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BNP devant la justice pour « ses » bons placements

BNP devant la justice pour «  ses »  bons placements

 

Un produit juteux mais surtout pour la banque  qui lui vaut de se retrouver en justice. La banque française BNP Paribas a été renvoyée en procès pour pratique commerciale trompeuse en lien avec le produit d’épargne « BNP Garantie Jet 3″, commercialisé en 2001, au terme d’une enquête préliminaire, ont indiqué lundi des sources concordantes.  Plusieurs épargnants avaient porté plainte à partir de 2012 contre l’établissement, lui reprochant de ne pas avoir respecté la garantie qui prévoyait, au minimum, la restitution, à l’échéance, du capital investi.  Or, au terme de l’investissement, soit dix ans après, la banque a restitué la somme placée sur le produit « BNP Garantie Jet 3″ mais minorée des frais de gestion ainsi que des frais d’entrée dans des contrats d’assurance-vie, utilisés comme véhicules du placement.  Un couple de parfumeurs d’Alfortville, dans le Val-de-Marne, à l’origine de la première plainte déposée par leur conseil Daniel Richard, avait ainsi récupéré 83.054 euros contre 91.469 euros investis initialement.  La déduction des frais de gestion était mentionnée au contrat.  Mais la brochure commerciale laissait entendre au consommateur qu’il avait la certitude de récupérer son investissement sans expliciter comment les frais de gestion pouvaient affecter le rendement de l’investissement, selon la citation directe (renvoi direct en procès sans désignation d’un juge d’instruction), a indiqué à l’AFP une source proche du dossier.  En retenant cette présentation, BNP Paribas a commis une pratique commerciale trompeuse, a estimé le parquet, qui a donc renvoyé la banque en correctionnelle, selon des sources concordantes.  Interrogé par l’AFP, BNP Paribas s’est refusée  à tout commentaire.  Le parquet avait sollicité la Direction départementale de la protection des populations (DDPP), service de la répression des fraudes.   Il avait estimé, dans un rapport, que « les allégations présentes dans la brochure publicitaire (..) affirmant que ce placement financier (était) « assorti de la garantie de récupérer le capital investi quoiqu’il arrive » (étaient) trompeuses », selon ce document consulté par l’AFP.  « Dans aucun document, il n’est explicitement indiqué que le montant garanti à la fin du contrat n’est pas égal au montant investi par le consommateur mais à cet investissement déduction faite des frais perçus par les sociétés du groupe BNP Paribas », poursuivait le rapport.

40 000 euros de frais de taxis pour la présidente de I’INA

 

 

Après Mathieu Gallet, c’est l’actuelle présidente t de l’INA qui fait 40 000 euros de dépenses de taxis en 10 mois . C’est une information révélée sur France Info par notre chroniqueur Enguerran Renault, rédacteur en chef médias du Figaro. Agnès Saal, présidente de l’Ina, est rattrapée par des notes mirobolantes de taxi, 40.000 euros en 10 mois.  Un corbeau a envoyé une lettre anonyme à tous les administrateurs de l’Ina pour y dénoncer des frais de taxi énormes de la part de la présidente Agnès Saal. 40.000 euros de frais de taxi en 10 mois. Elle s’est justifiée devant les collaborateurs et s’est engagée à rembourser tout ce qui relevait des déplacements privés. Son fils a utilisé le code de taxi pour 6.700 euros. Elle a fait immédiatement un chèque pour rembourser. Fleur Pellerin, ministre de la Culture, a missionné l’Inspection générale des affaires culturelles pour enquêter sur l’utilisation des frais de fonctionnement de tous les PDG de l’audiovisuel public, et des établissements culturels qui relèvent de son ministère. Elle réclame plus de transparence et d’exemplarité sur l’utilisation des fonds. Agnès Saal a remplacé Mathieu Gallet à la tête de l’Ina, lui-même rattrapé par d’importantes dépenses en tant que PDG de Radio France. L’enquête de l’inspection des Finances sur Radio France l’a dédouané.

 

Engie : nouveau nom pour GDF

Engie : nouveau nom pour GDF

Nouveau nom, nouveau look, nouvelle organisation pour GDF Suez.   Gérard Mestrallet,: « Le gaz en France, c’est 12% de notre activité. C’est important, mais ce n’est que 12%« . Ce changement de nom intervient alors que l’énergéticien a présenté début avril un projet de réorganisation du groupe, axé davantage sur les territoires que sur les métiers, dans le but d’ »accélérer son développement » en étant plus réactif et en se rapprochant de ses clients.  Cette nouvelle organisation devrait être effective « début 2016″, selon le groupe. GDF Suez prévoit notamment de créer dix entités chapeautant tous les métiers du groupe dans une zone géographique donnée, en lieu et place de l’ancienne organisation par branches.  Cette nouvelle organisation s’inscrit dans un contexte de bouleversement du marché de l’énergie en Europe ces dernières années, avec une consommation d’électricité et de gaz atone, voire en baisse. La réorganisation pourrait affecter « 6.000 salariés » du fait de la mutualisation ou de la fusion d’activités, estiment les syndicats. GDF Suez, né de la fusion en juillet 2008 entre l’ex-monopole public Gaz de France et Suez, est un des plus grands producteurs et fournisseurs mondiaux d’électricité et de gaz, avec plus de 150.000 salariés et un chiffre d’affaires de 74,7 milliards d’euros l’an dernier. L’Etat détient actuellement 33,29% de son capital.

« La Manif pour tous » : nouveau parti politique

« La Manif pour tous » : nouveau parti politique

«La Manif pour tous» est devenu un parti politique. Ce que confirme l’un de ses responsables, Albéric Dumont au Scan : «Pour nous il s’agit d’un ajustement technique. Nous étions une association loi 1901 à but non lucratif, maintenant nous sommes devenus une association 1901 à but politique». Le vice-président du nouveau parti affirme qu’il «ne s’agit que d’une mise à jour, pour être en cohérence avec notre mode de pensée, l’association étant devenue plus politique». Selon lui, rien ne va changer. La ligne reste la même, les revendications également. «Nous ne comptons présenter aucun candidat aux présidentielles, ni aux régionales», affirme même Albéric Dumont.  Pas de candidats, donc, ni de changement de ligne politique. Par contre ce statut ouvre la voie à une déduction fiscale pour les donateurs de la Manif pour tous. Des dons évalués à près de 4,5 millions d’euros pour l’exercice 2013, publié en juin dernier. Pour un parti politique, le plafonnement des dons est fixé à 7500 euros par an et par foyer fiscal, sans compter les cotisations. Les dons sont déductibles des impôts à hauteur de 66 %. La Manif pour Tous rejoint donc Sens Commun dans la cour des partis politiques. Composé d’anciens cadres du mouvement LMPT, Sens Commun est aujourd’hui associé à l’UMP. «Notre action est complémentaire à celle de l’UMP», confiait d’ailleurs au Scan un membre de la direction de Sens Commun. Un rôle que ne veut pas jouer Albéric Dumont. «Nous ne nous considérons comme affilié à aucun parti, nous voulons représenter nos idées au sens large, au-delà des partis politiques. Sens Commun fait partie de l’UMP, leur objectif est d’être élu. Ça n’est pas notre cas». La présidente de la Manif pour tous, Ludovine de La Rochère assurait le 12 mars dernier à RTL que le mouvement n’avait pas vocation à se transformer en parti politique.  »Nous ne sommes pas là pour obtenir des mandats [...] Nous sommes là pour attirer l’attention sur le respect de l’humanité [...] Présenter des candidats n’est pas une possibilité, la Manif pour tous n’aucune raison de traiter tous les domaines« , expliquait-elle. Ce revirement est difficile à expliquer pour le vice-président du parti, qui indique  que ce projet existait « depuis trois ou quatre mois et a été mis au Journal officiel ce vendredi ». Il ajoute : « Je ne sais pas pourquoi elle a dit ça ».

Sondage migrants méditerranée: l’Europe inefficace pour 66% des français

Sondage migrants méditerranée: l’Europe inefficace pour 66% des français

U sondage qui confirme l’inertie et d’une certaine manière l’hypocrisie de l’Europe à l’égard des migrants de Méditerranée. Selon cette étude, 66% des Français ne font pas confiance à l’Europe pour éviter des drames en Méditerranée. Pour eux, l’UE est le plus souvent perçue comme étant en théorie le bon échelon pour la prise de décision en matière de politiques internationales, mais se révèle « inefficace » dans la pratique. Ce manque de confiance est très marqué chez les sympathisants de droite (76%), et reste majoritaire chez les sympathisants de gauche (53%), « traditionnellement moins eurosceptiques », selon les sondeurs. Ces derniers n’interprètent pas ce résultat comme « un rejet de l’Europe », mais plutôt comme le constat de son impuissance pour régler ce genre de situations. Selon cette étude, les Français souhaitent que les dirigeants européens adoptent une « ligne dure » et sont majoritairement favorables à une intervention militaire contre les passeurs. Cette mesure, que l’Europe ne prendrait qu’avec l’aval du Conseil de sécurité de l’ONU, est soutenue par 59% des Français et elle n’est pas polémique puisqu’elle est approuvée par 67% des sympathisants de droite et 60% de ceux de gauche. Enfin, les Français montrent plus de sévérité à l’égard des populations concernées par l’immigration. 76% de nos concitoyens estiment qu’il faut durcir les conditions de régularisation des migrants en Europe plutôt que de les alléger. Quasiment tous les sympathisants de droite le pensent (90%) et une majorité de sympathisants de gauche (53%) est sur cette ligne. Odoxa note un basculement opéré durant la crise économique de 2008. Avant cela, les Français étaient majoritairement favorables à la régularisation des sans-papiers. Ils y sont devenus majoritairement hostiles.

Patrons de banques : l’« austérité » pour les salaires

Patrons de banques :  l’« austérité »  pour les salaires

 

C’est « l’austérité » …enfin presque ! Le directeur de BNP Paribas reste le patron le mieux payé parmi ses collègues banquiers, avec une rémunération totale de 2,83 millions d’euros, qui compte pour pratiquement 50% de fixe (1,5 million) et de variable (1,25 million). Mais ce montant accuse toutefois une baisse de -14,8%.  En effet, comme le rappelle le document de référence de l’entreprise, la rémunération variable de Jean-Laurent Bonnafé dépend d’un ensemble de critères liés à la performance de l’entreprise à savoir le bénéfice net par action ou encore le résultat brut d’exploitation. Or les comptes 2014 de BNP Paribas ont évidemment été grevés par l’amende de 9 milliard de dollars infligée par les autorités américaines pour violation d’embargo.  Le même raisonnement s’applique aux rémunérations des autres grands patrons. Le deuxième dirigeant le mieux payé, Frédéric Oudéa, le PDG de Société générale, a ainsi vu sa rémunération chuter de -16,9% à 2,25 millions d’euros, en raison des difficultés de son groupe en Russie, où la banque est notamment présente via Rosbank.  Dans le document de référence de la banque, le groupe explique que son PDG a atteint 43% des objectifs quantitatifs fixés. « La baisse des performances réalisées s’expliquant en particulier par la décision du Groupe de déprécier ses comptes au 1er trimestre 2014 de l’écart d’acquisition de sa filiale russe Rosbank », peut-on lire.  Quant à Jean-Paul Chifflet, le directeur général de Crédit Agricole, sa rémunération de 2,05 million d’euros affiche un recul plus modeste (-4%) lié notamment à la dépréciation de la participation de la banque dans sa collègue portugaise BES (Banco Espirito Santo).  François Pérol, le président du directoire de BPCE (Banques Populaires Caisse d’Epargne) et Michel Lucas, le patron du CM-CIC ont tous les deux connus une baisse limitée de leur rémunération (-2,7%), à respectivement 1,4 million et 784.000 euros.  Enfin, Laurent Mignon, le directeur général de Natixis (filiale de BPCE) est le seul à avoir vu sa rémunération bondir de 12,2% l’an passé à 1,9 million d’euros.

Impôts sur le revenu : 84% pour la déclaration en ligne

Impôts sur le revenu : 84% pour la déclaration en ligne

Un résultat pas étonnant puisque l’enquête a été réalisée par internet ! Le 31 décembre 2014, la France comptait 26 millions d’abonnements Internet haut et très haut débit sur réseaux fixes. En 2014, 80,7 % des foyers ont un accès Internet, soit 22,5 millions de foyers (47 millions d’internautes en janvier 2015 selon Médiamétrie, tandis que 19,3 % des foyers n’y ont pas accès, soit 5,4 millions de foyers, sur un total de 27,8 millions de foyers. En 2014, tous lieux de connexion pris en compte (et non que domicile), 83 % des Français sont des internautes. Plus de Huit Français connectés donc seraient pour  la télédéclaration en ligne de leurs impôts selon un sondage Odoxa pour le Syntec numérique et le Parisien/Aujourd’hui en France mercredi 22 avril. « Moderne » pour 93% des personnes interrogées, « écologique » pour 87%, « rapide » pour 86%, « moins coûteux pour la collectivité » pour 85%, la télédéclaration a la cote. Et 84% des personnes interrogées estiment que c’est « une bonne chose ». « Même les seniors sont conquis: 97% des plus de 65 ans y sont favorables », souligne le quotidien qui précise que « le chiffre est sans doute à relativiser puisque l’étude à été réalisé sur Internet ». Selon Bercy, le nombre de télédéclarations est passé de 12,8 millions en 2012 à 14 millions en 2014, indique le journal. Malgré tout, 38 % des sondés ne souhaitent pas que ces informations transitent en ligne, quand 27 % affirment avoir l’habitude du papier au moment où le gouvernement envisage de rendre ce service obligatoire. Sondage Odoxa réalisé les 16 et 17 avril 2015 sur internet auprès d’un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Soutien aux zones rurales : c’est pour quand ?

Soutien aux zones rurales : c’est pour quand ?

Au-delà des tendances lourdes relatives au changement de  rapport de forces entre les grandes formations  politiques, les élections départementales expriment aussi la colère des territoires abandonnés. C’est la révolte des zones rurales où vivent 25% de la population qui constate chaque jour la désertification et le dépérissement des services notamment publics. Une analyse toutefois à nuancer car il existe en fait deux types de zones rurales, celles en forte expansion près des grands centres urbains, celles qui progressent  peu ou régressent car éloignée des grandes villes. La mode aujourd’hui est à la métropolisation, c’est à dire à la sururbanisation (qui constitue pourtant uen aberration environnementale) tandis que certaines  petites villes, des villages s’appauvrissent. L’élément le plus significatif de cette désertification c’est la raréfaction de l’emploi. Du coup,  les populations sont contraintes de rechercher des embauches de plus en plus loin de leur domicile (20, 30, 50 kms). Jusqu’au  jour où elles décident de quitter leur zone d’habitat pour  rejoindre des zones plus riches en emplois. Pour preuve de cette désertification la baisse dramatique de la valeur du patrimoine immobilier. Par manque de populations,  les services rétrécissent comme peau de chagrin. Le cœur de la problématique de la désertification, c’est la disparition de l’emploi qui génère mécaniquement la fermeture des commerces et des services. Une   commune ne peut, à elle seule, inverser ces tendances lourdes même si elle peut intervenir utilement dans le champ actuel  de sa  responsabilité. Beaucoup de communes se préoccupent de leur développement pour autant l’environnement défavorable limite leur action ( fiscalité, réglementation, transport, équipements et services).. En fonction de certains scénarios économiques, sociaux et démographiques, en 2040 certains villages se transformeront en zones pour retraités voire même disparaîtront (d’autant qu’à cette date un  Français sur trois aura plus de 60 ans). L’activité économique interagit sur la qualité et le niveau des services et réciproquement. Si on se préoccupe légitimement des équipements et des services publics , par contre le soutien à l’emploi et à l’économie locale en particulier est plus déficient . Or en fonction du rythme de destruction  des emplois locaux, ce devrait être aussi une priorité. Encore une  fois compte tenu de la mode de la « métropolisation » ‘ pas spécifique à la France, il y a fort à parier qu’on pourra attendre encore longtemps des mesures significatives pour le développement rural des zones défavorisées. On ne saurait se limiter  à quelques dispositions certes utiles mais très insuffisantes (couverture internet, bureau de poste, quelques services …peut-être.

 

Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 

 

Le  PSG a reçu une vraie leçon de foot à Barcelone et perdu 2à 0. Le score aurait pu être encore plus sévère tellement la différence de classe était grande. Comme à l’aller le Barça a dé montré qu’l i possédait des individualités nettement supérieures au PSG en attaque et au milieu. Ensuite le PSG a montré toutes ses limites actuelles , manque de conviction, manque d’engagement, insuffisance technique, insuffisance physique et tactique approximative. Alors que le Barça empêchait le PSG de relancer par un pressing tout terrain, les joueurs de Paris se sont épuisés en pressant de manière isolée et improductive. Une nouvelle fois on aura noté que l’attaque parisienne est transparente. Ce match a démontré les lacunes individuelles et collectives. Il faudra renforcer cette attaque , aussi un entraineur de classe internationale susceptible de davantage motiver des joueurs trop lymphatiques depuis le début de la saison. Il n’y a donc pas eu de miracle pour le Paris Saint-Germain au Camp Nou. Battus à l’aller sur leur pelouse 3 buts à 1, les Parisiens se sont inclinés 2-0 en quart de finale retour de la Ligue des Champions face au FC Barcelone. Le Brésilien Neymar a inscrit les deux buts de son équipe en première période (14′, 34′). Le premier pour conclure un superbe travail d’Iniesta, auteur d’une percée de 60 mètres au cœur de la défense parisienne. Le second de la tête, à la réception d’un centre parfaitement ajusté par Daniel Alves. Largement dominé, le PSG est logiquement éliminé, et échoue, pour la troisième année consécutive, à s’inviter dans le dernier carré.

Une prime de 130 euros pour les petits boulots des jeunes

Une prime de 130 euros pour les petits boulots des jeunes

 

Hollande n’avait pas prévu de nouvelles annonces , il a toutefois déclaré que la prime d’activité serait étendu aux jeunes de moins de 25 ans. Une annonce sans doute pour faire du neuf aces du vieux car en vérité Hollande n’a faiat que répéter ce qu’il a déjà dit et décidé. Pas vraiment de nouveauté donc. Sans doute avait-il pris connaissance dimanche matin de ce sondage qui lui faiat perdre encore 5 points auprès de l’opinion. Et de ce fait a-t-il improvisé pour cette mesurette.  Il a donc annoncé l’élargissement de cette prime à toutes les personnes ayant des « petits boulots », y compris les moins de 25 ans. D’un montant mensuel de 130 euros pour un célibataire, elle devrait toucher un million de jeunes. Une « très mauvaise réponse » aux problèmes des jeunes qui ne seront pas incités à travailler, a considéré sur BFMTV l’ancien ministre UMP Eric Woerth.  Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, a salué en revanche un « président plus que jamais à l’écoute des Français pour améliorer leur quotidien. »

Un patron baisse son salaire pour que chaque salarié touche 70 000 euros par an

Un patron baisse son salaire pour que chaque salarié touche 70 000 euros par an

 

Un patron américain a décidé de baisser son salaire pour que chacun de ses salariés gagne 70 000 dollars par an. . Le sien  passera d’1 million de dollars à 70.000 dollars par an. Il va également piocher dans les bénéfices de sa société. Il va prendre 75 à 80% des 2,2 millions d’euros engrangés. Dan Price explique la difficulté de l’exercice, car il ne voulait pas que ses clients en pâtissent. L’augmentation salariale se fera progressivement, au cours des trois prochaines années. Le salaire moyen dans cette entreprise est de 48.000 dollars. Ce sont 70 employés qui vont voir leur salaire revalorisé, et pour 30 d’entre eux, il va même doubler. En revanche, pour 50 d’entre eux, leur rémunération risque de stagner pendant un petit moment. Les Etats-Unis est l’un des pays où l’écart de rémunération est le plus important. Les patrons peuvent gagner jusqu’à 300 fois ce que le salarié moyen obtient.  Et cela n’a rien d’anodin que cette histoire se déroule à Seattle. En effet, cette ville a été l’une des plus virulentes sur la bataille du salaire minimum. Au cours des prochaines années, le salaire minimum devrait atteindre 15 dollars de l’heure. Il y a quelques semaines, il est déjà passé à 11 dollars de l’heure. Le salaire minimum fédéral est de 7,25 dollars de l’heure.  A titre de comparaison, un salaire de 70.000 dollars par an, sur une semaine de 40 heures, équivaut à 33,65 dollars de l’heure 

Sondage sympathisants UMP » « Les Républicains » sonne trop américain pour 56%

Sondage sympathisants UMP » « Les Républicains » sonne trop américain pour 56%

 

 

Finalement Sarkozy ne faiat pas un tabac avec le nouveau nom de l’UMP : «  les républicains ». A l’extérieur de l’UMP les réactions sosnt plutôt mitigées et même chez les sympathisants ce nom ne plaît guère.  La vérité c’est que le nom n’a guère d’importance, ce que veut Sarkozy c’est changer pour mettre le parti complètement à sa botte  dans la perspective de 2017. Le problème de la droite c’est qu’elle a change déjà une quinzaine de fois de nom depuis 1945, ça commence à faire beaucoup ! 56% des sympathisants de l’UMP préfèrent la dénomination actuelle du parti actuel que le nouveau « Les Républicains » envisagé par Nicolas Sarkozy selon un sondage Odoxa pour « iTélé ».  Les sympathisants de l’UMP seraient plutôt conservateurs concernant l’évolution du nom de leur parti. C’est ce que révèle un sondage Odoxa pour iTélé publié vendredi qui démontre que deux Français sur trois (66%) et plus d’un sympathisant de l’UMP sur deux (56%) préfèrent l’actuel nom du parti de droite à celui envisagé par Nicolas Sarkozy, Les Républicains. Les sympathisants UMP jugent à 53% que le futur nom Les Républicains fait « trop américain », à 36% qu’il est « trop consensuel », à 6% qu’il est « trop de droite » et à 4% qu’il est « trop de gauche ». 1% des sondés ne se prononcent pas.  Cette nouvelle appellation est également contestée par la classe politique. Le président du Modem, François Bayrou, se dit étonné que l’UMP « s’arroge » le nom de « républicains« , et Jean-Marie Le Guen (PS) également, dénonçant même un « abus de pouvoir ». Malicieusement Juppé avait indiqué que le changement de nom n’était pas uen priorité «  pourquoi pas le PMU » avait-il indiqué !

 

Volatilité financière : encore un G20 pour rien

Volatilité financière : encore un G20 pour rien

 

Il est clair que les politiques monétaires favorisent certaines spéculations sur les taux qui nuisent aux économie, pour autant le G20 s’en est tenu surtout aux commentaires et à des promesses vagues d’intervention. Il faut notamment observer que le G 20 n’est pas convaincu que l’Europe soit encore sortie de la crise.   Dans un communiqué, les ministres des Finances et banquiers centraux du G20 saluent les signes de meilleure santé des grandes puissances économiques tout en déplorant la faiblesse de certains pays émergents. « Les risques pour l’économie mondiale sont plus équilibrés que lors de notre précédente réunion », lit-on dans le communiqué. « Les perspectives des économies avancées, surtout au Japon et dans la zone euro, se sont améliorées et cela pourrait étayer une reprise économique mondiale plus soutenue ». Soulignant la nature hétérogène de la reprise économique mondiale, le G20 remarque également qu’ »il y a des risques: volatilité des taux de changes et inflation faible prolongée avec des taux d’intérêt négatifs, des déséquilibres persistants et des tensions géopolitiques ». Même si la Grèce n’est pas désignée nommément dans le texte, il est évident qu’elle occupe une place privilégiée dans l’esprit des grands argentiers du G20 réunis à Washington, en marge des assemblées de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.   »L’humeur est sensiblement plus sombre que lors du dernier sommet international », a ainsi observé le ministre britannique des Finances George Osborne au sujet de la Grèce, devenu un thème obligé de toutes les réunions. « Il me semble évident qu’une initiative ou un calcul malheureux de la part de quelque partie que ce soit pourrait aisément replonger les économies européennes dans le genre de situation périlleuse que nous observions voici trois à quatre ans ». Athènes tente de se mettre d’accord avec le FMI et l’Union européenne sur un programme de réformes. Dans l’intervalle, toute nouvelle aide à la Grèce est gelée, si ce n’est la fourniture de liquidité d’urgence (ELA) aux banques grecques sous la tutelle de la Banque centrale européenne (BCE). Au risque que la Grèce se retrouve à court de ressources avant des échéances à rembourser le mois prochain.  Le G20 met également en exergue un risque accru d’instabilité financière dans la mesure où les politiques monétaires des grandes banques centrales commencent à diverger. « Dans un environnement de politiques monétaires divergentes et de volatilité accrue du marché financier, il faut élaborer les politiques avec soin et les communiquer de façon claire pour minimiser les répercussions négatives », expliquent les grands argentiers du G20 dans le document. « Nous continuerons de surveiller attentivement la volatilité du marché financier et prendrons les décisions qui s’imposent ». Les autorités monétaires, en particulier dans l’Union européenne, souhaitent que les marchés deviennent une source de financement alternative pour les entreprises, les banques freinant le crédit dans la mesure où elles doivent s’adapter à un environnement prudentiel devenu plus rigoureux. Le secteur financier estime que certaines exigences relatives aux fonds propres devront être revues en baisse pour encourager un tel financement, surtout en Europe, mais le communiqué du G20 se montre circonspect en la matière. Le G20 entend en effet s’assurer que le financement à partir du marché « remplisse son rôle de plus en plus actif de soutien à l’économie réelle, tandis que les risques d’instabilité financière doivent faire l’objet d’une réglementation et d’une surveillance adaptées ». Le texte s’inscrit en droite ligne des précédents communiqués du G20 dans un contexte où la Réserve fédérale américaine se prépare à relever ses taux directeurs alors que la BCE et la Banque du Japon continuent de suivre des politiques monétaires ultra-accommodantes. Cette attente d’un relèvement des taux de la part de la Fed provoque d’importantes sorties de capitaux hors des pays émergents, d’où les soucis du G20 à leur sujet.

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

Candidature de Paris aux JO de 2024 : pour quoi faire ?

 

Des jeux olympiques mais pour quoi faire ? En l’état actuel de notre économie on peut se demander si cette candidature est très opportune. En général pour la justifier l’évaluation des dépense est sous-évaluée , c’est ainsi que la facture des jeux de Londres a doublé pour atteindre  plus de 11 milliards d’euros. Par contre on a tendance ensuite à surévalué les retombée économiques. Il est de toute manière très complexe sinon impossible de mesurer les effets de tels événements. Il est clair que Hollande recherche tous les événements à consensus fort pour remonter la pente de la popularité. Ajoutons que pour décrocher les jeux, il est nécessaire d’entrer dans le processus de corruption du CIO ! Dans le même temps la France est aussi candidate à l’exposition universelle de 2025, un événement dont les effets économiques sosnt davantage certains. La question se propose de savoir s’il est bien raisonnable  de présenter la candidature de la France à ces deux événements très proches.  François Hollande a donc défendu lundi au Comité international olympique la candidature de Paris à l’organisation des Jeux d’été de 2024, que le président du CIO, Thomas Bach, a qualifiée de « forte » et d’ »exemplaire ». Candidate malheureuse aux JO de 2012 organisés à Londres, la ville de Paris devrait formaliser sa candidature auprès du CIO à la mi-septembre et saura dans un an si elle est retenue parmi les candidats officiels.   »Ce serait une formidable opportunité pour la France tout entière d’être au rendez-vous de 2024. Mais nous savons qu’il y a des étapes à franchir », a déclaré le président français devant la presse au siège du CIO, à Lausanne. « Dans toute compétition, il y a des règles et il convient de les respecter », a-t-il ajouté, au terme d’un entretien avec Thomas Bach, en compagnie du champion olympique Tony Estanguet, membre du comité international.  La candidature de Paris sera « une candidature très, très forte », a dit Thomas Bach.   »La France a beaucoup à offrir au mouvement olympique », a-t-il ajouté, rappelant le renouveau de l’olympisme initié par le Français Pierre de Coubertin en 1924.  Le président du CIO a évoqué une « candidature exemplaire » et salué le souci de la France de protéger l’environnement.   »Si elle continue dans cet esprit, vous avez tous les atouts », a-t-il ajouté. « Bonne chance à la France. »

 

« Studio » de 1.6 m2 à Paris : une amende de 20 000 euros pour l’agence et le propriétaire

«  Studio » de 1.6 m2 à Paris  : une  amende de 20 000 euros pour l’agence et le propriétaire

Après 15 ans passé dans un studio- pacard  de 1.6m2, le locataire va donc toucher une indemnité de 20 000 euros. Selon les informations du site 20minutes.fr, la cour d’appel de Paris a finalement alourdi les peines prononcées en première instance, à la fois à l’encontre de la propriétaire qui louait ce bien, mais aussi de l’agence immobilière qui en assurait la gestion. Elles ont été condamnées solidairement à verser un peu plus de 20.000 euros de dommages et intérêts au locataire, contre 10.000 euros en première instance. Soit le double. En tout, cela équivaut à cinq années de loyer remboursées.  «La cour d’appel a estimé que le locataire était en droit de se voir rembourser les loyers versés avant même la rédaction de cet arrêté, se réjouit Aurélie Geoffroy, l’avocate du locataire, contactée par 20Minutes.fr C’est une grande satisfaction.» Dans cette affaire, c’est surtout l’agence immobilière qui a été sanctionnée par la justice. Elle doit s’acquitter de verser les trois quarts des dommages et intérêts, le reste revenant à la propriétaire. «L’agent immobilier aurait dû s’assurer que le bail satisfaisait aux conditions légales», tacle ainsi la cour d’appel.  L’immobilier parisien fourmille de petites histoires sur les «mini» appartements ou studios. Le Figaro rapportait par exemple il y a quelques semaines cette petite annonce comme on en trouve des dizaines et des dizaines sur les sites de recherches de biens immobilier: «Une pièce, une chambre», dans la rue de Maubeuge (Paris 9e) de 6 mètres carrés… à vendre pour 76.000 euros. Soit 12.258 euros le mètre carré, bien au dessus des prix en vigueur dans le quartier. Quant à savoir ce que va faire (l’heureux?) propriétaire de ce bien, c’est un autre mystère: il est en effet interdit de louer un appartement de moins de 9 mètres carrés comme résidence principale, ni comme location saisonnière où la surface minimum doit être de 7 mètres carrés!

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