Archive pour le Tag '0.8%'

Nombre de médecins : une hausse de 0,8 %

Nombre de médecins : une hausse de 0,8 %

 

 

Il y a eu 1.672 médecins en plus en 2024,  soit une hausse de 0,8%, alors que l’effectif baissait depuis 2010.

 

Selon les chiffres de l’édition 2024 de l’Atlas de la démographie médicale publié mercredi 2 octobre par l’Ordre des médecins, le nombre de médecins en activité régulière (hors remplaçants et retraités actifs) en France a augmenté de 0,8% à 199.089 praticiens au 1er janvier 2024.

Cet effectif baissait depuis 2010, à l’exception de timides rebonds en 2018 et 2020, et revient aujourd’hui à un niveau comparable à celui observé en 2014. «Il y a un frémissement de la démographie médicale», a commenté le docteur Jean-Marcel Mourgues, vice-président du conseil national de l’Ordre des médecins. «Les médecins en activité régulière augmentent enfin. Pas beaucoup, mais ils augmentent», a-t-il ajouté. Pour lui, leur effectif est désormais «sur un plateau en légère ascension». «Cette tendance devrait se poursuivre et même s’amplifier dans les années à venir», a-t-il indiqué.

. Le nombre d’étudiants formés atteint aujourd’hui 11.000 (nombre d’étudiants en deuxième année de médecine), et doit atteindre 12.000 en 2025.
Par contre «Les inégalités territoriales se creusent toujours davantage», relève le docteur Mourgues. «Les départements qui ont des hôpitaux universitaires, à de rares exceptions près, ont tendance à augmenter et rajeunir leur population médicale», précise-t-il. En revanche, «il y a des départements plutôt en périphérie de région, avec souvent un profil rural et une population âgée – un facteur aggravant pour l’offre de soins – qui a une population médicale qui continue à vieillir et qui ne se rajeunit pas assez», ajoute-t-il.

 

 

Smic : + 0.8% au 1er janvier

Smic : + 0.8%  au 1er janvier

Le Smic horaire augmentera ainsi de 0,8% à 9,61 euros, a annoncé le ministère du Travail ce jeudi 18 décembre.  Un smicard touchera donc 1.457,52 euros bruts mensuels, soit une hausse de 12,14 euros par rapport à 2014. Le gouvernement avait annoncé début décembre qu’il n’accorderait pas de « coup de pouce » au Smic, conformément aux préconisations du groupe d’experts chargé de le conseiller.  Le ministre des Finances, Michel Sapin, avait prévenu dès le début du mois qu’il « n’y aurait pas de coup de pouce », conformément aux préconisations du groupe d’experts sur le Smic.  La revalorisation mécanique du Smic est calculée en fonction de deux critères. D’abord, l’indice des prix à la consommation hors tabac pour les 20% de ménages aux revenus les plus faibles: +0,2% entre novembre 2013 et novembre 2014. Deuxièmement, la moitié du gain de pouvoir d’achat du salaire horaire de base ouvrier et employé (SHBOE): +0,6% entre septembre 2013 et septembre 2014.  La CGT, qui réclame une revalorisation à 1.700 euros mensuels, avait exprimé dès mercredi son « insatisfaction vis-à-vis de l’absence de coup de pouce ». « Au-delà de la question du Smic, qui est importante, il est nécessaire de penser des mécanismes pour que la pyramide des salaires ne soit pas aplatie au niveau du salaire minimum », avait de son côté estimé Inès Minin, son homologue de la CFDT.  Le dernier coup de pouce au Smic remonte au 1er juillet 2012. Au lendemain de l’élection de François Hollande, le salaire minimum avait été revalorisé de 2%, au lieu de 1,4%.

Hausse prix : 0.8% sur un an

Hausse prix : 0.8% sur un an  

Sur un an, ils affichent une hausse de 0,8%, contre 0,7% en avril. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, s’inscrit également en hausse de 0,1% en mai, sa progression sur un an atteignant 0,9%. Douze économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un indice IPCH en hausse de 0,2% sur le mois, leurs estimations allant de -0,5% à +0,3%. Corrigée des variations saisonnières, la hausse de mai est également ressortie à 0,1%, tout comme pour l’indice des prix hors tabac (+0,7% sur un an), alors que l’inflation sous-jacente (hors tarifs publics et produits à prix volatils) a progressé de 0,2% sur le mois et de 0,5% sur un an. Selon l’Insee, le raffermissement des prix des services de transport et de communications (+0,7%) constitue la principale contribution à la hausse de les prix enregistrée en mai. Par ailleurs, la baisse saisonnière des prix des services liés au logement (-0,6%) et celles des produits pétroliers (-3,2%) sont compensées par les hausses, en partie saisonnières, des prix des produits alimentaires frais (+4,4%) et des autres services (+0,4%). Hors habillement (+0,5%), les prix des produits manufacturés ont été peu dynamiques, restant stables dans l’ensemble.

Moscovici : 0.8% de croissance ou la foi du charbonnier ?

Moscovici : 0.8% de croissance ou la foi du charbonnier ?

 

En réaffirmant un objectif de 0.8% de croissance, Moscovici démontre une belle foi dans la politique du gouvernement. Plus exactement, il retarde le plus possible la réadaptation de l’objectif qui le contraindra de décider économies et/ou impôts supplémentaires. La France maintient sa prévision de croissance pour 2013 à 0,8% du produit intérieur brut (PIB), a réaffirmé dimanche Pierre Moscovici, qui n’exclut pas de l’ »adapter ». Prié de dire sur France 2 s’il confirmait ces prévisions, alors que des économistes prévoient une croissance nulle en France en 2013, le ministre de l’Economie et des Finances a répondu : « Je les maintiens ». « On aura des discussions là dessus. La Commission européenne, dans trois semaines – ce sera le 22 février – sortira les siennes. On débattra, on confrontera. S’il faut adapter, on adaptera. Mais moi, j’ai confiance en l’économie française », a ajouté Pierre Moscovici.

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