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Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?

Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?

Dans un entretien au « Parisien », Bayrou estime que l’augmentation considérable des droits de douane américain devrait coûter au moins 0,5 % de PIB à la France. Une évaluation sans doute tout à fait approximative , personne n’est en effet en capacité de décrire avec précision les conséquences économiques de la formidable augmentation des taxes douanières de Trump sur l’économie mondiale.

L’hypothèse d’une récession internationale à commencer par les aux États-Unis est possible. Du coup la France qui tutoie déjà la stagnation verrait son activité plonger aussi dans le rouge. La décision du président américain est d’une telle ampleur que bien peu d’experts seraient en capacité d’apprécier les conséquences à court terme mais aussi à moyen terme car on pourrait assister à une transformation profonde de la nature et de l’ampleur des échanges. Pour les meilleurs on peut seulement prévoir une envolée de l’inflation aux États-Unis d’abord et qui va affecter le pouvoir d’achat et la croissance

Le Premier ministre François Bayrou estime que les hausses de droits de douane décidées par Donald Trump peuvent coûter « plus de 0,5% du PIB » à la France, dans un entretien au Parisien dimanche(Nouvelle fenêtre) mis en ligne samedi 5 avril. « Le risque de pertes d’emplois est absolument majeur, comme celui d’un ralentissement économique, d’un arrêt des investissements », juge le chef du gouvernement. « La déstabilisation qu’il a fait naître fragilisera pour longtemps l’économie mondiale », ajoute François Bayrou, dont la volonté est « de tenir l’objectif du retour aux 3% [de déficit public] en 2029. Mais la crise peut tout changer », admet-il.

Economie-Inflation :0,8 % sur un an en mars

Economie-Inflation :0,8 % sur un an en mars


La hausse des prix à la consommation atteint 0,8% sur un an en mars, contre 2,3% l’année dernière à la même époque.

Les prix à la consommation ont augmenté de 0,8% sur un an en France, selon les résultats provisoires pour mars, publiés ce vendredi matin par l’Insee. Sur un mois, les prix à la consommation ont progressé de 0,2% alors qu’ils étaient stables le mois dernier.

Sur un an, la hausse des prix à la consommation en France a considérablement ralenti. L’inflation annuelle est passée de 2,3 % en mars 2024 à 1,1 % en septembre 2024. Après une période de stabilité à l’automne, elle a connu un rebond à 1,7 % en janvier 2025, sous l’effet de la hausse des tarifs des consultations médicales et de la remontée des prix du pétrole. En février 2025, l’inflation a chuté à 0,8 %, son niveau le plus bas depuis février 2021.

Les prix des produits alimentaires enregistrent une hausse annuelle de 0,6%, soit une légère accélération par rapport à février (+0,3%). Cette tendance reflète la récente augmentation des coûts de production dans l’industrie agroalimentaire, progressivement répercutée sur les prix à la consommation. À l’inverse, la baisse des prix de l’énergie se poursuit. En rythme annuel, ils affichent un recul de 6,2%, amplifiant la tendance observée en février (-5,8%).

Selon les dernières projections publiées par la Banque de France, l’inflation devrait poursuivre son ralentissement et rester sous la barre des 2% lors des deux prochaines années. En 2025, elle pourrait atteindre un niveau historiquement bas de 1,3%, principalement en raison du recul des prix des services et de l’électricité. Cette tendance modérée se poursuivrait en 2026 et 2027, avec une inflation estimée respectivement à 1,6% et 1,9%.

Inflation :0,8 % sur un an en mars

Inflation :0,8 % sur un an en mars


La hausse des prix à la consommation atteint 0,8% sur un an en mars, contre 2,3% l’année dernière à la même époque.

Les prix à la consommation ont augmenté de 0,8% sur un an en France, selon les résultats provisoires pour mars, publiés ce vendredi matin par l’Insee. Sur un mois, les prix à la consommation ont progressé de 0,2% alors qu’ils étaient stables le mois dernier.

Sur un an, la hausse des prix à la consommation en France a considérablement ralenti. L’inflation annuelle est passée de 2,3 % en mars 2024 à 1,1 % en septembre 2024. Après une période de stabilité à l’automne, elle a connu un rebond à 1,7 % en janvier 2025, sous l’effet de la hausse des tarifs des consultations médicales et de la remontée des prix du pétrole. En février 2025, l’inflation a chuté à 0,8 %, son niveau le plus bas depuis février 2021.

Les prix des produits alimentaires enregistrent une hausse annuelle de 0,6%, soit une légère accélération par rapport à février (+0,3%). Cette tendance reflète la récente augmentation des coûts de production dans l’industrie agroalimentaire, progressivement répercutée sur les prix à la consommation. À l’inverse, la baisse des prix de l’énergie se poursuit. En rythme annuel, ils affichent un recul de 6,2%, amplifiant la tendance observée en février (-5,8%).

Selon les dernières projections publiées par la Banque de France, l’inflation devrait poursuivre son ralentissement et rester sous la barre des 2% lors des deux prochaines années. En 2025, elle pourrait atteindre un niveau historiquement bas de 1,3%, principalement en raison du recul des prix des services et de l’électricité. Cette tendance modérée se poursuivrait en 2026 et 2027, avec une inflation estimée respectivement à 1,6% et 1,9%.

FOOT- ligue 1: Nice 8 St Etienne 0

FOOT- ligue 1: Nice 8 St Etienne 0

 

Nice fait un carton  face à l’ASSE (8-0) ce vendredi, à l’Allianz Riviera, en ouverture de la cinquième journée de Ligue 1.  L’OCGN menait déjà 6-0 à la mi-temps, avec un doublé de Moukoko et des buts signés Ndombélé, Cho et Guessand, le dénommé Batubinsika ayant ouvert le score… contre son camp. Le revenant Diop et Rosario sur penalty pour clôturer le score. 

Taux d’intérêt : une une baisse de 0,50 par la banque fédérale américaine (FED)

Taux d’intérêt : une une baisse de 0,50 par la banque fédérale américaine (FED)

Constatant que l’inflation se dirige vers l’objectif de 2 %,la  Banque centrale américaine (Fed) a abaissé ce mercredi son principal taux directeur de 0,5 point et envisage un demi-point supplémentaire d’ici fin-2024, au cours de la dernière réunion avant l’élection américaine du 5 novembre.

 

Les taux avaient été relevés pour freiner la flambée des prix, et se trouvent depuis juillet 2023 dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, leur plus haut niveau en plus de 20 ans. Ils se situent désormais dans une fourchette de 4,75 à 5,00%, après avoir passé plus d’un an à leur plus haut niveau depuis le début du siècle, à 5,25-5,50%.

Notons que d’autres banques centrales ont déjà amorcé le processus de baisse des taux d’intérêt. La Banque centrale européenne (BCE) par exemple avait commencé son cycle de baisse en juin 2024. Le 12 septembre 2024, elle a annoncé une deuxième baisse : à partir du 18 septembre 2024, son principal taux directeur, la facilité de dépôt, passe de 3,75 à 3,5%. L’urgence pour l’Europe est différente du fait de l’atonie du niveau de la croissance économique.

La Fed a par ailleurs  révisé à la baisse sa prévision d’inflation, à 2,1% en 2025, contre 2,3% attendus lors des précédentes prévisions, en juin. Le chômage a lui été révisé à la hausse, à 4,4% cette année et la suivante, contre 4,0 et 4,2% auparavant.

 

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

 

L’activité a finalement rebondi un peu moins fortement que prévu entre avril et juin. Le Produit intérieur brut (PIB) français a progressé seulement  de 0,2% au deuxième trimestre, selon les résultats détaillés communiqués vendredi par l’Insee, soit une révision en baisse de 0,1 point par rapport à la première estimation. Le PIB avait augmenté de 0,3% au premier trimestre.

Les grandes composantes sont stables ou en légère hausse, à l’exception de l’investissement (-0,4%). La consommation des ménages se redresse légèrement (+0,1% après -0,1% au premier trimestre), grâce à la consommation de services (+0,5% après +0,3%), tandis que la consommation de biens reste stable (après -0,1%) : la consommation alimentaire recule de 1,6% après déjà -0,1%), une baisse compensée par la hausse de la consommation en gaz et électricité (+3,0% après +0,2%). L’investissement, ou formation brute de capital fixe (FBCF) pour l’Insee, diminue de nouveau (-0,4% après -0,5%). Il recule de 0,5% pour les entreprises, comme au premier trimestre, et de 1,1% pour les ménages, après -1,9% au premier trimestre. Elle augmente néanmoins pour les administrations publiques (+0,6% après +0,5%). Au total, la contribution de la demande intérieure finale – hors stocks – à la croissance du PIB est nulle au deuxième trimestre, comme au trimestre précédent.

Les exportations continuent d’augmenter modérément (+0,4% après +0,6%), grâce notamment «au dynamisme des livraisons de matériels de transport», explique l’Institut national de la Statistique. Quant aux importations, elles se redressent légèrement ce trimestre (+0,1% après -0,4%), soutenues par les importations d’énergie, eau, déchets et de produits agro-alimentaires. Au total, le commerce extérieur apporte de nouveau une contribution positive au PIB (+0,1 point après +0,3 point). Enfin, la contribution des variations de stocks à l’évolution du PIB est nulle ce trimestre, comme au trimestre précédent.

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre
La France et l’ensemble de la zone euro s’oriente vers une croissance très ralentie en 2024 avec une perspectives inférieure à 1 %. En cause une consommation des ménages qui recule sous l’effet de la baisse du pouvoir d’achat.

 

Après une hausse de 0,3% au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) a encore augmenté de 0,3% au deuxième trimestre. Une croissance tirée par le commerce extérieur et les investissements des entreprises alors que la consommation des ménages recule.
Cette première estimation de la croissance est conforme à celle de l’INSEE et à la Banque de France, avec une anticipation de 0,3% conforme au niveau de croissance effectif.

Dans le détail, entre avril et juin, l’activité économique a été soutenue par le commerce extérieur et un rebond des investissements des entreprises, a indiqué mardi l’Insee. A l’inverse, la consommation des ménages a reculé en volume en juin, diminuant de 0,5% par rapport au mois de mai, avec un repli notamment de la consommation d’énergie (-1,9%) et de la consommation alimentaire (-0,7%). Cette baisse de la consommation des ménages en juin fait suite à un rebond de 0,8% lors du mois précédent, revu « fortement à la baisse de 0,7 point » par rapport à ce que l’Insee avait initialement annoncé fin mai. Sur un an, la consommation des ménages est en baisse de 1%.

 

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

La  Banque centrale européenne anticipe une croissance de 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre.

En France, l’OCDE prévoit une croissance à 0,7% pour 2024, tandis que la Banque de France voit cette dernière augmenter de 0,8% et même de 1% pour le gouvernement. Et l’Insee voit encore plus haut et table sur une hausse de 1,1% cette année.

 

Japon : Croissance en recul de 0,5%

Japon  : Croissance en recul de 0,5% 

Le PIB de l’archipel a reculé de 0,5% au premier trimestre comparé au précédent, selon une nouvelle estimation publiée lundi 10 juin. Les exportations ont chuté au premier trimestre de 5,1% (-5% lors de la première estimation), tandis que ses importations ont reculé de 3,3% (contre -3,4% précédemment), selon les chiffres du gouvernement. La consommation privée a, quant à elle, baissé de 0,7%.
(chiffre inchangé).

 

La consommation des ménages a, quant à elle, reculé de 0,8% (contre -0,7% lors de la première estimation) sur l’ensemble du premier trimestre. Cet indicateur a diminué sans discontinuer entre mars 2023 et mars 2024, alors que l’inflation continue à progresser plus vite que les salaires dans le pays, et que la faiblesse du yen, accentuée par la politique monétaire accommodante de la Banque du Japon (BoJ), fragilise aussi leur pouvoir d’achat.

L’archipel « évite de justesse la ‘récession technique’ définie par deux baisses consécutives » du PIB, avait déjà souligné mi-mai, lors d’une première estimation, Stefan Angrick dans une note de Moody’s Analytics. Mais « la nouvelle chute au premier trimestre 2024 montre que le Japon n’est pas non plus très loin de la récession, l’économie japonaise est en mauvaise forme ».

 

La consommation a cependant augmenté de 0,5% en avril sur un an en termes réels (corrigés de l’inflation), marquant la première hausse de cet indicateur économique clé depuis février 2023, selon des données officielles publiées vendredi 7 juin.

(Avec AFP)

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

France : une croissance insignifiante à plus 0,1 %

France : une croissance insignifiante à plus 0,1 %

Il est difficile de considérer que la croissance de la France résiste avec une augmentation de plus 0,1 % ( l’épaisseur du trait qui d’ailleurs pourra être modifié par la suite par l’INSEE). C’est en tout cas le cri d’optimisme du ministre de l’économie, par ailleurs candidat à la candidature pour 2027. Pour lui, c’est le signe que l’économie résiste et que l’inflation est maîtrisée.

Un constat un peu idyllique car la croissance ne tient pas grand chose et pourrait basculer dans le rouge dès le premier trimestre 2024. Quant à l’inflation elle diminue certes mais de manière inférieure à celle de l’union économique et elle doit surtout à la baisse des prix de l’énergie. Des prix de l’énergie qui justement pourrait bien remonter avec les risques géopolitiques au Moyen-Orient. Et par avance le ministre de l’économie trouve des les excuses :
« Toute extension du conflit amènera une flambée du prix des matières premières, une flambée des prix de l’énergie, et par conséquent, un impact sur la croissance européenne. »

Et pour cause, certains analystes tablent déjà sur une flambée des prix du cours de pétrole. Son tarif pourrait être doublé en quelques mois, et atteindre les 150 dollars le baril. Pour l’instant, il reste autour de 90 dollars, mais il a déjà progressé de 6% depuis le début du conflit en Israël, a relevé la Banque mondiale. Par ricochet, les tarifs du gaz et d’autres matières premières – agricoles notamment – pourraient être relevés dans les semaines à venir.

Selon la Banque mondiale, les tensions en Israël pourraient ainsi provoquer un nouveau choc de prix sur les matières premières. « Si le conflit devait gagner en intensité, l’économie mondiale devrait faire face à un double choc énergétique pour la première fois depuis des décennies », a ainsi prévenu Indermit Gill, le chef économiste de l’institution, faisant aussi référence à l’invasion russe en Ukraine.

Ce troisième trimestre, la croissance est restée positive grâce, notamment, à un rebond de la consommation des produits alimentaires, mais aussi des biens d’équipement. Sur l’alimentaire, la reprise est d’autant plus notable qu’elle intervient après 8 trimestres de baisse. Signe que les ménages ont rempli un peu plus leur caddie cet été.

Cette reprise de la demande intérieure s’explique par le ralentissement des prix enregistré ces dernières semaines. En octobre, l’inflation est tombée à 4% sur un an, après 4,9% en septembre. Ce qui amène Bruno Le Maire à assurer : « La France est en train de sortir de la crise inflationniste. Et ce recul de l’inflation doit nous permettre de tenir nos objectifs de croissance. »

Mais, « D’ici 2024, on ne retrouvera pas les prix que l’on a connus, et puis les salaires progressent moins vite que les prix », tempère Eric Heyer, de l’OFCE.

Économie–Croissance France : La Banque de France fait dans l’optimisme avec plus 0, 1 % au troisième trimestre

Économie–Croissance France : La Banque de France fait dans l’optimisme avec plus 0, 1 % au troisième trimestre


Il est probable que la France va connaître la stagnation voir la régression au troisième voir au quatrième trimestre. En effet tous les indicateurs sont dans le rouge le moral des entreprises comme celui des ménages, la consommation et les exportations.

Mais la Banque de France fait dans le volontarisme et pour éviter d’afficher la dépression économique qui pourrait encore détériorer un peu plus le moral déclare que la croissance va progresser de 0,1 %. C’est-à-dire à peu près rien et en plus en plein de toute manière dans la marge d’erreur.

D’après la Banque de France, l’activité économique devrait donc enregistrer une légère progression au troisième trimestre.

L’activité marquerait toutefois un net ralentissement après le rebond inattendu de 0,5% du produit intérieur brut (PIB) observé au deuxième trimestre.

«La conjoncture d’après l’été est moins favorable que celle que l’on avait juste avant l’été», a déclaré Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international à la Banque de France, en présentant la nouvelle enquête mensuelle de conjoncture de l’institution.

Pour l’ensemble de l’année 2023, la Banque de France s’attend à une croissance de 0,9%, un peu moins que la prévision du gouvernement (1%).

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