Archive pour le Tag '0.5%'

Une baisse de la croissance internationale de 0.5 à 1%.

Une  baisse de la croissance internationale de 0.5 à 1%.

A juste titre,  Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde samedi contre les risques que la  guerre commerciale fait peser sur la croissance économique mondiale. Christine Lagarde, directrice générale du Fonds, a présenté aux ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales du G20 un rapport selon lequel les tensions commerciales pourraient faire baisser le PIB mondial de 0,5% Un chiffre cependant aléatoire d’une  part parce qu’il bien difficile de mesurer les effets d’un relèvement général des taxes douanières internationales , d’autre part parce que le Fmi ne veut pas installer trop d’incertitudes qui viendraient peser sur le moral des acteurs économiques. Or aujourd’hui dans les économies développées l’économie est internationalisées à hauteur d’environ 50% (imports plus export par rapport à la valeur de la production nationale) ; Le risque est donc de perdre beaucoup plus que les 0.5% évoqués par le FMI.

Dans une note rédigée à l’attention des ministres des Finances, le FMI estime en effet  que la croissance mondiale devrait atteindre 3,9% en 2018 et 2019.En réalité on pourraiat être plus proche de ù et la croissance mondiale pourraiat être limitée à 3% au lieu de 4%. Steven Mnuchin a quant à lui affirmé devant la presse qu’il n’y avait pour l’instant pas d’effet macro-économique sur l’économie mondiale. Les conséquences micro-économiques de ce bras de fer commercial ne devraient pas empêcher les Etats-Unis de connaître une croissance de 3% cette année, a-t-il ajouté. Lors de leur dernière réunion, fin mars, les ministres des Finances du G20 s’étaient contentés de promettre de “poursuivre le dialogue”, faute d’accord sur la politique commerciale. Selon le brésilien Eduardo Guardia, ils ont cette fois reconnu que les risques pesant sur l’économie mondiale s’étaient accrus depuis leur dernière entrevue. Le communiqué final, a-t-il poursuivi, reflétera la nécessité, en particulier pour les marchés émergents qui ont été perturbés par la faiblesse des devises, d’entreprendre des réformes pour faire face à la volatilité. “Je ne m’attends pas à ce que des progrès tangibles soient accomplis lors de cette réunion”, a quant à lui déclaré le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz, dans l’avion qui le conduisait à Buenos Aires.

Baisse électricité de 0.5%

Baisse électricité de 0.5%

 

Une baisse des tarifs réglementés de l’électricité de 05 % mais qui cache cependant l’augmentation rétroactive décidée par le conseil d’État. Ainsi, en 2014, le Conseil d’Etat a annulé partiellement l’arrêté du 20 juillet 2012 pour « fixation à un niveau insuffisant des tarifs réglementés ». Le 15 juin dernier, il a annulé deux arrêtés datant de 2014. Ces décisions entraînent une régularisation dans les mois ou années à venir. Ainsi, les tarifs bleus du 1eraoût 2016 tiennent compte du rattrapage des tarifs de l’électricité de 2012. Il restera encore à rattraper ceux de 2014… La ministre de l’Ecologie a annoncé, le 13 juillet, une baisse des tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRV) au 1er août, sur proposition de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Les tarifs bleus pour les consommateurs résidentiels baisseront de 0,5%, ceux des consommateurs professionnels de 1,5%. « Il s’agit de la première baisse des tarifs depuis dix ans permise par la réforme des tarifs de l’électricité menée en 2014. Les Français ont ainsi été protégés contre des hausses automatiques de 5% l’année dernière et de 5% cette année », se félicite Ségolène Royal dans un communiqué de presse.

Inflation officielle : seulement 0.5% en 2015 ???

Inflation officielle : seulement 0.5% en 2015 ???

Officiellement l’inflation sera encore très réduite en 2015 : 05, % au lieu de 0.9%. En cause surtout  la faiblesse de la demande globale et  la baisse des prix  des produits énergétiques. En fait l’inflation moyenne a été d’environ 0.5% en 2014 mais il s’agit d’une inflation officielle calculé sur la consommation des ménages. Or du fait de la baisse du pouvoir d’achat  réel depuis 2019, la structure de consommation des ménages se déforme. En clair les Français dépensent de plus en plus sur les aspects contraints (logement, assurances, impôts etc ) et de moins en moins sur les dépenses moins contraintes (alimentation, habillement par exemple). Du coup l’ indicateur d’évolution des prix est obsolète. Exemple le prix des automobiles diminuent effectivement, le problème c’est qu’il est de moins  acheté de véhicules neufs.  « Autant sur la croissance, nous avons prévu 1% et je pense que c’est un chiffre qui sera atteint, autant sur l’inflation, nous avons prévu 0,9% mais je pense que c’est un chiffre qui ne sera pas atteint. » A déclaré Le secrétaire d’État français au Budget, Christian Eckert qui  a prévenu vendredi 6 février sur Radio Classique que l’inflation en 2015 serait « plus proche de 0,5% que de 0,9% », la prévision officielle retenue jusqu’à présent. Il a souligné qu’il n’était toutefois « pas question de changer nos prévisions macroéconomiques ». « La baisse de l’inflation n’a pas que des effets positifs, elle entraîne souvent une baisse des recettes », a prévenu Christian Eckert. Mais elle va aussi permettre « de faire des économies pour financer les mesures nouvelles », telle que le service civique annoncé jeudi par le président François Hollande, et qui « n’impacteront le déficit budgétaire ». Il a estimé qu’il était « trop tôt » pour chiffrer le coût du service civique mais a indiqué qu’ »il y aura quelques centaines de millions d’euros supplémentaires » sur cette ligne budgétaire. Jeudi, la Commission européenne a confirmé le scénario avancé par le ministère des Finances d’une croissance de 1% du produit intérieur brut (PIB) et d’un déficit public de 4,1% du PIB en 2015 dans l’Hexagone.

 

Sondage- palmarès des présidents de la 5ème république : Hollande à 0.5% !

Sondage- palmarès des présidents de la 5ème république : Hollande à 0.5% !

François Hollande est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un palmarès* BVA réalisé pour «Le Parisien dimanche» - «Aujourd’hui en France». Sans surprise, en tête du classement, les Français plébiscitent le Général de Gaulle.  A la question, «qui est ou a été le meilleur Président de la Vème République ?», plus d’un tiers des personnes interrogées (36%), répondent le Général de Gaulle, qui a dirigé le pays de 1959 à 1969. Arrive ensuite François Mitterrand (27%), premier président socialiste de la Ve (1981-1995). Nicolas Sarkozy, président de 2007 à 2012, occupe la troisième place de ce classement (10%). Puis Valéry Giscard d’Estaing (1974-1981) arrive ex-æquo avec Jacques Chirac (1995-2007) à 8%. Ils sont talonnés de près par Georges Pompidou (1969-1974) plébiscité par 7% des sondés. François Hollande, actuellement en fonctions, ferme la marche, loin derrière : seuls 0,5% des sondés le considèrent comme le meilleur chef d’Etat. 4% des personnes interrogées ne se prononcent pas.

 

Ventes Automobiles : +5.5% en Europe en janvier mais 0.5% en France

Ventes Automobiles : +5.5% en Europe en janvier mais 0.5% en France

Les immatriculations automobiles dans l’Union européenne ont augmenté de 5,5% en janvier par rapport au même mois de l’an dernier, enregistrant leur cinquième mois consécutif de hausse, a annoncé mardi l’Association des constructeurs automobile européens (ACEA). A 935.640, le nombre de véhicules immatriculés se situe toutefois au deuxième rang des plus faibles volumes enregistrés pour un mois de janvier depuis le début du suivi du marché européen en 2003, précise l’ACEA. La plupart des marchés de l’UE ont progressé en janvier mais pour les principaux d’entre eux la croissance a été très variable, allant de 0,5% seulement en France à 7,2% en Allemagne et 7,6% au Royaume-Uni comme en Espagne. La hausse a été sensible dans les pays dits périphériques de la zone euro qui confirment leur sortie de crise, avec des bonds de 15,4% des ventes de voitures en Grèce, de 31,8% au Portugal et de 32,8% en Irlande. En Italie, le quatrième marché européen, la hausse des ventes a été de 3,2% par rapport à janvier 2013. Le détail des chiffres par constructeurs montre entre autres une bonne performance de Renault, dont les ventes ont augmenté de 13,4% sur un an grâce à un bond de 38,9% des immatriculations de Dacia, sa marque d’entrée de gamme. Volkswagen Group a vu ses immatriculations augmenter de 15,2% grâce notamment à des hausses de 10,3% pour sa marque Skoda et de 8,5% pour Audi. Toyota a enregistré une hausse de 15,2% et Ford a vu ses ventes augmenter de 8,8% mais General Motors accuse en revanche une baisse de 5,3% de ses ventes sur un an, la hausse de 8,9% des immatriculations de sa marque Chevrolet n’ayant pu compenser un recul de 7,6% des ventes des marques soeurs Opel/Vauxhall.

 

Croissance : seulement 0.5% en 2014 (BFM Business)

Croissance : seulement 0.5% en 2014 (BFM Business)

 

L’observatoire de BFM business est plus pessimiste que Bercy, il prévoit seulement 0.5% de croissance au lieu de 0.9% en 2014. En cause, l’absence de rebond de l’investissement, une consommation poussive, un manque de compétitivité et un climat général ‘. Le gouvernement a présenté, mercredi 11 septembre, son budget 2014, appuyé sur une prévision de croissance de 0,9% l’an prochain. Ce n’est pas une prévision exagérément optimiste puisqu’elle suppose une croissance de 0,2% à 0,3% « seulement » au cours de chaque trimestre jusqu’à la fin de 2014. Un rythme sensiblement inférieur à celui enregistré lors des sorties de récession de 1975, 1980, 1992, 2009. Et pourtant, ce diagnostic nous paraît bien optimiste car il suppose que, même si la reprise est modeste, reprise il y ait. C’est le principal point de divergence entre Bercy et l’Observatoire de BFM Business. Oui la récession est bel et bien finie, mais non, les conditions d’une véritable reprise ne sont pas réunies. C’est ce qu’indique par exemple « social Ecorama », le baromètre élaboré par BFM business, Sas et Inbox, qui nous avait permis d’annoncer la fin de la récession dès le printemps: si l’on sent un certain soulagement du côté des ménages, les patrons restent très inquiets  Nos autres indicateurs exclusifs indiquent de leur côté qu’il y a bien une reprise dite « technique » provoquée par un arrêt du déstockage, voire une reconstitution des stocks des entreprises, mais qu’au-delà, la consommation continue de reculer et que l’investissement ne repart pas. Et pour la suite ? le premier paramètre à prendre en compte est notre capacité à rebondir. Or la France est victime de l’effet édredon : l’importance des filets sociaux empêche un véritable effondrement dans les périodes de récession, mais elle limite l’ampleur des rebonds. Nous redémarrerons donc moins vite que le reste de l’Europe. Le deuxième paramètre à intégrer est notre croissance potentielle : or compte tenu des savoir-faire détruits pendant la crise et du sous-investissement passé, celle-ci ne dépasse plus guère 0,5%. C’est un rythme qui nous paraît difficilement dépassable aujourd’hui. D’abord parce que l’ampleur du chômage, la hausse de la pression fiscale, la rigueur salariale et la préférence pour l’épargne limiteront à presque rien la contribution de la consommation à la croissance. L’investissement sera de son côté contraint par la fragilité de la situation financière des entreprises (leur rentabilité est la plus faible de toute l’Europe) alors que les capacités de production restent globalement sous utilisées. L’environnement international ne sera pas très porteur, avec des pays émergents moins en appétit d’un côté, et des concurrents d’Europe du Sud de plus en plus redoutables de l’autre. Et puis il y a la politique économique: son manque de lisibilité est un obstacle réel à la reprise, notamment pour les entreprises : on leur dit plus de hausse de la fiscalité, mais il y a la pénibilité, et puis quid de l’écotaxe, de la formation professionnelle, de l’assurance chômage ?  Enfin ce scénario est un scénario central qui comporte bien plus d’aléas à la baisse qu’à la hausse. Difficile, du côté des bonnes surprises, de tabler sur autre chose qu’une chute des matières premières ou de l’euro.  La liste des mauvaises surprises potentielles est bien plus longue : crise des pays émergents, conflit au Moyen orient, contrecoup du resserrement monétaire américain, regains de difficultés dans les pays du sud de la zone euro. Au final, c’est plus de consolidation que de reprise qu’il faudra parler en 2014.

 

Consommation des ménages : +0.5% en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

Consommation des ménages : +0.5%  en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

 

La consommation des ménages français en biens a augmenté de 0,5% en mai par rapport au mois précédent du fait d’un rebond des achats alimentaires, selon les données publiées vendredi par l’Insee.  La baisse du mois d’avril a été révisée à -0,5% contre -0,3% annoncé auparavant. Seize économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre en baisse de 0,1% en mai, leurs prévisions s’échelonnant entre -1,0% et +0,2%. Dans un communiqué, l’Insee fait état d’une hausse de 0,4% des dépenses en bien durables le mois dernier, après +1,3% en avril, due notamment à l’automobile (+0,9% après +2,0%). Les achats en équipement du logement ont en revanche baissé légèrement (-0,1% après +0,4%). Les achats de textile cuir ont quant à eux baissé de 1,5%, après un rebond de +1,5% en avril. Après une forte hausse en mars (+2,6%) et une chute en avril (-3,4%), la consommation en produits alimentaires a rebondi de 1,4% en mai. Les dépenses de consommation des ménages en énergie se sont légèrement contractées (-0,3%) après quatre mois consécutifs de hausse liée aux températures plus basses que d’habitude.

France : recul de croissance de 0.5% en 2013 pour l’observatoire BFM Business

France : recul de croissance de 0.5% en 2013 pour l’observatoire BFM Business

Comment, hors de portée une progression de 1,2% du PIB l’an prochain ? Oui, sauf choc qui infléchirait fortement la trajectoire de croissance de la France vers le haut. D’abord, si l’on scrute tous les baromètres avancés de l’activité, aucun ne dessine les contours d’une reprise à l’horizon des six prochains mois, si bien que l’année 2013 risque plutôt de s’achever sur une baisse de 0,3% à 0,5% de l’activité que sur l’augmentation 0,1% annoncée officiellement.  Tirons ensuite les leçons de l’histoire : Après les deux dernières récessions de 1993 et 2009, les reprises se sont effectuées à des rythmes de 0,3% à 0,4% au cours des trois ou quatre trimestres suivant la fin de la contraction. C’est au moins à ces rythmes que devra croître le PIB pour atteindre l’objectif de croissance de 1,2% fixé par Bercy. Or de tels rythmes sont inatteignables aujourd’hui: l’environnement international, et particulièrement européen, est moins porteur qu’en 1994 et 2010. La politique budgétaire est beaucoup plus contraignante (elle était même fortement stimulante en 2010 !), le chômage est plus élevé, la situation financière des entreprises est plus dégradée et le levier du crédit ne peut plus être actionné aussi fortement comme à l’époque. Enfin, et c’est un problème qui passe trop souvent inaperçu, la crise a détruit une partie du potentiel de croissance du pays (fermetures d’usines, licenciement de travailleurs qualifiés donc pertes de savoir-faire…), qui ne se situerait plus, si l’on prend en compte l’évolution de la productivité et de la démographie, qu’à moins de 1%, contre un 1,5% au moins avant la crise. Donc si l’on tient compte, comme on l’a vu, du fait que le point de départ de l’activité pour 2014 sera plus bas que prévu, la trajectoire « naturelle » la plus optimiste pour la croissance française en 2014 se situerait plutôt autour de 0,5%.  Problème : à ce rythme, la France ne tiendra jamais l’objectif de déficit public affiché par le ministre de l’Economie Pierre Moscovici, soit moins de 3% du PIB. Déjà que sur la base de 1,2% de croissance, la Commission européenne prévoit presque 4% de déficit public à politique fiscale inchangée, soit presque 1 point d’écart avec Bercy, alors on peut penser qu’une croissance de 0,5% seulement du PIB amènerait automatiquement les déficits publics bien au-delà de 4% du PIB.  Un niveau quoi qu’il arrive inacceptable pour Bruxelles, Berlin et les marchés financiers. Admettons que Paris fasse tout pour revenir à ne serait que 3,5% du PIB de déficit, la croissance en sera impactée en retour à hauteur de quelques dizièmes de point, si bien qu’il semble au final difficile de prévoir plus de 0% de croissance l’an prochain.  Seul un choc de compétitivité et/ou de pouvoir pourrait déjouer ces pronostics et nous faire passer la barre des 1% de croissance l’an prochain. Mais d’où viendrait-il ? De la chute de l’euro ? Peu probable au moment où c’est le Japon qui décide de faire plonger son yen. D’une injection massive de liquidités? La BCE n’a pas l’audace (ou la folie !) de la Réserve fédérale américaine ni de la Banque du Japon. Une baisse massive des charges de 40 milliards au moins sur le travail en contrepartie d’une hausse de plusieurs points de TVA? La gauche, pour qui la TVA est un impôt injuste, ne s’y résoudra jamais. De nouvelles révolutions technologiques ? Celles-ci sont réelles, mais n’auront pas de véritable effet d’entraînement avant 3 à 5 ans. Reste la seule arme à disposition du gouvernement : la réforme de l’Etat pour moderniser le fonctionnement de l’administration et réduire massivement la dépense publique. Quoi ? Réduire la dépense publique encouragerait la croissance ? Impossible selon la tradition keynesienne, pour qui le lien entre déficits publics et croissance ne fait pas de doute : accroître la dépense publique ou baisser les impôts (dans les deux cas, le déficit augmente) ne peut que stimuler l’activité.




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