Archive pour le Tag '100.000'

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Emplois privés 2013 : 100 000 en moins

Emplois privés  2013 : 100 000 en moins  

Pas d’inversion ( promise par Hollande en 2012) mais la poursuite de la destruction de emplois productifs du privé en 2013 ; Un bilan évidemment catastrophique car ce sont essentiellement  les emplois du privé qui créent la richesse nationale qui peut en suite être redistribuée. Après une stabilisation de l’emploi en 2012, le secteur privé a détruit 100.000 postes en 2013 selon des données publiées jeudi par l’Acoss, qui coordonne le réseau des Urssaf. En moyenne en 2013, les entreprises du secteur privé ont employé 17,8 millions de salariés, soit 0,6% de moins que l’année précédente. « Les pertes d’emploi sont plus importantes sur les deux premiers trimestres, les effectifs salariés se stabilisant au quatrième trimestre », précise l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale. L’emploi est notamment en recul dans l’intérim, qui a perdu 34.000 postes (-5,6%) en moyenne annuelle. L’ampleur de cette baisse « ne reflète toutefois pas les évolutions enregistrées tout au long de l’année », nuance l’Acoss, qui note qu’au 4e trimestre 2013, l’intérim était en hausse de 3,1% sur un an (mais en baisse en juin 2014 !). Par secteur d’activité, l’emploi accentue sa dégradation dans l’industrie (-1,3% après -0,4% en 2012) et la construction (-1,9% après -0,9%). Il se stabilise en revanche dans le tertiaire hors intérim, secteur qui représente 70% des emplois du secteur privé. « Les secteurs les mieux orientés sont notamment l’action sociale et l’hébergement médicosocial (+21.000 postes), les activités informatiques (+6.000) et les activités récréatives (+3.000) », selon l’Acoss. Malgré les destructions de postes, la masse salariale du secteur privé a continué de progresser en 2013 (+1,2%), mais moins rapidement qu’en 2012 (+2,1%). Elle s’élève à 520 milliards d’euros. Sur la même période, le salaire moyen par tête a augmenté de 1,8%, plus rapidement que les prix à la consommation (+0,7%). Par conséquent, le pouvoir d’achat des salariés du privé a progressé de 1,0% en 2013.

 

Chômage: 100.000 chômeurs en plus en 2014

Chômage: 100.000 chômeurs  en plus en 2014

D’après l’Unedic, la France va enregistrer d103.000 demandeurs d’emploi en catégorie A (sans aucune activité) en plus pour l’ensemble de l’année contre 174.800 en 2013. En 2015, le nombre continuerait de croître mais beaucoup moins, avec 60.100 personnes supplémentaires. Toutes catégories confondues, le nombre de demandeurs d’emploi augmenterait de 120.300 en 2014 et 133.900 en 2015, après 232.000 en 2013, selon les prévisions de l’Unedic. Ce dernier a par ailleurs abaissé sa prévision de déficit pour l’assurance-chômage, qui serait ainsi de 3,7 milliards d’euros pour cette année et 3,6 milliards pour 2015. Auparavant, il anticipait 4,3 milliards d’euros de déficit pour cette année. L’Unedic s’attend, pour la suite, à une confirmation de la tendance à la stabilisation du déficit en 2016, année à la fin de laquelle celui-ci serait encore de 3,6 milliards d’euros.  En parallèle, la dette de l’assurance-chômage s’élèverait à 21,3 milliards d’euros en 2014. La précédente estimation faisait état d’un chiffre de 22,4 milliards. Pour 2015, l’endettement passerait à 24,9 milliards d’euros avant de s’élever à 28,6 milliards d’euros l’année suivante.  Cette révision à la baisse du déficit et de la dette trouve son explication dans la nouvelle convention sur l’indemnisation des assurés, négociée en mars dernier par les partenaires sociaux. L’Unedic base ses prévisions sur des hypothèses de croissance plus faibles que celle du gouvernement, avec notamment 0,8% pour 2014 (contre 1% pour l’exécutif), 1,3% pour 2015 (1,7% pour le gouvernement) et 1,5% en 2016.

 

Molex: condamné à 100 000 euros par salarié

Molex: condamné à 100  000 euros par salarié

 

 

Alors que la loi Florange vient d’être à nouveau enterré les Prudhommes de Toulouse pourraient bien faire jurisprudence : ils ont jugé jeudi dénué de fondement le licenciement en 2009 des 283 salariés de l’usine française du géant américain Molex à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne), donnant droit au versement d’indemnités considérables à ceux qui ont saisi la juridiction. Ces licenciements sont « sans cause réelle et sérieuse », ont écrit les prud’hommes dans leur jugement.  Sur les 283 salariés de l’ancienne usine de connectique, aujourd’hui fermée, 190 ont engagé une action en indemnisation. Ils réclamaient un montant global de 22 millions d’euros. Leur avocat, Jean-Marc Denjean, n’a pas pu chiffrer le montant total des indemnités accordées par les prud’hommes. Mais, dans plusieurs cas, elles dépassent les 100.000 euros, a-t-il dit.  Au-delà de cette indemnisation, Me Denjean a vu dans la décision des prud’hommes une victoire juridique et la reconnaissance que la fermeture de l’usine, dont les salariés ont toujours clamé la viabilité, était illégitime.  Dans un contexte de désindustrialisation française, Molex était devenu un nouveau symbole de ces entreprises jugées rentables mais sacrifiées sur décision étrangère au nom d’une logique financière globale échappant au personnel et aux communes frappées.   Ces indemnités ne sont cependant pas encore dans les poches des anciens salariés, a tempéré Me Denjean. L’avocat s’attend en effet que Molex fasse appel.

Emploi : plus de 100 000 emplois en mois sur un an

Emploi : plus de 100 000 emplois en mois sur un an

 

Selon des données définitives publiées mercredi par l’l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), les secteurs marchands de l’économie française ont perdu 8.300 postes au premier trimestre, cinq fois moins qu’au trimestre précédent, grâce à un léger redressement de l’intérim. Hors intérim, 21.600 emplois ont disparu. Ces chiffres de l’Insee, plus optimistes que les données provisoires du 14 mai, entérinent toutefois un quatrième trimestre consécutif de baisse de l’emploi privé (hors agriculture), avec 109.000 postes rayés de la carte au total sur un an (-0,7%).

 

La fiscalité passoire : 100.000 Français ont un compte à l’étranger

La fiscalité passoire : 100.000 Français ont un compte à l’étranger

 

La fraude fiscale, ce n’est pas pour les couches moyennes mais réservées aux nantis ; elle se développe à travers montages et comptes à l’étranger avec laide d’escouades de fiscalistes et d’avocats ; De vrais résidents il y en a mais la plupart sont des exilés fiscaux avec résidence fictive. De plus en plus de Français possèdent un compte à l’étranger. Selon le ministère de l’Economie et des Finances, il sont précisément 108.833. Un chiffre qui a doublé entre 2009 et 2012, écrit le « Parisien » vendredi 7 juin citant un document de Bercy. Attention ! « Tous ces contribuables ne sont pas des fraudeurs en puissance », prévient tout de même le quotidien. Pour Bercy, tous ces contribuables ne se ressemblent pas. Ce sont des expatriés, des étrangers dont la résidence fiscale se trouve en France, ou encore de simples contribuables qui ont ouvert un compte. « Et des Français qui se souviennent d’un seul coup qu’ils en ont un », continue le « Parisien ». Pourquoi une telle hausse ? A priori, il ne faut pas chercher du côté de l’exode fiscal. Mais plutôt suivre la piste des « fraudeurs repentis ». Interrogé par le « Parisien », le patron des impôts, Bruno Bézard estime que « ces gens se sont peut être mis à lire les journaux ». Humour sans doute !

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