Archive pour le Tag 'pour'

Page 371 sur 374

Bruxelles : PIB à 0.1% et déficit à 3.7%pour la France

Bruxelles : PIB à 0.1% et déficit à 3.7%pour la France

C’est sur RMC que le ministre de l’agriculture prend connaissance des prévisions de Bruxelles pour la France. Invité sur BFMTV vendredi matin, le ministre de l’Agriculture a découvert les chiffres de prévision de Bruxelles pour la France en 2013. 0,1% de croissance, 3,7% de déficit. (Déficit très théorique car faudrait-il encore réaliser les économies prévues, ce qui politiquement et surtout économiquement peu probables) 2013 : 0.1% de croissance pour la France, déficit : 3,7″. Le ministre de l’Agriculture Stéphane le Foll a découvert, vendredi matin sur BFMTV et RMC, les chiffres de prévision de Bruxelles pour la France. « Ah bon ? Ils ont été donnés là ? ». Oui. « (Soupir) Bon. J’ai l’information, je ne peux pas être surpris. Depuis quelques jours, on le sait pour une raison très simple c’est qu’en 2012 le constat de croissance est à zéro. En, conséquence la capacité à avoir un excès de croissance pour 2013 était extrêmement faible », a-t-il ajouté, un peu dépité.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Royal : « pas désignée par le gouvernement » ? Si, pour éviter qu’elle ne redevienne ministre

Royal : « pas désignée par le gouvernement » ? Si, pour éviter qu’elle ne redevienne ministre

Ségolène s’est crue obligée de faire une mise au point sur sa nomination comme vice présidente de la nouvelle BPI. Personne n’y croit en réalité ; En effet après avoir exprimé assez fort (trop fort sans doute) son désir de revenir aux affaires nationales Hollande était particulièrement embarrassé compte tenu de relations déplorables entre Ségolène et Trierweiler. Hollande contourne ainsi l’obstacle en la nommant à la BPI. Ceci étant, Ségolène Royal (PS) a souligné qu’elle avait été « désignée par l’Association des régions de France » pour siéger au conseil d’administration de la BPI et « pas par le gouvernement », réfutant des déclarations de l’opposition dénonçant une « république des copains ». « Je siège à ce Conseil d’administration en tant que présidente de région, désignée par l’Association des régions de France et pas par le gouvernement », a déclaré la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Un accord UE/USA pour libéraliser davantage ?

Un accord UE/USA pour libéraliser davantage ?

 

On peut se demander s’il est bien opportun-en ce moment-de négocier un accord de libre échange avec les Etats Unis qui pourraient profiter de la baisse artificielle  de leur monnaie pour attaquer les marchés européens ( ou en profiter pour nous faire goûter les joies du boeuf aux homones!). En effet Les négociations entre les Etats-Unis et l’Union européenne (UE) sur l’établissement d’un accord de libre-échange, annoncées la semaine dernière et prévues d’ici juin, bénéficieront de conditions particulièrement favorables, après l’échec de plusieurs pourparlers au cours des vingt dernières années. Dans un communiqué publié la semaine dernière, le président américain Barack Obama, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy recommandent l’ouverture de négociations en vue d’un accord élargi sur le commerce et les investissements. Un projet d’accord transatlantique de ce type a été bloqué par la France en 1998, par crainte de devoir baisser les taxes sur les produits agricoles. Quelques années plus tard, le cycle de négociations sur le commerce de Doha, entamé en 2001, a de nouveau été un échec. Le commerce agricole demeure le principal point d’achoppement entre l’UE et les Etats-Unis, les restrictions européennes sur les OGM ou le boeuf nourri aux hormones étant par exemple bien plus sévères, mais le secteur a perdu de son importance dans les échanges entre les deux puissances. Depuis deux ans, le marché mondial des produits agricoles a connu une diversification qui a atténué l’aspect bilatéral du commerce en la matière entre les Etats-Unis et l’UE. Les subventions à l’agriculture restent cependant les plus importantes dans le budget européen 2014-2020, difficilement approuvé à l’issue du sommet tenu au début du mois entre chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union. Selon Fredrik Erixon, directeur de l’European Centre for International Political Economy (Ecipe), un centre de réflexion basé à Bruxelles, la Commission européenne pourrait mettre à profit les pourparlers avec les Etats-Unis pour plaider sur le plan intérieur en faveur d’une libéralisation économique plus importante .

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

Farines animales à nouveau autorisées par l’Europe pour nourrir les poissons

Farines animales à nouveau autorisées par l’Europe pour nourrir  les poissons

 

C’est un hasard du calendrier plutôt malheureux. Alors que la France est secouée par le scandale de la viande de cheval écoulée dans des plats étiquetés « pur bœuf », Bruxelles a donné le feu vert au retour des farines animales pour les poissons, le 14 février. Approuvée en juillet 2012 par les experts des États membres de l’UE, cette mesure sera effective à compter du 1er juin. « Ça tombe mal », a déclaré le ministre de l’Agroalimentaire Guillaume Garot, interrogé sur France Info.  « La France s’était prononcée contre cette disposition européenne », a ajouté le ministre, qui a rappelé que la disposition de Bruxelles ne rendait « heureusement » pas obligatoire l’utilisation des farines animales.   »Il faudra la mettre en  œuvre au plan français avec un véritable esprit de responsabilité de nos industriels », a-t-il souligné. L’utilisation des farines animales pour les ruminants avait été interdite en 1997 en raison des risques de contamination par l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), ou « maladie de la vache folle ». Ce n’est qu’en 2001, que cette mesure avait été étendue aux aliments pour tous les animaux de consommation. Pour la Commission européenne, cette décision améliorera la durabilité à long terme du secteur de l’aquaculture. « Ces PAT (protéines animales transformées) pourraient être un substitut précieux aux farines de poisson, qui sont une ressource rare », a indiqué la Commission dans un communiqué. Quant au spectre de la maladie de la vache folle, il semble plus que jamais s’éloigner. « La situation épidémiologique actuelle de l’ESB montre que l’UE est désormais dans la phase finale de l’éradication de l’ESB au sein de son cheptel bovin », a affirmé Bruxelles en précisant que le risque de transmission d’ESB « entre animaux non-ruminants est négligeable ! »

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

Corruption pour ventes d’armes en Inde : une grande découverte !

Corruption pour ventes d’armes en Inde : une grande découverte !

 

Une affaire de corruption découverte en Italie avec Finmeccanica  a suscité l’émotion et indignation ; belle hypocrisie car sans corruption, il serait pratiquement impossible de signer des contrats d’armements tellement la concurrence est rude.  Giuseppe Orsi, patron de Finmeccanica arrêté mardi pour corruption internationale dans une affaire de pots-de-vins présumés au gouvernement indien, a renoncé à sa double casquette de président et d’administrateur (il avait été remplacé en urgence mercredi soir au poste d’administrateur délégué par Alessandro Pansa), a annoncé son avocat vendredi.   »Je remets par la présente ma démission des charges d’administrateur et de président de Finmeccanica, tout en revendiquant et en réitérant la cohérence de mon action depuis toujours inspirée par l’intérêt exclusif de Finmeccanica et de ses filiales, et également afin de contribuer à apaiser le climat qui s’est créé » autour du groupe, selon la lettre citée par l’agence Ansa.  Un porte-parole de Finmeccanica a confirmé à l’AFP la démission de M. Orsi.  Selon son avocat, Ennio Amodio, le texte a été présenté au juge en charge de l’enquête qui l’a entendu vendredi matin au tribunal de Busto Arsizio, près de Milan. « Je n’ai jamais eu connaissance de manoeuvres illégales », a-t-il en outre déclaré devant le juge, a rapporté Ansa.  Giuseppe Orsi était visé depuis avril 2012 par une enquête portant sur la livraison en 2010, pour 748 millions de dollars, de 12 hélicoptères au gouvernement indien par une filiale du groupe, AgustaWestland.  La transaction aurait donné lieu en coulisses au versement, via des intermédiaires, de pots-de-vin à des officiels indiens, selon le mandat d’arrêt du tribunal, cité par les médias italiens.  L’Inde de son côté, où l’affaire a contraint le gouvernement à publier jeudi un communiqué en 35 points pour se défendre, a annoncé vendredi qu’elle avait lancé la procédure d’annulation du contrat.  Le ministère de la Défense a « entamé des mesures pour annuler le contrat d’acquisition de 12 hélicoptères AW101 (AgustaWestland) », a-t-il annoncé dans un communiqué. Selon les termes du contrat, la totalité des hélicoptères doit être livrée d’ici 2014 et l’Inde en a déjà reçu trois.  L’Inde a également demandé à l’entreprise italienne de dire « d’ici sept jours » si des termes du contrat et le « pacte d’intégrité » signé en 2010 ont été violés.  Le gouvernement indien avait déjà prévenu mercredi qu’il annulerait le contrat si les accusations de corruption contre le patron de Finmeccanica étaient avérées et a annoncé jeudi qu’il suspendait ses paiements au groupe italien.  Ces annonces ont coïncidé avec une visite à New Delhi du président français François Hollande, qui espère convaincre l’Inde, premier acheteur d’armes au monde, d’acquérir des avions Rafale.  En Italie, le président du conseil Mario Monti s’est vu accuser d’attentisme dans l’affaire Finmeccanica, devenue un poids embarrassant à moins de dix jours des élections législatives auxquelles son mouvement est candidat. L’Etat italien est le principal actionnaire de Finmeccanica avec 30,2% de son capital.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Automobile : pastilles vertes pour véhicules peu polluants seuls autorisés à circuler certains jours

 

Automobile : pastilles vertes pour véhicules peu polluants seuls autorisés à circuler certains jours

 

Le gouvernement envisage de relancer la pastille de couleur verte pour identifier les véhicules les moins polluants, selon Le Parisien. « Les villes ont besoin d’outils pour contrôler les véhicules et mieux les réguler, et grâce à la pastille elles pourront, en cas de pic de pollution et selon leurs besoins, instaurer plus facilement des limitations de circulation ou des régulations de vitesse », explique au journal une source au ministère des Transports. Le dispositif avait été lancé à l’été 1998 et la pastille était décernée aux véhicules électriques, au gaz, ainsi que les véhicules d’essence vendus après 1993 et les Diesel vendus après 1997. Ces voitures sur lesquelles étaient apposées une petite étiquette verte étaient alors autorisées à circuler lors des jours de forte pollution, un système qui s’ajoutait au dispositif de circulation alternée suivant le dernier chiffre, pair ou impair, de la plaque d’immatriculation. Le dispositif a toutefois été abandonné en 2003. L’association « 40 millions d’automobiliste » est aussitôt montée au créneau contre une « mesure discriminatoire ». « Si on souhaitait chasser des villes les foyers les plus modestes, on ne s’y prendrait pas mieux », déplore Daniel Quéro, président de l’association, dans un communiqué. « La pastille verte est une mesure discriminatoire qui renforce l’idée d’une exclusion sociale des plus modestes qui n’ont pas les moyens financiers de renouveler leur véhicule ». Pour l’association, « il serait préférable de mettre en place une politique d’incitation au renouvellement des véhicules par le biais d’une prime à l’achat d’une auto d’occasion plus récente et moins polluante. »

Social : risque d’explosion pour les salariés très exposés

Social : risque d’explosion pour les salariés très exposés

 

Le gouvernement s’inquiète de la détérioration du climat social en France surtout dans les entreprises où l’emploi est menacé. le gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques d’explosion sociale. En fait, les sites où les emplois menacés ont été très visités pendant la campagne électorale, on y a beaucoup promis  mais depuis peu d’entreprises ont pu être sauvées notamment les sites emblématiques  PSA à Aulnay et Arcelor Mittal à Florange ». La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années », a reconnu ce mardi 5 février le ministre de l’Intérieur Manuel Valls. « Aujourd’hui on assiste moins à des mouvements sociaux, qu’à des implosions ou explosions sociales », a-t-il mis en garde sur les médias BFTV et RMC. Depuis plusieurs mois, le contexte social s’est fortement détérioré en France, avec l’annonce de milliers de suppressions de postes dans différents secteurs: sidérurgie (ArcelorMittal), automobile (PSA, Renault, Goodyear) mais aussi pétrole (Petroplus), chimie (Sanofi), transports (Air France), agro-alimentaire (Doux), etc. Les débrayages et opérations « usine morte » sont devenus quotidiens chez Renault (11.200 suppressions de postes envisagées), où la production a été à plusieurs reprises paralysée, tandis que chez PSA (8.500 suppressions annoncées), l’usine d’Aulnay, en région parisienne, s’enlise dans la grève dans une ambiance délétère. Fin janvier, dans cette usine dont la fermeture est prévue en 2014, quatre grévistes ont été mis à pied « en vue de licenciement » pour leur implication présumée dans l’agression d’un huissier venu constater des « dégradations » sur le site.   Dans ce contexte tendu, les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction de suivre « au plus près » les entreprises en difficulté afin d’anticiper une éventuelle « radicalisation » de mouvements sociaux. Une note de service, datée du 30 janvier et transmise aux directeurs départementaux de la sécurité publique, souligne « les risques d’incidents » ou d’éventuelles « menaces sur l’outil de production en cas de radicalisation d’un conflit ». Ces explosions sociales, « il faut essayer de les comprendre, mais on ne peut pas les admettre », a justifié mardi le ministre socialiste de l’Intérieur. « On peut essayer de comprendre les raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir », mais « on ne peut pas casser l’outil de travail », a-t-il dit. A l’usine Renault à Flins, en région parisienne, « il y a de plus en plus de présence policière autour de l’usine avec plusieurs voitures banalisées », témoignait mardi Ali Kaya, délégué syndical. « La police a contacté des délégués syndicaux », a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CGT, premier syndicat de France, Bernard Thibault s’est inquiété mardi d’éventuelles présences des forces de police sur les sites connaissant des conflits sociaux, appelant à les « éviter » car celles-ci seraient « vécues comme des provocations ». « Certains commentateurs extérieurs s’émeuvent de la tournure que peuvent prendre certains conflits sociaux », a-t-il déclaré, mais « il faut se rendre à l’évidence: on ne va pas continuer à avoir plusieurs millions de nos concitoyens exclus du travail et que tout ça se fasse dans la plus grande discrétion et le plus grand silence ».

 

60% des français pour la retraite à 65 ans

60% des français pour la retraite à 65 ans

60% pour le report à 65 ans de l’âge légal de départ à la retraite comme un mal nécessaire, selon une enquête du CSA pour le compte du Cercle des épargnants publiée mardi. Cette proportion est en hausse de deux points par rapport à une enquête similaire effectuée l’an passé et de 30 points par rapport à celle de 2011, menée juste après la dernière réforme des retraites.  Même les sympathisants de gauche reconnaissent la nécessité de relever l’âge légal de la retraite, bien qu’à une faible majorité (52%-45%), mais les ouvriers y sont défavorables (39%-58%). Le gouvernement a décidé d’ouvrir le dossier retraites dans le cadre de la conférence sociale qui reprendra l’été prochain, alors que le Conseil d’orientation des retraites a confirmé dans ses dernières prévisions, qui anticipent un déficit de plus de 20 milliards d’euros à l’horizon 2017, la nécessité d’une nouvelle réforme pour équilibrer les comptes.  L’enquête annuelle sur les Français, l’épargne et la retraite publiée par le Cercle des épargnants, fait apparaître que 67% des Français sont plutôt inquiets (42%) ou très inquiets (25%) pour leur retraite, soit le niveau le plus élevé depuis la première édition de cette enquête annuelle en 2006. Par comparaison, ils n’étaient que 60% en 2012. L’écart provient exclusivement des « tout à fait inquiets » (+8 points). Il explique que la retraite vienne largement en tête (56%) des dépenses sociales jugées prioritaires par les Français, devant l’assurance maladie (43%).

Crédit Agricole : perte de 5 milliards pour spéculation

Crédit Agricole : perte de 5 milliards pour spéculation

 

Récemment le Crédit agricole s’est encore opposée à la reformes bancaire qui prévoit de séparer les activités de dépôts des activités spéculatives ; On se demande bien pourquoi ! Ce sont les dépôts qui vont permettre d’éponger les 5 milliards de pertes sur les actifs spéculatifs de 2012. On peut se demander si c’est du rôle et de la compétence du Crédit agricole d’investir des dans activités à risques. Les  comptes 2012, qui seront publiés intégralement le 20 février, intégreront une perte de 2,5 milliards d’euros. Celle-ci est due à une réévaluation à la baisse de la valeur comptable de sa banque de financement et d’investissement, de sa filiale en courtage Newedge, de son activité de crédit à la consommation, ainsi que de ses filiales en banque de détail en Italie et au Portugal. Cela s’ajoute à des éléments exceptionnels de 1,3 milliard qui vont aussi affecter ses résultats. Le groupe précise que ces charges «n’affectent ni sa solvabilité ni sa liquidité» et sont «sans impact sur la trésorerie, celle-ci ayant été décaissée lors de l’acquisition des sociétés concernées». Sur l’année 2012, la perte devrait être record (a priori plus de 5 milliards). Au troisième trimestre, la banque avait déjà annoncé une perte de 2,5 milliards d’euros, également due à des dépréciations d’actifs.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Hollande au Mali pour repasser le bébé aux africains

Hollande au Mali pour repasser le bébé aux africains

Hollande va au Mali pour tenter se de refaire une petite santé en matière de popularité et surtout pour mettre fin rapidement à l’engagement des troupes françaises. Il lance donc un appel aux Etats africains pour leur repasser le bébé ; ce qui permettra aux forces françaises de se replier. Objectif : éviter de se retrouver seul dans le bourbier terroriste du Sahel ; cela d’autant plus que la France n’est réellement soutenue par aucune grande nation. Le président François Hollande se rend samedi au Mali, où il va lancer un appel aux pays africains pour participer à la force d’intervention et prôner le « dialogue politique », après trois semaines d’intervention de l’armée française pour en chasser les groupes islamistes armés. « Je vais au Mali demain pour dire à nos soldats tout notre soutien, tous nos encouragements, toute notre fierté, je vais au Mali demain pour permettre que les Africains viennent le plus vite possible nous rejoindre et leur dire que nous avons besoin d’eux pour cette force internationale », a déclaré François Hollande.   »Je vais au Mali aussi pour qu’il y ait un dialogue politique qui puisse permettre que le Mali, après avoir chassé les terroristes, puisse retrouver la stabilité et l’esprit de concorde », a-t-il ajouté.  Le président français sera accompagné du ministre des Affaires Etrangères, Laurent Fabius, du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian et du ministre chargé du Développement, Pascal Canfin.  La présidence malienne a précisé sur son compte Twitter que François Hollande sera accueilli à l’aéroport de Sevaré (centre) par le président par intérim Dioncounda Traoré.  Puis « les deux chefs d’Etat se rendront à Tombouctou », où ils visiteront les forces franco-maliennes, la célèbre mosquée Djingareyber et le centre Ahmed Baba où sont conservés des dizaines de milliers de précieux manuscrits, dont certains ont été incendiés par les combattants islamistes, avant de rentrer à Bamako pour un déjeuner de travail.  L’intervention française avait débuté le 11 janvier au lendemain d’une offensive en direction du sud du Mali menée par les groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda qui occupaient le Nord depuis dix mois. La veille ils avaient pris la ville de Konna (centre).  Les choses se sont accélérées le week-end dernier avec la reprise, coup sur coup, de Gao et Tombouctou et l’arrivée mardi soir de soldats français à l’aéroport de Kidal, ville tenue par des rebelles touareg et des islamistes dissidents s’affirmant « modérés ».  

 

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

 

 

On monétarisé la pollution, du coup ArcelorMittal va recevoir 19 millions pour non pollution du site de Florange. Une aberration évidemment car l’acier sera fabriqué ailleurs en Asie par exemple où on est moins regardant sur les atteintes à l’environnement.Le site Notre planète.info révèle que le géant franco-indien pourrait continuer à engranger des millions d’euros grâce à la fermeture définitive des hauts-fourneaux lorrains. Pendant que les métallos de Florange remuent ciel et terre pour sauver leur emploi et que l’Etat indemnise leurs périodes de chômage partiel, ArcelorMittal, qui a prévu de fermer les hauts-fourneaux du site en mars 2013, devrait tout de même percevoir ses quotas de permis à polluer. « Lorsqu’une installation a cessé ses activités, l’État membre concerné ne lui délivre plus de quotas d’émission à compter de l’année suivant la cessation des activités », précise en effet la Commission européenne, citée par le site d’informations. Le nouveau plan d’allocation français, pour la période 2013-2020, prévoit ainsi, selon Notre planète.info, un quota gratuit de 3,8 millions de tonnes de CO2 de permis à polluer pour le site de Florange. A environ 5 euros la tonne sur le marché des droits à polluer, cela représente un joli pactole de 19 millions d’euros ! Florange fait en effet partie, explique le site, des quelque 10.000 sites industriels européens qui ont été intégrés au système d’échange de quotas d’émissions de CO2 mis en place en 2005. En fin d’année, si le site industriel dépasse son quota, il doit acheter des « droits à polluer » sur le marché carbone pour compenser ses émissions. Si, à l’inverse, il n’utilise pas tout son quota, il peut engranger et accumuler ses permis d’émissions pour ensuite les revendre à des entreprises qui ont dépassé leurs propres quotas. D’après Notre planète.info, ArcelorMittal n’a pas dépassé son quota annuel en 2009, 2010 et 2011, économisant plusieurs millions de tonnes de CO2. Et ce, en partie grâce à la mise en sommeil de ses hauts-fourneaux de Florange ! Au niveau mondial, ArcelorMittal serait même la compagnie qui a accumulé le plus grand excédent de quotas.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

CFDT : la CGT responsable pour Goodyear

CFDT :  la CGT responsable pour Goodyear

Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a estimé vendredi sur LCI que la CGT porte une responsabilité dans le projet de fermeture du site de Goodyear à Amiens Nord, faute d’avoir négocié un accord pour sauver l’emploi. « La direction et l’organisation syndicale majoritaire (la CGT, ndlr), porte une responsabilité dans ce qui se passe, (…) à part égale », a déclaré Laurent Berger qui reproche à la CGT « une « position dogmatique ». « On voit bien que quand il y a des dogmes, et pas de volonté de sauver l’emploi, on va dans le mur », a-t-il dit. Jeudi, la direction de Goodyear France a annoncé son projet de fermer son site d’Amiens Nord menaçant près de 1200 emplois. En 2007, les accords conclus entre syndicats et direction ont permis le maintien du site voisin d’Amiens sud où travaille un millier de salariés.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

Renault: Montebourg pour l’accord de compétitivité

Renault: Montebourg pour l’accord de compétitivité

Changement d’attitude de Montebourg qui avait fustigé le plan de PSA ; il soutient le plan de compétitivité de Renault voulu par la direction. « Ce sont des propositions qui peuvent être discutées mais qui me paraissent être, par rapport aux risques que court l’industrie française et européenne, des efforts modérés », déclare le ministre, interrogé sur le gel des salaires, la plus grande productivité et la mobilité prônée par l’entreprise.   »Je préfère des efforts modérés, mais des efforts certes, plutôt que de faillites, des fermetures et des pertes de substance industrielle », explique-t-il, ajoutant que 70 entreprises sous-traitantes sont « en procédure de faillite devant les tribunaux de commerce ».  Et il conseille aux partenaires sociaux de « s’emparer de toutes les possibilités de cet accord pour négocier des contreparties sérieuses, des éléments de protection supplémentaires ».   »Je compte sur les partenaires sociaux pour arriver à trouver un équilibre dans les concessions réciproques parce que dans les accords, généralement, tout le monde a raison et tout le monde a tort », insiste-t-il.  Le projet de la direction porte notamment sur un gel des salaires cette année et une augmentation du temps effectif de travail. Le constructeur prévoit la suppression nette de 7.500 emplois en France d’ici à 2016, a priori sans fermeture de sites ni licenciements.  Arnaud Montebourg réaffirme sur ce dernier point que « le gouvernement sera d’une fermeté inflexible: pas de fermeture de site industriel, maintien des outils de production, refus des licenciements et (…) une relocalisation d’activités productives sur le sol français de l’alliance Renault-Nissan ».  Il renouvelle également son appel au PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, à un effort « important et significatif » de réduction de son salaire, « à la mesure de ce que la cohésion de l’entreprise nécessite ».

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

 

 

Changement d’attitude de Montebourg qui avait fustigé le plan de PSA ; il soutient le plan de compétitivité de Renault voulu par la direction. « Ce sont des propositions qui peuvent être discutées mais qui me paraissent être, par rapport aux risques que court l’industrie française et européenne, des efforts modérés », déclare le ministre, interrogé sur le gel des salaires, la plus grande productivité et la mobilité prônée par l’entreprise.   »Je préfère des efforts modérés, mais des efforts certes, plutôt que de faillites, des fermetures et des pertes de substance industrielle », explique-t-il, ajoutant que 70 entreprises sous-traitantes sont « en procédure de faillite devant les tribunaux de commerce ».  Et il conseille aux partenaires sociaux de « s’emparer de toutes les possibilités de cet accord pour négocier des contreparties sérieuses, des éléments de protection supplémentaires ».   »Je compte sur les partenaires sociaux pour arriver à trouver un équilibre dans les concessions réciproques parce que dans les accords, généralement, tout le monde a raison et tout le monde a tort », insiste-t-il.  Le projet de la direction porte notamment sur un gel des salaires cette année et une augmentation du temps effectif de travail. Le constructeur prévoit la suppression nette de 7.500 emplois en France d’ici à 2016, a priori sans fermeture de sites ni licenciements.  Arnaud Montebourg réaffirme sur ce dernier point que « le gouvernement sera d’une fermeté inflexible: pas de fermeture de site industriel, maintien des outils de production, refus des licenciements et (…) une relocalisation d’activités productives sur le sol français de l’alliance Renault-Nissan ».  Il renouvelle également son appel au PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, à un effort « important et significatif » de réduction de son salaire, « à la mesure de ce que la cohésion de l’entreprise nécessite ».

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

 

 

L’Etat en « faillite financière » pour 63% des Français

L’Etat en « faillite financière » pour 63% des Français

 

 

Dans le débat quasi théologique sur la faillite ou pas de l’Etat, les français ont tranché ; 63% des français estiment en effet que l’Etat est bien en situation de faillite. Finalemenet une bonne évaluation de la situation même si juridiquement l’Etat n’est pas en cessation de paiement tant qu’il peu emprunter pour fiancer ses dépenses. Près de deux Français sur trois (63%) sont d’accord avec l’idée qu’ »en France, l’Etat est en faillite », selon un sondage de l’institut CSA pour BFMTV publié jeudi. Interrogés sur le fait de savoir s’il est « justifié de dire que l’Etat est en faillite », 45% des sondés ont estimé « plutôt justifiée » une telle affirmation, tandis que 17% l’ont jugée « tout à fait justifiée », soit un total de 63%.  A l’inverse, 33% des personnes interrogées se sont dites en désaccord avec cette idée. Pour 25%, elle n’est « pas vraiment justifiée », et elle ne l’est « pas du tout » pour 8%. 5% ne se sont pas prononcés.  Pour décrire, selon ses dires, la situation prévalant en 2007, et non la situation actuelle, le ministre du Travail Michel Sapin avait approuvé dimanche la formule de François Fillon utilisée cette année-là et parlant d’un Etat « en faillite ».

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

Réforme bancaire à minima pour la France et l’Allemagne

Réforme bancaire à minima pour la France et l’Allemagne

 

La crise financière passée, on oublie les bonnes intentions. C’est tout juste si on se souvient qu’il a fallu que la BCE prêt 1000 milliards aux banques européennes. Tout comme la France, l’Allemagne se prépare à réformer à minima son système bancaire, une orientation qui sape de facto les propositions de la commission Liikanen chargée de redéfinir les règles du secteur en Europe. Selon un projet de loi que Reuters a pu consulter mercredi, et qui sera présenté en conseil des ministres le mois prochain, les banques allemandes seront contraintes d’isoler leurs activités pour compte propre si elles représentent plus de 100 milliards d’euros au bilan ou 20% du bilan total de l’établissement concerné. Les banques du pays devraient parallèlement être autorisées à mener des activités de trading pour le compte de leurs clients ainsi que des activités de tenue de marché (market making) sans pour autant avoir à les cantonner dans une filiale dédiée. Ces nouvelles dispositions pourraient entrer en vigueur en janvier 2014 mais les banques devraient bénéficier d’un délai supplémentaire, jusqu’en juillet 2015, pour procéder à la séparation effective de leurs activités à risque. L’architecture du projet de loi allemand ressemble à celle du texte dévoilé par la France mi-décembre. Le Parlement français doit examiner le texte à partir du 12 février. Et Les positions de Paris et Berlin sur la réforme bancaire, même si elles doivent encore être avalisées par les parlements allemand et français, sont plus souples que celles de la commission présidée par Erkki Liikanen, le gouverneur de la Banque de Finlande chargé en janvier 2012 de formuler des propositions pour mieux encadrer le secteur bancaire européen. Ses recommandations, plus strictes en matière de séparation des activités des établissements de crédit – et en ce sens proches du Glass Steagall Act américain de 1933 – servent en principe de cadre de réflexion en vue de l’élaboration d’une directive européenne. La France et l’Allemagne ont néanmoins décidé de prendre les devants, manifestement sensibilisées par la nécessité de protéger le modèle de « banque universelle » incarné par BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole et Deutsche Bank.

1...369370371372373374



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol