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Covid France 13 avril 2023 :14.207 cas supplémentaires en 24h et 0 mort

Covid France 13 avril 2023 :14.207 cas supplémentaires en 24h et 0 mort

On enregistre mercredi 12 avril 2023 : 14.207 cas supplémentaires en 24h et 0 mort ( 165.916 morts au total depuis le début de l’épidémie)

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.611 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.305 (0 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,98 le taux d’incidence à 81,21 et la tension hospitalière à 14,1 %.

La France compte actuellement 12.493 (+14) personnes hospitalisées et 715 (+1) malades en réanimation.

Bilan des régions
:

Ile-de-France : 4.695 (+20) hospitalisées, 322 (+5) en réanimation et +2 décès en 24h
Grand Est : 681 (-1) hospitalisés, 42 (-2) en réanimation et +1 décès en 24h
Hauts de France : 1.239 (-12) hospitalisés, 43 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 935 (+5) hospitalisés, 43 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 807 (+5) hospitalisé, 44 (+5) en réanimation et +1 décès en 24h
Bretagne: 378 (+5) hospitalisés, 10 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Normandie : 460 (-12) hospitalisés, 16 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.125 (+6) hospitalisés, 77 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Pays de la Loire : 173 (+3) hospitalisés, 8 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 755 (+16) hospitalisés, , 55 (+7) en réanimation et +2 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 628 (-27) hospitalisés, 24 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 551 (-14) hospitalisés, 29 (0) en réanimation et 0 décès en 24h

Croissance France: + 0.2% au lieu de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: + 0,2% au lieu de 0.1% au premier trimestre


La Banque de France (BdF) révise à la hausse sa prévision de croissance à 0,2 % pour le premier trimestre soit plus 0,1 % par rapport aux dernières prévisions.

La nouvelle enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise entre le 29 mars et le 5 avril, montre que l’activité a été résiliente au premier trimestre, avec une progression en mars dans l’industrie, les services et le bâtiment.

« Pour avril, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et un repli dans le bâtiment », indique la BdF.

Pour l’ensemble de 2023, la BdF a dit le mois dernier tabler sur une croissance du PIB français de 0,6%.

Le Fonds monétaire international (FMI) a de son côté réitéré mardi sa prévision d’une croissance de 0,7% de l’économie française cette année.

Croissance européenne 2023 : plus 0,8 % ?

Croissance européenne 2023 : plus 0,8 % ?

La commission économique européenne se veut optimiste peut-être pour contrer des scénarios plus gris du fonds monétaire international et autre institutions. La prévision de croissance pour 2023 est toutefois modeste seulement 0,8 %. Une évolution qui dépendra sans doute aussi d’une inflation qui va encore augmenter et toucher particulièrement les achats de denrées alimentaires.

Dans le nouveau scénario économique de la commission européenne on prévoit cette année 0,8 %, . Pour les pays de la zone euro, il est question d’une augmentation de PIB de 0,9 %, soit 0,6 point de mieux. L’année prochaine, en 2024, la croissance s’établirait à 1,6 % dans l’UE et à 1,5 % dans la zone euro, sans changement par rapport aux prévisions d’automne.
L’économie européenne a enregistré un taux de croissance de 3,5 %, au lieu de 3,2 % attendus.

Cette année comme en 2024, la France devrait faire mieux que l’Allemagne, avec des prévisions de croissance de 0,6 % puis 1,4 contre 0,2 % et 1,3 %. Toutefois, les deux grandes économies de l’UE seront en deçà de la moyenne européenne. L’Espagne tire ainsi très bien son épingle du jeu. Grâce à la forte reprise du tourisme, son économie devrait connaître une croissance de 1,4 % en 2023 puis de 2 % en 2024. Quant à l’économie italienne, elle pourrait croître de 0,8 % cette année puis de 1 % l’an prochain, tirée par le plan de relance européen dont elle est le premier bénéficiaire.
Parmi les facteurs explicatifs,, la baisse notable des prix du gaz. Après la flambée ¬historique qu’il avait connue à l’été 2022, le TTF, indice de référence pour l’UE, est revenu fin janvier à ses niveaux d’avant la guerre en Ukraine, soit 55 euros par MWh.

Maiss les consommateurs et les entreprises vont devoir continuer à composer avec des prix du gaz trois fois plus élevés qu’en 2019 et une inflation sous-jacente (inflation hors énergie et produits alimentaires non transformés) encore en hausse en janvier.

Linflation passerait de 9,2 % en 2022, à 5,6 % en 2023 puis 2,5 % en 2024 dans la zone euro

Zone euro-BCE : Un relèvement des taux taux d’intérêt de 0,50 point… À contre-courant

Zone euro-BCE : Un relèvement des taux taux d’intérêt de 0,50 point… À contre-courant

En relevant les taux d’intérêt de 0,50 point, la BCE veut lutter contre l’inflation qui demeure un très haut niveau en Europe en raison en particulier de la crise énergétique. une hausse peut-être à contretemps !

Le problème qui se pose est de savoir si cette décision dans la conjoncture présente est très opportune. En effet, contrairement à 2022 ,on a enregistré un net rebond de l’activité économique, il faut s’attendre pour 2023 à un net tassement de la croissance, on risque même de frôler la récession dans certains pays d’Europe.

Du coup,ce nouveau relèvement des taux va affecter la compétitivité des entreprises et plomber encore un peu plus le pouvoir d’achat des ménages donc aussi la consommation qui tire une bonne partie de la croissance.

Or dans le même temps les États-Unis se posent maintenant la question d’une diminution des taux d’intérêt justement pour faire face à la tendance baissière de la croissance.

Le pire c’est que la BCE entend poursuivre cette politique de relèvement des taux alors que parallèlement les États-Unis vont sans doute mettre la pédale douce sur le resserrement monétaire

Le Conseil des gouverneurs a donc annoncé ce jeudi qu’il relèvera «de nouveau» ses taux d’autant en mars pour lutter contre l’inflation.

La Banque centrale européenne (BCE) a relevé jeudi ses principaux taux directeurs de 0,50 point de pourcentage, comme lors de sa précédente réunion en décembre, et «les relèvera de nouveau» d’autant en mars pour combattre l’inflation, a-t-elle indiqué dans un communiqué à l’issue de sa réunion de politique monétaire.

Les taux d’intérêt de la BCE se situent désormais dans une fourchette comprise entre 2,5% et 3,25%, au plus haut depuis novembre 2008. L’institution compte augmenter «sensiblement les taux d’intérêt à un rythme régulier», mais entend «évaluer» les suites à donner à cette politique en mars, a ajouté la BCE.

Baisse de la consommation alimentaire de 0,7 %

Baisse de la consommation alimentaire de 0,7 %

Compte tenu de la très forte flambée des prix dans l’alimentation, les consommateurs s’adaptent en diminuant leurs achats. D’après l’INSEE,La consommation des ménages en France a rebondi de 1,2% en septembre mais à l’inverse, la consommation alimentaire baisse de nouveau (-0,7% )

La consommation de biens fabriqués a notamment été tirée par les achats en biens durables, comme des équipements pour le logement ou les voitures, ainsi que par les dépenses dans l’habillement (+6%). «Sur l’ensemble du troisième trimestre 2022, la consommation des ménages en biens fabriqués est quasi stable (+0,1 %)», indique l’Insee.

La consommation alimentaire, déjà en baisse de 1,2% en août, reste en berne dans le contexte d’inflation. Sur l’ensemble du trimestre, elle diminue de 1,6%. «La baisse concerne principalement la consommation de produits agricoles», constate l’Insee en septembre. De nombreux produits frais comme la viande ou les œufs font en effet partie des aliments les plus touchés par la hausse des prix, selon une étude publiée la semaine dernière par le panéliste Nielsen.. Par rapport à septembre 2021, les dépenses de consommation des ménages affichent une baisse de 3%.

Retraites : coup de pouce supplémentaire de 0, 8 % !

Retraites : coup de pouce supplémentaire de 0, 8 % !

D’après le du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 , une toute petite augmentation de 0, 8 % concernera les Retraite aux 1er janvier 2023. Une mesure qui s’ajoutera aux autres et permettra d’atteindre une augmentation moyenne des retraites de 3,1 % en 2022, à mettre en regard de l’augmentation des prix de 6 % sur un an.Bref, une perte de pouvoir d’achat en moyenne de 3 % !

Après une hausse de 1,1 % en janvier 2022, les pensions ont été augmentées de 4 % au 1er juillet . Même chose pour les prestations sociales (allocations familiales, RSA, etc.), qui ont bénéficié du coup de pouce de 4 % en juillet après une hausse de 1,8 % en avril.

Toutefois, comme ces revalorisations exceptionnelles n’ont été effectives qu’à mi-année, le gouvernement calcule dans le PLFSS que cela correspond à une revalorisation en moyenne annuelle de 3,1 % pour les retraites. Il restera un reliquat de hausse estimé à 0,8 % au 1er janvier 2023, toujours au titre de l’inflation 2022.

Pour les allocations familiales et le RSA, la nouvelle augmentation programmée serait de 1,7 % au 1er avril. Cela reste des estimations, le montant précis des hausses sera établi sur la base de l’inflation effectivement constatée (entre novembre 2021 et octobre 2022 pour les retraites, et entre février 2022 et janvier 2023 pour les autres prestations).

Par ailleurs, au vu de la forte inflation encore attendue l’année prochaine (+4,3 %) , un débat sur une nouvelle anticipation des revalorisations pourrait s’ouvrir au Parlement lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale, prévu à partir de la mi-octobre à l’Assemblée nationale. L’opposition de gauche en a déjà fait l’une de ses revendications.

Nouvelle chute de l’euro à 0,9941 dollar, un plus bas depuis 2002

L’euro dégringole encore face au dollar

 

Nouvelle chute de l’euro à  0,9941 dollar, un plus bas depuis 2002

 

En cause,  des perspectives économiques peu  rassurantes en  2023 en raison de la crise énergétique notamment (les États-Unis sont autonomes du point de vue énergie). Les prix du gaz continuent d’atteindre des sommets  à pré s de 300 $ le mégawatt heure. Le cours du gaz européen (contrat à terme du TTF néerlandais) a bondi de plus de 20% ce lundi pour s’élever à 295 euros le mégawattheure (MWh), s’approchant des records historiques atteints dans les premiers jours de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. S’attendre aussi  à une hausse considérable des prix de l’électricité qui pourraient doubler.

Par ailleurs la hausse du dollar rend les importations plus coûteuses, notamment pour les matières premières comme le pétrole dont le cours est fixé en dollars, accentuant une inflation déjà dévastatrice pour les consommateurs et les entreprises.

Et la semaine pourrait être douloureuse pour l’euro. Pour l’instant, en 2022, la devise s’était ressaisie après avoir flirté avec le seuil de la parité, mais « de mauvais indicateurs PMI mardi pourraient suffire à ancrer l’euro sous un dollar », prévient, Kit Juckes, analyste chez Société Générale.

Car de l’autre côté de l’Atlantique, malgré un léger affaiblissement de l’inflation américaine en juillet, la Réserve fédérale américaine (Fed) assure qu’elle va continuer de resserrer sa politique monétaire.

Carburant : la remise passe de 18 à 0,30 centimes en septembre et octobre

Carburant : la remise passe de 18 à 0,30 centimes en septembre et octobre

 

 

Une remise toujours bonne à prendre  qui augmente seulement de 0,30 € en septembre et octobre. Une orientation qui forcément sera critiquée car non ciblée. En effet la réduction incitera à tous les automobilistes sans tenir compte de leurs revenus. En fait ce petit cadeau fiscal s’ajoute aussi à la décision de Total d’accorder également une remise de 0,20 € entre septembre et novembre. Tout cela pour éviter de mettre en place une taxe sur les superprofits des grandes sociétés comme par exemple Grande-Bretagne et ailleurs. Bizarre quand même qu’on est attendu que les cours soient au plus haut, ce qui confirme que cette hausse profitait surtout aux pétroliers mais aussi à l’État. « La remise pourrait passer de 18 à 30 centimes d’euros en septembre, et en octobre puis passer à 10 en novembre et 10 en décembre », a détaillé le ministre. Avec la remise de 20 centimes à la pompe annoncée vendredi par TotalEnergies, « vous auriez dans certaines stations services en France un carburant à 1,5 euros », un seuil défendu par LR, a-t-il poursuivi.

Le géant pétrolier a promis une remise à la pompe de 20 centimes par litre entre septembre et novembre (puis 10 centimes jusqu’à la fin de l’année), devant la menace brandie par les députés d’une taxe sur les « superprofits ». Bruno Le Maire a également proposé aux députés LR le « report » de l’indemnité carburant transport (ICT), ciblée sur les gros rouleurs et les classes populaires, mais critiquée par la droite qui réclame une mesure « généralisée ».

Bruno Le Maire a également évoqué une mesure spécifique pour les « petites stations rurales », disposition également réclamée par les LR. Le groupe LR, satisfait par ces annonces, a retiré ses amendements, ouvrant la voie à une adoption de la remise.

Carburant : une remise jusqu’à 0,18 € très politique le 1er avril

Carburant : une remise jusqu’à 0,18 € très politique le 1er avril

 

Il est clair d’abord que la remise de 15 à 0,18 € sera très insuffisante pour compenser des prix montés  jusqu’à deux euros pour le carburant (sans parler du prix du fioul qui s’envole aussi). Le caractère politique est évident puisque cette remise s’appliquera à partir du 1er avril soit quelque jour seulement avant les élections.

Pour un peu le gouvernement aurait pu choisir la veille du scrutin !

Économiquement et énergiquement il n’y a rien de cohérent dans cette mesure. Pourquoi le 1er avril sinon à proximité des élections et pourquoi quatre mois alors qu’on ne connaît pas du tout l’évolution des cours et son influence sur l’inflation et le pouvoir d’achat. Une vraie politique de gribouille.

La remise à la pompe promise par le gouvernement sera de 15 à 18 centimes TTC par litre de carburant. La mise en œuvre de cette remise sera effective vendredi prochain selon un décret attendu samedi. Elle ira jusqu’à 18 centimes d’euros pour les consommateurs de l’Hexagone, a annoncé vendredi 25 mars le ministère de la Transition écologique à l’AFP, confirmant une information du Parisien.

Cette différence s’explique par le montant de la TVA appliquée dans les différents territoires français, a précisé le ministère. Face à l’envolée des prix du carburant, à moins d’un mois de la présidentielle, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé à la mi-mars cette remise à la pompe, à partir du 1er avril et pendant quatre mois.« Nous avons voulu que la remise à la pompe de 15 centimes par litre de carburant s’applique à tous. La remise est calculée sur une base de 15 centimes hors-taxe, ce qui explique que les remises soient différentes selon le montant de la TVA appliquée aux produits pétroliers », a ajouté le ministère.

 

La Fed : Un relèvement des taux directeurs de 0,25 %

La Fed : Un relèvement des taux directeurs de 0,25 %

La FED pourrait s’en tenir un relèvement des taux directeurs de 0,25 % au lieu de 0,50 % envisagés ces derniers temps. Il s’agit certes de de lutter contre l’inflation galopante qui a atteint 7,9 % sur un an en février mais aussi de ne pas ajouter de difficultés à une croissance maintenant également menacée par la situation en Ukraine.

L’institution est aujourd’hui confrontée à un dilemme: « maîtriser l’inflation sans provoquer de récession ». Son président, Jerome Powell, s’est récemment dit confiant dans la capacité de l’institution à le résoudre, en assurant un « atterrissage en douceur ». Mais elle garde une mémoire douloureuse: celle de l’inflation à deux chiffres des années 1970-1980 lorsque, en relevant drastiquement ses taux jusqu’à 20%, la Fed avait plongé les Etats-Unis dans la récession.

Les économistes de Wells Fargo tablent sur six hausses d’un quart de point de pourcentage (0,25%) en 2022. Les hausses de la Fed se font habituellement par paliers de 0,25 point de pourcentage. Selon l’évaluation des produits à terme de CME Group, citée par l’AFP, sur les marchés, la quasi-totalité des acteurs (95,9%) table sur une hausse d’un quart de point, les autres anticipant un maintien des taux à leur niveau actuel. L’hypothèse d’une hausse plus brutale de 0,50, qui à un moment a paru plausible, ne convainc plus.

En Europe, où l’inflation, à +5,8% en février, est moins élevée, l’homologue de la Fed, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé jeudi de maintenir pour le moment ses taux à leur plus bas historique. Elle a toutefois décidé d’arrêter son programme de rachats d’obligations au troisième trimestre, première étape d’une normalisation de sa politique monétaire et de fin de sa politique de soutien à l’économie de la zone euro, dont pourtant l’invasion de l’Ukraine par la Russie assombrit les perspectives économiques. Le signe que son inquiétude principale est l’inflation galopante.


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L’inflation et taux : un relèvement à 0,5 % en Angleterre

L’inflation et taux : un relèvement à 0,5 % en Angleterre

La BoE a décidé un relèvement des taux à 05 % pour lutter contre l’inflation qui avait dépassé c 5 % en décembre 2021 et qui devrait continuer de progresser. Une politique qui s’inscrit un peu dans les pas de la banque centrale américaine alors que la banque centrale européenne choisit pour l’instant l’immobilisme en laissant la porte ouverte un relèvement éventuel en 2022.

La flambée du prix de l’énergie est le premier facteur de cette hausse des prix, renchérissant la facture d’électricité des ménages et des entreprises. Le prix de l’essence a flambé de quelque 50% en un an. Et le phénomène va se poursuivre.

L’Ofgem, l’autorité nationale de régulation du marché de l’énergie, a annoncé ce jeudi que les tarifs administrés augmenteraient de 54% à partir d’avril, une hausse sans précédent due entre autres à l’envolée des cours mondiaux du gaz.

La Banque d’Angleterre a également confirmé l’arrêt de son programme de rachats d’actifs et la volonté de réduire son portefeuille obligataire, confirmant son engagement de décembre de ne pas renouveler les obligations arrivant à échéance si son taux était à 0,5%.

Après le communiqué de la BoE, sur les marchés, le rendement des « gilts », les obligations d’Etat britanniques, à dix ans était en nette hausse. Il a atteint son plus haut niveau depuis trois ans à 1,381%, contre un peu plus de 1,27% juste avant.

La livre sterling s’appréciait alors de 0,28% face au dollar et l’indice FTSE 100 de la Bourse de Londres perdait 0,22%.

Taux d’intérêt FED : relèvement entre 0,75 % et 3,5 % ?

Taux d’intérêt  FED : relèvement entre 0,75 % et 3,5 % ?

 

Au départ du processus de remontée des taux d’intérêt la FED avait prévu de remonter les taux d’intérêt à trois reprises d’un quart  de point. Face à la hausse exceptionnelle de l’inflation, la FED s’est résolue à ajouter une quatrième étape de remonter d’un quart . Mais récemment des membres de la FED ont laissé entendre que les relèvements qui seront opérés courant 2022 pourraient se faire par demi-point et non pas par quart. Bref la fourchette entre les intentions premières et les perspectives s’élargit de 0,75 % à 3.5 % pour l’ensemble de l’année 2022.

Dans une interview accordée vendredi et publiée samedi soir par le Financial Times, le président de l’antenne de la Réserve fédérale d’Atlanta, Raphael Bostic, a affirmé que «toutes les options (étaient) sur la table à chaque réunion» de l’institution. Il s’attend toujours à trois hausses d’un quart de point de pourcentage d’ici la fin de l’année. Mais «si les données indiquent que les choses ont évolué d’une manière telle qu’un mouvement de 50 points de base est nécessaire ou [serait] approprié, alors je pourrais y réfléchir», a-t-il dit. Il a aussi souligné qu’il «serait à l’aise» avec l’idée de prendre une décision «à chaque réunion», suggérant ainsi qu’il pourrait y avoir une hausse de taux à chacune des sept réunions restant d’ici la fin de l’année.

Compte tenu de l’envolée exceptionnelle de l’inflation, le plus probable c’est qu’on pourrait atteindre la fourchette haute du relèvement des taux d’intérêt évoqué par Raphael Bostic.

La hausse des prix à la consommation aux États-Unis en décembre se révèle aussi forte que prévu. Le gain de 0,5 % de l’indice des prix le mois dernier, annoncé par le Département du travail, porte à 7 % l’inflation en 2021. Il faut remonter à 1982 pour retrouver une telle flambée. Voilà trois mois qu’en rythme annuel l’inflation dépasse 6 %, soit trois fois l’objectif de moyen terme de la Réserve fédérale.

 

SMIC à 1.400 euros, TVA à 0%, Augmentation des salaires, allocations pour tous etc : la foire aux enchères sociales de Taubira

SMIC à 1.400 euros, TVA à 0%, Augmentation des salaires, allocations pour tous etc. : la foire aux enchères sociales de Taubira

 

 

La campagne présidentielle avait déjà mal commencé avec des promesses sociales douteuses comme par exemple le doublement du salaire des enseigants  par Hidalgo mais à peu près tous les candidats promettent la lune au plan salarial et des allocations augmentées ou créées. Bref le sentiment que faute de vision prospective sur l’avenir du pays, les candidats à l’élection présidentielle adoptent davantage une position de syndicaliste que de président de la république. Notons d’ailleurs que nombre de ces propositions ne dépendent pas de l’État mais des entreprises et par ailleurs évidemment qu( elles ne sont pas financées lorsque cela dépend du champ de responsabilité de l’État ou des collectivités en général.

De la part de Taubira  n particulier, une sorte de foire aux enchères où sont reprises certaines revendications des gilets jaunes, auquel on ajoute celles des gilets verts écolos et celle des gilets rouges gauchistes.

Faute devrait programmes explicités,la  ministre du mariage pour tous a promis de combattre « les inégalités, les injustices et les discriminations », évoquant la jeunesse, la justice sociale, l’écologie et la démocratie.

Au programme: « la nécessaire et urgente transition écologique », « une conférence sur les salaires » contre « la démoralisation, les discours de haine et les propos belliqueux », « le risque de dislocation sociale » ou encore « les colères qui nous font descendre dans la rue et occuper les ronds-points ».

Elle reprend  son compte l’une des propositions-phares des « Gilets jaunes »: le référendum d’initiative citoyenne.

Ce n’est pas tout: si elle devient présidente, les étudiants bénéficieront d’un revenu de 800 euros par mois pendant cinq ans de la même façon que le SMIC sera revalorisé à « 1.400 euros net » et les grandes fortunes fiscalisées « à partir de 10 millions d’euros de patrimoine ».

« La pandémie [ayant] révélé une souffrance sociale qui a frappé toutes les générations », l’ex-députée guyanaise s’est engagée à recruter 100.000 soignants et à revoir « sans tabou » les conditions d’installation des médecins traitants pour lutter contre les déserts médicaux.

En attendant le vote des 110.000 participants de la « Primaire populaire » qui se tiendra du 27 au 30 janvier, elle souhaite enfin améliorer les droits des travailleurs des plateformes numériques ou encore instaurer « une TVA à taux 0 pour les produits de l’agriculture biologique ».

Pour un peu l’intéressée annoncerait la gratuité de la baguette dans les supermarchés!

 

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

 

Comme il fallait s’y attendre la rémunération du livret A sera insignifiante puisque elle passera de 0,5 % à 1 %. C’est trop, d’après la Banque de France qui aurait conseillé de passer de 0,5 % à 0,8 %. ! Dans le même temps sur un an l’inflation officielle aura progressé, elle, de 2,8 %  en niveau) ; conclusion la perte de pouvoir d’achat se rapproche de 2 %. En tout cas le chiffre officiel de l’INSEE dont l’indice de mesure des prix à la consommation est largement obsolète du fait du changement de structure des dépenses des ménages. Les dépenses ajustables pèsent de moins en moins dans le budget des ménages alors qu’augmentent les dépenses contraintes. De toute manière on a un peu de mal à comprendre comment l’inflation pourrait n’être que de 2,8 % en France qui importe à peu près tout en tout cas une grande partie des biens de consommation alors que c’est inflation est de 5 % en Allemagne.

La hausse annoncée ne couvrira donc pas totalement l’inflation , d’autant que celle-ci a fortement accéléré en fin d’année. Mais le grand gagnant de ces changements de taux est sans nul doute le livret d’épargne populaire (LEP), qui rapportera 2,2% dès le 1er février, car sa formule est plus étroitement liée à l’inflation. Près de 7 millions de Français détiennent un LEP, accessible sous conditions de revenus. 15 millions de Français seraient éligibles.

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

 

Comme il fallait s’y attendre la rémunération du livret A sera insignifiante puisqu’elle passera de 0,5 % à 1 %. C’est trop, d’après la Banque de France qui aurait conseillé de passer de 0,5 % à 0,8 %. ! Dans le même temps sur un an l’inflation officielle aura progressé, elle, de 2,8 %  en niveau) ; conclusion la perte de pouvoir d’achat se rapproche de 2 %. En tout cas le chiffre officiel de l’INSEE dont l’indice de mesure des prix à la consommation est largement obsolète du fait du changement de structure des dépenses des ménages. Les dépenses ajustables pèsent de moins en moins dans le budget des ménages alors qu’augmentent les dépenses contraintes. De toute manière on a un peu de mal à comprendre comment l’inflation pourrait n’être que de 2,8 % en France qui importe à peu près tout en tout cas une grande partie des biens de consommation alors que c’est inflation est de 5 % en Allemagne.

La hausse annoncée ne couvrira donc pas totalement l’inflation , d’autant que celle-ci a fortement accéléré en fin d’année. Mais le grand gagnant de ces changements de taux est sans nul doute le livret d’épargne populaire (LEP), qui rapportera 2,2% dès le 1er février, car sa formule est plus étroitement liée à l’inflation. Près de 7 millions de Français détiennent un LEP, accessible sous conditions de revenus. 15 millions de Français seraient éligibles.

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