Archive pour le Tag 'pour'

Page 320 sur 374

700 contrats temporaires pour un salarié dans pour la même entreprise

700 contrats temporaires pour un salarié dans pour la même entreprise

 

C’est pas de l’esclavage mais ça y ressemble d’autant qu’il s’agit d’un immigré. Mais Manpower comme « Placo » ne sont pas réputés pour les largesses de leurs politiques sociales. C’est le retour au concept social de journalier payé souvent avec un lance pierres.  Travaillant pour l’entreprise Placoplatre dès 1982, à son arrivée en France, un Malien de 55 ans a été mis à la porte fin 2013, parce qu’il « avait simplement demandé à être en CDI« , raconte Régis Verbeke, le syndicaliste de Force Ouvrière (FO) qui l’a épaulé. Ce mercredi, il sera face au géant de l’intérim Manpower devant les prud’hommes de Bobigny. Entre 1982 et décembre 2013, cet intérimaire « a réalisé 703 missions » de travail temporaire, allant de deux jours à plusieurs mois, « toujours au profit de Placoplatre », précise son avocat, Harold Lafond. « C’était un bon soldat. Le matin, il se rendait chez Manpower et il embauchait le jour même » sur un site de production du groupe de matériaux de construction en Seine-Saint-Denis, ajoute-t-il.  « Des années, il est resté sans vacances », enchaînant les missions, relate-t-il. Intérimaire et étranger, dépendant de son travail pour obtenir le renouvellement de son titre de séjour, « c’est le genre de personnes qui endurent et ne se plaignent pas », estime Régis Verbeke.  L’intérimaire, qui outre Manpower a également assigné le groupe Placoplatre aux prud’hommes, demande la requalification de ses missions d’intérim en contrat à durée indéterminée. Concrètement, cela ne lui permettrait pas de retrouver son travail, mais il espère pouvoir toucher plusieurs dizaines de milliers d’euros d’indemnités. L’intérimaire voulait un contrat stable pour avoir le droit de faire venir sa femme et ses enfants en France, selon le délégué syndical central chez Manpower. D’après le Code du travail, le contrat d’intérim, « quel que soit son motif, ne peut avoir ni pour objet ni pour effet de pourvoir durablement un emploi lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise utilisatrice ». Interrogé, Manpower a refusé de s’exprimer avant l’audience, et Placoplatre n’a pas donné suite.

Grexit : risque pour l’économie mondiale (Valls)

Grexit : risque  pour l’économie mondiale (Valls)

 

Valls n’a peut être pas complètement tort. Certes il n’y a vraisemblablement pas un éclatement brutal de la bulle obligataire mais à coup sûr un renchérissement du coût de largent. Une remontée des taux forcément nuisible à l’économie qui pourraiat nourrir encore davantage la méfiance des entreprises comme des consommateurs alors que la croissance mondiale est déjà chancelante. Sans parler de l’envolée  des dettes publiques notamment de la France (1 point de taux en plus c’est de l’ordre de 4 milliard en plus d’endettement). »La sortie, pour la première fois, d’un pays de la zone euro, constituerait « un risque pour la croissance et l’économie mondiales » dit le Premier ministre ce mardi matin sur RTL. Il affirme aussi qu’il n’y a « pas de tabou sur la dette (de la Grèce) et sur le rééchelonnement. » Et il propose un débat à l’Assemblée nationale. « La France est convaincue que nous ne pouvons pas prendre le risque d’une sortie de la Grèce de la zone euro, à la fois sans doute pour des raisons économiques (…) mais surtout pour des raisons politiques. La sortie, pour la première fois, d’un pays de la zone euro, constituerait « un risque pour la croissance et l’économie mondiales » a dit Manuel Valls sur RTL. Selon le Premier ministre, il n’y a « pas de sujet tabou » sur le rééchelonnement de la dette.

Union européenne: Merkel pour l’entrée de la Serbie et de l’Albanie !!

Union européenne:  Merkel pour l’entrée de la Serbie et de l’Albanie !!

 

 

Plus on est de fous plus on rit ! Merkel qui se prononce au moment du vote grec pour l’entrée de l’Albanie et de la Serbie dans l’Union européenne. C’est la contradiction allemande, faire du business avec le maximum de pays dans une zone d’échanges commune mais ensuite imposer des règles inapplicables (au moins dans les délais) à ces mêmes pays. Avec l’Albanie c’est aussi banaliser la corruption. Drôle de timing qu’a choisi la chancelière allemande. Alors que le suspense qui entoure le référendum grec a atteint son paroxysme, Angela Merkel a estimé que tous les pays des Balkans de l’Ouest avaient une perspective d’entrée dans l’Union européenne. « Dans toutes les difficultés qui subsistent, on constate des progrès », a ainsi déclaré la chancelière dans son message vidéo hebdomadaire, soulignant à cette occasion le « succès » entourant l’entrée dans l’Europe de la Croatie et de la Slovénie. Angela Merkel doit se rendre dans quelques jours en visite officielle en Serbie, en Bosnie et en Albanie.  Pour ce qui est de la Serbie, qui a obtenu l’ouverture de négociations d’adhésion à l’UE en échange d’un accord de normalisation avec le Kosovo, la chancelière allemande a considéré que l’avancée des discussions à Bruxelles dépendrait de celle de la relation entre la Serbie et son ex-province à majorité albanaise : « Il y a encore vraiment beaucoup à faire, mais il y a des signes vraiment réjouissants ». « Dans l’ensemble, on peut dire que nous avons avancé, mais qu’il y a toujours de très gros problèmes », en particulier en Bosnie, a estimé Angela Merkel, qui considère néanmoins que l’Albanie est maintenant un candidat à l’entrée dans l’Union européenne.

 

Referendum grec : des prix Nobel pour le non

Referendum grec : des prix Nobel pour le non

 

Dans une interview au magazine Time, Joe Stiglitz, ancien chef économiste de la Banque Mondiale et prix Nobel d’économie en 2001 affirme n’avoir jamais vu une «dépression aussi délibérément imposée» à la Grèce par l’Europe, ajoutant qu’il «s’agit plus de pouvoir que d’économie». Stiglitz va plus loin et considère que la troïka a une «responsabilité criminelle dans le chaos» actuel, rappelant que «60 % des jeunes Grecs sont au chômage». Une diatribe sévère à l’encontre des créanciers de la Grèce, le FMI et les pays européens. Joseph Stiglitz propose à la troïka d’effacer purement et simplement la dette grecque, estimée à 300 milliards d’euros, et de verser à la Grèce des fonds afin de lui permettre de relancer son économie.  De son côté Paul Krugman a lui aussi appelé les Grecs à voter «non» lors du référendum, dans sa tribune du New York Times. Le prix Nobel d’économie en 2008 souligne que «l’économie grecque s’est effondrée principalement à cause des mesures d’austérité imposées à la Grèce». L’économiste juge qu’accroître l’austérité ne ferait que conduire à une impasse le pays qui «n’a jamais été aussi affaibli» et estime que «le gouvernement grec devrait être préparé à sortir de l’euro si nécessaire». Paul Krugman se prononce néanmoins contre un «Grexit», qui selon lui, engendrerait une panique bancaire dévastatrice.

Grèce : Un referendum pour rien

Grèce : Un referendum pour rien

 

L’Europe comme la Grèce joue depuis des mois à « coucou ,  fais-moi peur ! ». Derniere grande trouille en date : le referendum. Qui va changer quoi ? Pratiquement rien car sitôt après le referendum l les discussions vont reprendre, régler le court terme et s’éterniser à nouveau. La question centrale set celle de la réduction de la dette globale, impossible à rembourser, mais on ne peut régler ce problème définitivement car la France est dans uen situation identique à celle de la Grèce (les Italien, les espagnols pas loin). 31 000euros de dette par habitant pour la France et 28 000 pour les Grecs ! Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, a d’ailleurs déclaré à un journal allemand s’attendre à parvenir à un accord avec les créanciers de son pays lundi, quel que soit le résultat du référendum de dimanche.   »Je m’attends à ce que nous ayons un accord lundi. Et cela ne dépendra pas du fait qu’une majorité vote ‘oui’ ou ‘non’ lors du référendum », a-t-il dit au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung selon des extraits de l’entretien publiés samedi. « N’écoutez pas ceux qui disent que l’offre n’est plus sur la table: bien sûr qu’elle y est toujours, puisque c’est ce qu’ils veulent », a-t-il ajouté à propos des propositions des créanciers.  Il s’en est également pris à son homologue allemand, Wolfgang Schäuble.   »M. Schäuble a clairement dit en 2012 qu’il préférerait un Grexit », a-t-il dit selon le journal.

Revenus agriculteurs : en moyenne 1700 euros mais pour 12 heures de travail au moins

  • Revenus agriculteurs : en moyenne 1700 euros mais pour 12 heures de travail au moins

 

Le revenu des agriculteurs ou éleveurs est déjà très moyen ( certains en fait n’ont que l’équivalent du RSA) mais si on rapporte cela au nombre d’heures  ( 12 heurs par jour minimum; 7 jours sur 7) ,c’est insignifiant. Et l’année 2014 est marquée par une baisse des prix à la production pour la plupart des productions animales et végétales. Les résultats seraient en baisse par rapport à 2013 dans une majorité de domaines, à l’exception de la viticulture, des élevages bovins lait et ovin/caprin.

Après une légère baisse en 2013, les récoltes de céréales ainsi que d’oléagineux et de protéagineux se redressent en 2014, mais ne permettraient pas de compenser la nette dépréciation des prix. Dans ces conditions, le résultat moyen des exploitations spécialisées en grandes cultures reculerait de 44 % pour s’établir à 17.500 euros par actif non salarié.

En arboriculture fruitière, la récolte des espèces à noyau (pêche, abricot) serait plus abondante en 2014 qu’en 2013, mais leurs prix ont enregistré une forte baisse. Le résultat moyen de l’ensemble des exploitations fruitières reculerait donc de 56 %, à 13.400 euros. Dans les exploitations maraîchères, les surfaces cultivées sont en léger recul et les prix sont également en baisse, entraînant une diminution de la production en valeur. Le résultat moyen des exploitations spécialisées en maraîchage et horticulture s’établirait à 21.300 euros (- 5,5 %).

Avec une récolte en forte hausse par rapport à celles exceptionnellement basses de 2012 et 2013 et des stocks réduits, la production viticole s’accroîtrait. Les prix resteraient bien orientés sur la campagne et permettraient au résultat moyen des exploitations viticoles d’atteindre 46.200 euros en 2014, soit une hausse de 27 % par rapport à 2013. Dans les exploitations d’élevage, le volume de la plupart des productions animales est en hausse, ou reste stable, à l’exception des volailles.

Dans les exploitations spécialisées dans les bovins lait, la valeur de la production augmenterait de façon soutenue sous l’effet conjugué de la hausse de la production et des prix. Le résultat par actif non salarié augmenterait de 28 % et s’établirait à 30.100 euros Avec le recul des prix, les élevages spécialisés en bovins viande verraient leur revenu reculer à 14.500 euros, un niveau inférieur d’environ 21% par rapport à 2013. En revanche, la situation s’améliorerait dans les élevages ovins et caprins grâce à une légère hausse des prix et une revalorisation des subventions ; le résultat moyen atteindrait 20.000 euros (+ 23 %).Dans les exploitations avicoles, la situation est contrastée. En volaille de chair, la baisse des prix conjuguée à des volumes en légère baisse conduirait à une diminution de la valeur de la production. En filière ponte, en revanche, la valeur de la production augmenterait grâce à la hausse des volumes. Sur l’ensemble des deux filières, le résultat moyen des exploitations resterait stable à 20.700 euros.Dans les exploitations porcines, compte tenu du recul des prix et de la valeur de la production, le revenu se replierait à 22.100 euros par actif non salarié (- 18 %).

* Une exploitation est considérée comme moyenne ou grande si sa production brute standard moyenne (PBS) dépasse 25.000 euros.

Sondage les Grecs sont responsables de « leur » crise pour 58% et les Français ?

Sondage  les Grecs sont responsables de « leur » crise pour 58% et les Français ?

Les Français ont raison de penser que les Grecs sont sans doute  responsables de leur crise ( pas les seuls cependant). Mais il serait intéressant de connaitre le sentiment des Français sur la crise proprement française. Ce serait vraisemblablement  un résultat proche. En matière de dette la situation de la France est en effet pire que celle de la Grèce. 315 milliards d’endettement pour la Grèce soit environ 28 000 euros par habitant. 2000 milliards pour la France soit 31 000 euros environ. Une dette impossible à rembourser dans les deux cas.  Selon un sondage Odoxa pour l’émission CQFD sur iTélé, 58% des Français estiment que les Grecs sont les principaux responsables de la crise qui les touchent. 41% ont répondu quant à eux que les créanciers de la Grèce (FMI, Union Européenne) sont les responsables. Du côté des sympathisants de gauche, ils imputent à une très faible majorité la faute aux créanciers (50% contre 48%), tandis que les sympathisants de droite imputent majoritairement la faute au peuple grec. Selon cette même étude, 65% des Français ne s’opposent pas au référendum et estiment même que c’est une bonne chose. Un avis partagé par les sympathisants de droite comme de gauche qui approuvent respectivement cette initiative à 66% et 62%. Enfin, 75% des sondés ne partagent pas l’avis de François Hollande lorsqu’il affirme qu’il n’y a rien à craindre du référendum en Grèce. A gauche, ils sont 57% à penser différemment du Président, et chez les sympathisants de droite ils sont 87%.

Région-département : une réforme pour rien !

Région-département : une réforme pour rien !

 

Finalement une reforme pour rien. On devait supprimer les départements : ils sont maintenus. On devait transférer le maximum de compétences aux régions : les départements en conserveront de nombreuses. Restera l ‘intercommunalité maintenu à 20 000 habitants. Un critère idiot puisque dans certaines zones très urbanisée l’intercommunalité s’effectuera sur 1 ou 2 kms dans d’autres zones très rurale jusqu’à 70 kms ! Avec en plus des découpages tout a fait arbitraire.   Les députés français ont adopté vendredi en deuxième lecture le projet de loi sur la nouvelle organisation territoriale de la République (dite « loi NOTRe ») qui redéfinit les compétences des nouvelles régions, des départements et des communes. Ce texte, qui complète la loi ramenant de 22 à 13 le nombre des régions métropolitaines, limite les transferts de compétences des départements aux régions et aux intercommunalités, contrairement aux ambitions initiales du projet du gouvernement qui souhaitait réduire fortement le coûteux « mille-feuille » administratif français. Le texte initial proposait de transférer le maximum de compétences des départements aux régions et aux intercommunalités en vue de la suppression des conseils départementaux en 2020. Mais de nombreux élus, notamment les radicaux de gauche qui appartiennent à la majorité présidentielle, ont obtenu du Premier ministre Manuel Valls qu’il se prononce en faveur du maintien des départements, notamment en zone rurale. Les députés ont également réduit les pouvoirs et moyens de la future métropole du Grand Paris (MGP). Un amendement du gouvernement a été voté qui fixe au début de 2017 le transfert à celle-ci de ses principales compétences. Les groupes PS, écologiste et radicaux de gauche ont voté ce texte dans la nuit de jeudi à vendredi après avoir supprimé de nombreuses dispositions ajoutées par le Sénat, où la droite est majoritaire. Les groupes Les Républicains, UDI (centriste) et Front de gauche ont voté contre. A la demande du gouvernement, les députés ont décidé de transférer aux régions la gestion des transports scolaires alors que le Sénat proposait de les laisser aux départements. L’Assemblée a également rétabli à 20.000 habitants – le Sénat l’avait fixé à 5.000 – le seuil minimal d’une intercommunalité et a décidé que les conseillers intercommunaux seraient élus au suffrage universel direct. Une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat devrait se réunir prochainement afin de tenter de mettre au point un texte commun aux deux assemblées.

 

Crise en Grèce : Hollande parle pour ne rien dire ( Bayrou)

Crise en Grèce : Hollande parle pour ne rien dire ( Bayrou)

Pour François Bayrou, le référendum, confirmé par Alexis Tsipras mercredi 1er juillet, est avant tout « un moment où vont se rencontrer toute la mise en scène qui a été faite et la réalité du peuple grec et ce qu’il a à l’esprit ». Et si le Premier ministre appelle à voter « non », le président du Modem le voit comme une remise en cause de l’euro. « Jusqu’à présent, dans le monde entier, on considérait qu’un pays de la zone euro était protégé par l’euro. On pouvait prêter à un pays et on était sûr d’être remboursé, donc les taux d’intérêt étaient bas. Mais là, on va être dans une situation où un pays de la zone euro peut faire faillite ». Mais le maire de Pau est conscient que seules deux solutions sont possibles lors du référendum organisé dimanche 5 juillet. « Ou il y a un ‘oui’ et le gouvernement saute, ou il y a un ‘non’ et c’est l’enclenchement de la sortie de l’euro et peut-être même de l’Union européenne« , a-t-il déclaré. On multiplie les discours sur des choses qui ne sont pas de grande importance et on ne dit rien sur l’essentiel. Peu confiant, François Bayrou « ne croit pas une seconde aux affirmations rassurantes » qui sont faites par François Hollande. « Elles sont peut-être obligatoires mais je suis interrogatif sur l’absence publique du Président. Les citoyens sont tous dans l’inquiétude et il devrait être là pour partager avec les Français son analyse de la situation », a-t-il critiqué. Et ce avant une dernière attaque : « On multiplie les discours sur des choses qui ne sont pas de grande importance et on ne dit rien sur l’essentiel ».

 

Financement participatif : téléthon pour la Grèce

Financement participatif : téléthon pour la Grèce

 

Sympa l’ initiative d’un  jeune britannique qui veut sauver la Grèce. Malheureusement même si l’argent était réuni, ça ne changerait rien en Grèce car l’argent irait aux créanciers. En outre les européens ont déjà donné via le circuit prêts des banques à la Grèce, rachat par la BCE, baisse de l’euro. Plus tard par la hausse des taux, l’inflation et la perte de pouvoir d’achat. En outre la question de l’endettement n’est pas seulement grec. La France non plus ne pourra pas rembourser sa dette mais tant qu’elle peut emprunter pour rembourser !. Sauver la Grèce de la banqueroute, voilà le rêve de Thom Feeney, jeune Londonien de 29 ans travaillant dans une boutique de chaussures à Covent Garden.  La Grèce ne remboursera pas les 1,6 milliards qu’elle doit au FMI. Thom Feeney veut donc encourager tous les européens à donner pour sauver la Grèce de la banqueroute, l’équivalent selon lui du « prix d’une salade feta olives », afin d’éviter au berceau de l’Europe d’être frappé par le défaut de paiement. Thom Feeney a donc lancé dimanche une campagne de crowfunding. Il cherche à recueillir autant d’argent que possible pour la Grèce et jusqu’à présent, il a recueilli plus de 73.000 euros sur Indiegogo. Une goutte dans l’océan, et pourtant, diverses récompenses sont proposées aux généreux donateurs : une salade feta et olives donc, une petite bouteille d’Ouzo ou une carte postale du Premier ministre grec Alexis Tsipras, tout est bon pour pousser l’internaute à donner d’ici à sept jours.

Sondage Grève taxis : justifiée pour 57%

Sondage Grève taxis : justifiée pour 57%

Les taxis n’ont pas une très bonne image ( en gros :  bons professionnels mais pas aimables) pour une majorité de Français qui par contre ont estimé que le mouvement de grève était légitime. Sans surprise,  c’est en région parisienne, théâtre des incidents les plus violents, que «les réponses sont les plus négatives sur tous les indicateurs », remarque Gaël Sliman, président d’Odoxa. Est-ce à dire que les sondés préfèrent la concurrence ? Nullement, sauf en Ile-de-France. « Bien que choqués par les violences qu’ils attribuent aux taxis, ils estiment tout de même que, dans son principe, leur mouvement était bien justifié, analyse Gaël Sliman. 57% des Français jugent ainsi que les taxis ont raison d’avoir provoqué la grève du 25 juin malgré les nombreux bouchons qu’elle a provoquée. » Bref, sur le fond, les Français donnent raison aux taxis, peu protégés par la loi et les pouvoirs publics (la Préfecture de police de Paris a néanmoins annoncé, hier, le déploiement de 200 policiers supplémentaires pour pister les chauffeurs UberOP), tout en estimant que sur la forme, ils ont poussé le bouchon trop loin.

Pour une suspension temporaire des remboursements de la dette grecque ( DSK)

Pour une suspension temporaire des remboursements de la dette grecque ( DSK)

 

 

DSK refait surface et propose les paiements de la dette grecque soient suspendus. Une manière de sortir de l’impasse ridicule sans doute dans laquelle nous sommes puisque l’ obligation qui est faite  par Bruxelles de rembourser les échéances prochaines ne pourra être exécutée que si l’Europe accorde de nouveaux prêts. L’ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn, en poste au début de la crise grecque, a donc appelé samedi les Européens à accepter une suspension temporaire des paiements d’Athènes. L’ex-ministre français des Finances a fait cette proposition dans une déclaration de trois pages en anglais et en français, intitulée « Apprendre de ses erreurs » et postée par l’intermédiaire de son compte twitter, alors que la Grèce risque mardi le défaut de paiement après la rupture des négociations samedi avec ses partenaires de la zone euro.

La mode du numérique pour délirer

La mode du numérique pour délirer

Un article qui vaut le détour celui de RTL à  propos du développement du numérique supposé tout transformer dans la société , en fait aussi permettre tous les excès et transformer en travailleur indépendant surexploité ( mais libre) les salariés actuels. Visiblement le fantasme  numérique permet aussi tous les délires de journalistes et on se demande si effectivement si un robot à la place de ce journaliste se seraiat pas plus pertinent.

 

Extrait : »La SNCF veut être avec vous de porte à porte ». Mais en fait elle se diversifie, comprenant bien que le modèle classique du monopole de la grande entreprise est un modèle qui se termine. Les clients, maintenant, sont en attente de valeur. Ils veulent bien donner leur argent, mais à un modèle qui leur correspond. C’est pareil pour La Poste. Le courrier décline. Les postiers vont faire passer le code, développer un rôle de service. Et bien d’autres entreprises encore se transforment.  Ces dernières sont clairement en danger. Le virage numérique et la crise économique ont donné plein d’idées à une nouvelle génération d’entrepreneurs. Alors aujourd’hui, ces BlaBlaCar, Airbnb ou KissKissBankBank se développent de façon exponentielle. Elles ne sont presque rien pendant quelques mois, puis elles explosent leur marché très rapidement. La preuve avec Airbnb : 50 logements proposés en Île-de-France sur le site il y a cinq ans, 40.000 aujourd’hui. Ces nouveaux acteurs ont entre 30 et 45 ans. Ce sont des innovateurs. Ils ne veulent pas se plaindre du coût du travail ni des charges sociales. Ils sont passés au-delà. Ils se font appeler les « barbares », parce qu’ils envahissent tous les secteurs d’activité. Avec Skype, vous ne payez plus vos communications. Avec seloger.com, vous vous passez d’agent immobilier. Avec Lendopolis, une PME se finance directement auprès des particuliers, sans passer par une banque. Une étude du cabinet Roland Berger parle de la disparition de 3 millions d’emplois d’ici dix ans. Le modèle de l’activité salariée, tel qu’on le connaît depuis des dizaines d’années, pourrait disparaître au profit des travailleurs indépendants. Airbnb va rayer de la carte des hôteliers. Cela va détruire des emplois. Mais l’argent que vous économiserez sur une chambre d’hôtel, vous le dépenserez dans un bon resto ou en faisant du shopping. Il faut revoir tout notre modèle. Certains vont même plus loin. Le numérique leur permettrait de détruire le capitalisme, carrément. De toute façon, les emplois seront remplacés à terme par des robots, nous prédit l’économiste Jeremy Rifkin, auteur de La troisième révolution industrielle.
La guerre entre taxis et VTC, dont on parle tant ces jours-ci, sera oubliée dans quelques années. De toute façon, les voitures rouleront sans chauffeur. » !!!

 

Bref on mélange tout, la vraie valeur ajoutée du numérique dans les processus de production, de distribution et de commercialisation et le gadget prétexte pour échapper aux règles fiscales et sociales. Il faut faire jeune, numérique, rebelle, innovant. Donc un discours sorte de cocktail de jeunisme, de scientisme, d’anarcho- libéralisme qui obscurcit encore la nature de la crise et qui permet au moins de faire l’effort de compréhension de la complexité des mutations en cours.

Pour « une coalition mondiale contre le totalitarisme islamique » (François Fillon)

Pour « une coalition mondiale contre le totalitarisme islamique » (François Fillon)

Il a raison Fillon, une vraie coalition mondiale contre les islamistes est nécessaire. On peut en effet s’étonner que le monde soit actuellement incapable d’exterminer uen armée de 40 000 hommes, certes déterminés mais qui sosnt loin d’être des militaires professionnels. Quelle seraiat la situation si un autre dictature fou parvenait à mobiliser 400 000 , voire 4 millions d’hommes ? Fillon a encore raison quand il estime qu’il faut inclure l’Iran et la Russie dans cette coalition, c’est à dire tous ceux qui ont de l’influence au moyen orient. Fillon, ancien Premier ministre s’est prononcé pour « une coalition mondiale contre le totalitarisme islamique », vendredi, après l’attentat terroriste à Sousse qui a fait 37 morts, Tunisiens et touristes étrangers. M. Fillon s’était rendu en Tunisie début mai,  »au lendemain des élections qui ont consolidé la démocratie en Tunisie et après l’attentat sanglant du musée du Bardo« , rappelle son entourage dans un communiqué. « Tunisie, mais aussi Irak, Liban, Emirats, Jordanie, François Fillon a multiplié ces derniers mois les déplacements au Moyen-Orient car il estime que c’est là que se situe le problème de sécurité le plus grave auquel est confrontée l’Europe », poursuit-on de même source. « Si le Moyen-Orient basculait dans le chaos, le prix à payer pour l’Occident serait à la fois économique et sécuritaire. La montée du totalitarisme islamique n’est plus un sujet régional, c’est un fléau mondial qui s’étend géographiquement et menace toutes les civilisations et que seule une très large coalition peut espérer éradiquer », affirme-t-on également. Selon ses proches, la « coalition qu’il appelle de ses vœux depuis des semaines doit associer tous les pays du Proche-Orient, l’Europe, les Etats-Unis, mais aussi la Russie et l’Iran. Ne pas les associer, c’est se priver de toutes possibilités de résoudre cette crise ».

 

Pour un Uber MEDEF ?

Pour un Uber MEDEF ?

 

Le numérique change tout, un bon prétexte pour déréguler ;  certes le numérique apporte sans conteste une révolution dans les processus de production mais il ne aurait servir de prétexte  pour justifier n’importe quoi en particulier pours’ affranchir des règles de concurrence. Les grands médias sont sous le charme de ce numérique qu’elles connaissent à peine ( comme les politiques). Pour en témoigner  il suffit d’écouter le tissu de bêtises dites par les grands journaliste à propos des taxis ( comme du reste). .Où est la révolution numérique des taxis puisqu’il s’agit de réserver par téléphone (  téléphone fixe, portable ou Smartphone cela ne change rien) cela existe depuis 40 ans ! En fait ces applications  « ‘ révolutionnaires »  ont surtout un objectif détourner les règles nationales en matière salariale, fiscale ou de sécurité. Certes il faut dépoussiérer le système actuel, le moderniser pour autant affranchir de tout n’est pas la solution. Pourquoi pas aussi un Uber services  dans tous les secteurs et aussi un Uber Medef «  vous disposez de quelques heures par jour venez vous faire un complément de salaire en tant que travailleur indépendant non déclaré »  ( ou si peu). En plus c’est exploitation , 15 euros  de l’heure pour UberPOp  à peine de quoi amortir les coûts de la voiture mais cela génère uen peu de trésorerie. C’est la schizophrénie de l’  homo economicus français partagé entre sa volonté de payer le moins  cher possible sa consommation mais pour autant pas prêt de renoncer à sa couverture sociale ( retraite, chômage maladie etc.).

 

1...318319320321322...374



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol