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Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Profits – 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Profits – 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés et autres ménages ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste. Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Inégalités- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Inégalités- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés et autres ménages ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Business- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Airbus : 1 500 emplois sauvés sur les 5 000 postes menacés en France ?

Airbus 1 500 emplois sauvés sur les 5 000 postes menacés en France ?

Visiblement le gouvernement a fortement fait pression sur Airbus pour que l’entreprise relativise les 5000 suppressions d’emplois prématurément annoncés. Le gouvernement fait savoir qu’on pourrait sauver 1500 emplois sur ces 5000 prévus. Rien de certain évidemment car on se situe aujourd’hui dans une bataille de communication pour faire porter le chapeau des ajustements soit au gouvernement, soit à l’entreprise. Au lendemain de la présentation du plan social le plus lourd de l’histoire d’Airbus, son DRH, Thierry Baril, a tenu à préciser que les licenciements secs n’étaient pas « dans la culture » de l’avionneur européen et que les dispositifs gouvernementaux pourraient réduire l’ampleur des suppressions d’emplois. Une réponse aux syndicats qui étaient montés au créneau dès l’annonce du plan. L’impact détaillé en France, et notamment à Toulouse, sera connu jeudi.

Toulouse sera fixée sur son sort ce jeudi 2 juillet. Airbus doit présenter dans la matinée aux syndicats la répartition site par site en France des 5 000 suppressions de postes annoncées mardi par l’avionneur européen lors d’un comité de groupe européen.

A la veille de cette journée cruciale, le DRH du groupe, Thierry Baril, a pris la parole : « Nous tenons à être transparent, honnête et simplement faire face à la réalité. Il était important de présenter le chiffre qui ne sera peut-être pas le volume définitif parce que des solutions seront à trouver pour éviter le type de départ que nous ne souhaitons pas ».

Air France : suppression de 1.500 postes

Air France : suppression de 1.500 postes

Air France est évidemment victime d’une conjoncture déjà peu favorable avec la baisse générale d’activité dans le monde. Une baisse qui sera accentuée avec la crise du virus  chinois. Mais c’est surtout la conjoncture interne de l’entreprise qui est à l’origine d’une baisse de 1500 postes. En cause,  un manque de productivité récurrent par rapport à la concurrence et des syndicats très corpos qui veulent  complètement ignorer l’environnement concurrentiel. Bref l’histoire classique des entreprises nationalisées ou qui l’ont été et dont  certains syndicats considèrent les salariés comme des fonctionnaires. Alors que les effectifs du transporteur français s’élevaient à 41.230 personnes fin décembre 2019, les besoins identifiés par la direction à fin 2022 sont estimés à 39.720 salariés. Soit 1.500 de moins. Ces baisses d’effectifs concernent uniquement les personnels au sol, et parmi eux essentiellement les « fonctions support » (finances, gestion, ressources humaines…).

Cette réduction d’effectifs intervient également en pleine crise du coronavirus, qui impacte désormais l’ensemble du réseau de la compagnie et non plus le seul axe chinois. De nombreuses entreprises ont en effet limité ou suspendu les voyages de leurs collaborateurs et les réservations des touristes pour l’été ont reçu un sérieux coup de frein. Air France entend donc serrer les boulons en faisant des économies, allant de la réduction de dépenses (réceptions, recours à des consultants, frais marketing…) au gel des embauches pour les fonctions non opérationnelles.

« Plusieurs de nos clients Entreprises et Grands Comptes prennent en effet des mesures qui visent à limiter, voire interdire, les voyages de leurs collaborateurs. Les conséquences de ces mesures vont nécessairement infléchir notre trajectoire financière et pourraient nous mettre dans une situation de trésorerie difficile, si nous ne réagissions pas immédiatement », a écrit ce mercredi dans un courrier interne dévoilé par les Echos, le directeur financier d’Air France, Steven Zaat.

 

Soc Gen : suppression de 1.500, le début de la purge dans le secteur bancaire

Soc Gen : suppression de 1.500, le début de la purge dans le secteur bancaire

Les réductions d’effectifs ont déjà commencé dans le secteur bancaire mais vont s’amplifier. La Société Générale prévoient 1.500 départs dans le monde entier : en France, en Europe, en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Asie. Ce qui représente 7,5% de la masse salariale de la banque de financement et d’investissement. Selon un document interne, la France serait dans les deux cas la plus touchée avec plus de 700 suppressions d’emploi » écrit le Figaro.

De son côté, BNP Paribas, qui envisage aussi de sortir de certaines activités de marché représentant « des revenus de l’ordre de 200 à 300 millions d’euros », n’avait pas précisé l’impact en termes d’emplois, assurant qu’il y aurait « beaucoup de mobilités internes. »

Un secteur qui pourrait connaître le sort de la sidérurgie ou presque du fait des restructurations en cours mais aussi et surtout des nouveaux moyens de paiement et des banques 100 % mobile. En cause, la rentabilité des activités bancaires. Le taux de rentabilité des activités de dépôt est plombé par le coût de main-d’œuvre (notamment nombre  d’agences et personnel) Il est par ailleurs menacé par la future existence de nouveaux moyens de paiement et la dématérialisation de certaines opérations mais le second volet de l’activité des banques, l’activité d’investissement souffre aussi d’un manque de retour financier lui aussi très gourmand en personnel. Dans un premier temps est donc probable que les banques européennes devront s’aligner si les critères de gestion des banques américaines qui ont supprimé près de 7 % des postes quand les banques européennes n’ont supprimé que 4 %. À plus long terme c’est peut-être l’existence même des les activités bancaires en tout cas leur structure actuelle qui pourrait être en cause et engendrer jusqu’à la moitié des emplois existants d’ici 10 ans. Les réductions d’effectifs vont devoir encore s’accentuer et s’accélérer si le secteur bancaire européen veut améliorer sa rentabilité et se rapprocher des niveaux atteints par les banques américaines, estiment des investisseurs. Moins d’un tiers des banques de la zone euro présentaient une structure leur permettant d’espérer dégager une rentabilité satisfaisante sur la durée contre 80% des banques américaines, selon une étude sur 300 grandes banques internationales publiée par le Fonds monétaire international. « Les banques américaines ont presque toutes fait ce qu’il y avait à faire et sont sur une pente ascendante », dit Chris Wheeler, analyste sur le secteur bancaire chez Atlantic Equities. La baisse des effectifs peut certes résulter de cessions d’activités en bloc sans se traduire nécessairement pas des destructions d’emploi. Mais les changements technologiques poussent les banques à fermer des agences ou à migrer vers des systèmes moins intensifs en main-d’œuvre. « Nous sommes dans un marché durablement baissier pour l’emploi dans le secteur bancaire parce que nous voyons que la technologie et l’automation détruisent finalement des postes dans la banque de détail », dit à Reuters Xavier VanHove, associé de la société de gestion THS Partners. De nombreuses banques européennes sont en pleine réflexion sur le sort de leurs activités de banque d’investissement avec des activités de marché particulièrement sur la sellette car gourmandes en fonds propres et aux marges comprimées par les évolutions technologiques.

 

Bouygues Telecom : 1.500 à 2.000 postes menacés

Bouygues Telecom : 1.500 à 2.000 postes menacés

 

Entre 1.500 et 2.000 postes pourraient être supprimés chez Bouygues Telecom, selon les craintes des organisations syndicales du groupe, révèle ce lundi le Figaro Economique. Actuellement, Bouygues Telecom emploie 9.000 salariés et les suppressions de postes représenteraient 23% des effectifs. Cette vague massive de licenciements serait présentée comme la conséquence direct de l’échec récent du rachat de SFR, explique Le Figaro Eco. Par ailleurs, Bouygues Telecom a été la principale victime de l’arrivée de Free sur le marché du mobile en janvier 2012. En deux ans, la filiale télécoms du groupe a perdu 200.000 clients et a vu son revenu par abonné chuter, alors que 18% de ses clients ont opté pour sa marque low-cost B & You. Pour se relancer, Bouygues Telecom a misé sur son réseau 4G. D’un point de vue technologique, le pari a été en partie gagné, puisqu’il dispose du premier réseau 4G de France, même si Orange a largement comblé son retard. D’un point de vue commercial, les résultats ne sont pas forcément à la hauteur des ambitions, souligne le journal. « Nous avons le plus grand réseau 4G, mais le chiffre d’affaires le plus faible des trois opérateurs historiques. Cherchez l’erreur ! », s’emporte Aziz Azam, représentant CFDT chez Bouygues Telecom, cité par Le Figaro Economique. Selon le journal, le groupe travaille à réduire les coûts de fonctionnement. Cela devrait aussi passer par une simplification de sa grille d’offres. Tandis que Free mobilise le devant de la scène avec deux prix dans le mobile et un dans le fixe, ses concurrents ont multiplié les offres.  Bouygues Telecom propose six forfaits, qui se déclinent chacun en offre avec ou sans engagement, auxquels s’ajoutent les quatre tarifs de B & You dans le mobile, les offres pour la box et remises aux clients les plus fidèles.




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