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France: hyper profits du CAC et facture pour les ménages !

France: hyper profits du CAC et facture pour les ménages !


Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, du fait du Covid). Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, marqué par les restrictions liées au Covid). Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Niger: fin et échec de Barkhane pour des sénateurs

Niger: fin et échec de Barkhane pour des sénateurs

Après le coup d’État au Niger, 94 sénateurs français ont adressé une lettre ouverte au président Emmanuel Macron, publiée par le quotidien Le Figaro lundi 7 août, où ils regrettent « l’échec de l’opération Barkhane » et « l’effacement de la France » en Afrique. Les signataires, menés par les LR Roger Karoutchi, Bruno Retailleau et Christian Cambon, demandent au président de revoir sa stratégie.

« Aujourd’hui le Niger, hier le Mali, la Centrafrique, le Burkina Faso ont rejeté la France, les forces françaises, les entreprises françaises », soulignent les sénateurs LR Roger Karoutchi, Bruno Retailleau et Christian Cambon dans leur lettre signée par 94 parlementaires et publiée par Le Figaro.

Avec 1 500 militaires sur place, le Niger constitue le pivot du dispositif anti-jihadiste français au Sahel depuis le départ contraint du Mali à l’été 2022, dont les soldats faisaient partie de l’opération Barkhane, qui a pris fin en novembre. Mais les putschistes ont dénoncé à Niamey plusieurs accords militaires conclus avec la France, dont certains concernent notamment le « stationnement » du détachement français et le « statut » des militaires présents dans le cadre de la lutte anti-jihadiste.

« À nos dépens, après l’échec de l’opération Barkhane, voilà les milices (du groupe russe) Wagner, peu sourcilleuses des droits humains ou de démocratie, mais parfaitement disponibles pour tous les dictateurs ou les dirigeants se maintenant au pouvoir en coalisant leurs populations contre l’ancienne « puissance coloniale » », déplorent MM Karoutchi, Retailleau et Cambon, respectivement premier vice-président du Sénat chargé des relations Internationales, président du groupe Les Républicains au Sénat et président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, ainsi que leurs co-signataires.

Ils appellent à remettre à plat la politique de la France en Afrique, sans pour autant faire de propositions.

Pour le sénateur Les Républicains Roger Karoutchi, l’un des auteurs de cette lettre, «nous n’avons pas fait suffisamment d’efforts pour faire en sorte que la jeunesse africaine comprenne la France»: «l’échec est politique».

Macron prend les Français pour des enfants !

Macron prend les Français pour des enfants !


Le triomphe de la communication permanente, pratiquée par Emmanuel Macron, s’effectue sur les ruines du système politique et institutionnel et dans le déni de la société réelle, déplore Michel Wieviorka, le directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales dans une tribune au « Monde ».

En politique, et en tout cas du côté du pouvoir, les temps sont à la communication permanente, celle qui colle sans répit à l’actualité. A peine commenté, un événement est délaissé au profit du suivant, et ainsi de suite. Pire encore, la parole d’hier ne vaut rien, seule est pertinente celle de l’instant présent, dont peu importe qu’elle démente la précédente. Le chef de l’Etat, ici, est premier de cordée. La comparaison est cruelle, par exemple si l’on met en regard son récent entretien au Figaro Magazine du 2 août, où il exalte l’autorité, et celui, publié le 3 juin 2022 dans plusieurs quotidiens régionaux, où il annonçait la création d’un Conseil national de la refondation (CNR). Elle le serait encore plus si l’on relisait son livre programmatique, Révolution (XO, 2016).

Certes, il a tenu sa promesse de changer de méthode. Mais pas dans le sens proclamé en 2022, au contraire : dans celui d’une droitisation accentuée, d’un autoritarisme renforcé qui pourraient à terme conduire notre pays sur la voie de la démocratie illibérale. Où est cet engagement à « tous ensemble inventer une méthode nouvelle » annoncé le 7 mai 2022 dans son discours d’investiture ?

Quelle est la portée historique du CNR, présenté en référence à la grande histoire, celle de la Résistance, dont Emmanuel Macron se veut peut-être le continuateur – les historiens apprécieront ? Qu’en est-il du constat que « nos compatriotes veulent être associés aux décisions » (3 juin 2022) alors même qu’il se prépare à utiliser « ce que la Constitution [lui] permet de faire » (2 août) ? Comprendre : l’article 49.3 ? Quel lien y a-t-il, entre d’une part, vieille d’un an, l’idée de « redonner de la vitalité à notre débat démocratique » et d’installer une commission transpartisane, et, d’autre part, le « projet d’ampleur » en gestation, d’où sont exclus le Rassemblement national (RN) et La France insoumise, étrangers selon lui à « l’arc républicain », et avec eux leurs 30 % ou 40 % d’électeurs ?

Le constat des affirmations changeantes vaut aussi à court terme. Ainsi, au lendemain de la mort du jeune Nahel M., tué le 27 juin 2023 par un policier à Nanterre, Emmanuel Macron parlait sans délai d’un décès « inexplicable, inexcusable ». Voici maintenant, au sujet des émeutes ayant suivi ce drame, qu’il explique au Figaro Magazine qu’à chaud « on dit toujours des bêtises ». Se taira-t-il désormais « à chaud » ?

Le triomphe de la communication permanente s’effectue sur les ruines du système politique et institutionnel, et dans le déni de la société réelle. Emmanuel Macron n’a rien fait pour endiguer la décomposition politique qui lui a permis d’accéder au pouvoir.

Social: hyper profits du CAC et facture pour les ménages !

Social: hyper profits du CAC et facture pour les ménages !


Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, du fait du Covid). Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, marqué par les restrictions liées au Covid). Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Crise Immobilier : une menace pour toute l’ économie

Crise Immobilier : une menace pour toute l’ économie

Pour l’instant , la crise immobilière ne semble pas alarmer les pouvoirs publics. Pourtant cette crise risque d’entraîner toute l’économie. Pour deux raisons principales à savoir le poids que représente le bâtiment dans le PIB et la part que les ménages consacrent au logement

la crise est en effet conjoncturel mais aussi structurelle. Il y a bien sûr la partie très visible celle de l’envolée des taux d’intérêt qui découle évidemment de la lutte contre l’inflation menée par les banques centrales. En relevant les taux d’intérêt, mécaniquement les taux d’emprunt s’envolent également à des niveaux rarement atteints, on va sans doute assez durablement vers des taux de prêt de l’ordre de 5 % tout compris.

Ceci étant, la crise est aussi structurelle, ce qui est plus grave. En effet la crise se caractérise par la disparition des acheteurs potentiels. Les jeunes en particulier ne peuvent plus envisager l’acquisition d’un logement à des montants de 300 000 à 400 000 € compte tenu de leurs capacités financières. Même étalés sur la durée du prêt, les mensualités ne sont plus supportables et de toute manière les établissements financiers ne veulent plus prêter faute de garanties suffisantes. Une crise qui va surtout concerner en particulier les jeunes et les couches moyennes; ce qui va poser un problème économique mais aussi démocratique.

Faute d’acheteurs, le système va éclater d’ici quelques mois. Le marché va se réduire à pas grand-chose ( la baisse des prêts va atteindre 50 % d’ici la fin d’année ! ). Les vendeurs qui n’acceptent pas de vendre aujourd’hui avec une baisse des prix de l’ordre de 10 % seront le moment venu contraints de brader leurs biens faute de candidats potentiels à l’achat.

C’est toute l’économie qui risque d’être concernée puisque l’activité et du bâtiment général représente au moins 20 % du produit intérieur brut. En outre la crise va encore encourager un peu plus l’étalement urbain. Enfin, la crise immobilière menace les actifs des banques et leur stabilité. C’est tout le système économique et financier qui risque d’être menacé.

Nouveaux hyper profits pour grandes entreprises et facture pour les ménages

Nouveaux hyper profits pour grandes entreprises et facture pour les ménages !


Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, du fait du Covid). Il y a un an , les bénéfices semestriels progressaient à un rythme supérieur à 25 %, et en 2021 , ils dépassaient de 33 % ceux de 2019 (les entreprises du CAC 40 avaient subi une perte nette au premier semestre 2020, marqué par les restrictions liées au Covid). Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Inflation : hyper profits pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !

Inflation : hyper profits pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !


Les bénéfices des grands entreprises progressent encore 200 au premier semestre 2023.Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

États-Unis–Trump inculpé pour fraude électorale

États-Unis–Trump inculpé pour fraude électorale


« Complot à l’encontre de l’Etat américain », l’entrave à une procédure officielle et l’atteinte aux droits électoraux ont été retenus après une enquête supervisée par le procureur spécial Jack Smith. C’est l’accusation la plus grave à peser contre l’ex-président, déjà doublement poursuivi au pénal.

« Malgré sa défaite, l’accusé était déterminé à rester au pouvoir. Par conséquent, durant plus de deux mois après le scrutin du 3 novembre 2020, l’accusé a diffusé des mensonges selon lesquels il y avait eu des fraudes ayant modifié le résultat et qu’il avait en fait gagné », relève l’acte d’accusation, que l’AFP s’est procuré et que plusieurs médias américains ont publié, dont le New York Times. « Ces allégations étaient fausses et le prévenu savait qu’elles étaient fausses », peut-on y lire. « Mais le prévenu les a répétées et les a largement diffusées malgré tout ».

Grand favori des primaires républicaines, Donald Trump avait annoncé le 18 juillet avoir reçu une lettre de Jack Smith l’informant qu’il était visé personnellement par l’enquête fédérale sur les tentatives d’inverser les résultats de la présidentielle de 2020, et notamment l’assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021. Il avait déclaré le 28 juillet qu’il maintiendrait sa campagne, même s’il était condamné.

Inflation : super bénéfices pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !

Inflation : super bénéfices pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !


Les bénéfices des grands entreprises progressent encore 200 au premier semestre 2023.Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Mbappé: 100 millions pour le transfert au Real ?

Mbappé: 100 millions pour le transfert au Real ?

Finalement le transfert de Mbappé pourrait être réalisé mardi. « Le montant du transfert est déjà fixé autour de 220 millions d’euros, explique Le Quotidien du Sport. Enfin, il s’agit plutôt du montant de la transaction. Car dans cette somme sont compris : la prime pour le joueur à la signature, la fameuse prime de fidélité, et l’indemnité de transfert pour le PSG. Des juristes représentants les trois parties sont déjà en train de plancher sur la meilleure répartition entre les deux clubs et le joueur. Au final, le club de la capitale espère récupérer au moins 150 millions d’euros mais il devrait plutôt devoir se contenter d’une grosse centaine de millions. »

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Retraites: décrets pour la fin des régimes spéciaux… pour les nouveaux embauchés

Grâce à la clause dite du grand-père, la fin des régimes spéciaux qui vient d’être actée dans des décrets ne concernera que les nouveaux embauchés. Autant dire que les effets financiers significatifs de la réforme se feront ressentir à très long terme d’ici 25 à 30 ans.

Dimanche, la publication des décrets d’application au Journal officiel a acté la fin des régimes spéciaux pour les agents de la RATP, des industries électriques et gazières (EDF, Engie, ERDF…), des clercs de notaire et de la Banque de France. À compter du 1er septembre 2023, les nouveaux entrants seront ainsi affiliés au régime général des retraites, adopté à l’issue de plusieurs mois de conflit social. Comme le prévoit la fameuse « clause du grand-père », déjà retenue pour la réforme de la SNCF en 2018, les salariés actuels de ces branches continueront de bénéficier de leurs avantages, mais seront eux aussi concernés par le décalage progressif de deux ans de l’âge légal de départ en retraite (à partir du 1er janvier 2025) et l’accélération de la réforme Touraine de 2014.

Sécheresse: Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir

Sécheresse: Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir


L’agriculture est la première consommatrice d’eau en France, avec 58% du total consommé. Suivent ensuite les ménages, restaurants et lieux touristiques (26%) qui utilisent de l’eau potable, puis le refroidissement des centrales électriques (12%) et enfin les autres industries (4%). L’association UFC – Que Choisir dénonce la gabegie et le manque de politique.

L’association évoque de «l’eau en «open bar» pour l’agriculture intensive». Surtout que «sa ponction dans la ressource représente jusqu’à plus de 90 % des consommations pour les départements de la façade atlantique et du Sud-Ouest». En cause, la production de maïs, dont «les besoins en eau sont concentrés en juillet et août».

L’UFC-Que Choisir s’appuie sur le rapport de la Cour de Comptes intitulé «La gestion quantitative de l’eau en période de changement climatique», publié le 17 juillet dernier. Les Sages de la rue Cambon notent que «selon les données de la BNPE (Banque Nationale des Prélèvements quantitatifs en Eau), les prélèvements d’eau destinés à l’irrigation ont plus que doublé en une décennie». Un constat d’autant plus grave que «l’irrigation agricole s’est développée dans des régions où cette pratique n’était pas habituelle et aggrave des situations déjà tendues.» Le document précise même que «dans le bassin Adour-Garonne, la moitié des 20 000 irrigants ne font pas de déclaration» sur la quantité d’eau prélevée. Culture explicitement nommée par l’UFC-Que Choisir : le maïs.

Attal conscient de la catastrophe de l’éducation nationale et pour l’uniforme

Attal conscient de la catastrophe de l’éducation nationale et pour l’uniforme

GABRIEL ATTAL a reconnu que l’éducation nationale se trouve dans une situation catastrophique et semble disposé à y apporter des solutions. Il y a longtemps qu’un ministre de l’éducation n’avait pas fait un constat aussi lucide. Le nouveau ministre de l’éducation nationale s’est aussi prononcé pour éventuellement la mise en place de l’uniforme à l’école.

« Est-ce qu’on peut imaginer que ce serait solution magique pour régler tous les problèmes? Je n’y crois pas », a tempéré le nouveau ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse.
Faut-il mettre en place l’uniforme à l’école? Tout juste nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, Gabriel Attal s’est prononcé sur cette question ce vendredi à l’occasion d’une interview pour le Midi Libre. Pour lui, cela doit être possible, si des établissements scolaires le souhaitent.

Le nouveau ministre de l’Education nationale a aussi été interrogé sur sa position sur une autre tenue: les abayas. Il juge que « venir à l’école en abaya est un geste religieux, visant à tester la résistance de la République sur le sanctuaire laïque que doit constituer l’école ». Gabriel Attal assure qu’il sera « ferme » sur cette question.

Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir

Mauvaise gestion de l’eau pour l’UFC-Que choisir


L’agriculture est la première consommatrice d’eau en France, avec 58% du total consommé. Suivent ensuite les ménages, restaurants et lieux touristiques (26%) qui utilisent de l’eau potable, puis le refroidissement des centrales électriques (12%) et enfin les autres industries (4%). L’association UFC – Que Choisir dénonce la gabegie et le manque de politique.

L’association évoque de «l’eau en «open bar» pour l’agriculture intensive». Surtout que «sa ponction dans la ressource représente jusqu’à plus de 90 % des consommations pour les départements de la façade atlantique et du Sud-Ouest». En cause, la production de maïs, dont «les besoins en eau sont concentrés en juillet et août».

L’UFC-Que Choisir s’appuie sur le rapport de la Cour de Comptes intitulé «La gestion quantitative de l’eau en période de changement climatique», publié le 17 juillet dernier. Les Sages de la rue Cambon notent que «selon les données de la BNPE (Banque Nationale des Prélèvements quantitatifs en Eau), les prélèvements d’eau destinés à l’irrigation ont plus que doublé en une décennie». Un constat d’autant plus grave que «l’irrigation agricole s’est développée dans des régions où cette pratique n’était pas habituelle et aggrave des situations déjà tendues.» Le document précise même que «dans le bassin Adour-Garonne, la moitié des 20 000 irrigants ne font pas de déclaration» sur la quantité d’eau prélevée. Culture explicitement nommée par l’UFC-Que Choisir : le maïs.

Sommet Russie-Afrique: pour mieux piller les ressources locales

Sommet Russie-Afrique: pour mieux piller les ressources locales

Des pays africains voulant retourner au colonialisme ne s’y prendrait pas autrement en se précipitant dans les bras de routine et son fameux sommet Russie Afrique. Un sommet organisé par Poutine pour déstabiliser un peu plus l’Occident mais aussi les régimes internes avec le plus souvent comme bras armé la clique criminelle de Wagner.

Une honte évidemment pour ces pays de se voir contraints de recourir à une sorte de garde nationale assurée par Wagner contre le pillage autorisé des ressources locales.

L’Afrique malheureusement est encore trop soumis à de nouvelles formes de colonisation notamment de la Chine et de la Russie qui veulent renforcer leur pouvoir politique international tout en s’approvisionnant en bon compte des richesses locales.

Un phénomène qui permet aussi aux dirigeants locaux d’accroître à leur profit et un nombre d’intermédiaires qui les soutiennent encore la corruption qui gangrène le continent. Sans parler des atteintes encore renforcées à la démocratie.

Pourtant, derrière les visites et les discours, les échanges commerciaux demeurent faibles entre Moscou et le continent. Alors que la guerre en Ukraine s’enlise et que les sanctions occidentales fragilisent l’économie de la Russie, ses capacités réelles d’engagement vis-à-vis de l’Afrique interrogent.

Parmi les domaines de coopération entre la Russie et l’Afrique, le secteur de l’armement est probablement celui qui fait couler le plus d’encre. Ces dernières années, Moscou a annoncé le renforcement de ses partenariats militaires avec de nombreux pays dont le Cameroun, l’Éthiopie, l’Afrique du Sud, la Centrafrique ou bien encore le Mali.

Ces accords sont loin d’être nouveaux. À l’époque des indépendances, l’URSS avait investi ce domaine fournissant des armes à de nombreux pays africains. Des partenariats mis en sommeil après la chute du bloc soviétique, que Moscou a entrepris de réactiver au cours des deux dernières décennies. En parallèle, la milice Wagner a étendu ces dernières années sa présence en Centrafrique, au Mali, au Soudan ou bien encore en Libye.

Entre 2018 et 2022, la Russie a détrôné la Chine en tant que premier exportateur d’armes en Afrique subsaharienne, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, passant de 21 % à 26 % de parts de marché.

Pour Maxime Ricard, chercheur spécialiste de l’Afrique de l’Ouest à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (Irsem). “À l’échelle de la Russie, ces livraisons demeurent relativement faibles, mais elles ont un intérêt stratégique pour l’influence de la Russie en Afrique. En soutenant des élites politiques peu regardantes sur les droits humains, elles ont une dimension politique importante car elles participent au renforcement de régimes autoritaires. Pour les dirigeants des États comme le Mali ou le Burkina Faso, le partenariat militaire avec la Russie est un gros enjeu, d’autant plus depuis qu’ils ont demandé le retrait des forces françaises”.

Outre le domaine sécuritaire, la Russie entretien également un important partenariat agricole avec le continent, dont elle est le premier fournisseur de blé au monde. Le forum Russie-Afrique intervient alors même que Moscou vient de se retirer de l’accord permettant l’exportation de céréales ukrainiennes par la mer Noire, dont l’ONU affirme qu’il est essentiel pour équilibrer les prix et éviter une crise alimentaire mondiale.

La Russie réclame un allègement des sanctions financières qui “entravent” son commerce international de céréales mais aussi, et surtout, ses exportations d’engrais et de matériel agricole.

Elle a assuré qu’elle était prête à offrir ses céréales gratuitement aux pays africains qui en ont le plus besoin, précisant que cette proposition serait discutée lors du sommet, qui comprend un volet sur la souveraineté alimentaire du continent.

En octobre 2019, devant une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement réunis dans la ville balnéaire de Sotchi, Vladimir Poutine avait promis de “doubler dans les cinq ans les échanges commerciaux” avec le continent.

Pourtant, après plusieurs années de croissance, ceux-ci ont enregistré un recul sur la période 2018 – 2021, passant de 20 à 17,7 milliards de dollars. Un chiffre sans commune mesure avec le commerce chinois (282 milliards), de l’Union européenne (254 milliards) ou bien des États-Unis (83 milliards) avec l’Afrique, alors que la Russie représente toujours moins de 1 % des investissements étrangers sur le continent.

Dans sa lettre aux pays africains, Vladimir Poutine affirme que le chiffre de commerce de la Russie avec les pays d’Afrique a augmenté en 2022“ pour atteindre presque 18 milliards de dollars américains”, tout en reconnaissant que les “capacités de [leur] partenariat commercial et économique sont beaucoup plus grandes”.

La Russie à tendance à “sur-promettre et à ne pas tenir ses promesses lorsqu’il s’agit de ses engagements économiques en Afrique”, analyse Joseph Siegle, auteur d’un rapport sur les engagements économiques de la Russie en Afrique. Pour le chercheur américain, la Russie souhaite avant tout “promouvoir ses intérêts géostratégiques […] : s’assurer un pied dans la Méditerranée à la frontière sud de l’Otan, déplacer l’influence occidentale et normaliser la vision du monde de la Russie”.

“Mis à part peut-être quelques partenaires privilégiés comme l’Égypte, l’Afrique du Sud ou le Nigeria, l’Afrique n’est clairement pas un marché prioritaire de la Russie” souligne Igor Delanoë, directeur adjoint de l’Observatoire franco-russe. “L’Afrique subsaharienne ne représente qu’un à deux milliards de dollars par an sur les 700 milliards du commerce extérieur russe. Néanmoins, Moscou a besoin de bâtir de nouveaux partenariats et, à ce titre, ce marché peut être prometteur”.

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