Archive pour le Tag '+0.2%'

Croissance: Une petite hausse de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

Croissance:  Une petite hausse de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

 La Banque de France réaffirme sa prévision de croissance de 0,2 % au premier trimestre ( après 0,1 % au trimestre précédent). Une hausse qui serait due essentiellement au service et sans doute sûrement à la vague de hausse des prix dans ce domaine.

« Selon les chefs d’entreprise participant à notre enquête (…), l’activité aurait  progressé en mars dans les services marchands, notamment ceux orientés vers les ménages, et est restée stable dans l’industrie et le bâtiment », note la BdF dans son enquête réalisée auprès d’environ 8.500 entreprises.

Les prix des matières premières et des produits finis poursuivent leur déclin, tandis que les tensions en mer Rouge n’entraînent pas de hausse des tensions d’approvisionnement dans l’ensemble, indique la BdF.

La BdF constate par ailleurs une normalisation du comportement de fixation des prix, les fréquences de hausses de prix revenant pour l’ensemble des secteurs à leurs niveaux pré-Covid.

Notons ici qu’on parle de fréquence de révision des prix et non de niveaux des prix !

 

Une petite croissance de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

Une petite croissance de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

 La Banque de France réaffirme sa prévision de croissance de 0,2 % au premier trimestre ( après 0,1 % au trimestre précédent). Une hausse qui serait due essentiellement au service et sans doute sûrement à la vague de hausse des prix dans ce domaine.

« Selon les chefs d’entreprise participant à notre enquête (…), l’activité aurait  progressé en mars dans les services marchands, notamment ceux orientés vers les ménages, et est restée stable dans l’industrie et le bâtiment », note la BdF dans son enquête réalisée auprès d’environ 8.500 entreprises.

Les prix des matières premières et des produits finis poursuivent leur déclin, tandis que les tensions en mer Rouge n’entraînent pas de hausse des tensions d’approvisionnement dans l’ensemble, indique la BdF.

La BdF constate par ailleurs une normalisation du comportement de fixation des prix, les fréquences de hausses de prix revenant pour l’ensemble des secteurs à leurs niveaux pré-Covid.

Notons ici qu’on parle de fréquence de révision des prix et non de niveaux des prix !

 

Economie France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre

Economie France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre (INSEE)

L’INSEE en quelque sorte confirme le très net tassement de la croissance qui avait atteint 2,6 % en 2022. Pour l’année en cours, l’INSEE ne prévoit que 0,2 % pour chacun des deux premiers trimestres. Des prévisions très fragiles car elles supposent une reprise de la consommation ce qui n’est guère certains compte tenu de l’envolée des prix en particulier des biens alimentaires. Cela suppose aussi une reprise industrielle qui paraît mal partie compte tenu de l’envol des prix de l’énergie et des matières premières. Les patrons eux-mêmes sont pessimistes de ce point de vue pour 80 % d’entre eux dans la dernière enquête de conjoncture connue.

L’économie française devrait progresser de 0,2% sur chacun des deux premiers trimestres de 2023 grâce à une production industrielle résistante tandis que l’inflation devrait refluer en juin à 5% sur un an, a pronostiqué l’Insee mardi.

«On est dans une situation conjoncturelle plutôt hésitante, ni franchement favorable, ni franchement défavorable», a résumé Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l’Institut national de la statistique lors d’une conférence de presse. Après avoir progressé d’un timide 0,1% au quatrième trimestre 2022, le Produit intérieur brut (PIB) augmenterait ainsi de 0,2% au premier trimestre puis de 0,2% à nouveau au deuxième, contre respectivement 0,1% et 0,3% anticipés précédemment.

La hausse des prix à la consommation demeurerait autour de 6% sur un an en février, un niveau inédit depuis près de quatre décennies, avant de refluer progressivement à 5% en juin. Mais l’alimentation pesant désormais davantage que l’énergie dans cet indicateur, l’inflation sous-jacente (hors énergie et produits alimentaires frais) se maintiendrait au-dessus de ce niveau, à 5,7% mi-2023. Le soutien à l’économie proviendra surtout de la production industrielle, qui pourrait «légèrement progresser» au premier trimestre, d’après l’Insee.

Emploi: très petite hausse de 0.2% hausse au troisième trimestre

Emploi:  petite hausse de 0.2% hausse au troisième trimestre

 

Un toute petite hausse qui indique en fait une quasi stagnation. Le secteur privé a enregistré 33.700 créations nettes de postes au troisième trimestre, soit une hausse de 0,2% comme au trimestre précédent, selon des chiffres définitifs de l’Insee publiés mardi. A mettre en parallèle avec les 3.3 millions de chômeurs officiels.

Le rythme des créations d’emploi ralentit nettement .  L’institut a revu en baisse son estimation provisoire qui était de 54.300 postes (+ 0,3%) selon les derniers chiffres livrés ce mardi 9 décembre. Au deuxième trimestre, la hausse était de 43.500 postes.

Par secteur, l’emploi reste quasi stable dans l’industrie : +1.500 après +1.400. L’emploi industriel est supérieur de 17.400 à son niveau d’un an auparavant (soit +0,6%). Dans la construction, il continue de croître solidement : +9.000 (soit +0,6%). Sur un an, la hausse atteint 42.200 (+3,1%).

L’emploi augmente de 23.500 dans les services marchands, soit +0,2%. Sur un an, ces secteurs portent la grande majorité des créations nettes d’emplois salariés (+167.500). Ceci en dépit d’une baisse de l’emploi intérimaire, −2.900, comme au trimestre précédent (-8.000 sur un an).

L’emploi salarié dans les services principalement non marchands progresse légèrement, comme au trimestre précédent : +6.500, après +11.200. Cette progression provient essentiellement de la fonction publique (+7.600 après +10.000) tandis que l’emploi privé reste quasi stable.

L’emploi salarié a de nouveau légèrement progressé dans la fonction publique (+8.600 après +10.600). Sur un an, l’emploi salarié s’accroît au total de 258.600 (+1,0%): +231.000 dans le privé et +27.700 dans la fonction publique Au total, l’emploi salarié compte 19,6 millions de postes et augmente de manière continue depuis le 2e trimestre 2015. Dans un communiqué distinct, l’Acoss indique que « le salaire moyen par tête (SMPT) progresse de 0,9 % au troisième trimestre 2019 comme au trimestre précédent. Sur un an, il s’accroit de 2,3 % ».

 

Croissance France : 0,3% au lieu 0.2% de au second trimestre ! Intox ?

Croissance France : 0,3%  au lieu 0.2% de au second trimestre ! Intox ?

 

Petit miracle statistique ou opération pédagogique, l’INSEE a annoncé une croissance de 0,3 % au second trimestre au lieu de 0,2 %. La différence est infime et dépend notamment du calendrier et des arrêtés comptables. Pourtant,  la consommation des ménages n’a progressé que de 0,2 % au lieu de 0,3 %. On avait  déjà fait le même coup de l’optimisme concernant l’emploi en annonçant une amélioration. En fait, il n’y avait eu que 30 000 créations d’emplois (pour 5à 7 millions de chômeurs) alors que dans le même temps le halo du chômage (ceux  qui ne recherchent pas vraiment un emploi) atteignait  aussi 30 000. La différence de croissance de 0,1  % permet au gouvernement d’affirmer la bonne résistance voire  la bonne santé de l’économie française. Pourtant dans les secteurs de l’alimentaire et des biens manufacturés, la consommation des Français a reculé au cours de ce second trimestre.  En Europe, les craintes de récession se multiplient de l’autre côté du Rhin après une fin d’année très difficile pour le moteur industriel allemand et un premier semestre décevant. L’économie allemande s’est légèrement contractée au deuxième trimestre, avec un recul de 0,1% du PIB par rapport aux trois mois précédents, freiné par les moindres performances de son économie extérieure. En Italie, la situation économique n’est guère meilleure. Après une « récession technique » au second semestre 2018 (avec un recul de 0,1% sur les deux trimestres), l’Italie a connu une croissance nulle de son PIB sur les six premiers mois de 2019 alors que la péninsule est encore plongée dans une crise politique majeure.

L’économie tricolore a été dopée par ses moteurs traditionnels. Dans le détail, la demande intérieure a contribué à hauteur de 0,4 point de la valeur ajoutée au cours du second trimestre. Si les dépenses de consommation des ménages ont marqué le pas (0,2% au T2 contre 0,3% au T1), l’investissement est reparti à la hausse.

Selon l’organisme basé à Montrouge, la consommation des Français a reculé dans l’alimentaire et les biens manufacturés. Les achats de services ont quant à eux progressé de 0,5%, soit le même rythme qu’au trimestre précédent.

Du côté des investissements, ils ont particulièrement bondi chez les ménages passant de 0,1% à 0,8% entre les deux premiers trimestres de l’année. Les administrations publiques ont également dopé leurs dépenses d’investissement entre avril et juin tout comme les entreprises non financières.

Souvent considéré comme un point noir de l’économie hexagonale, le commerce extérieur a contribué de manière légèrement positive au PIB (0,1 point) au cours du second trimestre après avoir plombé l’activité entre janvier et mars (-0,3 point).

Les importations ont reculé de 0,2% entre avril et juin après avoir bondi en début d’année (1,1%). Dans le même temps, les exportations ont stagné en rythme après avoir été dynamiques en fin d’année 2018 (1,8%) et atones entre janvier et mars (0,1%). Les variations de stocks, enfin, ont pesé négativement sur l’activité, amputant la croissance de 0,2 point de PIB après l’avoir dopé de 0,3 point lors du premier trimestre.

Malgré ces nouvelles favorables pour les entrepreneurs, le moral des chefs d’entreprise est loin d’être au beau fixe en raison notamment de l’environnement international

AU PIF, moins 0.2% de croissance à cause des gilets jaunes !

AU PIF, moins 0.2% de croissance à cause des gilets jaunes !

Il fallait s’y attendre le bouc émissaire est trouvé pour la baisse de croissance qui a affecté la France. La France avait revu à la baisse ses prévisions de croissance pour 2018 en retenant le chiffre de 1,7%. Or l’activité n’a connu qu’une progression de 1,5 %. Conclusion pour le ministre de l’économie qui se dédouane ainsi de sa mauvaise gestion : c’est la faute aux gilets jaunes. Une affirmation qui ne repose sur aucune étude scientifique sérieuse. En raison notamment des difficultés méthodologiques, il est particulièrement difficile  de savoir ce qui est imputable au ralentissement mondial, ce qui est imputable à la baisse d’activité générale française et à l’effet gilets jaune. On ne peut sans doute nier une certaine influence sur certains commerces de centre-villes et sur l’organisation logistique au début du mouvement quand des carrefours étaient occupés. De là à en conclure que la conséquence est une diminution de 02 % du PIB relève de la fumisterie la plus totale. On ferait bien d’examiner aussi l’influence d’une certaine tendance à la déconsommation liée sans doute à la diminution du pouvoir d’achat est aussi à la modification du comportement des ménages. De ce point de vue des justifications de l’INSEE paresse particulièrement vagues, aussi contradictoires. En effet sur l’ensemble de 2018, la demande intérieure finale a été le moteur de la croissance, avec une contribution de 1,4 point au PIB de l’année, un niveau inférieur à celui de 2017 (+2,0 points).

Croissance : cocorico, 0.2% au premier trimestre (Banque de France) ; ça commence mal !

Croissance : cocorico, 0.2% au premier trimestre (Banque de France) ; ça commence mal !

 

Hollande  aux anges, la France va connaître une croissance de 0.2% au premier trimestre. Un vrai redressement quand les autres pays vont connaitre en progression 2 à 3 fois supérieure ; En fait cela permet tout simplement une croissance inférieure à 1% en 2014 et vraiment pas de quoi pavoiser. La Banque de France anticipe une croissance française médiocre à l’image de celle prévue par l’Insee. Comme ce dernier, elle projette que le PIB français ne croîtra au premier trimestre 2014 que de 0,2%. C’est ce qui ressort de son enquête mensuelle de conjoncture dont elle publie les résultats ce lundi 10 février. L’institution dirigée par Christian Noyer publie également son indicateur du climat des affaires. Dans l’industrie, il reste stable à 99 points, contre 100 en décembre, et augmente d’un point dans les services, à 94 contre 92 le dernier mois de 2013. Ils se maintiennent en-deçà de leur moyenne de long terme, fixée à 100. La Banque de France constate que la production industrielle a progressé en janvier, notamment dans la métallurgie et l’industrie pharmaceutique. Le taux d’utilisation des capacités de production a repris des couleurs, à 76,1%, après avoir chuté en décembre (74,9% après 76,8% en novembre). Les dirigeants d’entreprises interrogés se sont félicités d’une reprise de la demande étrangère, et de carnets de commandes « quasi normaux ». Ils estiment que la progression de l’activité devrait se poursuivre en février. Ces chefs d’entreprise considèrent que les effectifs s’accroissent « légèrement » dans les services, et anticipent encore une progression de l’activité pour février.

 

Croissance : PIB a +0.2% en 2013 pour la Banque de France

Croissance : PIB a +0.2% en 2013 pour la  Banque de France

Le 9 septembre, la Banque de France avait estimé que le PIB français allait progresser de 0,2% au troisième trimestre lors de sa deuxième estimation, fondée comme toutes les autres sur son enquête de conjoncture dans l’industrie et les services.  Cette nouvelle prévision se rapproche ainsi de celle de l’Insee révélée jeudi et qui table sur une stagnation de la croissance française en juillet-septembre avant un rebond de 0,4% au dernier trimestre.  L’estimation de la Banque de France s’appuie sur l’indice synthétique qu’elle confectionne du climat des affaires dans l’industrie (à 97 en septembre, comme en août) et dans les services (à 93 en septembre comme en août). « En septembre, la production industrielle progresse dans la majorité des secteurs, sauf l’agro-alimentaire et l’automobile », explique-t-elle dans un communiqué. « Les carnets de commandes se remplissent légèrement mais restent en dessous de la moyenne », ajoute-t-elle, en précisant que les industriels s’attendaient à une poursuite de l’amélioration de l’activité en octobre.  Dans l’industrie, la réduction des effectifs est restée marginale mais les trésoreries se sont crispées.  Dans les services, l’activité a légèrement progressé, en particulier dans les secteurs de l’information et la communication et du travail temporaire. En revanche, l’activité s’est repliée dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. Les effectifs ont légèrement augmenté mais les trésoreries, bien que plutôt bien orientées, restent en deçà de la moyenne de longue période.  Jeudi, le cabinet Markit a estimé que l’activité du secteur privé français avait redémarré en septembre, renouant avec une croissance certes fragile mais pas vue depuis 20 mois, selon son indice composite PMI final. Celui-ci s’est hissé au delà de la barre des 50 qui sépare périodes d’expansion et de récession, pour la première fois depuis 20 mois.

 

Croissance : +0.2% pour la Banque de France au troisième trimestre

Croissance : +0.2% pour la Banque de France au troisième trimestre

La Banque de France a relevé lundi sa prévision de croissance de l’économie française au troisième trimestre à 0,2%, l’indicateur pour l’industrie atteignant son plus haut niveau depuis près de deux ans et les chefs d’entreprise attendant une accélération. Ce relèvement intervient après la publication de plusieurs indicateurs positifs pour l’économie française, dont l’annonce d’une croissance de 0,5% du PIB au deuxième trimestre par l’Insee, un chiffre supérieur aux prévisions des économistes qui s’interrogent sur la pérennité de ce rebond post-récession. L’enquête mensuelle de la Banque de France pour le mois d’août fait apparaître des hausses de deux points des indicateurs du climat des affaires dans l’industrie (97) et dans les services (93). Si ces indicateurs restent inférieurs à leur moyenne de long terme (100), un niveau qu’ils n’ont pas atteint depuis mai 2011 pour l’industrie et juin 2011 pour les services, les chiffres d’août sont les meilleurs enregistrés depuis septembre 2011 pour l’industrie et mai 2012 pour les services. Pour septembre, les chefs d’entreprise attendent une accélération de l’activité dans l’industrie et une poursuite de la progression dans les services, ajoute la Banque de France. En août, les dirigeants d’entreprise interrogés par la Banque de France déclarent que la production industrielle a une nouvelle fois légèrement progressé dans la majorité des secteurs, notamment les équipements électriques et électroniques, la chimie et la pharmacie. L’intensification des livraisons a fait diminuer les stocks qui sont désormais jugés adaptés, les commandes ont augmenté et les carnets cessent de se dégarnir, le taux d’utilisation des capacités de production dans l’industrie manufacturière baisse quant à lui nettement. L’érosion des effectifs dans l’industrie marque une pause et les trésoreries continuent de se détendre, précise encore la Banque de France.  

 




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