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Sondage Départementales : le FN toujours en tête et débâcle pour la gauche

Départementales : le FN toujours en tête et débâcle pour la gauche

Encore un sondage qui confirme que le FN est nettement en tête pour les départementales. En effet  Le Front national figure en tête des intentions de vote (29%) pour le premier tour, selon un sondage CSA réalisé pour BFMTV indiquant aussi que l’on se dirige vers une faible participation. En fait ces chiffres pourtant catastrophiques pour le PS sont encore sous estimés du fait du record sans doute historique d’abstention ( près de 60%°). Or ce sont surtout les sympathisants de gauche qui vont s’abstenir. Du coup  la débâcle sera pire pour la gauche. Au premier tort la victoire sera celle du FN,  au second  celle de l’UMP grâce au report des voix  de gauche sur l’UMP ;à l’inverse le report des voix  de l’UMP sur le PS sera nettement plus faible ( autour de 50% environ). Aujourd’hui on prévoit que la gauche pourrait ne conserver que 20 départements sur 60 détenus actuellement mais en faiat le PS pourraat bien n’en garder qu’une dizaine. Un véritable tsunami politique.  Avec un tel chiffre, le FN double presque son score des cantonales de 2011: 15% au niveau national, 19% en moyenne là où il était présent. Le binôme « UMP et union de la droite » arriverait en deuxième position avec 25% d’intentions de vote, suivies du « PS et union de la gauche » avec 21%.  Le Front de gauche recueille 6% des intentions de vote, puis l’UDI-Modem avec 5%, Europe Ecologie Les Verts 2%. Le « total gauche » (PS et union de la gauche, EELV, Front de gauche) rassemble 33% des intentions de vote et le « total droite » (UMP et union de la droite, UDI-Modem, Divers droite) 35%. Le « potentiel de participation » s’élève d’autre part à 42%, autrement dit les Français qui « affirment être certains d’aller voter », portant, relève CSA, « l’abstention à 58%, ce qui constituerait un record pour ce type de scrutin ». La tentation du vote sanction paraît forte. 48% souhaite exprimer à l’occasion des départementales des 22 et 29 mars leur « insatisfaction vis-à-vis de l’action du président de la République et du gouvernement », alors qu’ils n’étaient que 39% dans ce cas pour les élections européennes de mai 2014 et 16% pour les municipales de mars de l’année dernière. 45% considèrent au contraire que leur vote « n’aura aucun rapport avec un jugement sur l’action du président de la République et du gouvernement ». Ils étaient 51% pour les européennes et 68% pour les municipales.

France Télévisions et Radio France : maintenir pour faire quoi ?

France Télévisions et Radio France : maintenir pour faire quoi ?

Comment qualifier ce qui caractérise  le service dit public, gaspillages, bureaucratie, paresse ; Une entreprise de 7 à 8°000 salariés ( 4 fois plus que d’autres  médias) pour les seules télés, avec des salaires de cardes démentiels, des superstructures dignes de l’ancienne union soviétique, et globalement des programmes aussi insipides que les autres. En plus le contribuable est soumis à la redevance alors qu’aujourd’hui les chaînes et radios publiques sosnt de moins en moins regardées et ou écoutées . certes quelques médias se distinguent France info, France 2 pour certaines émissions, France culture ;  pourtant globalement les médias publics sosnt peu différents des chaînes commerciales. Exemple depuis plusieurs jours France info publie une enquête sur ‘ « la bonne taille du pénis ». une vraie mission de service public évidemment ! Et pas du tout commerciale . Aujourd’hui l’info est diffusée par des centaines de médias audio-visuels, pourquoi conserver un  mastodonte public ( payant en plus) qui n’apporte globalement pas davantage  que les supports privés ( à quelques exceptions près). En outre il fauta surtout prendre en compte le développement du numérique  surtout d’internet. qui diffuse mieux, plus vite et moins cher  l’info et sur tous les supports. On objectera que la mission de service public est essentielle. Mais précisément n’y a-t-il pas confusion entre le concept de service public, d’entreprise public et le statut du personnel. Dans ce domaine comme dans d’autres, le rôle de l’Etat est d’assurer sa tâche régalienne,  de réguler pour tirer les programmes vers le haut , les rendre plus compétitifs aussi et non de faire tout  lui-même. Bref France télévisions et Radio France   comme nombre de services  publics , c’est trop cher, trop bureaucratique et pas assez créatif. A moins évidemment que le pouvoir en place n’ait besoin de medias dociles pour diffuser la voix de son maître.  Le gouvernement pour la télé a donc fixé mercredi les missions du prochain président de France Télévisions, se basant notamment sur le rapport de Marc Schwartz, l’ex-directeur financier de France Télévisions. Le futur président du groupe public devra notamment être plus audacieux dans la programmation, mais avec un budget resserré.  La future direction de France Télévisions, dont le nouveau président sera nommé le 22 mai, est prévenue. Le prochain mandat sera très difficile. En s’appuyant sur le diagnostic sévère dressé par Marc Schwartz, ex-directeur financier de France Télévisions, le gouvernement a livré sa feuille de route mercredi. Pas d’annonces concrètes pour le moment mais les trois ministres concernés, Fleur Pellerin (Culture), Emmanuel Macron (Economie) et Michel Sapin (Finances), ont indiqué le chemin à suivre. Parmi ces annonces, être plus audacieuse dans les programmes, attirer un public jeune, promouvoir la culture ou encore développer le numérique et réformer France 3. Cependant, quelques suggestions de Marc Schwartz n’ont pas été retenues par les trois ministres. L’ex-directeur financier de France Télévisions parlait de la création d’une chaîne d’info en continu, ou encore de revenir à la pub après 20 heures. Pour le moment, il n’en est pas question. autre piste proposée par le gouvernement : l’élargissement de l’assiette de la redevance. L’idée n’est pas nouvelle puisque François Hollande l’avait déjà formulée fin 2014. Elle a déjà augmenté de trois euros cette année pour atteindre 136 euros. Ben voyons et pourquoi pas 1000 euros ?

 

Quelles compétences pour les départements ? On n’en sait rien !

Quelles compétences pour les départements ? On n’en sait rien !

C’est évidemment le paradoxe fondamental des élections départementales, on ne connait pas quelles seront les attributions ( pas étonnant que 30% ignorent tout de ces élections départementales qui ne sont que des cantonales rebaptisées). Au départ c’était clair:  l’économie aux régions, le social aux départements. Mais d’amendement en amendement on a  complètement détricoté le projet initial. Du coup ce sera comme avant le même empilage administratif et politique avec le communes, les communautés de communes, les syndicats intercommunaux, les métropoles ; les départements et les régions. Forcément dès lors qu’il y a des élus ils veulent des compétences, des budgets du personnel.  Le texte n’a cessé d’évoluer. Il a été quasi totalement détricoté par le Sénat. Pourtant Hollande avait annoncé la fin des départements d’ici 2020. Il n’en sera rien car le lobby des élus a obtenu gain de cause. Du coup la fameuse réforme territoriale est complètement dénaturée. Depuis son arrivée mi-février devant l’Assemblée nationale, le projet  continue de prendre des « coups » via les quelque 2.000 amendements déposés. Résultat, on s’éloigne de plus en plus de la cohérence de départ. Et le texte va davantage ressembler à un empilage de dérogations locales. Certes, comme prévu, dans un souci de clarification, la clause de compétence générale, qui permet à une collectivité d’intervenir dans tous les domaines, va disparaître pour les régions comme pour les départements. Mais, sous l’impulsion d’élus de tous bords, cet objectif est petit à petit rogné. « C’est une somme d’exceptions à la française que l’on surajoute. A un moment on s’occupe des élus de la montagne, à d’autres de ceux du littoral Tout cela aboutit à un maquis d’organisation territoriale qui sera probablement moins efficace qu’auparavant », constate le chef de file de l’UDI Philippe Vigier. « C’est une espèce d’imbroglio dans lequel personne ne se retrouve », renchérit son homologue de l’UMP Christian Jacob. Par exemple, alors que, initialement, il était prévu que la gestion des collèges soit transférée des départements aux régions, finalement, le Sénat en a décidé autrement en gardant la compétence des départements. Et les députés se sont ralliés à cette décision. En revanche les transports scolaires seront, eux, transférés aux régions… Difficile de comprendre. Idem pour la voirie urbaine qui va rester finalement de la compétence des départements alors qu’elle devait aller aux régions.  D’autres amendements votés par l’Assemblée ne vont pas simplifier les choses en accordant des dérogations aux départements sur le développement économique – notamment dans le domaine du tourisme -  au moins jusqu’en 2017… Alors que, initialement, ce sont les régions qui devaient piloter toute la politique économique. Mais, là aussi, la défense des intérêts locaux l’emporte… Et que dire des intercommunalités. Lundi 2 mars, les députés ont aussi multiplié les dérogations au relèvement prévu du seuil des intercommunalités de 5.000 à 20.000 habitants afin d’adapter « les périmètres à la diversité et à la réalité des territoires ». Il semble loin, le temps où le Président François Hollande présentait cette nouvelle organisation des compétences territoriales comme l’une des réformes structurelles dont la France avait besoin. C’était pourtant il y a à peine plus d’un an, en janvier 2014. Il annonçait aussi la fin des départements pour 2020 afin d’alléger le « mille-feuille » français.

 

Pour des détecteurs obligatoires de fumée politique

Pour des détecteurs obligatoires de fumée politique

 

Depuis des semaines on nous bassine avec la date fatidique du 8 mars ( on suppose qu’entendant  les feux d’appartements sont mis en stand-by ?). Une date qu’on semble attendre comme uen éclipse du soleil, un tremblement de terre ou pire la chute d’un énorme météorite sur la France. En plus il n’y en aurait plus en magasin, panique donc, reportages et démonstrations « technique » ( en fait il suffit de deux vis pour la fixation) ; A défaut de vraie information, cela permet de meubler les unes de journaux plutôt maigres en ce moment. Question,  de quoi va-ton parler après le 8 mars ? Une suggestion rendre obligatoire le détecteur de fumée politique au dessus de sa télé. Un marché très important qu’ on peut étendre à tous les moyens de communication audiovisuels  ( tablette, smartphone, portable,  des détecteurs mobiles pour es derniers°)  ; Du coup dès que le propos paraitra approximatif, démagogique ou mensonger une  fumée se dégage aussitôt des appareils. Un appareil qui ne sera pas réutilisable. De ce fait il faudra certainement prévoir des centaines  de détecteurs de fumée politique par ménage De quoi relancer l’économie.  A Bercy on déjà calculé que l ‘incidence de cette mesure qui serait de 0.5% sur le PIB. ( il faut se méfier c’est Sapin qui le dit !). Du coup en même temps, c’est le rééquilibrage des comptes publics qui devient compatible avec les exigences Bruxelles. La croissance relancée, le chômage vraiment inversé, les déficits supprimés, la réélection de Hollande redevient possible voire même indispensable. A moins évidemment que comme en 2012, Hollande ne se laisse tenter par des propos fumeux  du style : « l’ennemi c’est la finance ».

Manif en Russie pour Boris Nemtsov

Manif en Russie pour  Boris Nemtsov

Manif d’hommage et aussi de protestation après l’assassinat de Boris Nemtsov. La plus importante manif depuis la réélection de Poutine. Pour autant il faut relativiser la participation ( 70 000 d’après les organisateurs), pas très importante  car la culture d’opposition en Russie est faible.  En fait la Russie n’a jamais connu  une réelle   démocratie après le tsarisme, le communisme ( maintenant la dictature de Poutine). Cette opposition a par ailleurs été décapitée et  la plupart des médias sont sous la coupe du pouvoir. La  répression sous toutes ses formes étouffent la possibilité d’uen expression  d’opposition dont les leaders sont un à un émiliens.  Ils sont souvent venus en famille, avec les enfants. Ils brandissent des pancartes sous les fenêtres du Kremlin, à quelques pas de l’endroit où Boris Nemtsov a été abattu. « Il est mort pour l’avenir de la Russie », « Il s’est battu pour une Russie libre » ou « Ces balles sont pour chacun d’entre nous », pouvait-on lire sur certaines. Selon la police, 21.000 manifestants sont descendus dans les rues de Moscou ce dimanche pour rendre hommage à l’opposant assassiné. Les organisateurs en comptent 70.000. « Si nous pouvons mettre fin à la campagne de haine dirigée contre l’opposition, alors nous aurons une chance de pouvoir changer la Russie. Si nous n’y parvenons pas, nous allons au devant d’un conflit civil de grande ampleur« , a déclaré Guénnadi Goudkov, un des chefs de file de l’opposition. Si le chiffre donné par l’opposition est exact, il s’agit de la plus grande manifestation tenue en Russie depuis la réélection de Vladimir Poutine en 2012. 20.000 personnes ont défilé contre l’intervention en Ukraine en septembre dernier. A Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, plus de 6.000 personnes, selon la police, se sont rassemblées pour honorer la mémoire de l’opposant. « Je porte un drapeau ukrainien car Nemtsov s’est battu pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Et ils l’ont tué pour ça« , explique Vsevolod Nelaïev. Des centaines de personnes ont également rendu hommage à Boris Nemtsov en province, notamment à Ekaterinbourg, dans l’Oural, et Tomsk, en Sibérie.

 

Présidentielle 2017 : 21% pour Hollande

Présidentielle 2017 : 21% pour Hollande

Après la parenthèse du 11 janvier, Hollande glisse à nouveau lentement  vers les abimes.  77% des Français restent opposés à ce que François Hollande brigue un second mandat en 2017. Certes ces événements du 11 janvier  lui ont permis de regagner un peu de popularité mais il est largement devancé par Valls (51%) . A noter  cependant que Sarko ne fait pas mieux et que la baatille du premier tour pour se qualifier est encore loin d’être jouée.  Seul un Français sur cinq (21%) souhaite que le président François Hollande se représente en 2017, selon un sondage BVA pour Orange et iTélé publié samedi. Mais cette proportion a doublé par rapport à une enquête de novembre dernier où le chef de l’Etat récoltait 10%.  En revanche, ils sont 77% à être opposés à ce que François Hollande brigue un second mandat. Une proportion identique à celle observée la semaine dernière par le même institut pour son prédécesseur Nicolas Sarkozy (77% ne veulent pas qu’il se présente en 2017 contre 22%). Pour François Hollande, «ce score reste bien sûr très médiocre, mais il est toutefois en progression de 11 points par rapport au mois de novembre (…) avant notamment les attentats de Paris et la grande marche du 11 janvier», note Eric Bonnet, directeur des études politiques chez BVA Opinion. D’après lui, la progression est «spectaculaire» chez les électeurs de gauche (45%, +25) et les sympathisants socialistes (58%, +30). Et selon cette étude, si François Hollande ne se représente pas, c’est son Premier ministre Manuel Valls qui serait de très loin le candidat PS préféré des Français (51%, +5 par rapport à novembre). Il arrive très nettement devant le maire de Lille, Martine Aubry, (22%, -3) et l’ancien ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, (18%, -2). La proportion est encore plus forte chez les sympathisants PS pour Manuel Valls (64%, +15). Par ailleurs, 37% (+11 par rapport à juillet) des Français pensent que la situation de la France sera meilleure qu’aujourd’hui à la fin du mandat de François Hollande contre 61% (-10) qui pensent qu’elle sera moins bonne.

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Terrorisme-Obama : un sommet pour rien

Terrorisme-Obama : un sommet pour rien

 

Obama fidèle à lui –même surtout de politique en matière de politique étrangère :  beaucoup de mots mais peu d’action. La sommet décidé par Obama n’aboutit en fait à rien de concret et démontre une nouvelle fois à l’évidence le peu d’intérêt d’Obama pur la politique étrangère surtout quand il s’agit de l’Afrique ou du proche et  moyen orient. . Le président Barack Obama et son secrétaire d’Etat John Kerry ont bouclé à Washington une gigantesque réunion de trois jours « contre l’extrémisme violent », en présence de représentants de plus de 60 gouvernements et organisations, dont le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, celui de la Ligue arabe Nabil al-Arabi, la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, le ministre de l’Intérieur français Bernard Cazeneuve ou encore le chef du renseignement russe Alexandre Bortnikov. M. Obama, comme le fait toute son administration depuis des mois, a bien pris soin de ne jamais parler de « lutte contre l’islamisme radical »: une précaution de langage destinée à ne pas stigmatiser l’islam mais que l’opposition américaine républicaine lui reproche. Washington estime que plus de 20.000 combattants étrangers de plus de 100 pays ont rejoint l’EI en quelques mois, dont 4.000 venus d’Europe. C’est « sans précédent », a relevé John Kerry et c’est autant que le nombre de jihadistes partis « se battre en Afghanistan dans les années 1980 (…) au cours d’une décennie ». Bernard Cazeneuve a réaffirmé que « plus de 400 jeunes Français sont aujourd’hui présents dans la zone irako-syrienne » et que « près de 1.400 Français sont impliqués, d’une façon ou d’une autre, dans les filières combattantes ». Mais au-delà des appels au « rassemblement » de la communauté internationale, la réunion n’a produit aucune mesure concrète. Un « sommet sans contenu », a tonné le représentant républicain Michael McCaul. D’autres, anonymes, ont moqué un « colloque sans intérêt ».

 

Drones sur Paris :on attend quoi pour les interdire ?

Drones sur Paris :on attend quoi pour les interdire ?

 

Des drones sur Paris, sur les centrales nucléaires, demain transformées en armes dans un espace public. On se demande pourquoi attend pour en interdire complètement la commercialisation et  l’usage sauf sur les espaces strictement privés ( agricoles par exemple).  A moins d’attendre une catastrophe Au moins cinq drones ont été aperçus dans la nuit de lundi à mardi survolant différents endroits de Paris, entre minuit et 6h et leurs pilotes n’ont pu être interpellés, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Le premier drone a été aperçu près de l’ambassade des Etats-Unis peu après minuit, « mais la Tour Eiffel, les Invalides ou encore la Concorde ont également été survolés », a précisé une de ces sources. « Il pourrait s’agir d’une action coordonnée mais nous n’en savons pas plus pour l’instant », a-t-elle expliqué. Assez rapidement, en raison du caractère sensible des lieux, les premiers services de police présents ont tenté de suivre l’appareil qui « a continué son survol vers les Invalides », a expliqué une source proche de l’enquête, avant que les policiers ne perdent sa trace. Différents services de police ont été mobilisés dans la nuit, sans succès. « Nous avons tout déployé pour tenter d’intercepter les pilotes mais ils n’ont pas été détectés », a regretté une autre source. Concernant le survol de l’ambassade des Etats-Unis, les investigations ont été confiées à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens (GTA). La police judiciaire parisienne a, elle, été chargée des autres survols. Il y a un peu plus d’un mois, le 20 janvier, l’Elysée avait été survolé par un drone, « mais jamais autant de drones n’avaient été aperçus en une nuit », a assuré la source policière. Une vingtaine de vols de drones, dont les auteurs n’ont pas été identifiés, ont également été observés ces derniers mois aux abords de sites nucléaires. Par ailleurs, les 26 et 27 janvier derniers, plusieurs drones ont été détectés à proximité du site militaire nucléaire de l’Ile Longue, dans la rade de Brest.

 

Sondage :augmentation de la fiscalité locale pour 74% des Français

Sondage :augmentation de la fiscalité locale pour 74% des Français

Les élections passées, il faut s’attendre à des hausses  de fiscalité dès 2015. Pourtant nombre d’élus avaient promis de maîtriser la hausse des impôts mais comme au plan national, une fois élu on fait autre chose par cynisme autant que par incompétence. Bref les limites de la démocratie actuelle !  D’après OpinionWay pour le cabinet Axys Consultants, sont 74% des Français sur quatre considèrent que les impôts locaux vont augmenter en 2015. Même les sympathisants de gauche (60 % pour le PS) croient cette hausse inévitable.  «Les Français ne sont pas dupes de la difficulté de la tâche et de l’absence de marge de manœuvre et de solution miracle, juge Marc Sailly, le PDG d’Axys Consultants. C’est la capacité des collectivités à faire des économies qui est pointée du doigt.» Pour les Français, il n’y a pas quarante options sur la table. La seule qui vaille est de «baisser les dépenses», un effort que les communes, départements ou régions ne font pas assez selon 68% des personnes interrogées. Un jugement partagé même par les sympathisants de gauche (54 % gauche radicale, 58 % PS) mais à un niveau moindre que ceux du centre (67 % MoDem), de la droite (68 % UMP), voire de l’extrême droite (77 % FN). Seule une minorité de Français (9 %) jugeraient normal que les impôts augmentent…Et si les collectivités ont besoin d’idées pour réduire leurs dépenses, les Français en ont à revendre. Ils sont trois sur quatre à suggérer à leurs élus de commencer par «évaluer l’efficacité des dépenses pour éviter le gaspillage» (avec des pics à près de 90 % à gauche) et aussi un sur trois de «réduire le nombre de fonctionnaires». Pour Marc Sailly, c’est donc clair: «Les Français plébiscitent avant tout la méthode plutôt que des mesures empiriques voire démagogues.»

 

Sanofi :petite prime d’arrivée de 4 millions pour le directeur

Sanofi :petite prime d’arrivée de 4 millions pour le directeur

Il y avait déjà les salaires indécents, les stock-options ;  les golden parachutes  aussi pour le départs des dirigeants maintenant il y a les primes d’arrivée, c’est chez Sanofi. Un nouveau concept pour se gaver ( déjà pratiqué chez Sanofi) mais en plus  renouveler l l’année suivante . On peut se permettre car en faiat ceste la sécu qui paye ( en France) , en plus on a supprimé 5000 emplois en France.   Brandicourt prendra la tête du groupe français en avril et touchera pour cela quatre millions d’euros. Un « golden hello » indécent aux yeux des syndicats.  Une prime de bienvenue de quatre millions d’euros qui dérange. Le futur directeur général de Sanofi, l’un des géants français de la chimie et de la pharmacie, devrait empocher ce bonus, sorte de « golden hello », lors de sa prise de fonction en avril. Olivier Brandicourt touchera ainsi d’abord deux millions puis encore la même somme en janvier 2016. A cela s’ajoute un salaire annuel de trois à quatre millions d’euros et 220.000 stock options. Selon Sanofi, cette prime se justifie « en contrepartie des avantages auxquels il a renoncé en quittant son précédent employeur », le groupe allemand Bayer. De quoi faire réagir les syndicats, d’autant que la société a supprimé des milliers d’emplois ces dernières années, comme l’a souligné Thierry Bodin, délégué central CGT à Sanofi : « Le golden hello était déjà pratiqué avec le dernier directeur mais là ce qui est étonnant c’est qu’il double la mise au bout d’un an. Quatre millions d’euros au total : on voit que le conseil d’administration soigne bien ses dirigeants, plutôt que ses salariés. » « Sanofi se porte très bien financièrement, par contre ces cinq dernières années la direction a supprimé plus de 5.000 CDI en France », a ajouté le délégué syndical.

Grèce: un accord qui ne règle rien mais un bon compromis pour Hollande

Grèce: un accord qui ne règle  rien mais un bon compromis pour Hollande

 

L’accord obtenu à l ‘arrache  vendredi n’a pas encore donné lieu à beaucoup d’analyser de la part des médias ( normal c’est le week-end ! ). Pourtant cet accord ne règle rien. C’est simplement uen prolongation de 4 mois de l’aide européenne. En échange la Grèce s’est engagée à maintenir l’austérité .Elle doit faire des propositions qui seront examinées par l’Eurogroupe et la commission. Des propositions conciliables avec les exigences de Bruxelles et les résultats électoraux de Grèce. Autant dire l’impossible. En fait c’est l’ambigüité la plus totale puisque d’un coté Bruxelles considère que la Grèce doit appliquer ce qui a été décidés précédemment que la Grève , elle,  estime que le diktat de l’Europe est remis en cause. Bref rien n’est réglé. On a seulement sauvé la face et gagné du temps. Farce à cette  l’ambigüité,  Hollande, lui considère que c’est un bon accord ! ; Et pour cause, c’est à peu près la même ambigüité qui va permettre à la France d’obtenir en délai supplémentaire pour la réduction de ses déficits , en échange de réformes structurelles …à définir !  Après trois réunions des ministres des Finances de la zone euro en moins de 10 jours, les grands argentiers de l’Europe sont parvenus à un accord sur le sauvetage financier de la Grèce. Dès ce matin, le président François Hollande et le premier ministre grec, Alexis Tsipras, ont salué l’accord arraché lors de cet Eurogroupe.  Samedi matin, en marge d’une visite au salon de l’Agriculture, François Hollande a qualifié de «bon compromis» l’accord visant à prolonger de quatre mois, sous conditions, le financement européen de la Grèce, en évitant un risque de sortie de l’euro. «Sur le dossier de la Grèce, nous avons cherché la bonne solution», a-t-il expliqué.  «La bonne solution, c’était de prolonger le financement permettant à la Grèce d’assurer sa transition et de pouvoir honorer ses engagements». «La bonne solution, c’était aussi de lui laisser le temps pour que ses réformes soient engagées et que le respect des électeurs grecs soit aussi préservé», a-t-il encore précisé. L’Europe s’est engagée à prolonger le financement de la Grèce de quatre mois, mais sous de strictes conditions, soumises à examen dès la semaine prochaine. «L’Europe, elle doit montrer de la crédibilité, elle doit montrer aussi de la solidarité. De la crédibilité parce que nous devons montrer que nous avons des règles et qu’elles valent pour tous les pays (…) De la solidarité, parce que quand il y a des pays qui souffrent, il est légitime que nous puissions les accompagner tout en leur demandant de respecter leurs engagements», a expliqué François Hollande. «La Grèce a fait beaucoup d’efforts ces dernières années. Il y a eu beaucoup de sacrifices qui ont été demandés», a-t-il affirmé. «Maintenant il faut donner du temps, mais en même temps toujours respecter les engagements, car ce sont les contribuables français, allemands et européens qui ont permis que la Grèce puisse s’en sortir».

Sondage agriculture :87% pour les petites exploitations et contre la malbouffe

Sondage agriculture :87% pour les petites exploitations et contre la malbouffe

 

 

Pesticides, engrais , additifs chimiques viennent assaisonnerez la nourriture quotidienne grâce ‘uen part à l’agriculture intensive et à ‘industrie alimentaire. Au point de mettre en danger la santé. Une écrasante majorité de Français (87%) souhaitent donc que la politique agricole favorise les « petites exploitations qui privilégient la qualité des produits » tandis que 52% jugent les agriculteurs « pollueurs », selon un sondage Odoxa publié aujourd’hui dans Le Parisien. Selon cette enquête d’opinion publiée au lendemain de l’ouverture du Salon de l’Agriculture, 70% des sondés estiment que l’agriculture est un secteur dont le développement doit être prioritaire pour la France, et 76% pensent qu’il faut « continuer à la subventionner pour maintenir une France rurale ». Mais 87% veulent donc que l’agriculture française donne la priorité aux « petites exploitations qui privilégient la qualité des produits », contre 12% qui sont plutôt favorable aux « grandes exploitations qui privilégient la quantité pour rester compétitives ». Les Français expriment par ailleurs de sérieuses réserves sur le respect de l’environnement par les agriculteurs : 52% les jugeant « pollueurs », 64% estimant que la profession n’est pas suffisamment attentive à l’environnement et 51% pensant qu’elle n’accorde pas assez d’attention à la sécurité sanitaire. Enfin 82% des Français ont une bonne opinion globale de la profession, jugée « utile » à 96%. Une prise de conscience aussi contre la malbouffe dénoncée dans un article du Point Chaque année en France, la malbouffe provoque trois fois plus de morts que le tabac et cinquante fois plus que les accidents de la route. Elle est en partie responsable de 30 % de nos cancers, de nos 500 000 insuffisants cardiaques, de 2 millions de diabétiques et de 8 millions d’obèses. Effarant. En un demi-siècle, le contenu de notre assiette s’est radicalement transformé. Aujourd’hui, 80 % des aliments que nous avalons sont industriels. Souvent trop gras, trop sucrés, trop salés et bourrés de chimie. Un constat dénoncé dans un livre du docteur Laurent Chevallier qui  met les pieds dans le plat. « Plus personne ne peut nier le lien entre les dérives d’une certaine forme d’alimentation industrielle et l’augmentation significative de certains cancers et maladies cardiovasculaires, explique ce consultant en nutrition attaché au CHU de Montpellier. Je tire la sonnette d’alarme parce que, lors de mes consultations, je suis confronté tous les jours aux victimes de la malbouffe. »  Comment en est-on arrivé là ? Pour produire en quantité, le plus vite possible, au plus bas coût, les ingénieurs agronomes ont créé des variétés de légumes, de fruits et de céréales qui poussent plus vite, « boostées » à coups d’engrais et de pesticides dont on retrouve les résidus sous notre fourchette. De la même façon, on a sélectionné des races d’animaux à gros rendements. Des « usines sur pattes » qui fonctionnent avec des granulés hautement énergétiques. Un supercarburant qui a altéré la composition de la viande, du lait ou des œufs. Une matière première bas de gamme, qui est ensuite transformée au point de perdre une partie de ses nutriments, vitamines et arômes. Au milieu des années 80 la chimie s’est invitée en cuisine. Pour ressusciter le goût perdu dans le processus industriel, on a réinjecté en bout de chaîne des arômes artificiels, mais aussi des conservateurs pour allonger la durée de vie des produits, des colorants pour les rendre plus tape-à-l’oeil, des correcteurs d’acidité, sans oublier les émulsifiants, antiagglomérants, gélifiants et autres agents d’enrobage… Aujourd’hui, l’industrie agroalimentaire dispose de 357 additifs autorisés qui remplissent 24 fonctions différentes. « Un cocktail chimique dont on évalue mal tous les effets sur notre organisme », avertit Laurent Chevallier. Ajoutez-y des emballages en plastique dont certains composants ont une fâcheuse tendance à migrer vers les aliments…  « Notre nourriture n’est plus adaptée à nos gènes. Non seulement on y a ajouté des substances chimiques mais on l’a bourrée de mauvais gras pas cher à produire, hypercalorique comme l’huile de palme. Et surtout de sucre et de sel. » Trois ingrédients que l’on trouvait rarement au menu de l’omnivore tendance frugivore qu’était l’homme préhistorique et vers lesquels nous sommes naturellement attirés. Des appâts gustatifs désormais utilisés à tout-va par l’industrie agroalimentaire. Nous consommons ainsi chaque jour 8,5 grammes de sel, quatre fois plus que nos besoins physiologiques. Quant au sucre-une « calorie vide » dans le jargon des nutritionnistes, c’est-à-dire qui ne contient rien d’autre que de l’énergie-, nous en avalons 35 kilos par an. 75 % de ce sucre étant directement incorporé dans les aliments par les industriels. Avec certains produits, l’addition grimpe vite : un pain au chocolat représente l’équivalent de sept morceaux de sucre, un soda six. « C’est d’autant plus grave, dans le cas du soda, que notre cerveau ne comptabilise pas les calories sous une forme liquide. » Ce qui explique pourquoi, après avoir vidé une canette, on ne ressent pas la sensation de satiété. Notre cerveau se fait aussi berner par certains aliments industriels quasi prémâchés. « Le meilleur exemple, c’est la portion de céréales du petit déjeuner qui se transforme, avec le lait, en une bouillie vite gobée, plus ou moins grasse, salée et sucrée, indique le nutritionniste. C’est la mastication qui permet d’envoyer le signal de satiété au cerveau. Et le fait de mâcher imprègne de salive les aliments, ce qui facilite la digestion et dope l’immunité. »  Un désastre nutritionnel longtemps masqué par les progrès réalisés sur le plan de l’hygiène. En aseptisant notre alimentation, les industriels ont fait chuter le nombre de morts par intoxications alimentaires, et l’invention du réfrigérateur ajouté à l’usage des antibiotiques a fortement diminué l’incidence des cancers de l’estomac provoqués par des bactéries. Mais, dans le même temps, les maladies cardiovasculaires, le diabète, l’obésité ont explosé. Pour la première fois, malgré les progrès continuels de la médecine, l’espérance de vie d’un Américain naissant aujourd’hui ne dépassera pas celle de ses parents. Elle sera même plus faible dans les classes défavorisées. Si l’on commence à se préoccuper de qualité nutritionnelle, le risque que fait peser la présence de molécules chimiques dans nos aliments n’est pas suffisamment pris en compte. Ce que dénonce Laurent Chevallier. « N’ayons plus la naïveté de croire que si des ingrédients étaient nocifs on ne les trouverait pas dans les magasins. Régulièrement, des produits que nous avons consommés pendant des années sont retirés du marché. » La preuve, selon lui, que l’on nous met sur la table des aliments mal évalués. « On a mis trente ans à s’apercevoir que le E128, un colorant pour saucisses industrielles, attaquait les cellules du côlon chez le rat et la souris. » On a pourtant multiplié les instances de contrôle. « Pour évaluer la dangerosité d’une substance chimique, les agences se contentent la plupart du temps des études fournies par les industriels à partir de cahiers des charges inadaptés. Sans compter qu’un certain nombre de leurs experts travaillent avec ces mêmes industriels. » Bref, les mailles du filet seraient trop lâches. « Je suis sidéré que l’on n’avertisse pas les femmes enceintes des risques liés aux substances chimiques de notre alimentation. » Le cas du BHA fait bondir le nutritionniste. Cet additif, présent dans certains chewing-gums, est considéré comme cancérogène. Mais, au lieu de l’interdire, on a demandé aux industriels d’en diminuer la teneur, sans même les obliger à en indiquer la concentration sur l’étiquette.

 

 

ptimisation fiscale :une commission européenne pour enterrer la question

optimisation fiscale :une commission européenne pour enterrer la question

Grosse bataille au parlement européen après les scandales d’optimisation fiscale,, les uns étaient pour une  commission d’enquête mais le prudent président Schultz ( qui ne veut pas déstabiliser le président luxembourgeois  de la commission européenne mouillé jusqu’au cou) a dit non, ce sera une  commission spéciale , plus discrète. on tremble évidemment !

Le co-président du groupe des Verts a rassemblé 191 signatures, soit plus que le minimum requis, pour demander la création d’une commission d’enquête sur l’affaire Luxleaks. Mais le président du Parlement européen, Martin Schulz, s’appuyant sur un avis négatif de ses services juridiques, a refusé qu’elle soit mise aux voix. Elle a été remplacée par une « commission spéciale sur les rescrits fiscaux (tax ruling en anglais) et autres mesures similaires par leur nature ou par leur effet « , approuvée à une très large majorité (par 612 voix contre 19 et 23 abstentions). Constituée de 45 députés européens, elle reprendra le mandat de la commission d’enquête, l’élargira à l’ensemble des pays de l’Union, mais n’aura pas les mêmes pouvoirs, notamment en matière d’accès aux documents détenus par les pays. Ni les Sociaux-Démocrates, ni le Parti populaire européen, ni les Libéraux-Démocrates n’étaient favorables à une initiative susceptible de déstabiliser l’ancien Premier ministre luxembourgeois, dont ils avaient soutenu la nomination à la présidence de la Commission européenne. Interpellé au Parlement européen, Jean-Claude Juncker avait plaidé le caractère légal des pratiques d’optimisation fiscales et le fait que 22 Etats membres de l’Union disposaient de dispositifs similaires. »Ce n’est le cas ni de la France ni de l’Allemagne« , souligne l’ancien ministre du Budget, le révolutionnaire  Alain Lamassoure, membre de la commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen et président de la délégation française du Parti populaire européen. C’est lui qui présidera la nouvelle commission spéciale, constituée de 45  membres, et qui a 6 mois désormais pour faire la lumière sur des pratiques qu’il qualifie de « scandale auquel il faut mettre fin« . « Mon rôle de législateur n’est pas de savoir quel est le fonctionnaire ou le ministre qui a pris telle décision ou quel montant a payé telle entreprise: c’est le rôle des Etats et de leurs services fiscaux. En revanche j’ai besoin de savoir quelles infractions à la loi européenne ont été commises et à quelles anomalies,  inégalités et injustices conduisent les lois nationales. Mon objectif n’est pas de blâmer les gens, mais de condamner un système et surtout de le remplacer par un système qui soit acceptable par tout le monde« . Ouf on est quand même rassuré !

Départementales 2015 : à peine une vingtaine de départements pour la gauche

Départementales 2015 : à peine une  vingtaine de départements pour la gauche

Ce sera le grand séisme, la gauche qui détient la majorité dans 60 départements pourraient n’en détenir qu’à peine 20 aux prochaines élections d’après une  information de RTL. Sur 101 départements en tout, entre 30 et 40 seraient susceptibles de basculer à droite en mars, à l’issue des élections départementales. Le FN  serait en mesure d’ obtenir la majorité dans qulques départements mais le grand gagnant sera l’UMP du fait du report des voix de la gauche. L’inverse n’étant pas vrai puisque 50% environ des voix de l’UMP en cas de qualification de la gauche au second tour se reporteront sur le FN. Le calcul est simple,  au premier tour le FN obtiendra à peu près 30%des voix, l’UMP 27.e t le PS autour de 20%. Le problème c’est qu’au second tout les duels concerneront surtout l’UMP et le FN. Or le « reflexe républicain » va jouer en faveur de l’UMP car autour de 15%seulement des voix de la gauche se reporteront sur le candidat du FN. Ces pronostics sont à relativiser car il est probable que les abstentions attiendront pas loin de 60% au premier tour, du coup la démobilisation risque de concerner surtout les électeurs potentiels de la gauche. Et les résultats pourraient être encore plus catastrophiques pour la gauche  en cas d’abstention record.

Immobilier – Paris : un appartement de 6,2 m² pour 76.000 euros ou 1 m2 pour 12 000 euros

Immobilier -  Paris : un appartement de 6,2 m² pour  76.000 euros ou 1 m2 pour 12 000 euros

Non le marché immobilier ne se porte pas aussi mal qu’on le dit, la profession indique même que le marché va reprendre. La preuve cette annonce pour un appartement de 6m2 pour 76 000 euros. La problématique est simple du fait de la spéculation ces dix dernières années, l’accès à la propriété devient improbable  pour nombre de candidats qui n’ont pas la solvabilité suffisante pour emprunter. Du coup pourquoi ne pas diviser par 10 la surface d’un appartement et les vendre par morceaux. 60m2 pour 760 000 euros c’est presque inaccessible mais 6 m2 pour 76 000 euros c’est possible. Pour les candidats à accession peu fortunés on peut même vendre les 6, 2m2 à la découpe, par m2, soit 12 000 euros. Il y a donc encore des progrès à faire en matière d’ingénierie financière dans immobilier  en inspirant de cet exemple de cet appartement à  76.000 euros de 6,2 mètres carrés, situé rue de Maubeuge, dans le 9e arrondissement.  Cette annonce est relayée par une agence immobilière proche, et a été repérée par Le Parisien. Elle précise la présence d’une douche dans le studio, composé de « 1 pièce – 1 chambre », et que le prix comprend l’utilisation des toilettes situées sur le pallier. Aussi étonnante soit-elle, cette vente n’est pourtant pas illégale. Elle l’aurait été si elle proposait de louer cette surface comme résidence principale, car sa surface est inférieure aux 9 mètres carrés minimum prévus par la loi Carrez. Elle ne pourra pas non plus servir de location saisonnière, car elle fait moins de 7 mètres carrés.  En janvier 2013, RTL avait rencontré Dominique, un homme de 50 ans qui avait loué pendant 15 ans un logement de 1,56 mètres carrés, à Paris, pour 330 euros de loyer. Il avait ensuite porté plainte contre son propriétaire, accompagné par la Fondation Abbé Pierre.

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