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Sondage : ras-le-bol fiscal pour 83% des français

Sondage : ras-le-bol fiscal pour 83% des français

83% des Français éprouvent un sentiment de «ras-le-bol fiscal» selon un sondage IFOP pour les « Familles plumées ». Un sentiment partagé par 95% des sentiments de droite, mais également 80% des inactifs et 79% des retraités. C’est la même condamnation pour la politique familiale. Le collectif dit des Familles plumées, qui organise dimanche une cinquantaine d’actions dans toute la France, a rendu public samedi les résultats d’une enquête commandée auprès de l’IFOP sur la perception des Français de la politique familiale du gouvernement.  81% des Français jugent ainsi que la politique fiscale menée par le gouvernement pénalise fortement les familles. À noter que parmi ces Français, 68% sont des sympathisants de gauche.  La réforme du congé parental portée par Najat Vallaud-Belkacem, lorsqu’elle était ministre du Droit des femmes, n’est également guère populaire. Depuis cet été, pour durer trois ans, le congé parental doit être partagé entre les deux parents. Un parent ne peut prendre que deux ans maximum de congé parental. Il s’agissait pour la ministre d’encourager les hommes à prendre ce type de congé. 74% des Français jugent ainsi «plus facile» pour un couple de parents que «l’un des deux prennent un congé parental de 3 ans». Ici aussi, les mécontents comptent 71% de sympathisants de gauche et 91% de droite.  77% des Français pensent également que le gouvernement va poursuivre sa réforme des allocations familiales. Le gouvernement a en effet décidé que le montant des allocations familiales serait réduit à partir d’un certain seuil de richesse (6000 € par mois pour un couple de parents avec deux enfants, par exemple).

 

Internet : payer pour supprimer la pub sur Google

Internet : payer pour supprimer la pub sur Google

 

Il faudra peut-être payer pour supprimer la pub sur Google. L’expérimentation est en cours chez Google ‘Google Contributor). Plutôt que de financer les sites grâce aux publicités proposées via AdSense, Google teste comme alternative  de supprimer  les annonceurs. «Aujourd’hui, Internet est surtout financé grâce à la publicité en ligne», peut-on lire sur la page dédiée à Google Contributor. «Mais que feriez-vous s’il existait un moyen de soutenir directement les créateurs des sites que vous visitez tous les jours?» Si un internaute choisit de participer au programme, des messages de remerciement s’affichent à la place des publicités. À chaque visite sur un site partenaire, un peu de l’argent issu de cet abonnement est versé à l’éditeur du contenu consulté. Les transactions se font via leur compte AdSense, reçues au même titre que les revenus publicitaires. Google perçoit par ailleurs un petit pourcentage sur la somme versée chaque mois par les internautes. Avec ce projet, Google espère surtout séduire les internautes récalcitrants de la publicité en ligne. Il répond aussi aux inquiétudes des sites Internet qui doivent faire face à la popularité croissante des logiciels permettant de bloquer la réclame, les privant d’une source importante de revenus. Certains testent différentes options pour endiguer le phénomène: des formules d’abonnement ou des messages de remontrance affichés à la place des publicités bloquées. Sans grand succès. Or, le rejet de la publicité en ligne pose aussi problème à Google, qui vit largement de la vente d’espaces publicitaires et de mots clés. Avec Contributor, Google tente de responsabiliser les internautes et joue la carte de la simplicité: il propose un abonnement valable pour une dizaine de sites à la fois, plutôt que pour un seul. Google Contributor est aussi symptomatique de la progression de la culture du don sur Internet. Outre le succès des plateformes de financement participatif, comme Kickstarter ou Ulule, d’autres projets pour récompenser les créateurs en ligne ont vu le jour ces dernières années. YouTube, propriété de Google, a annoncé au début de l’année une option permettant aux internautes de faire des dons financiers à des auteurs de vidéos. Un principe similaire à celui du site français Tipeee, qui récompense les créateurs sous forme de pourboires numériques.

 

Baisse des taux d’intérêt en Chine pour relancer la croissance

Baisse des taux d’intérêt en Chine pour relancer la croissance

 

La croissance faiblit nettement en Chine à tel point que   l’indice PMI HSBC/Markit du secteur manufacturier a enregistré une croissance nulle en novembre à 50,0 contre 50,4 en octobre, Du coup la Chine a décidé de baisser ses taux d’intérêt.  La banque centrale chinoise a en effet annoncé vendredi, pour la première fois depuis juin 2012, une baisse de ses taux d’intérêt: une mesure qui doit permettre de revigorer la deuxième économie mondiale. Cette baisse des taux de référence sur les dépôts et les emprunts à un an, respectivement de 0,25 et 0,40 point de pourcentage, sera effective à compter de samedi, a précisé la Banque populaire de Chine (PBOC) sur son site internet. Décidée en réaction au ralentissement de la croissance et aux risques déflationnistes, la mesure verra le taux de dépôt à un an ramené à 2,75% et celui de la rémunération de l’épargne à 5,6%, selon la banque centrale. « C’est un signal fort car Pékin s’est toujours opposé aux interventions sur les taux pour éviter une bulle » immobilière, a commenté un analyste de Saxo Banque, Andrea Tueni. Sur juillet-septembre 2014, la progression du produit intérieur brut (PIB) chinois s’est établie à 7,3%, son plus bas niveau depuis le premier trimestre 2009, lestée notamment par le ralentissement immobilier. Nombre d’analystes prévoient pour 2014 une croissance chinoise de 7,3% (contre 7,7% en 2013), soit la plus faible performance du pays depuis près d’un quart de siècle.

 

35 heures : signal négatif pour l’emploi (Macron)

35 heures : signal négatif pour l’emploi (Macron)

 

Le ministre de l’économie  a estimé que la réforme des 35 heures   a « créé un signal négatif pour les entreprises étrangères qui voulaient investir en France », et ce malgré une durée effective du travail dans le pays qui dépasse ce volume horaire affiché, et une productivité qui a augmenté de 2 à 3%.  Le ministre avait déjà exprimé une position similaire dans une interview au magazine Le Point, parue en août dernier. Au moment de la tenue de l’entretien, il n’avait pas encore été nommé ministre. Avec moins de précautions, il déclarait « nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles de temps de travail et de rémunérations, à la condition explicite qu’il y ait un accord majoritaire avec les salariés ». Ces accords de branches ou d’entreprises pour aménager le temps de travail sont déjà possibles. Ils ont été prévus dans l’accord national interprofessionnel sur la compétitivité et la sécurisation de l’emploi de janvier 2013. Mais ce dispositif ne s’adresse qu’aux entreprises en difficulté, et est limité dans le temps, à deux ans maximum. « Le cadre légal n’est pas suffisant parce que salariés comme entreprises ont besoin de plus de souplesse. Qui serions-nous pour dire à quelqu’un qui souhaite travailler plus que c’est impossible? », s’est interrogé le ministre devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur le temps de travail.

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Une prime d’activité pour les bas salaires

Une prime d’activité pour les bas salaires

 

Une prime d’activité pour aider les bas-salaires et remplacer L e RSA activité et la prime pour l’emploi. Ses modalités précises seront définies avec les parlementaires et les partenaires sociaux.   Le revenu de solidarité active (RSA) activité et la prime pour l’emploi (PPE), dont François Hollande avait annoncé en août la fusion, seront remplacés. A partir du 1er janvier 2016, le gouvernement va les substituer par « une prime d’activité » réservée aux bas salaires, a annoncé Matignon mardi. La prime sera versée chaque mois aux personnes gagnant moins qu’ »environ » 1,2 fois le Smic et dont les revenus du ménage ne dépassent pas un certain montant, a indiqué le cabinet de Manuel Valls. La mesure, fait valoir Matignon, permet de soutenir un certain nombre de salariés modestes, qui ne bénéficiaient pas de la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu.  Selon Matignon, le montant alloué à cette nouvelle prime sera voisin des sommes jusque-là allouées à la PPE et au RSA activité, c’est-à-dire un peu moins de 4 milliards d’euros par an. Contrairement au RSA activité, réservé aux plus de 25 ans (ou moins de 25 ans avec un enfant à charge), la « prime d’activité » bénéficiera aux moins de 25 ans. Toutefois, son montant pourrait varier pour les jeunes. Une loi sera adoptée d’ici fin 2015 pour mettre en place la mesure, qui précisera le nombre de bénéficiaires et les montants détaillés des revenus pour en bénéficier.

 

Plus de notes à l’école: 73 % des parents pour …. On rêve !

Plus  de notes à l’école: 73 % des parents pour …. On rêve !

 

 

Un  sondage révèle sans doute l’un des facteurs explicatifs de la crise spécifique en France et la perte de tout repère  notamment concernant la valeur  de travail et cela commence à l’école. Un sondage fait apparaître que 73 % des parents veulent moins de notes et même pas de note du tout car les élèves sont traumatisés par cette forme d’évaluation ! On croît évidemment rêver ! Pourtant notre système scolaire est en pleine décomposition dans les classements internationaux et on propose pourtant encore davantage de laxisme. Pourquoi même ne pas supprimer toute évaluation ? Et pourquoi pas les programmes eux mêmes ?  La ministre de l’Éducation Najat Vallaud-Belkacem a même estimé samedi que l’évaluation «ne reposait aujourd’hui sur aucun fondement scientifique». Une déclaration qui, elle, est irresponsable et de nature scientiste ! Selon ce sondage OpinionWay*publié mardi par l’Association de parents d’élèves du privé Apel, près de trois parents sur quatre (73%) y sont favorables. Une proportion qui monte à neuf parents sur dix (87%) quand les enfants sont scolarisés en ZEP.  Car les notes font peur. Environ 90% des parents se disent ainsi «inquiets» face à une mauvaise note (98% des parents d’élève en ZEP). Ils sont aussi environ trois parents sur quatre à juger qu’elle «fragilise l’estime de soi», qu’elle «donne le sentiment à l’élève qu’il est mauvais» ou encore qu’elle «décourage les élèves». Face à une mauvaise note, qu’ils n’arrivent pas toujours à décrypter, plus de la moitié des parents (56%) se sentent aussi démunis. Ces mêmes parents déclarent également «ne pas savoir quels points (du programme) devraient être à retravailler». Cette proportion monte à 74% des parents d’élèves au collège, à 73% des parents d’enfants scolarisés en ZEP et à 63% des familles d’élèves scolarisés dans le privé. Aujourd’hui, certains établissements testent une évaluation sous forme d’appréciations, selon différents critères. Un enfant bon en maths par exemple peut avoir sur sa copie de calcul un petit sigle qui lui signale qu’il doit être vigilant sur l’orthographe ou la rédaction en général. Pas de mauvaise note à l’horizon, mais des repères pour mieux appréhender ses points faibles, comme ses points forts. . En octobre déjà, elle avait expliqué vouloir une nouvelle évaluation qui «encourage» les élèves «à apprendre et à progresser». Le débat ne doit pas être «caricaturé», avait-elle prévenu, habituée aux critiques. Elle souhaitait notamment qu’on ne lui fasse pas «un procès d’intention en laxisme». La conférence nationale présentera ses recommandations à la mi-décembre.

Dassault : des millions baladeurs en cash pour magouiller

Dassault : des millions baladeurs en cash

De l’argent de poche pour Dassault pour sans doute arroser notamment ses  électeurs et son parti. D’ après France info, le comptable suisse de l’industriel a confirmé lui avoir porté au moins 53 millions en liquide entre 1995 et 2012.   Le rendez-vous est fixé pas loin de l’Arc de Triomphe. Le comptable Gérard Limat a demandé à la société suisse Cofinor une remise de 100 à 500.000 euros. Un mystérieux coursier arrive, un sac en plastique à la main. A l’intérieur, des liasses de billets de 100. Le coursier reconnait le comptable qu’on lui a décrit comme un grand chauve à lunettes. Il a aussi un nom de code : Romano. Le sac change de main. Gérard Limat file au rond-point des Champs-Elysées, dans le bureau de serge Dassault. « Je posais le sac dans un coin et on parlait d’autre chose » raconte-t-il aux enquêteurs. La gêne qu’il exprime  ne l’a pas empêché de répéter ce manège quatre ou cinq fois par an, pendant quinze ans, sans poser de questions. L’argent vient de comptes au Luxembourg et de fondations au Liechtenstein. Au moins 53 millions d’euros ont ainsi été livrés depuis 1995 dont 7 millions et demi sur la période de 2008 à 2012. Et si le cash ne permet pas de remonter jusqu’aux bénéficiaires, des ordres de virement ont été retrouvés. Du Luxembourg vers des habitants de Corbeil-Essonnes, certains déjà connus comme des agents d’influence pour les élections.

Burkina Faso : un civil pour la transition

Burkina Faso : un civil pour la transition

 

 

Finalement après bien des hésitations de l’armée, c’est un civil qui a été choisi pour conduire la transition qui doit mener aux élections au Burkina. C’est une victoire de la jeunesse qui ne voulait pas se faire voler sa révolution après tant d’années de dictatures «  démocratiques »  par les militaires. Une victoire auusi pour toute l’Afrique où les vieux chefs d’Etat seront moins tentés de manipuler les constitutions pour se maintenir pendant des décennies au pouvoir. Une condition nécessaire pour le développement, une autre étant la lutte contre la corruption.  Seize jours après la chute du président Blaise Compaoré, le Burkina Faso a un nouveau chef d’Etat civil. A l’issue d’ultimes tractions, les civils et les militaires se sont accordés sur le nom du diplomate Michel Kafando pour diriger la transition qui doit conduire le pays à des élections en novembre 2015. Cette annonce est intervenue quelques heures après la signature officielle à Ouagadougou de la « charte de transition », qui doit servir de feuille de route au pays pendant la prochaine année. Samedi, le lieutenant-colonel Isaac Zida, à la tête du pays depuis la prise de pouvoir de l’armée, avait consenti au rétablissement la Constitution burkinabaise, suspendue après l’éviction de Blaise Compaoré à la suite d’une révolte populaire, après 27 ans de règne.

 

Sondage Fillon en 2017 : seulement 8% des Français pour

Sondage Fillon en 2017 : seulement  8% des Français pour

 

Dans la bataille Juppé-Sarkozy, Fillon était déjà marginalisé mais cette fois il coule avec l’affaire de l’entretien avec Jouyet. Une large majorité de Français (58%) ont une mauvaise opinion de François Fillon après les révélations de l’affaire Jouyet/Fillon et seulement 8% souhaitent le voir représenter l’UMP à la présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa à paraître ce dimanche dans Le Parisien-Aujourd’hui en France. Dans cette enquête, seules 42% des personnes interrogées ont une bonne opinion de l’ancien Premier ministre, en lice pour la présidence de l’UMP. Chez les sympathisants de droite globalement, les bonnes et mauvaises opinions sont strictement équilibrées mais chez les seuls sympathisants UMP les bonnes opinions dominent (58% contre 42%). Les sympathisants de gauche sont en revanche 70% à avoir une mauvaise opinion de l’ex-chef de gouvernement, contre 29% de bonnes. Avec seulement 8% de Français qui souhaitent le voir représenter l’UMP en 2017, Fillon arrive en 4e position derrière Alain Juppé (38%), Nicolas Sarkozy (27%) et Bruno Le Maire (11%). Son score tombe à 6% chez les sympathisants de droite, derrière Nicolas Sarkozy (48%), Alain Juppé (28%), Bruno Le Maire (9%). Les sympathisants UMP sont encore plus sévères, seulement 4% souhaitant le voir représenter leur parti à la présidentielle, tandis que Nicolas Sarkozy arrive largement en tête (57%) devant Alain Juppé (28%) et Bruno Le Maire (8%). Ce sondage a été réalisé par internet les 13 et 14 novembre auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Sondage – Fillon – Jouyet : c’est cuit pour Fillon pour 58% des Français

Sondage – Fillon – Jouyet : c’est cuit pour Fillon pour 58% des Français

 

Finalement la manœuvre de l’Elysée aura réussi à discréditer un candidat de L’UMP : François Fillon. (Pour couler  Sarkozy l’Elysée compte sur « l’indépendance » la justice !).  Plus de la moitié des Français (56%) considèrent que l’avenir politique de François Fillon est compromis après les révélations de l’affaire Jouyet/Fillon, selon un sondage Odoxa pour iTélé.  Ils sont 43% à penser le contraire, 1% ne se prononcent pas. Les sympathisants de droite se montrent plus sévères que ceux de gauche: ils sont 62% à estimer que l’avenir politique de l’ancien Premier ministre est remis en question, contre 52% des sympathisants de gauche.  Deux journalistes du Monde ont fait sensation la semaine dernière en publiant des déclarations du secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet, selon lesquelles M. Fillon lui aurait demandé de « taper vite » (judiciairement parlant) sur l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy pour ne pas « le laisser revenir ». 55% des Français estiment par ailleurs que M. Jouyet doit démissionner (30% à gauche et 76% à droite). Interrogés sur l’indépendance de la justice, 59% des sondés jugent qu’elle n’est ni plus ni moins indépendante sous François Hollande que sous son prédécesseur Nicolas Sarkozy. Ils sont 22% à juger qu’elle est plus indépendante aujourd’hui, et 19% à penser le contraire.

Croissance mondiale -G20 : la faute à l-Europe pour Obama

Croissance mondiale -G20 : la faute à l-Europe pour Obama

 

Une nouvelle alerte des Etats Unis à l’égard de la situation de l’Europe engluée dans une croissance atone. Obama dit clairement que les Etats-Unis ne peuvent seuls soutenir l’activité mondiale et réclame en fait des mesures significatives pout dynamiser la croissance en Europe. Le président américain, a appelé le G20 à agir pour la croissance, affirmant que les Etats-Unis ne pourraient pas porter seuls la croissance mondiale.  « Ces dernières années, les Etats-Unis ont redonné du travail à des gens plus que toutes les économies développées ensemble. Mais on ne peut pas s’attendre à ce que les Etats-Unis portent l’économie mondiale sur leur dos« , a déclaré Barack Obama dans un discours en marge du G20 à Brisbane, samedi et dimanche. « Ici donc, à Brisbane, le G20 a la responsabilité d’agir, de stimuler la demande, d’investir davantage dans les infrastructures et de créer des emplois pour les gens de tous nos pays », a-t-il ajouté. L’économie mondiale est en ralentissement et parmi les grandes zones économiques, seuls les Etats-Unis montent en puissance, tandis que l’Europe et le Japon stagnent, et que les pays émergents connaissent des fortunes diverses. L’Australie, qui assure la présidence tournante du G20, a érigé au rang de priorité l’engagement des membres de cette organisation qui représente 85% de la richesse mondiale à prendre des mesures devant permettre d’augmenter la valeur du Produit intérieur brut (PIB) de 2% supplémentaires d’ici à 2019, ce qui signifie accroître le PIB mondial de plus de 2.000 milliards de dollars. Mais de nombreux experts ne sont pas convaincus que ce résultat pourra être atteint compte tenu de la croissance décevante en Europe et au Japon, et du ralentissement observé dans les pays émergents, à commencer par la Chine, deuxième économie mondiale. Le secrétaire américain au Trésor, Jacob Lew, a estimé mercredi que le « statu quo en Europe » n’avait pas permis d’atteindre les objectifs de croissance « forte » et « durable » définis par la communauté internationale au début de l’année. Il avait déclaré que le monde ne pouvait « pas se permettre une décennie perdue en Europe », soulignant que « des actions déterminées des autorités nationales et des institutions européennes étaient nécessaires pour réduire le risque que la région ne s’enfonce dans un déclin plus profond ». La croissance de la zone euro ne devrait pas dépasser 0,8% cette année et 1,1% en 2015, selon les prévisions d’automne de la commission européenne, qui contrastent avec la robustesse de l’économie américaine. Pour le seul troisième trimestre, le Produit intérieur brut (PIB) américain a progressé de 3,5% en rythme annuel.

Optimisation fiscale pour les banques, les multinationales…. et les parlementaires

Optimisation fiscale pour les banques, les multinationales…. et les parlementaires

 

Optimisation fiscale, euphémisme pour parler en fait de fraude ; la pratique généralisée d’abord des multinationales qui payent très peu dimpôts en France par le biais de filiales implantées à l’étranger. En clair, on externalise les profits et on internalise les pertes. Il suffit pour cela de surfacturer les  prestations des filiales étrangères destinées à la France et à l’inverse de sous facturer les prestations françaises pour les filiales étrangères et en toute légalité. Pour rendre les choses plus opaques on se sert auusi de filiales dans les paradis fiscaux grâce à des montages sophistiqués (dans certains cas des filiales qui ne sont que des boites  lettres). C’est la même démarche pour les banques du monde entier y compris pour les « exemplaires » banques françaises. Celles-ci réalisent plus de 25% dans ces paradis fiscaux. Cela pour là aussi permettre l’optimisation fiscale des clients , des banques elles-mêmes, auusi pour spéculer en toute tranquillité et éviter la régulation européenne. Finalement les parlementaires épinglés récemment sont dans le sens de l’économie. Au détail près : ils sont censés représenter l’intérêt général du pays ! Ce ne sont pas les mesurettes décidées qui mettront un terme à  ces pratiques. La sphère financière dirige l’ économie et la politique. Témoin le choix du président de la commission européenne, Jean Claude Juncker, ancien président du Luxembourg, pays  spécialiste de l’optimisation fiscale et dont  le scandale vient récemment d’être à nouveau dévoilé. L’hypertrophie financière qui étouffe l’économie réelle devient complètement incontrôlable et pourrait même déclencher une nouvelle crise fatale à l’économie. « L’ennemi c’est la finance » disait en son temps Hollande, mais cela c’était avant !  

 

 

Trois parlementaires épinglés pour leurs comptes à l’étranger

Trois parlementaires épinglés pour leurs comptes à l’étranger

 

Des comptes plus ou moins déclarés mais surtout qui posent  la question de savoir pourquoi des élus nationaux ont besoin de comptes dans d’autres pays que la France. Curieux en effet d’être le représentant de l’intérêt général et de placer une partie de son argent en dehors des frontières ? Un signe sans doute de la décomposition du système politique et de son mode de reproduction.  Ces révélations concernent Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes et ancien maire de cannes, Lucien Degauchy , député de l’Oise, et Bruno Sido, sénateur et président du Conseil général de Haute-Marne.  « Il existe un doute sérieux quant à l’exhaustivité, l’exactitude et la sincérité de leurs déclarations de situation patrimoniale », a explique la HATVP dans un communiqué. Selon L’Express, « le cas le plus lourd » serait Bernard Brochand. Le compte du député aurait été ouvert il y a plus de 40 ans. Son solde dépasserait le million d’euros. En avril dernier, Libération avait rapporté qu’un juge cannois avait demandé la levée de son immunité parlementaire, afin de l’entendre dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour corruption. Bruno Sido a quant à lui confié à Mediapart (article payant) que 150.000 euros dormiraient sur son compte, ouvert au milieu des années 1990 par son père et dont il aurait hérité. L’élu assure qu’il a entamé une procédure de régularisation en 2013, et qu’il a déjà payé « 26.000 ou 28.000 euros de pénalités ». Lucien Degauchy, lui, avait reconnu  »des oublis et des écarts » dans Le Monde du 23 octobre. Selon lui, la somme dissimulée serait comprise entre 138.000 et 148.000 euros, bien que Mediapart avance la somme de 200.000 euros. Ces trois parlementaires risquent jusqu’à 3 ans de prison et 45.000 euros d’amende.

Burkina : accord pour un gouvernement de transition

Burkina : accord pour un gouvernement de transition

 

Finalement il semble bien que la jeunesse burkinabaise ne se fera pas voler sa révolution par les militaires. En effet ces derniers ont été contraints par la rue d’accepter une transition civile avec un président provisoire qui ne pourra pas se présenter à élection. Une sorte de première victoire démocratique pour ce pays, pour sa jeunesse et ses couches moyennes émergentes qui n’en peuvent plus du sous-développement et de la dictature. .Une victoire aussi pour toute l’Afrique.   L’armée, les partis d’opposition, les représentants religieux et de la société civile ont entériné jeudi une charte fixant le cadre d’un gouvernement de transition au Burkina Faso, où le président Blaise Compaoré a démissionné à la suite d’un soulèvement populaire, après 27 ans à la tête du pays. L’autorité de transition, dont la mise en place a été approuvée à l’unanimité, permettra le retour des civils au pouvoir et le mènera à des élections qui se tiendront fin 2015. Le lieutenant-colonel Isaac Zida s’est proclamé chef de l’Etat le 1er novembre, à la suite de la démission et de la fuite de Blaise Compaoré. La semaine dernière, l’Union africaine a donné au Burkina Faso deux semaines pour rétablir les civils à la tête du pays faute de quoi il s’exposerait à des sanctions, même si, par la suite, la CDEAO (Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest) s’est prononcée contre l’application de sanctions internationales. « Aujourd’hui, cela a été la journée du compromis », a résumé Hervé Kam, du mouvement de la société civile « Balai citoyen ». « Les soldats et les civils s’accordent sur une transition civile. Les institutions de la transition seront dirigées par des civils». Le nouveau chef de l’Etat, qui ne pourra pas se présenter à des élections, sera désigné par un collège composé de huit dignitaires religieux et chefs traditionnels et cinq membres de l’armée, cinq militants de l’opposition et cinq représentants de la société civile.

Sondage -Valls : pas crédible sur le plan économique pour les petits patrons

  Sondage -Valls : pas crédible  sur le plan économique pour les petits patrons  

Valls n’est guère crédible sur le plan économique pour les petits patrons en dépit des discours enflammés de l’intéressé sur les entreprises. 18% seulement des petits patrons le soutiennent. Selon le dernier baromètre Fiducial, que Le Figaro dévoile en exclusivité, seuls 12 % des patrons de très petites entreprises (TPE) sont optimistes pour l’avenir de la France, le plus bas niveau jamais atteint depuis le lancement du baromètre en décembre 2000. La cote de Manuel Valls, qui ne cesse pourtant de leur déclarer sa flamme depuis des mois, est à peine meilleure: seuls 18 % des patrons de TPE ont confiance dans le premier ministre, un des plus bas scores réalisé pour un chef de gouvernement en quatorze ans. Les entrepreneurs ne croient plus aux promesses du gouvernement, à commencer par celle de maintenir le déficit à 4,3 % du PIB en 2015. Plus de 8 sur 10 parient sur un échec. Ce renoncement à l’objectif de revenir à 3 % l’an prochain va fragiliser «l’économie à moyen et long terme» pour 68 % des chefs d’entreprise interrogés, mais aussi «la position de la France au sein de l’Union européenne» (72 %). Plus de 9 sur 10 considèrent de surcroît que «les politiques menées depuis 2012 pour faire diminuer le chômage ne seront pas efficaces», pacte de responsabilité compris. Et ce, même si la moitié d’entre eux juge pertinente la baisse de 10 points de cotisations des entreprises prévue sur trois ans. Il faut dire que 46 % n’ont pas vu en 2014 la

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