Archive pour le Tag '0.1%'

Croissance France: + 0.2% au lieu de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: + 0,2% au lieu de 0.1% au premier trimestre


La Banque de France (BdF) révise à la hausse sa prévision de croissance à 0,2 % pour le premier trimestre soit plus 0,1 % par rapport aux dernières prévisions.

La nouvelle enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise entre le 29 mars et le 5 avril, montre que l’activité a été résiliente au premier trimestre, avec une progression en mars dans l’industrie, les services et le bâtiment.

« Pour avril, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et un repli dans le bâtiment », indique la BdF.

Pour l’ensemble de 2023, la BdF a dit le mois dernier tabler sur une croissance du PIB français de 0,6%.

Le Fonds monétaire international (FMI) a de son côté réitéré mardi sa prévision d’une croissance de 0,7% de l’économie française cette année.

Croissance France: hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre

Une hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre en plus qui pourrait être menacée par les mouvements sociaux.

La BdF prévoit une croissance autour de 0,1% au premier trimestre par rapport aux trois mois précédents
L’enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise, montre que l’activité continue de bien résister sur le début d’année. En février, elle a progressé dans l’industrie et les services et a été « à peu près stable » dans le bâtiment.

« Pour mars, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et une légère baisse de l’activité dans le bâtiment », indique la BdF.

Les difficultés d’approvisionnement continuent de s’atténuer assez nettement dans le bâtiment avec seulement 24% des entreprises qui les mentionnent comme un problème en février, contre 31% en janvier. Dans l’industrie, ces difficultés se stabilisent, 33% des chefs d’entreprise du secteur les mentionnant.

Les chefs d’entreprise font également état d’un ralentissement des prix des produits finis, sauf dans l’agro-alimentaire où la dynamique de prix reste élevée.

Après quatre mois de baisse, les difficultés de recrutement se stabilisent pour leur part et concernent environ la moitié des entreprises.

L’institution a dit tabler jusqu’à présent sur une croissance du PIB de 0,3% en 2023.

La facture des Gilets jaunes : 0.1% du PIB ou l’évaluation économique au doigt mouillé !

La facture des Gilets jaunes : 0.1% du PIB ou l’évaluation économique au doigt mouillé !

 

 

D’après un rapport parlementaire, la facture des gilets jaunes représenterait 0,1 point du PIB. Une évaluation tout à fait fantaisiste qui permet évidemment de condamner un peu plus ce mouvement. Cette évaluation paraît d’autant plus curieuse que parallèlement nombres d’experts ont expliqué que précisément les 17 milliards accordés suite au mouvement des gilets jaunes ont permis de soutenir la consommation et ont rendu possible le sauvetage de la croissance en France qui pourrait atteindre entre 1,2 et 1,4% ( moyenne de 1 % dans la zone euro et au plus 0,5 % de l’Allemagne). Bien entendu,  il est difficile de soutenir que les perturbations, violences et destructions du mouvement des gilets jaunes puissent constituer un atout économique notamment pour le commerce de centre-ville où se sont déroulés des manifestations. Observons cependant que les installations détruites sont assurées et qu’elles seront remboursées. Reste évidemment le manque à gagner du fait de la fermeture des magasins. Encore une fois et surtout ces destructions sont à condamnable et ont d’ailleurs largement participé au discrédit du mouvement des gilets jaunes. Autant le Sénat est capable de sortir régulièrement des études approfondies autant celles de l’assemblée nationale paressent souvent superficielles  voire fantaisiste. D’abord il y a ce chiffre de 01 %. À ce niveau de précision mieux vaut ne pas indiquer de chiffre. Se pose surtout comme à chaque fois un problème méthodologique. Il faudrait en effet une période sans gilet jaune au même moment pour comparer avec la situation observée. Ce qui n’est évidemment pas possible. En outre il y a évidemment des reports et des décalages dans le temps, dans l’espace et dans les modalités des processus de vente. Une dernière précision pour les députés apprentis économistes, il y a paradoxalement des destructions, regrettables sans doute mais qui participent à l’augmentation de la croissance comme par exemple les accidents automobiles qui génèrent de l’activité dans les garages et même dans la construction.

Créations d’entreprises : +0.1% en avril au plus haut depuis 8 ans

Créations d’entreprises : +0.1% en avril au plus haut depuis 8 ans

 

.Au mois d’avril dernier, le nombre total de créations d’entreprises, tous types confondus, a légèrement augmenté (+0,1% après 0,4% en mars, en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrés, CVS-CJO). Si la hausse n’est pas spectaculaire, le nombre de créations n’a jamais été aussi élevé depuis 2010.Au total, 55.577 entreprises ont été créées en avril contre 55.522 en mars et 55.302 en février, selon le communiqué de l’institut de statistiques. Sur cet ensemble, 31.268 sont des entreprises classiques (56%) et 24.310 sont des microentreprises (44%). Par ailleurs, le nombre cumulé de créations d’entreprises au cours des quatre premiers mois de l’année s’élève à 240.211 contre 202.921 un an auparavant. En glissement annuel, les créations cumulées ont augmenté de 12%. Cette dynamique est particulièrement visible pour les microentreprises (+19,4%) et moindre pour les entreprises individuelles classiques (14,3%). En parallèle, la sinistralité des entreprises a clairement diminué sur les trois premiers mois de l’année. Selon une étude du cabinet Altares publiée à la fin du mois d’avril dernier, le nombre de défaillances a reculé de 8,7% à 14.300. La grande majorité des procédures (94%) concerne les Très petites entreprises (TPE de moins de dix salariés) qui restent très vulnérables. « Il y a dix ans, la sinistralité augmentait de 5%, désormais elle recule de près de 9% », souligne le directeur des études chez Altares Thierry Millon

Croissance France : une baisse seulement de 0.1% (Sapin) ! Pas plus !

Croissance France : une baisse seulement de 0.1% (Sapin) ! Pas plus

 

Sapin c’est le dialecticien des courbes avant c’était celui du chômage maintenant de la croissance. Contredit par les résultats de l’activité il vient de convenir que  l a croissance serait affaiblie de 0.1% en 2016, soit une augmentation de 1.4% du PIB au lieu de 1.5% ; cela alors que les prévisions internationales OCDE ou FMI ne prévoient que 1.2 à 1.3%.    Le gouvernement a donc abaissé sa prévision de croissance de l’économie française en 2016 de 1,5% à 1,4%, a annoncé vendredi Michel Sapin, qui doit présenter dans la journée son projet de budget rectificatif. « Je pense que c’est 1,4%. C’est en tout cas le chiffre que nous retiendrons pour cette année comme hypothèse », a déclaré le ministre de l’Économie et des Finances sur Europe 1.  Selon Bercy, cet abaissement ne remet pas en cause l’objectif de réduction du déficit public à 3,3% du PIB cette année. Michel Sapin avait laissé clairement entendre que l’objectif de croissance 2016 serait revu à la baisse après la publication, fin octobre par l’Insee, d’une hausse du PIB limitée à 0,2% au troisième trimestre. Le très légitimiste  Haut conseil des finances publiques (HCFP) a estimé vendredi que le nouvel objectif de croissance du gouvernement pour 2016, fixé à 1,4%, était « atteignable » et que sa prévision de déficit, maintenue à 3,3% du PIB, était « réaliste » » amis toutefois dans « le haut de la fourchette des prévisions disponibles ». En clair  qu’elles sont trop optimistes. Plusieurs redéploiements de crédits. Près de 2,8 milliards d’euros vont ainsi être réaffectés aux ministères prioritaires, dont l’Éducation nationale et la Défense, très sollicité depuis les attentats. Des sommes qui seront compensées selon Bercy par des annulations de crédit, notamment pour l’Économie et les Finances, et de moindres prélèvements au profit de l’UE.

Grèves, Manifs, blocages: entre 0.1 et 0.3 points de croissance en moins

Grèves, Manifs, blocages: entre 0.1 et 0.3 points de croissance en moins

 

Hollande pourrait changer son slogan »ça va mieux » en « ça pourrait aller mieux » tellement la situation risque de se dégrader en raison des grèves, blocages et autre pénurie de carburant. En l’état actuel de la mobilisation, finalement relativement faible mais très spectaculaire, l’impact devrait être limité autour d’une baisse de 0.1% de la croissance du PIB. Mais si les grèves devaient se prolonger encore une quinzaine de jours, l’impact pourrait atteindre 0.3% comme lors des manifestations contre la réforme des retraites en 1995. Mais les dégâts les plus importants concernent l’image de la France auprès des investisseurs. La presse étrangère juge très sévèrement ces mouvements considérant d’ailleurs qu’en France les reformes sont difficilement réalisables. Et qu’il s’agit là du premier facteur explicatif de l’ampleur du chômage alors que l’emploi a été nettement redynamisé ailleurs notamment en Allemagne et en Grande Bretagne.  Alors que les mouvements sociaux s’étendent et se prolongent, les blocages commencent donc  à impacter l’activité des entreprises dans un effet domino. Ainsi, les pénuries de carburant affectent d’abord les routiers et taxis, puis le BTP alors que les livraisons de matériaux ne parviennent pas, ralentissant d’un coup les chantiers, puis le commerce alors que les clients limitent leurs déplacements, puis tous les secteurs, avec les salariés en voiture qui ne viennent plus travailler et les commandes qui ne peuvent plus être livrées. Et la crainte grandit de coupures d’électricité, encore bien plus pénalisantes, avec la contestation qui gagne les centrales nucléaires. Les organisations patronales tirent la sonnette d’alarme: « Certaines entreprises tournent au ralenti, les plus fragiles voient même leur existence menacée », avertissent, dans un communiqué commun publié mercredi, le Medef, la CGPME, l’UPA, l’UNAPL, la FNSEA et l’UDES.  Les grèves et blocages organisés par une CGT vont-ils entraver la fragile reprise de l’économie française alors qu’elle commence enfin à s’affirmer (+ 0,5% de hausse du PIB eu premier trimestre)? Evidemment, tout dépend de la durée: la CGT parviendra-t-elle à maintenir ses troupes mobilisées? Le gouvernement va-t-il capituler ou bien passer en force pour obliger à des déblocages ponctuels? Quelques jours, c’est un désordre vite rattrapé. Plusieurs semaines, c’est le risque d’un trou définitif dans les comptes.

(Avec Challenges)

Le taux de chômage aurait diminué de 0.1% en 2015 ! (INSEE)

Le taux de chômage aurait diminué de 0.1% en 2015 ! (INSEE)

 

Miracle statistique !  Alors que Pôle emploi enregistre une augmentation du chômage de 88 000 personnes en  2015, l’ INSEE vient de découvrir que le taux de chômage a diminué de 01 % ;  en fait il s’agit d’un pourcentage calculé sur une population tout à fait aléatoire puis qu’on ne compte pas les chômeurs qui ne rechercheraient pas activement un emploi. Finalement la même méthodologie que celle de Pôle emploi qui consiste à radier des chômeurs dans les décomptes. De quoi lancer un cocorico pour la ministre du travail. L’Insee, l’institut français des statistiques, vient donc de dévoiler les derniers chiffres du chômage et note un léger recul pour l’année 2015. Ainsi, le taux de chômage a baissé à hauteur de 0,1% en métropole pour atteindre 10% de la population active au quatrième trimestre 2015 et 10,3% avec l’Outre-mer. Le nombre de personnes sans travail s’établit selon l’Insee à 2,86 millions, un chiffre en baisse de 1,8% sur un an. Ce recul d’une faible ampleur rassure toutefois la ministre du Travail, Myriam: «C’est un signal encourageant. Ça va dans le bon sens. L’emploi va s’accélérer», a-t-elle déclaré sur France 2. L’indicateur a par ailleurs été revu à la baisse au 3e trimestre, à 10,1% en métropole et à 10,4% en France entière. Ces taux avaient été initialement évalués à 10,2% et 10,6%, des niveaux inédits depuis 1997. Toutes les catégories d’âge ont bénéficié de cette diminution mais les 15-24 ans restent les plus touchés malgré un repli à 24% (-0,3pt). Chez les 50 ans et plus, on note une baisse de 0,1% du taux de chômage qui atteint 6,9%. Ces faibles baisses restent toutefois à relativiser compte tenu du «halo autour du chômage» qui a légèrement augmenté. Celui-ci correspond aux personnes souhaitant travailler mais qui ne sont pas comptabilisées parce qu’elles ne cherchent pas activement ou ne sont pas disponibles immédiatement. Elles étaient 1,4 million fin 2015. Un chiffre en hausse de 23 000 sur le 4ème trimestre. À noter tout de même que le nombre de personnes en sous-emploi, c’est-à-dire qui souhaiteraient travailler davantage, est en léger recul (-0,1 point), à 6,6%. L’indicateur de l’Insee, le seul reconnu à l’international, est moins sévère que celui de Pôle emploi, qui comptabilisait 3,58 millions d’inscrits sans aucune activité en métropole fin décembre, soit 88.200 de plus que fin 2014 (+2,5%).

Emploi salarié : + 0.1% grâce à l’intérim

Emploi salarié : + 0.1% grâce à l’intérim

 

Finalement l’ ’emploi (pas le nombre de chômeurs qui augmente) demeure à peu près stable au second trimestre et grâce à l’intérim ; signe du manque de lisibilité de la conjoncture future et du manque de confiance général ; L’emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles a augmenté de 0,1% au deuxième trimestre en France, avec 8.300 postes créés, annonce mercredi l’Insee. Cette hausse fait suite à un recul de 0,1% au premier trimestre, période où 20.100 postes, un chiffre révisé, avaient été détruits. Le nombre de postes créés au deuxième trimestre avait été annoncé à 15.300 précédemment par l’Insee et celui des destructions d’emplois du premier trimestre à 21.700. Sur les douze mois à fin juin, les effectifs du secteur privé français ont diminué de 0,1%, le nombre de destructions nettes d’emplois atteignant 12.600. La légère hausse du deuxième trimestre tient à l’intérim, qui a gagné 14.000 postes et affiche une progression de 2,6% sur le trimestre et de 4,8% sur un an. Par secteurs, l’emploi salarié a reculé de 0,3% dans l’industrie entre avril et juin et de 0,6% dans la construction. Il a augmenté en revanche de 0,2% dans les services. L’Acoss (agence centrale des organismes de sécurité sociale) a quant à elle annoncé une hausse de 0,3% du salaire moyen par tête dans le secteur privé au deuxième trimestre et de 1,6% sur un an.  La masse salariale globale s’est accrue de 0,3% sur le trimestre après 0,8% au premier trimestre et de 1,6% sur un an.

 

Croissance : 0.1% au troisième trimestre

Croissance : 0.1% au troisième trimestre

 

Entre 0.1 et 0.2% de croissance au troisième trimestre ce que prévoient les économistes. La période a été affectée par le tassement mondial, le net ralentissement en Europe –y compris en Allemagne- . Les effets de l’embargo russe  commencent par ailleurs à se faire sentir surtout sur la filière agro-alimentaire. Dernier élément défavorable, le climat détestable cet été qui a pesé négativement sur la consommation. Les mauvaises nouvelles s’accumulent donc  pour l‘économie française. La Banque de France a ainsi annoncé, ce vendredi  tabler sur une croissance de seulement 0,2% au troisième trimestre, dans sa première estimation fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture de juillet auprès des entreprises. De son côté, l’Insee anticipait fin juin une croissance de 0,3% pour la période de juillet à septembre alors que les économistes interrogés le mois dernier par Reuters prévoient pour leur part également sur une hausse de 0,2% du PIB sur la période. Jeudi 14 août, l’Insee doit annoncer les chiffres du deuxième trimestre. Ce qui devrait permettre de savoir si l’objectif initial du gouvernement de 1% pour 2014 est bien hors de portée. Nombre d’économistes anticipent une quasi-stagnation de l’activité sur ce trimestre. L’enquête de la Banque de France sur le mois de juillet fait apparaître une baisse d’un point de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 96, et une stabilité de celui des services, à 93. Celui du secteur du bâtiment est également inchangé, à 92. Selon la Banque, la production industrielle a progressé légèrement le mois dernier, sous l’impulsion notamment de l’agroalimentaire, de l’industrie automobile et de la pharmacie. Les carnets de commandes restent à un niveau jugé correct, les stocks se maintiennent, les effectifs sont stables et les prix des produits finis n’évoluent pas. Le taux d’utilisation des capacités de production s’est contracté à 75,8% contre 76%. Dans les services, l’activité s’améliore dans la plupart des secteurs, notamment le transport, le conseil en gestion et le travail temporaire, et les effectifs seraient en hausse. Les chefs d’entreprise du secteur anticipent une légère progression de l’activité en août. L’activité accuse en revanche un nouveau repli dans le bâtiment sous l’effet de la baisse du gros œuvre, avec une contraction des effectifs. En revanche, selon l’Insee cette fois, la production industrielle a rebondi de 1,3% en juin après sa forte baisse de mai (-1,6%).   L’indice de la production de l’industrie manufacturière a, dans le même temps, progressé de 1,6%, après avoir chuté de 2,3% en mai, un mois dont l’activité a été perturbée par le calendrier des ponts. Mais sur le deuxième trimestre, la tendance reste négative, avec un recul de 0,5% de l’ensemble de la production industrielle par rapport au premier trimestre, s’accentuant à -1,2% pour la production du seul secteur manufacturier.

 

 

 

 

Bruxelles : PIB à 0.1% et déficit à 3.7%pour la France

Bruxelles : PIB à 0.1% et déficit à 3.7%pour la France

C’est sur RMC que le ministre de l’agriculture prend connaissance des prévisions de Bruxelles pour la France. Invité sur BFMTV vendredi matin, le ministre de l’Agriculture a découvert les chiffres de prévision de Bruxelles pour la France en 2013. 0,1% de croissance, 3,7% de déficit. (Déficit très théorique car faudrait-il encore réaliser les économies prévues, ce qui politiquement et surtout économiquement peu probables) 2013 : 0.1% de croissance pour la France, déficit : 3,7″. Le ministre de l’Agriculture Stéphane le Foll a découvert, vendredi matin sur BFMTV et RMC, les chiffres de prévision de Bruxelles pour la France. « Ah bon ? Ils ont été donnés là ? ». Oui. « (Soupir) Bon. J’ai l’information, je ne peux pas être surpris. Depuis quelques jours, on le sait pour une raison très simple c’est qu’en 2012 le constat de croissance est à zéro. En, conséquence la capacité à avoir un excès de croissance pour 2013 était extrêmement faible », a-t-il ajouté, un peu dépité.

 

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Croissance : 0.1% pour la Banque de France au premier trimestre

Croissance : 0.1% pour la Banque de France au premier trimestre

Ce léger rebond interviendrait après une contraction de 0,1% pour le produit intérieur brut du quatrième trimestre 2012, une prévision que la Banque a confirmée dans sa précédente enquête de décembre. Dans sa dernière note de conjoncture, en date de fin décembre, l’Insee déclarait tabler pour sa part sur une croissance identique de 0,1% au premier trimestre après une contraction de l’activité de 0,2% au quatrième trimestre 2012. Le chiffre officiel de la croissance au quatrième trimestre sera publié le 14 février par l’institut. L’enquête de janvier de la Banque de France fait apparaître une hausse d’un point de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 95, et une stabilité de celui des services, à 91, les deux se situant en-dessous de leur moyenne de long terme (100). L’indicateur du mois de décembre pour l’industrie est ainsi revu à la baisse, ayant été annoncé en première estimation à 95. Selon la Banque de France, la production industrielle a reculé en janvier, après un léger ressaut observé en fin d’année, la construction automobile réduisant ses cadences, « comme plusieurs autres secteurs industriels. » Le taux d’utilisation des capacités a chuté à 75,2 contre 76,1 (76,4 en première estimation) en décembre. Les livraisons se sont ralenties alors qu’elles s’étaient significativement développées en décembre pour rattraper les retards pris durant les mois précédents et, « malgré l’assez bonne tenue des commandes de l’étranger, les prises d’ordres se sont globalement réduites et les carnets de commandes se sont resserrés. »




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