n’a la capacité de participer à une coalition suffisante pour obtenir une majorité. Aucun ne peut espérer appliquer son programme et rien que son programme, même certains continuent à dire le contraire. On peut le regretter (à titre personnel, je le regrette bien évidemment), mais il faut maintenant l’accepter. Et que les partis politiques arrêtent cet entre-soi qui désespère un peu plus chaque jour les citoyen-nes, qui n’ont d’autres solutions que de se résigner à ne plus s’y intéresser.

 

par  Matthieu Orphelin, Ancien député écologiste, la solution passe désormais par « un exécutif entièrement pensé sur la compétence, l’action et la cohérence ». dans La Tribune 

Le nom du prochain locataire de Matignon sera connu dans les heures ou jours à venir. S’il est issu de la classe politique actuelle, il ne pourra satisfaire une majorité de français. Par ses pairs, il sera jugé trop à gauche ou trop à droite, dans une aventure personnelle, et ne disposera en aucun cas de majorité à l’Assemblée. Donc le bazar continuera quelques mois, jusqu’à, sans doute, une prochaine dissolution, dans l’hypothèse où il n’est pas immédiatement censuré.

Une solution serait d’innover en faisait le choix de nommer exclusivement des ministres aujourd’hui dans la société civile, reconnus chacun-e dans son domaine d’intervention. Y compris le Premier ou la Première d’entre eux. Certains d’entre eux pourraient avoir eu par le passé des expériences politiques, pourvu qu’ils en soient aujourd’hui totalement retirés. Il ne s’agirait pas d’un gouvernement d’ouverture, avec quelques noms en tête de gondole, mais d’un exécutif entièrement pensé sur la compétence, l’action et la cohérence. Avec ce gouvernement 100 % société civile, pas de jeux politiques, pas de plans pour 2027, juste l’intérêt général.

Un tel gouvernement pourrait contribuer à redonner confiance aux citoyennes et aux citoyens. Pour illustrer mon propos, prenons quelques noms en exemples (qui, j’espère, me pardonneront, je ne les ai évidemment pas consultés).

Imaginez un gouvernement où Laurence Tubiana sera à la transition climatique, Jean-Louis Borloo à la cohésion nationale, Valérie Masson-Delmotte à l’enseignement supérieur et la recherche, Tony Estanguet aux sports, Dominique Méda au Travail, Didier Migaud aux Comptes publics, Cécile Duflot aux solidarités, Thomas Jolly à la Culture, Christophe Robert au logement, Selma Mahfouz aux retraites, Emmanuel Faber à l’économie, Delphine Ernotte aux médias et la démocratie participative, Jean-Pisany Ferry au budget et aux investissements, Catherine Guillouard aux entreprises et à l’emploi durable, Dominique de Villepin aux Affaires Etrangères… Qui pourrait vouloir le censurer a priori, à part le RN et les Ciottistes ? Qui pourrait douter de ses compétences ?

Il ne s’agit en rien de gommer les blocs politiques. Les batailles politiques, dont on a besoin dans une démocratie, se feront à l’Assemblée nationale et au Sénat, revivifiant au passage notre parlementarisme. Pour arbitrer les options proposées par le gouvernement, texte par texte, mais aussi par les journées d’initiative parlementaire dont on pourrait demander qu’elles soient plus nombreuses. L’exécutif trouverait ainsi un nouveau rôle d’animation des débats et pourrait préparer en amont les débats parlementaires, en travaillant avec toutes les forces républicaines.

Cela serait tout sauf un gouvernement purement technique. Je le vois chaque jour : la société civile fait elle aussi de la politique, à sa façon et en permanence, en s’organisant dans des coalitions larges et en trouvant les consensus que les partis politiques échouent à atteindre. Elle connait les mesures les plus utiles et les blocages qu’il faudrait lever dans chaque domaine.

Ce gouvernement pourrait commencer par des textes courts, centrés sur les priorités pour les Françaises et les Français. Thème par thème, deux ou trois mesures consensuelles puis une option forte qui sera tranchée par les parlementaires. Prenons quelques exemples. Sur les déserts médicaux, qui pourrissent la vie de millions d’entre nous, un travail transpartisan a depuis longtemps identifié des mesures d’urgences consensuelles ; la régulation de l’installation des nouveaux médecins, mesure clivante, pourrait quant à elle être tranchée au parlement… Dans un texte (ou un PLFR) sur le pouvoir d’achat, des accords de branche on un renforcement de l’intéressement salarial trouveront un large soutien et le relèvement du SMIC, sujet hautement clivant politiquement parlant, être arbitré par les votes des deux chambres.

Sur la fiscalité juste, un impôt sur les superprofits commence à convaincre et pourrait être dessiné par l’exécutif, les parlementaires arbitreront le niveau idoine et sa durée dans le temps. Par ailleurs, les groupes parlementaires auront aussi enfin plus de places pour leurs propositions de loi… Texte par texte, les majorités se feront, et les rôles entre l’exécutif et le législatif seront enfin rééquilibrés. Quant au budget 2025, qui se prépare dans un timing et des conditions dégradées jamais vues, je suis convaincu que des ministres déjà connaisseurs de leurs sujets et des priorités sauront, mieux que d’autres, agir dès début septembre pour le préparer du mieux possible et sortir des lettres de cadrage actuelles (qui sont plus qu’insuffisantes, notamment sur l’écologie).

Voilà donc une proposition pour sortir du chaos. Ayons bien en tête que, malheureusement, contre le RN et ses tristes alliés, le front républicain ne marchera pas à chaque fois. 22 % des Français regrettent déjà d’avoir joué le jeu aux dernières législatives. Et 45 % déclarer penser que c’est d’abord une tactique des forces politiques pour garder le pouvoir.

Alors, partis et responsables politiques, à vous de jouer et de faire confiance à la société civile pour sortir de la crise !

Voitures chinoises : taxe aussi de 100 % par le Canada

Voitures chinoises : taxe aussi de 100 % par le Canada

Tandis que l’union européenne ergote sur le niveau de taxation des voitures chinoises avec un taux autour de 36 %, le Canada suit l’exemple des États-Unis et décide une surtaxe de 5 %. En cause vivement le fait que l’ensemble de l’économie chinoise est subventionné par l’État. Les distorsions de concurrence dans ce domaine stratégique offrent une opportunité exceptionnelle à la Chine d’envahir le marché mondial. À noter toutefois que les acheteurs potentiels de nouveaux véhicules électriques sont beaucoup moins enthousiasme vis-à-vis de cette technique en Europe en particulier. En cause l’autonomie, parfois la fiabilité et surtout le prix.

 

Un choix motivé par le fait que « la Chine ne respecte pas les mêmes règles que les autres pays », a affirmé, lundi, le Premier ministre canadien Justin Trudeau lors d’une conférence de presse à Halifax (est). « Nous devons défendre les emplois et les intérêts canadiens », a-t-il insisté.

« La Chine exprime son vif mécontentement et son opposition résolue » à cette décision, a fustigé ce mardi dans un communiqué son ambassade au Canada, assurant que le pays « prendra toutes les mesures nécessaires » pour protéger ses entreprises.

. La semaine dernière, l’Union européenne (UE) a ainsi confirmé sa volonté de surtaxer pendant cinq ans les voitures électriques provenant de Chine. Ces surtaxes, qui peuvent atteindre jusqu’à 36%, remplaceront des taxes provisoires décidées début juillet à l’encontre des véhicules électriques importés de Chine. La majeure partie des constructeurs chinois est concernée par ces nouveaux droits de douane européens. Bruxelles les imposera notamment à BYD (à hauteur de 17%), à Geely (19,3%), et à SAIC (36,3%), parmi les constructeurs les plus importants de Chine. Tout comme Ottawa, Bruxelles estime les prix des véhicules chinois artificiellement bas du fait de subventions d’Etat qui faussent le marché et nuisent à la compétitivité des constructeurs européens.

 

 

Comptes publics- : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Comptes publics- : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Le Conseil d’analyse économique (CAE) estime nécessaire la mise en place d’un plan de rigueur financière de plus de 100 milliards d’économies d’euros. Exactement l’inverse de ce que propose l’éventuel gouvernement du NFP. Pour le  conseil d’analyse économique (CAE), rattaché à Matignon et présidé par Camille Landais, . « Les futurs gouvernements feront face à un double défi. D’une part, pour garantir la soutenabilité de la dette, continuer à se financer à des taux d’intérêt bas et respecter ses engagements européens, la France doit réduire son déficit public dans les années à venir. D’autre part, pour protéger la croissance et éviter une hausse du chômage, elle doit éviter une consolidation trop rapide », soulignent les économistes. Pour mémoire, la dette de la France s’établit à 110% du produit intérieur brut (3.160 milliards) et le déficit public à 5,5% du PIB (154 milliards).

.

Pour répondre à ces immenses défis, le conseil d’analyse économique préconise de faire une consolidation budgétaire « progressive ». La France devrait faire « une réduction du déficit primaire d’environ 4 points de PIB, soit 112 milliards d’euros, étalée sur 7 à 12 ans, avec un effort initial plus important ». Avec ce rythme, les économistes estiment que la consolidation budgétaire ne devrait pas peser sur la croissance.

Dans leur travail, les experts du CAE suggèrent de mettre en place des taxes temporaires et une sous indexation générale des dépenses et des tranches d’imposition. A titre d’exemple, « si l’indice du point de la fonction publique (État, territoriale et hospitalière) et l’ensemble des prestations sociales en espèces, ainsi que le barème de l’impôt sur le revenu étaient tous gelés en 2025, plutôt que revalorisés à la hauteur de l’inflation de 2024 (estimée à 2,5 %), cela rapporterait environ 20 milliards d’euros aux comptes publics », expliquent les économistes.

Parmi les autres leviers évoqués par le CAE, figurent les aides à l’apprentissage. Le programme économique d’Emmanuel Macron depuis 2017 a fortement mis l’accent sur l’apprentissage avec une réforme et des aides massives à l’embauche. Pour relancer les recrutements après la crise sanitaire, le gouvernement de l’ex-Premier ministre Jean Castex avait encore renforcé ces dispositifs dans le plan de relance à 100 milliards d’euros. Mais cette politique publique sans véritablement de cible a depuis montré ses limites. « Alors que les effets positifs de l’apprentissage sur l’insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés sont démontrés, ses effets sur les catégories plus diplômées, qui n’ont pas de difficultés pour s’insérer sur le marché du travail, sont peu significatifs », indiquent les économistes. Un recentrage sur les moins qualifiés permettrait des économies de l’ordre de 4 milliards d’euros.

Le conseil d’analyse économique propose de revoir également le système des exonérations de cotisation des entreprises. Le total des allégements représenterait la somme astronomique de 80 milliards d’euros par an. L’organisme rattaché à Matignon propose par exemple de supprimer l’exonération de cotisation de la branche famille pour les salaires supérieurs à 2,5 SMIC. Ce qui permettrait de rapporter 2 milliards d’euros. Parmi les autres options sur la table figurent le crédit d’impôt recherche (2,5 milliards d’euros) ou encore la révision des droits de succession (9 milliards d’euros). Des pistes qui devraient être explorées par le prochain exécutif toujours dans l’attente.

 

Dette et déficits publics- : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Dette et déficits publics- : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Le Conseil d’analyse économique (CAE) estime nécessaire la mise en place d’un plan de rigueur financière de plus de 100 milliards d’économies d’euros. Exactement l’inverse de ce que propose l’éventuel gouvernement du NFP. Pour le  conseil d’analyse économique (CAE), rattaché à Matignon et présidé par Camille Landais, . « Les futurs gouvernements feront face à un double défi. D’une part, pour garantir la soutenabilité de la dette, continuer à se financer à des taux d’intérêt bas et respecter ses engagements européens, la France doit réduire son déficit public dans les années à venir. D’autre part, pour protéger la croissance et éviter une hausse du chômage, elle doit éviter une consolidation trop rapide », soulignent les économistes. Pour mémoire, la dette de la France s’établit à 110% du produit intérieur brut (3.160 milliards) et le déficit public à 5,5% du PIB (154 milliards).

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Pour répondre à ces immenses défis, le conseil d’analyse économique préconise de faire une consolidation budgétaire « progressive ». La France devrait faire « une réduction du déficit primaire d’environ 4 points de PIB, soit 112 milliards d’euros, étalée sur 7 à 12 ans, avec un effort initial plus important ». Avec ce rythme, les économistes estiment que la consolidation budgétaire ne devrait pas peser sur la croissance.

Dans leur travail, les experts du CAE suggèrent de mettre en place des taxes temporaires et une sous indexation générale des dépenses et des tranches d’imposition. A titre d’exemple, « si l’indice du point de la fonction publique (État, territoriale et hospitalière) et l’ensemble des prestations sociales en espèces, ainsi que le barème de l’impôt sur le revenu étaient tous gelés en 2025, plutôt que revalorisés à la hauteur de l’inflation de 2024 (estimée à 2,5 %), cela rapporterait environ 20 milliards d’euros aux comptes publics », expliquent les économistes.

Parmi les autres leviers évoqués par le CAE, figurent les aides à l’apprentissage. Le programme économique d’Emmanuel Macron depuis 2017 a fortement mis l’accent sur l’apprentissage avec une réforme et des aides massives à l’embauche. Pour relancer les recrutements après la crise sanitaire, le gouvernement de l’ex-Premier ministre Jean Castex avait encore renforcé ces dispositifs dans le plan de relance à 100 milliards d’euros. Mais cette politique publique sans véritablement de cible a depuis montré ses limites. « Alors que les effets positifs de l’apprentissage sur l’insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés sont démontrés, ses effets sur les catégories plus diplômées, qui n’ont pas de difficultés pour s’insérer sur le marché du travail, sont peu significatifs », indiquent les économistes. Un recentrage sur les moins qualifiés permettrait des économies de l’ordre de 4 milliards d’euros.

Le conseil d’analyse économique propose de revoir également le système des exonérations de cotisation des entreprises. Le total des allégements représenterait la somme astronomique de 80 milliards d’euros par an. L’organisme rattaché à Matignon propose par exemple de supprimer l’exonération de cotisation de la branche famille pour les salaires supérieurs à 2,5 SMIC. Ce qui permettrait de rapporter 2 milliards d’euros. Parmi les autres options sur la table figurent le crédit d’impôt recherche (2,5 milliards d’euros) ou encore la révision des droits de succession (9 milliards d’euros). Des pistes qui devraient être explorées par le prochain exécutif toujours dans l’attente.

 

Déficit : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Déficit : Un plan de rigueur nécessaire de plus de 100 milliards d’euros

Le Conseil d’analyse économique (CAE) estime nécessaire la mise en place d’un plan de rigueur financière de plus de 100 milliards d’économies d’euros. Exactement l’inverse de ce que propose l’éventuel gouvernement du NFP. Pour le  conseil d’analyse économique (CAE), rattaché à Matignon et présidé par Camille Landais, . « Les futurs gouvernements feront face à un double défi. D’une part, pour garantir la soutenabilité de la dette, continuer à se financer à des taux d’intérêt bas et respecter ses engagements européens, la France doit réduire son déficit public dans les années à venir. D’autre part, pour protéger la croissance et éviter une hausse du chômage, elle doit éviter une consolidation trop rapide », soulignent les économistes. Pour mémoire, la dette de la France s’établit à 110% du produit intérieur brut (3.160 milliards) et le déficit public à 5,5% du PIB (154 milliards).

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Pour répondre à ces immenses défis, le conseil d’analyse économique préconise de faire une consolidation budgétaire « progressive ». La France devrait faire « une réduction du déficit primaire d’environ 4 points de PIB, soit 112 milliards d’euros, étalée sur 7 à 12 ans, avec un effort initial plus important ». Avec ce rythme, les économistes estiment que la consolidation budgétaire ne devrait pas peser sur la croissance.

Dans leur travail, les experts du CAE suggèrent de mettre en place des taxes temporaires et une sous indexation générale des dépenses et des tranches d’imposition. A titre d’exemple, « si l’indice du point de la fonction publique (État, territoriale et hospitalière) et l’ensemble des prestations sociales en espèces, ainsi que le barème de l’impôt sur le revenu étaient tous gelés en 2025, plutôt que revalorisés à la hauteur de l’inflation de 2024 (estimée à 2,5 %), cela rapporterait environ 20 milliards d’euros aux comptes publics », expliquent les économistes.

Parmi les autres leviers évoqués par le CAE, figurent les aides à l’apprentissage. Le programme économique d’Emmanuel Macron depuis 2017 a fortement mis l’accent sur l’apprentissage avec une réforme et des aides massives à l’embauche. Pour relancer les recrutements après la crise sanitaire, le gouvernement de l’ex-Premier ministre Jean Castex avait encore renforcé ces dispositifs dans le plan de relance à 100 milliards d’euros. Mais cette politique publique sans véritablement de cible a depuis montré ses limites. « Alors que les effets positifs de l’apprentissage sur l’insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés sont démontrés, ses effets sur les catégories plus diplômées, qui n’ont pas de difficultés pour s’insérer sur le marché du travail, sont peu significatifs », indiquent les économistes. Un recentrage sur les moins qualifiés permettrait des économies de l’ordre de 4 milliards d’euros.

Le conseil d’analyse économique propose de revoir également le système des exonérations de cotisation des entreprises. Le total des allégements représenterait la somme astronomique de 80 milliards d’euros par an. L’organisme rattaché à Matignon propose par exemple de supprimer l’exonération de cotisation de la branche famille pour les salaires supérieurs à 2,5 SMIC. Ce qui permettrait de rapporter 2 milliards d’euros. Parmi les autres options sur la table figurent le crédit d’impôt recherche (2,5 milliards d’euros) ou encore la révision des droits de succession (9 milliards d’euros). Des pistes qui devraient être explorées par le prochain exécutif toujours dans l’attente.

 

Arrêt maladie : un coût de 100 milliards

Arrêt maladie : un coût de 100 milliards

Les arrêts de travail coûtent plus de 100 milliards d’euros à la France chaque année. Le taux d’absentéisme au sein des entreprises françaises a reculé en 2023 par rapport à 2022, mais leur durée moyenne est en augmentation de plus de deux jours, selon une étude du cabinet de conseil et de courtage d’assurance Diot-Siaci et une enquête de l’Ifo, l. Ce taux mesure le nombre de jours d’absence rapporté au nombre total de jours travaillés : il s’élevait à 5,64% en 2022 et est retombé à 5,06% l’an dernier. Cet indicateur n’a néanmoins pas retrouvé ses niveaux d’avant-Covid : à titre de comparaison, le taux d’absentéisme était ressorti à 4,94% en 2021 et à 4,78% en 2019, dernière année d’activité «normale» avant la crise du Covid.

La diminution de l’absentéisme s’explique en grande partie par la part moins importante d’arrêts de travail liés à une contamination au Covid-19 (22% en 2023, contre 43% en 2022). Les maladies ordinaires, la fatigue, et les mauvaises conditions de travail ont retrouvé leur première place au classement des causes d’absentéisme.

La  France est championne en la matière -, le nombre de jours non travaillés continue de caracoler à des niveaux jamais connus auparavant, montre aussi  le nouveau baromètre Ayming et Ag2r La Mondiale. Certes, la tendance générale peut donner l’impression d’une amélioration de la situation en 2023. Le taux d’absentéisme – à savoir le nombre de jours manqués par rapport aux jours travaillés théorique – est passé à 6,1% contre 6,7% un an plus tôt. . Mais « sur le temps long, la tendance est clairement à la hausse », tempère Anthony Van Hulle, expert psychologie du travail chez Ayming. Par rapport à l’avant-Covid, la progression atteint ainsi 10%, souligne l’étude.

 

Climat : 100 milliards atteints pour les pays pauvres ?

Climat :  100 milliards atteints  pour les pays pauvres ?

 Ce mercredi, l’OCDE a en effet confirmé que les pays riches avaient atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres. L’idée de cette contribution financière avait été émise en 2009.Cette aide au regard des besoins réels de près de 2500 milliards, ce montant peut paraître très insuffisant. Par ailleurs il serait surtout intéressant d’analyser de près la nature des recettes et des dépenses précises si l’on ne veut pas qu’une partie de cette somme finisse dans les sables de la corruption. Il en va sans doute de cette aide climatique comme de beaucoup d’autres. Il est difficile d’en suivre la trace précise d’autant que certaines sommes sont repeintes avec la couleur climatique sans réellement avoir de lien avec l’environnement.
« En 2022, les pays développés ont fourni et mobilisé un total de 115,9 milliards de dollars pour le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays en développement », selon le calcul de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), chargée de la compatibilité officielle de cette promesse. Celle-ci qui doit d’ailleurs être renégociée d’ici la COP29 en novembre à Bakou.

Dans le détail, l’aide climatique des pays riches, de 89,6 milliards de dollars en 2021, a donc augmenté de 30% en 2022, selon l’OCDE, qui salue « une augmentation très significative, la plus forte sur un an », dépassant ses projections. En novembre dernier, avant la COP28 de Dubaï, l’OCDE avait annoncé que l’objectif des 100 milliards avait « probablement été atteint » en 2022, mais sans disposer de bilan définitif.

Notons aussi« qu’ une grande partie des fonds sont des prêts (69%, selon l’OCDE, ndlr) plutôt que des subventions (28%) », critique le militant écologiste Harjeet Singh. Et d’ajouter que ces aides financières sont souvent combinées à des aides existantes, « ce qui brouille les limites de l’aide financière réelle ».

 

Climat : Objectif atteint par les pays riches avec 100 milliards pour les pays pauvres ?

Climat : Objectif atteint par les pays riches avec 100 milliards pour les pays pauvres ?

 Ce mercredi, l’OCDE a en effet confirmé que les pays riches avaient atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres. L’idée de cette contribution financière avait été émise en 2009.Cette aide au regard des besoins réels de près de 2500 milliards, ce montant peut paraître très insuffisant. Par ailleurs il serait surtout intéressant d’analyser de près la nature des recettes et des dépenses précises si l’on ne veut pas qu’une partie de cette somme finisse dans les sables de la corruption. Il en va sans doute de cette aide climatique comme de beaucoup d’autres. Il est difficile d’en suivre la trace précise d’autant que certaines sommes sont repeintes avec la couleur climatique sans réellement avoir de lien avec l’environnement.
« En 2022, les pays développés ont fourni et mobilisé un total de 115,9 milliards de dollars pour le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays en développement », selon le calcul de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), chargée de la compatibilité officielle de cette promesse. Celle-ci qui doit d’ailleurs être renégociée d’ici la COP29 en novembre à Bakou.

Dans le détail, l’aide climatique des pays riches, de 89,6 milliards de dollars en 2021, a donc augmenté de 30% en 2022, selon l’OCDE, qui salue « une augmentation très significative, la plus forte sur un an », dépassant ses projections. En novembre dernier, avant la COP28 de Dubaï, l’OCDE avait annoncé que l’objectif des 100 milliards avait « probablement été atteint » en 2022, mais sans disposer de bilan définitif.

Notons aussi« qu’ une grande partie des fonds sont des prêts (69%, selon l’OCDE, ndlr) plutôt que des subventions (28%) », critique le militant écologiste Harjeet Singh. Et d’ajouter que ces aides financières sont souvent combinées à des aides existantes, « ce qui brouille les limites de l’aide financière réelle ».

 

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