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L’inflation et taux : un relèvement à 0,5 % en Angleterre

L’inflation et taux : un relèvement à 0,5 % en Angleterre

La BoE a décidé un relèvement des taux à 05 % pour lutter contre l’inflation qui avait dépassé c 5 % en décembre 2021 et qui devrait continuer de progresser. Une politique qui s’inscrit un peu dans les pas de la banque centrale américaine alors que la banque centrale européenne choisit pour l’instant l’immobilisme en laissant la porte ouverte un relèvement éventuel en 2022.

La flambée du prix de l’énergie est le premier facteur de cette hausse des prix, renchérissant la facture d’électricité des ménages et des entreprises. Le prix de l’essence a flambé de quelque 50% en un an. Et le phénomène va se poursuivre.

L’Ofgem, l’autorité nationale de régulation du marché de l’énergie, a annoncé ce jeudi que les tarifs administrés augmenteraient de 54% à partir d’avril, une hausse sans précédent due entre autres à l’envolée des cours mondiaux du gaz.

La Banque d’Angleterre a également confirmé l’arrêt de son programme de rachats d’actifs et la volonté de réduire son portefeuille obligataire, confirmant son engagement de décembre de ne pas renouveler les obligations arrivant à échéance si son taux était à 0,5%.

Après le communiqué de la BoE, sur les marchés, le rendement des « gilts », les obligations d’Etat britanniques, à dix ans était en nette hausse. Il a atteint son plus haut niveau depuis trois ans à 1,381%, contre un peu plus de 1,27% juste avant.

La livre sterling s’appréciait alors de 0,28% face au dollar et l’indice FTSE 100 de la Bourse de Londres perdait 0,22%.

Taux d’intérêt FED : relèvement entre 0,75 % et 3,5 % ?

Taux d’intérêt  FED : relèvement entre 0,75 % et 3,5 % ?

 

Au départ du processus de remontée des taux d’intérêt la FED avait prévu de remonter les taux d’intérêt à trois reprises d’un quart  de point. Face à la hausse exceptionnelle de l’inflation, la FED s’est résolue à ajouter une quatrième étape de remonter d’un quart . Mais récemment des membres de la FED ont laissé entendre que les relèvements qui seront opérés courant 2022 pourraient se faire par demi-point et non pas par quart. Bref la fourchette entre les intentions premières et les perspectives s’élargit de 0,75 % à 3.5 % pour l’ensemble de l’année 2022.

Dans une interview accordée vendredi et publiée samedi soir par le Financial Times, le président de l’antenne de la Réserve fédérale d’Atlanta, Raphael Bostic, a affirmé que «toutes les options (étaient) sur la table à chaque réunion» de l’institution. Il s’attend toujours à trois hausses d’un quart de point de pourcentage d’ici la fin de l’année. Mais «si les données indiquent que les choses ont évolué d’une manière telle qu’un mouvement de 50 points de base est nécessaire ou [serait] approprié, alors je pourrais y réfléchir», a-t-il dit. Il a aussi souligné qu’il «serait à l’aise» avec l’idée de prendre une décision «à chaque réunion», suggérant ainsi qu’il pourrait y avoir une hausse de taux à chacune des sept réunions restant d’ici la fin de l’année.

Compte tenu de l’envolée exceptionnelle de l’inflation, le plus probable c’est qu’on pourrait atteindre la fourchette haute du relèvement des taux d’intérêt évoqué par Raphael Bostic.

La hausse des prix à la consommation aux États-Unis en décembre se révèle aussi forte que prévu. Le gain de 0,5 % de l’indice des prix le mois dernier, annoncé par le Département du travail, porte à 7 % l’inflation en 2021. Il faut remonter à 1982 pour retrouver une telle flambée. Voilà trois mois qu’en rythme annuel l’inflation dépasse 6 %, soit trois fois l’objectif de moyen terme de la Réserve fédérale.

 

SMIC à 1.400 euros, TVA à 0%, Augmentation des salaires, allocations pour tous etc : la foire aux enchères sociales de Taubira

SMIC à 1.400 euros, TVA à 0%, Augmentation des salaires, allocations pour tous etc. : la foire aux enchères sociales de Taubira

 

 

La campagne présidentielle avait déjà mal commencé avec des promesses sociales douteuses comme par exemple le doublement du salaire des enseigants  par Hidalgo mais à peu près tous les candidats promettent la lune au plan salarial et des allocations augmentées ou créées. Bref le sentiment que faute de vision prospective sur l’avenir du pays, les candidats à l’élection présidentielle adoptent davantage une position de syndicaliste que de président de la république. Notons d’ailleurs que nombre de ces propositions ne dépendent pas de l’État mais des entreprises et par ailleurs évidemment qu( elles ne sont pas financées lorsque cela dépend du champ de responsabilité de l’État ou des collectivités en général.

De la part de Taubira  n particulier, une sorte de foire aux enchères où sont reprises certaines revendications des gilets jaunes, auquel on ajoute celles des gilets verts écolos et celle des gilets rouges gauchistes.

Faute devrait programmes explicités,la  ministre du mariage pour tous a promis de combattre « les inégalités, les injustices et les discriminations », évoquant la jeunesse, la justice sociale, l’écologie et la démocratie.

Au programme: « la nécessaire et urgente transition écologique », « une conférence sur les salaires » contre « la démoralisation, les discours de haine et les propos belliqueux », « le risque de dislocation sociale » ou encore « les colères qui nous font descendre dans la rue et occuper les ronds-points ».

Elle reprend  son compte l’une des propositions-phares des « Gilets jaunes »: le référendum d’initiative citoyenne.

Ce n’est pas tout: si elle devient présidente, les étudiants bénéficieront d’un revenu de 800 euros par mois pendant cinq ans de la même façon que le SMIC sera revalorisé à « 1.400 euros net » et les grandes fortunes fiscalisées « à partir de 10 millions d’euros de patrimoine ».

« La pandémie [ayant] révélé une souffrance sociale qui a frappé toutes les générations », l’ex-députée guyanaise s’est engagée à recruter 100.000 soignants et à revoir « sans tabou » les conditions d’installation des médecins traitants pour lutter contre les déserts médicaux.

En attendant le vote des 110.000 participants de la « Primaire populaire » qui se tiendra du 27 au 30 janvier, elle souhaite enfin améliorer les droits des travailleurs des plateformes numériques ou encore instaurer « une TVA à taux 0 pour les produits de l’agriculture biologique ».

Pour un peu l’intéressée annoncerait la gratuité de la baguette dans les supermarchés!

 

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

 

Comme il fallait s’y attendre la rémunération du livret A sera insignifiante puisque elle passera de 0,5 % à 1 %. C’est trop, d’après la Banque de France qui aurait conseillé de passer de 0,5 % à 0,8 %. ! Dans le même temps sur un an l’inflation officielle aura progressé, elle, de 2,8 %  en niveau) ; conclusion la perte de pouvoir d’achat se rapproche de 2 %. En tout cas le chiffre officiel de l’INSEE dont l’indice de mesure des prix à la consommation est largement obsolète du fait du changement de structure des dépenses des ménages. Les dépenses ajustables pèsent de moins en moins dans le budget des ménages alors qu’augmentent les dépenses contraintes. De toute manière on a un peu de mal à comprendre comment l’inflation pourrait n’être que de 2,8 % en France qui importe à peu près tout en tout cas une grande partie des biens de consommation alors que c’est inflation est de 5 % en Allemagne.

La hausse annoncée ne couvrira donc pas totalement l’inflation , d’autant que celle-ci a fortement accéléré en fin d’année. Mais le grand gagnant de ces changements de taux est sans nul doute le livret d’épargne populaire (LEP), qui rapportera 2,2% dès le 1er février, car sa formule est plus étroitement liée à l’inflation. Près de 7 millions de Français détiennent un LEP, accessible sous conditions de revenus. 15 millions de Français seraient éligibles.

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

Épargne : la rémunération du livret à passe de 0,5 % à 1 %, c’est trop !

 

Comme il fallait s’y attendre la rémunération du livret A sera insignifiante puisqu’elle passera de 0,5 % à 1 %. C’est trop, d’après la Banque de France qui aurait conseillé de passer de 0,5 % à 0,8 %. ! Dans le même temps sur un an l’inflation officielle aura progressé, elle, de 2,8 %  en niveau) ; conclusion la perte de pouvoir d’achat se rapproche de 2 %. En tout cas le chiffre officiel de l’INSEE dont l’indice de mesure des prix à la consommation est largement obsolète du fait du changement de structure des dépenses des ménages. Les dépenses ajustables pèsent de moins en moins dans le budget des ménages alors qu’augmentent les dépenses contraintes. De toute manière on a un peu de mal à comprendre comment l’inflation pourrait n’être que de 2,8 % en France qui importe à peu près tout en tout cas une grande partie des biens de consommation alors que c’est inflation est de 5 % en Allemagne.

La hausse annoncée ne couvrira donc pas totalement l’inflation , d’autant que celle-ci a fortement accéléré en fin d’année. Mais le grand gagnant de ces changements de taux est sans nul doute le livret d’épargne populaire (LEP), qui rapportera 2,2% dès le 1er février, car sa formule est plus étroitement liée à l’inflation. Près de 7 millions de Français détiennent un LEP, accessible sous conditions de revenus. 15 millions de Français seraient éligibles.

Croissance France : une révision inutile de 0,1 % de la Banque de France !

Croissance France : une révision inutile de 0,1 % de la Banque de France !

 

Il est probable que la Banque de France entretient des inquiétudes existentielles quant à son rôle en tout cas quant aux moyens très coûteux de l’établissement. En effet , l’établissement monétaire ne cesse de multiplier des prévisions économiques qui font d’ailleurs double emploi avec d’autres institutions. Pour preuve ,cette nouvelle prévision qui rectifie à la baisse de 0,1 % la croissance en 2022: 3,6 % au lieu de 3,7

Une modification ridicule tellement elle est à la marge. En outre, la Banque de France d’ailleurs toutes les autres institutions sont bien incapables de mesurer l’effet négatif qu’aura l’amplification de la pandémie sanitaire du fait du variant omicron.

Pour faire sérieux l,a Banque de France prévoit donc une croissance de 3,6 % alors que le gouvernement table sur 4 % en 2022. Là aussi des différences à la marge et tout à fait aléatoire. Surtout si on se fie aux facteurs explicatifs de la Banque de France.

qui  estime « que la croissance sera portée l’an prochain «par le rebond de toutes les composantes de la demande intérieure, à savoir la consommation des ménages, avec une baisse progressive du surplus d’épargne engrangé pendant la crise, ainsi que l’investissement, en particulier celui des entreprises, grâce à la stabilisation de leurs marges. »

 

La Banque de France reprend exactement le discours volontairement optimiste du gouvernement. En effet, rien n’indique qu’il y aura une réelle mobilisation de l’épargne et une reprise des investissements si par hypothèse la demande tente à s’affaiblir en raison  de la pandémie sanitaire.

 

Après avoir affirmé que l’inflation avait en France un caractère transitoire, la Banque de France reconnaît que la hausse des prix va se prolonger encore en 2022 et 2023 ( 2.5%). Quant à sa prévision pour 2024 ( inflation plus 1,4%), c’est carrément une projection tirée du marc de café.

La Banque d’Angleterre relève son taux à 0,25 %

 

La Banque d’Angleterre relève son taux à 0,25 % 

La banque d’Angleterre décidé jeudi de relever son taux de 0,15 point, à 0,25 %. La Banque d’Angleterre devient ainsi la première banque centrale d’un pays du G7 à prendre une telle mesure de resserrement monétaire. La veille, la Réserve fédérale américaine avait indiqué envisager trois hausses de taux en 2022 tandis que la BCE ne prévoit « Théoriquement » pas de relèvement avant 2023.Une position que la banque centrale européenne aura du mal à tenir car l’inflation en 2021 a tout de même atteint 5 %. Tout dépendra en fait de la dynamique économique et de la prise en compte par les marchés du bouclage prix salaire

  • Alors que la banque fédérale américaine a décidé de relever d’un quart : et à trois reprises c’est taux au cours de l’année 2022, la banque d’Angleterre affrontait une très forte inflation décide elle aussi d’augmenter de zéroLa prime de Noël 2021 sera versée à partir du 15 décembre

À LIRE AUSSILe Royaume-Uni est-il «trop attractif» pour les migrants?

La Banque d’Angleterre était confrontée au même dilemme que les autres banques centrales: continuer de soutenir l’économie alors que la nouvelle vague de Covid-19 menace l’activité, ou durcir les conditions de crédit pour dompter l’inflation. D’un côté, le nombre de contaminations explose: 63.000 nouveaux cas quotidiens en moyenne sur les sept derniers jours au Royaume-Uni. De l’autre…

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Taux d’intérêt livret A: une hausse de seulement 0,5 % !

Taux  d’intérêt livret A:  une hausse de seulement 0,5 % !

L’inflation 2021 sur un an devrait être proche de 3 %. Sans rire, Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a envisagé une hausse du taux du livret A, actuellement de 0,5 %. Son calcul « intégrera l’inflation des six derniers mois », a-t-il assuré sur RTL mercredi. Du fait de la poussée des prix – 2,6 % sur un an en octobre selon l’Insee – le rendement du livret A est aujourd’hui largement négatif : ceux qui ont placé leurs économies sur ce compte d’épargne perdent de l’argent.

Ce coup de pouce, qui pourrait porter le taux de rémunération du livret A entre 0,75 % et 1 %,.

Taux livret A: une hausse de seulement 0,5 % !

Taux livret A:  une hausse de seulement 0,5 % !

L’inflation 2021 sur un an devrait être proche de 3 %. Sans rire, Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a envisagé une hausse du taux du livret A, actuellement de 0,5 %. Son calcul « intégrera l’inflation des six derniers mois », a-t-il assuré sur RTL mercredi. Du fait de la poussée des prix – 2,6 % sur un an en octobre selon l’Insee – le rendement du livret A est aujourd’hui largement négatif : ceux qui ont placé leurs économies sur ce compte d’épargne perdent de l’argent.

Ce coup de pouce, qui pourrait porter le taux de rémunération du livret A entre 0,75 % et 1 %,.

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre 

Au troisième trimestre 108.300 créations nettes d’emploi dans tout le territoire, soit une progression de 0,4 % par rapport au trimestre précédent, selon l’estimation définitive publiée mercredi par l’Insee.

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Néanmoins, cette nouvelle hausse de l’emploi salarié est nettement moins forte que celle exceptionnelle du deuxième trimestre, qui s’était soldé par 309.500 créations d’emploi, un bond de 1,5 %. L’emploi salarié se situe à 1 % au-dessus de son niveau de fin 2019, ce qui équivaut à 260 900 emplois supplémentaires.

 

Du côté des rémunérations, le salaire moyen par tête (SMPT) Le SMPT est désormais supérieur de 3,1 % à son niveau de fin 2019.

En comparaison, les prix à la consommation (hors tabac) de l’ensemble des ménages augmentent de 0,5 % ce trimestre et de 1,5 % par rapport à la fin 2019. . La masse salariale soumise à cotisations sociales poursuit elle aussi sa hausse au troisième trimestre 2021 : + 3,8 % après + 2,2 %.


Le taux du livret A : un taux de 0,75 % au lieu de 0,50 % ?

Le taux du livret A : un taux de 0,75 % au lieu de 0,50 % ?

 

Le taux d’épargne du livret à est bien entendu insignifiant puisque ce taux d’intérêt est bloqué à 0,5% depuis le 1e février 2020.

Le taux du livret a résulte d’un calcul tordu qui s’appuie d’une part «la moyenne semestrielle des taux à court terme en euros (€STR)» et sur l’évolution des prix à la consommation des ménages calculés par l’INSEE. Notons d’abord que cet indicateur de l’INSEE est complètement obsolète avec la modification structurelle de la consommation des ménages. Plus globalement ce calcul complexe permet surtout de minorer le taux du livret A. Pour résumer, actuellement le taux du livret a est fixé à 0, 50 % alors que la hausse des prix sur un an et proche de 3 %. Résultat une perte de 2,5 % . Grâce à la formule alambiquée de calcul par les pouvoirs publics le taux du livret a ne serait augmenté que de 0,25 % au début de l’année 2022 soient un taux de 0,75 %.

Beaucoup d’experts s’interrogent sur les conditions d’amortissement de la dérive considérable de l’endettement. Pourtant la solution est simple, elle a été largement été utilisée dans l’histoire économique : grâce à l’inflation qui permet une ponction sur le revenu du travail et de l’épargne.

 

Le Smic pourrait être revalorisé de 0,6 %.

Le Smic pourrait être  revalorisé de 0,6 %.

Et le nombre de bénéficiaires est loin d’être négligeable :  

Secteur Nombre total de salariés Nombre de salariés au SMIC
Secteur de l’intérim 720 000 120 000
Salariés agricoles 330 000 100 000
Secteur domestique 710 000 310 000
État, secteur hospitalier public et collectivités locales 5 850 000 550 000

Le smic pourrait donc  être revalorisé de 0,5 % à 0,6 % au 1er janvier 2022. C’est ce qui ressort du rapport d’un groupe d’experts qui a été transmis, lundi 29 novembre, aux partenaires sociaux.

Le Smic a déjà été relevé deux fois cette année, rappelle tout d’abord le groupe. Une première fois le 1er janvier 2021, lorsque le Smic horaire brut a été porté à 10,25 euros, soit une progression de 0,99 %. Et une seconde fois, quand il a été revalorisé de 2,2% le 1er octobre 2021. Cette dernière hausse est automatique puisqu’elle fait suite à une progression de l’indice des prix à la consommation qui a excédé 2 % (2,2 % exactement) entre novembre 2020 et août 2021.Or, comme le veut le Code du travail, quand cet indice des prix dépasse les 2% sur une année, le Smic est automatiquement revalorisé. Les deux coups de pouce de 2021 ne sont donc pas liés à une décision politique, mais à une application stricte des textes.

Du fait de ces mécanismes automatiques, en France, le Smic a donc été porté à 10,48 euros, cette année, soit une augmentation égale à la progression de l’inflation. Autrement dit, avec ces systèmes de pilotage, le pouvoir d’achat des personnes au Smic est, dans l’Hexagone, théoriquement bien préservé.

La progression du SMIC mécaniquement entraîne la révision à la hausse des salaires de base des grilles indiciaires dans plusieurs branches. On pourrait cependant objecter que la mesure de l’évolution des prix est assez approximative en France du fait que l’indice des prix de l’INSEE devenu obsolète depuis l’évolution structurelle de la consommation des ménages. Un indice qui ne tient pas compte notamment de la cotation croissante des charges contraintes.

Grève Force ouvrière dans les hôpitaux parisiens : 0,5 % de participation !

Grève Force ouvrière dans les hôpitaux parisiens : 0,5 % de participation !

 

 

Force ouvrière travaillée à la fois par les gauchistes et engagée dans une guerre concurrentielle avec des syndicats souvent très corpos vient de subir un échec retentissant avec une participation de 0,5 % à la grève lancée par le syndicat. On voudrait démontrer l’obsolescence du mouvement syndical qu’on ne s’y prendrait pas autrement. À noter aussi l’ambiguïté des propos du patron de la confédération de Force ouvrière qui déclare concernant la vaccination des hospitaliers que c’est une affaire médicale et qu’il ne peut prendre position sur le sujet. Bref souvent le culs entre deux chaises, Force ouvrières évoluent entre une posture corpo et la fuite en avant gauchiste.

 

 

Vaccins: 0,3% pour 9 % de la population mondiale pauvre

Vaccins: 0,3%  pour 9 % de la population mondiale pauvre

Plus de 3,93 milliards de doses de vaccins anti-Covid ont d’ores et déjà été injectées dans le monde, selon un décompte de l’AFP. Mais seulement 0,3% de ce total a été administré dans les 29 pays les plus pauvres du monde, où se trouve pourtant 9% de la population mondiale. «Augmenter la production dans les pays en voie de développement pour que davantage de doses de vaccins soient injectées en Afrique, en Amérique latine et en Asie est d’une importance critique» pour tous les membres de l’OMC, a souligné le porte-parole de l’organisation.

Tarifs électricité : plus 0, 50 % au 1er août

Tarifs électricité : plus 0, 50 % au 1er août

Discrètement mais de manière irréversible, les tarifs des services et de certains produits augmentent depuis le début de l’année sans que pour autant les revenus des Français suivent. Ainsi la Commission de régulation de l’énergie (CRE) a proposé lundi une hausse de 0,48% TTC des tarifs réglementés de vente d’électricité en France pour les particuliers à compter du 1er août.

Elle propose également de relever de 0,38% les tarifs réservés aux professionnels.

« Cette évolution représente une hausse d’environ 4 euros/an sur la facture d’un client résidentiel et 6 euros/an pour un client professionnel », précise la CRE dans un communiqué.

Les ministres de l’Energie et de l’Economie ont la possibilité, dans un délai de trois mois, de s’opposer à la proposition de la CRE et de lui demander, le cas échéant, d’en formuler une nouvelle.

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