Archive pour le Tag 'trahison'

Politique-Un poste de ministre pour récompenser la trahison de Ciotti

 
Ciotti sera donc récompensé de sa trahison vis-à-vis des républicains dont il était le président. C’est Bardella qui lui promet un poste pour avoir rallié le RN.

Jordan Bardella a précisé les contours de son gouvernement, s’il devient premier ministre. Le président du Rassemblement national a affirmé dans une interview au JDD que «les Républicains auront naturellement une place au sein de [mon] gouvernement»«Éric Ciotti lui-même d’ailleurs», a-t-il précisé, après que le président des Républicains a noué une alliance avec le RN.

Son gouvernement sera par ailleurs composé de «personnes issues du RN ainsi que d’autres mouvements politiques»«Il y aura aussi des personnalités de la société civile, sélectionnées non seulement pour leur compétence, leur sérieux et leur expertise, mais aussi pour leur instinct politique», a-t-il poursuivi.

Ciotti Professionnel de la politique depuis qu’il a 23 ans a montré son instinct politique quand il a constaté que le RM obtenait plus de 40 % dans  sa circonscription de Nice !

 

Un poste de de ministre pour récompenser la trahison Ciotti

Un poste de de ministre pour récompenser la trahison Ciotti
Ciotti sera donc récompensé de sa trahison vis-à-vis des républicains dont il était le président. C’est Bardella qui lui promet un poste pour avoir rallié le RN.

Jordan Bardella a précisé les contours de son gouvernement, s’il devient premier ministre. Le président du Rassemblement national a affirmé dans une interview au JDD que «les Républicains auront naturellement une place au sein de [mon] gouvernement»«Éric Ciotti lui-même d’ailleurs», a-t-il précisé, après que le président des Républicains a noué une alliance avec le RN.

Son gouvernement sera par ailleurs composé de «personnes issues du RN ainsi que d’autres mouvements politiques»«Il y aura aussi des personnalités de la société civile, sélectionnées non seulement pour leur compétence, leur sérieux et leur expertise, mais aussi pour leur instinct politique», a-t-il poursuivi.

Ciotti Professionnel de la politique depuis qu’il a 23 ans a montré son instinct politique quand il a constaté que le RM obtenait plus de 40 % dans  sa circonscription de Nice !

 

Non seulement Ciotti est un « déserteur »  mais en plus il aurait bien voulu emporter avec lui la caisse et les effectifs des Républicains pour les vendre au Rassemblement national. Ciotti  est coutumier du décalage entre ses convictions et son action. Ainsi il  a réussi l’exploit de devenir d’un des plus ardents partisans du service militaire obligatoire suspendu en 97 alors qu’il a écrit lui-même à Chevènement pour se faire dispenser de ce service au motif que sa compagne était enceinte. Il a donc été dispensé du service national.

De quoi évidemment jeter un doute sérieux sur un personnage qui n’a pratiquement jamais par ailleurs travaillé ailleurs que dans la politique depuis ses 23 ans. D’une certaine manière, l’archétype du personnel politique qui a transformé la fonction élective en métier quitte à se vendre pour un plat de lentilles

Ciotti : la trahison pour quel plat de lentilles .

Ciotti : la trahison pour quel plat de lentilles .

De l’avis de la plupart des observateurs et du monde politique le président des républicains a démissionné dans son intérêt personnel et sans doute après avoir négocié pour rejoindre le rassemblement national.

 

Il aurait vraisemblablement obtenu l’assurance concernant trois aspects :
–sa réélection de députés
–le soutien du RN pour arracher la mairie de Nice
–enfin cerise sur le gâteau un portefeuille ministériel sans doute de l’intérieur qui lui permettra en plus de parader lors des JO.

Bref un copieux plat de lentilles mais qui n’honore pas la politique qui se livre en cette occasion à un marchandage assez pitoyable. Rien d’étonnant de la part de celui qui n’a jamais guère brillé ni par sa droiture, ni par sa dimension.

Pour tout dire qui n’aura jamais le prix Goncourt et le personnage est assez médiocre. Il n’y a encore pas si longtemps  Ciotti affirmait qu’il fallait considérer le Front National comme un adversaire et même un ennemi avec lequel il n’était pas question de s’allier.

Pire le matin même, il a assisté à une réunion des dirigeants du parti républicain sans évoquer à aucun moment ce retournement de veste. C’est à la télévision à 13 heures qu’il a fait part publiquement de sa trahison.

Il est clair que Ciotti est fondé à rejoindre le rassemblement national soit individuellement, soit collectivement. Mais en l’occasion, il a sérieusement manqué de probité et de courage. mieux, Pire il veut maintenant demeurer président d’un parti qu’il a  trahi.

C’est aussi un mauvais coup contre la représentation politique. Les Français doutent déjà depuis longtemps de l’honnêteté et de la compétence de beaucoup de responsables et cette affaire finalement minable ne fera que confirmer leurs interrogations.

 

 

Politique- « Républicains » : Sarkozy tente d’expliquer sa nouvelle trahison !

Politique- « Républicains » : Sarkozy tente d’expliquer sa nouvelle trahison !

C’est la troisième fois que Sarkozy trahit son camp. Ces jours derniers en proposant à son ancien parti les  » Républicains » de se dissoudre dans la majorité de Macron. En 2017 comme en 2022, il avait préféré Macron au candidat de son parti. Sarkozy est un habitué des trahisons ; la plus spectaculaire étant celle du lâchage de Chirac au profit de Balladur. Sarkozy tente de justifier son soutien renouvelé à Macron avec des les arguments politiques mais qui cachent mal en réalité les péripéties judiciaires dont l’ancien chef de l’État ne parvient pas à se libérer ( affaire de financement par Kadhafi en particulier). Dans l’intérêt de la France, » la meilleure décision possible était donc d’aider le président Macron  » déclare-t-il.

Sarkozy soutient donc encore Macron tout en signalant qu’il ne lui donne pas quitus et qu’il ne partage pas ses orientations !

Pour autant, assure Nicolas Sarkozy, ce soutien ne signifie pas quitus. « Est-ce à dire que je suis d’accord avec tout, ou satisfait de tout ? C’est une autre histoire », précise-t-il en indiquant par exemple que la crise des carburants a été mal «gérée».

Nicolas Sarkozy ne s’en cache pas : après trois défaites à la présidentielle, Sarkozy n’est pas tendre pour son ancien parti les  » républicains » qu’il condamne d’une certaine manière et invite à rejoindre Macron et réciproquement. Ils devraient donc travailler avec Emmanuel Macron dont il espère qu’il se positionnera davantage à droite. « J’aimerais parfois qu’il franchisse le Rubicon de façon plus franche, car la France est aujourd’hui majoritairement du côté du parti de l’autorité, de la fermeté, de la liberté », détaille Nicolas Sarkozy. « Appelez cela centre droit, centre, droite républicaine, peu importe : l’axe stratégique du pays se trouve clairement là », développe-t-il encore.

Si l’ancien président de la République assure n’avoir « aucun conseil à donner » à son successeur, il l’invite à mener une politique en accord avec les préoccupations des Français dans un pays dont les idées de droite sont devenues majoritaires. « Si j’avais un souhait, c’est que la matrice politique du président se rapproche davantage de la matrice du pays telle que je la ressens », affirme Nicolas Sarkozy en l’invitant, dans un contexte de majorité relative et de 49-3, à « chercher à faire un accord avec toutes les bonnes volontés prêtes à constituer une majorité dans l’intérêt supérieur du pays ». Un message très clair pour appeler le président « affaibli parce qu’il n’a pas eu la majorité absolue » à gouverner jusqu’aux Républicains. sarkosy Qui n’est pas une contradiction près, affirme cependant demeurer chez les « Républicains » et qu’il est à jour de cotisation aux Républicains.

«J’en resterai membre ma vie durant. Parce que j’aime ses militants. Parce que je partage avec eux des souvenirs et des émotions qui sont gravés pour toujours dans mon cœur. On ne quitte pas sa famille politique», répond-il. À l’attention d’Aurélien Pradié et surtout de Bruno Retailleau qui veulent «tourner la page» du sarkozysme, Nicolas Sarkozy juge que «c’est leur droit» mais qu’ils font fausse route selon lui. Et de condamner pratiquement son ancien parti qu’il a vite à faire ça révolution interne ou plutôt et en même temps à rejoindre Macron.

«Le plus important pour cette formation politique, c’est de réfléchir à sa stratégie», développe-t-il. Pour lui, sans participation aux affaires, les Républicains perdront leur culture de parti de gouvernement. «Nos idées sont sans doute majoritaires, mais sans incarnation elles demeurent impuissantes», avance-t-il
Un accord de gouvernement avec la droite, c’est pour l’ancien chef de l’État la seule solution de conduire les réformes nécessaires, comme la réforme des retraites. « Si demain l’argent venait à manquer, ce seraient les retraités d’aujourd’hui qui ne toucheraient plus leurs retraites », prévient Nicolas Sarkozy qui ne se prive pas de critiquer la CFDT ou François Bayrou. Le syndicat de Laurent Berger comme le Haut-Commissaire au Plan appellent à ne pas passer en force sur la question des retraites. Une curieuse attaque dans la mesure où Bayrou comme la CFDT ne sont pas opposés à la réforme des retraites mais sûrement pas en force et sur la base des propositions du gouvernement.

L’ancien président n’a pas forcément tort sur tout mais il est plein de contradictions surtout en rapport entre son discours et sa pratique ancienne. Il est également assez approximatif sur beaucoup de sujets économiques. Sarkozy trahit aujourd’hui encore les Républicains, comme il avait trahi jadis Chirac !

« Républicains » : Sarkozy tente d’expliquer sa nouvelle trahison !

« Républicains » : Sarkozy tente d’expliquer sa nouvelle trahison !

Sarkozy tente de justifier son soutien renouvelé à Macron avec des les arguments politiques mais qui cachent mal en réalité les péripéties judiciaires dont l’ancien chef de l’État ne parvient pas à se libérer ( affaire de financement par Kadhafi en particulier). Dans l’intérêt de la France, » la meilleure décision possible était donc d’aider le président Macron « .

Sarkozy soutient donc encore macron tout en signalant qu’il ne lui donne pas quitus et qu’il ne partage pas ses orientations !

Pour autant, assure Nicolas Sarkozy, ce soutien ne signifie pas quitus. « Est-ce à dire que je suis d’accord avec tout, ou satisfait de tout ? C’est une autre histoire », précise-t-il en indiquant par exemple que la crise des carburants a été simplement «gérée».

Nicolas Sarkozy ne s’en cache pas : après trois défaites à la présidentielle, Sarkozy n’est pas tendre pour son ancien parti les  » républicains » qu’il condamne d’une certaine manière et invite à rejoindre Macron et réciproquement. Ils devraient donc travailler avec Emmanuel Macron dont il espère qu’il se positionnera davantage à droite. « J’aimerais parfois qu’il franchisse le Rubicon de façon plus franche, car la France est aujourd’hui majoritairement du côté du parti de l’autorité, de la fermeté, de la liberté », détaille Nicolas Sarkozy. « Appelez cela centre droit, centre, droite républicaine, peu importe : l’axe stratégique du pays se trouve clairement là », développe-t-il encore.

Si l’ancien président de la République assure n’avoir « aucun conseil à donner » à son successeur, il l’invite à mener une politique en accord avec les préoccupations des Français dans un pays dont les idées de droite sont devenues majoritaires. « Si j’avais un souhait, c’est que la matrice politique du président se rapproche davantage de la matrice du pays telle que je la ressens », affirme Nicolas Sarkozy en l’invitant, dans un contexte de majorité relative et de 49-3, à « chercher à faire un accord avec toutes les bonnes volontés prêtes à constituer une majorité dans l’intérêt supérieur du pays ». Un message très clair pour appeler le président « affaibli parce qu’il n’a pas eu la majorité absolue » à gouverner jusqu’aux Républicains. sarkosy Qui n’est pas une contradiction près, affirme cependant demeurer chez les « Républicains » et qu’il est à jour de cotisation aux Républicains.

«J’en resterai membre ma vie durant. Parce que j’aime ses militants. Parce que je partage avec eux des souvenirs et des émotions qui sont gravés pour toujours dans mon cœur. On ne quitte pas sa famille politique», répond-il. À l’attention d’Aurélien Pradié et surtout de Bruno Retailleau qui veulent «tourner la page» du sarkozysme, Nicolas Sarkozy juge que «c’est leur droit» mais qu’ils font fausse route selon lui. Et de condamner pratiquement son ancien parti qu’il a vite à faire ça révolution interne ou plutôt et en même temps à rejoindre Macron.

«Le plus important pour cette formation politique, c’est de réfléchir à sa stratégie», développe-t-il. Pour lui, sans participation aux affaires, les Républicains perdront leur culture de parti de gouvernement. «Nos idées sont sans doute majoritaires, mais sans incarnation elles demeurent impuissantes», avance-t-il
Un accord de gouvernement avec la droite, c’est pour l’ancien chef de l’État la seule solution de conduire les réformes nécessaires, comme la réforme des retraites. « Si demain l’argent venait à manquer, ce seraient les retraités d’aujourd’hui qui ne toucheraient plus leurs retraites », prévient Nicolas Sarkozy qui ne se prive pas de critiquer la CFDT ou François Bayrou. Le syndicat de Laurent Berger comme le Haut-Commissaire au Plan appellent à ne pas passer en force sur la question des retraites. Une curieuse attaque dans la mesure où Bayrou comme la CFDT ne sont pas opposés à la réforme des retraites mais sûrement pas en force et sur la base des propositions du gouvernement.

L’ancien président n’a pas forcément tort sur tout mais il est plein de contradictions surtout en rapport entre son discours et sa pratique ancienne. Il est également assez approximatif sur beaucoup de sujets économiques. Sarkozy trahit aujourd’hui encore les Républicains, comme il avait trahi jadis Chirac !

Politique: Sarkozy tente d’expliquer sa trahison !

Politique: Sarkozy tente d’expliquer sa trahison !

Sarkozy tente de justifier son soutien renouvelé à Macron avec des les arguments politiques mais qui cachent mal en réalité les péripéties judiciaires dont l’ancien chef de l’État ne parvient pas à se libérer ( affaire de financement par Kadhafi en particulier). Dans l’intérêt de la France, » la meilleure décision possible était donc d’aider le président Macron « .

Sarkozy soutient donc encore macron tout en signalant qu’il ne lui donne pas quitus et qu’il ne partage pas ses orientations !

Pour autant, assure Nicolas Sarkozy, ce soutien ne signifie pas quitus. « Est-ce à dire que je suis d’accord avec tout, ou satisfait de tout ? C’est une autre histoire », précise-t-il en indiquant par exemple que la crise des carburants a été simplement «gérée».

Nicolas Sarkozy ne s’en cache pas : après trois défaites à la présidentielle, Sarkozy n’est pas tendre pour son ancien parti les  » républicains » qu’il condamne d’une certaine manière et invite à rejoindre Macron et réciproquement. Ils devraient donc travailler avec Emmanuel Macron dont il espère qu’il se positionnera davantage à droite. « J’aimerais parfois qu’il franchisse le Rubicon de façon plus franche, car la France est aujourd’hui majoritairement du côté du parti de l’autorité, de la fermeté, de la liberté », détaille Nicolas Sarkozy. « Appelez cela centre droit, centre, droite républicaine, peu importe : l’axe stratégique du pays se trouve clairement là », développe-t-il encore.

Si l’ancien président de la République assure n’avoir « aucun conseil à donner » à son successeur, il l’invite à mener une politique en accord avec les préoccupations des Français dans un pays dont les idées de droite sont devenues majoritaires. « Si j’avais un souhait, c’est que la matrice politique du président se rapproche davantage de la matrice du pays telle que je la ressens », affirme Nicolas Sarkozy en l’invitant, dans un contexte de majorité relative et de 49-3, à « chercher à faire un accord avec toutes les bonnes volontés prêtes à constituer une majorité dans l’intérêt supérieur du pays ». Un message très clair pour appeler le président « affaibli parce qu’il n’a pas eu la majorité absolue » à gouverner jusqu’aux Républicains. sarkosy Qui n’est pas une contradiction près, affirme cependant demeurer chez les « Républicains » et qu’il est à jour de cotisation aux Républicains.

«J’en resterai membre ma vie durant. Parce que j’aime ses militants. Parce que je partage avec eux des souvenirs et des émotions qui sont gravés pour toujours dans mon cœur. On ne quitte pas sa famille politique», répond-il. À l’attention d’Aurélien Pradié et surtout de Bruno Retailleau qui veulent «tourner la page» du sarkozysme, Nicolas Sarkozy juge que «c’est leur droit» mais qu’ils font fausse route selon lui. Et de condamner pratiquement son ancien parti qu’il a vite à faire ça révolution interne ou plutôt et en même temps à rejoindre Macron.

«Le plus important pour cette formation politique, c’est de réfléchir à sa stratégie», développe-t-il. Pour lui, sans participation aux affaires, les Républicains perdront leur culture de parti de gouvernement. «Nos idées sont sans doute majoritaires, mais sans incarnation elles demeurent impuissantes», avance-t-il
Un accord de gouvernement avec la droite, c’est pour l’ancien chef de l’État la seule solution de conduire les réformes nécessaires, comme la réforme des retraites. « Si demain l’argent venait à manquer, ce seraient les retraités d’aujourd’hui qui ne toucheraient plus leurs retraites », prévient Nicolas Sarkozy qui ne se prive pas de critiquer la CFDT ou François Bayrou. Le syndicat de Laurent Berger comme le Haut-Commissaire au Plan appellent à ne pas passer en force sur la question des retraites. Une curieuse attaque dans la mesure où Bayrou comme la CFDT ne sont pas opposés à la réforme des retraites mais sûrement pas en force et sur la base des propositions du gouvernement.

L’ancien président n’a pas forcément tort sur tout mais il est plein de contradictions surtout en rapport entre son discours et sa pratique ancienne. Il est également assez approximatif sur beaucoup de sujets économiques. Sarkozy trahit aujourd’hui encore les Républicains, comme il avait trahi jadis Chirac !

Mercato politique : Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison

Mercato politique : Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison

Le dernier acte de trahison pitoyable est évidemment celui de Ségolène Royal qui n’a jamais accepté de n’être pas préférée à Anne Hidalgo pour les élections de 2022. Mais d’autres sont coutumiers des trahisons. Pour des raisons parfois politiques crédibles mais le plus souvent pour de bas intérêt personnels et pour satisfaire leur ego surdimensionné.

 

C’est le cas sans doute le plus important avec Macron. Discrètement introduit comme techno dans le cabinet de Hollande et qui finalement a pris sa place. Le pire c’est que rien ne le prédestinait à devenir politique. Il n’a jamais milité. Il n’a aucun passé social, aucune expérience et sans doute aussi aucune conviction hormis celle de servir les grands intérêts financiers. Son ego est aussi tellement surdimensionné qu’il tutoie le dérèglement mental. -À peine élu, il a témoigné de sa quasi démence avec sa descente à pied vers le Louvre, à la fois pathétique et ridicule.

 

Il y a aussi un autre champion de la trahison qui lui continue d’opérer sur le long terme. Il s’agit de Sarkozy qui a lâché Chirac alors que ce dernier était en difficulté pour se faire réélire. Ce qui n’a pas empêché Sarkozy de revenir au bercail afin de récupérer l’onction du parti pour devenir à son tour président. Celui-là est vraiment un spécialiste des coups fourrés. Ne parlons pas des gamelles financières tellement nombreuses qu’elles en ont éclaboussé tout son entourage. Dans la coulisse Sarkozy participe à la démolition de la candidature de Valérie Pécresse en envoyant ses anciens lieutenants démolir celle qui été choisie par le parti républicain pour 2022. Ainsi Éric Woerth, lui aussi impliqué dans les affaires financières de Sarkozy, Estrosi, Rachida Dati, Nadine Moreno qui ne cessent  de pilonner la candidate républicaine.

Mais  ce courant de de trahison semble contaminer à peu près toutes les organisations politiques à gauche, à droite et aux extrêmes.

Il est clair que les convictions peuvent évoluer mais pas de manière aussi brutale et aussi soudaine. Pendant des années, ces responsables ont vanté les mérites de leur parti et de leurs dirigeants et c’est soudain à la veille des élections qu’ils se mettent à dire tout le mal qu’il pense de ce qu’ils ont défendu pendant des années.

Une attitude lamentable qui confirme que la plupart des politiques font prévaloir leur intérêt personnel voir leurs pulsions sur tout concept d’intérêt collectif. De quoi déconsidérer encore davantage des organisations politiques déjà largement discréditées.

Politique-Présidentielle 2022: des ralliements en forme de trahison souvent opportunistes

Politique-Présidentielle 2022: des ralliements en forme de trahison souvent opportunistes

 

Le grand mercato politique commence et n’est sans doute pas terminé. Il atteindra sans doute son apogée au moment des élections législatives où la bataille sera rude pour décrocher une investiture.

Ces changements d’écurie politique ne sont pas tous intéressés mais ils constituent cependant de véritables trahisons. En effet pourquoi attendre la veille d’une élection pour changer de camp et dire autant de mal d’une personne ou d’un mouvement après en avoir dit autant de bien.

L’exemple plus caricatural est sans doute celui d’Éric Woerth. L’intéressé n’a cessé de considérer la gestion financière de Macron comme particulièrement dangereuse et irresponsable. Et d’un coup il change d’opinion…. au nom de la France évidemment !

On peut comprendre que certains évoluent dans leurs opinions mais ce qui est particulièrement critiquable c’est de le manifester en trahissant son ancien camp à la veille d’une élection. D’une certaine manière, c’est un moyen de discréditer encore un peu plus une classe politique dont les convictions déjà peu fiables sont en plus à géométrie variable.

Il y a évidemment des spécialistes dans ce domaine du nomadisme politique dont certains ont connu et traversé cinq ou six formations politiques. Ceux-là  sont de purs opportunistes qui ont transformé en tout cas largement contribué à  faire du mandat électoral un métier rémunérateur.

Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison politique …

Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison politique …

Le dernier acte de trahison pitoyable est évidemment celui de Ségolène Royal qui n’a jamais accepté de n’être pas préférée à Anne Hidalgo pour les élections de 2022. Mais d’autres sont coutumiers des trahisons. Pour des raisons parfois politiques crédibles mais le plus souvent pour de bas intérêt personnels et pour satisfaire leur ego surdimensionné.

 

C’est le cas sans doute le plus important avec MacroN. Discrètement introduit comme techno dans le cabinet de Hollande et qui finalement a pris sa place. Le pire c’est que rien ne le prédestinait à devenir politique. Il n’a jamais milité. Il n’a aucun passé social, aucune expérience et sans doute aussi aucune conviction hormis celle de servir les grands intérêts financiers. Son ego est aussi tellement surdimensionné qu’il tutoie le dérèglement mental. -À peine élu, il a témoigné de sa quasi démence avec sa descente à pied vers le Louvre, à la fois pathétique et ridicule.

 

Il y a aussi un autre champion de la trahison qui lui continue d’opérer sur le long terme. Il s’agit de Sarkozy qui a lâché Chirac alors que ce dernier était en difficulté pour se faire réélire. Ce qui n’a pas empêché Sarkozy de revenir au bercail afin de récupérer l’onction du parti pour devenir à son tour président. Celui-là est vraiment un spécialiste des coups fourrés. Ne parlons pas des gamelles financières tellement nombreuses qu’elles en ont éclaboussé tout son entourage. Dans la coulisse Sarkozy participe à la démolition de la candidature de Valérie Pécresse en envoyant ses anciens lieutenants démolir celle qui été choisie par le parti républicain pour 2022. Ainsi Éric Woerth, lui aussi impliqué dans les affaires financières de Sarkozy, Estrosi, Rachida Dati, Nadine Moreno qui ne cessent  de pilonner la candidate républicaine.

Mais  ce courant de de trahison semble contaminer à peu près toutes les organisations politiques à gauche, à droite et aux extrêmes.

Il est clair que les convictions peuvent évoluer mais pas de manière aussi brutale et aussi soudaine. Pendant des années, ces responsables ont vanté les mérites de leur parti et de leurs dirigeants et c’est soudain à la veille des élections qu’ils se mettent à dire tout le mal qu’il pense de ce qu’ils ont défendu pendant des années.

Une attitude lamentable qui confirme que la plupart des politiques font prévaloir leur intérêt personnel voir leurs pulsions sur tout concept d’intérêt collectif. De quoi déconsidérer encore davantage des organisations politiques déjà largement discréditées.

Présidentielle 2022: des ralliements en forme de trahison souvent opportuniste

Présidentielle 2022: des ralliements en forme de trahison souvent opportuniste

 

Le grand mercato politique commence et n’est sans doute pas terminé. Il atteindra sans doute son apogée au moment des élections législatives où la bataille sera rude pour décrocher une investiture.

Ces changements d’écurie politique ne sont pas tous intéressés mais ils constituent cependant de véritables trahisons. En effet pourquoi attendre la veille d’une élection pour changer de camp et dire autant de mal d’une personne ou d’un mouvement après en avoir dit autant de bien.

L’exemple plus caricatural est sans doute celui d’Éric Woerth. L’intéressé n’a cessé de considérer la gestion financière de Macron comme particulièrement dangereuse et irresponsable. Et d’un coup il change d’opinion…. au nom de la France évidemment !

On peut comprendre que certains évoluent dans leurs opinions mais ce qui est particulièrement critiquable c’est de le manifester en trahissant son ancien camp à la veille d’une élection. D’une certaine manière, c’est un moyen de discréditer encore un peu plus une classe politique dont les convictions déjà peu fiables sont en plus à géométrie variable.

Il y a évidemment des spécialistes dans ce domaine du nomadisme politique dont certains ont connu et traversé cinq ou six formations politiques. Ceux-là  sont de purs opportunistes qui ont transformé en tout cas largement contribué à  faire du mandat électoral un métier rémunérateur.

Crise des sous-marins : une vraie trahison de l’Australie ( Naval Group)

Crise des sous-marins : une vraie trahison de l’Australie ( Naval Group)

 

Difficile de faire plus hypocrite que l’Australie qui pendant des semaines et des mois a laissé croire que le projet avec la France était engagé ; or d’après Naval Group le matin même de la dénonciation du contrat le gouvernement australien affirmait encore sa volonté de poursuivre le partenariat avec la France. Une duplicité rare, même si derrière les États-Unis était à la manœuvre avec en plus l’action de mouche à merde de Boris Johnson qui saute sur toutes les occasions pour torpiller l’Europe et la France.

Le PDG de naval Group Pierre Éric Pommellet, assure dans le Figaro que le matin même du jour de la dénonciation du contrat, le gouvernement australien « avait accepté l’offre de Naval Group qui aurait permis d’engager une nouvelle phase du programme ».

- Quand avez-vous été informé de la décision de l’Australie ?

Pierre Éric POMMELLET. – Mercredi 15 septembre, nous avons reçu un coup de téléphone du ministère australien de la défense, qui nous a demandé de participer à une audioconférence à 13H30. C’est au cours de cette réunion que le ministère nous a informés de la résiliation pour convenance du contrat.

 Nous étions sous le choc. Cette décision nous a été annoncée sans aucun préavis, avec une brutalité inouïe. D’autant que tous les voyants étaient au vert.

 

La trahison des racialistes vis-à-vis de la France (Rachel Khan)

La trahison des racialistes vis-à-vis de la France (Rachel Khan)

 

 

L’actrice et essayiste, qui refuse le discours victimaire, vient d’être comparée à l’affiche «Banania» par la militante associative Rokhaya Diallo. Une insulte qui, selon Rachel Khan, dévoile le véritable visage du nouvel «antiracisme».

Rachel Khan est juriste, scénariste, actrice et écrivain. Dans son dernier essai, Racée (L’Observatoire), elle se moque des nouvelles idéologies «décoloniales» et «intersectionnelles» qui, sous prétexte d’antiracisme, ne font, selon elle, qu’alimenter les ressentiments.


Tribune

 

Répondant à l’une de mes interventions télévisuelles, Rokhaya Diallo m’a adressé une illustration de Banania avec cette mention:«Tant qu’on les caresse dans le sens du poil et qu’on chante les louanges de la France, ils nous adorent». Par ce message insultant, elle dévoile le véritable visage de la lutte antiraciste.

Le racisme n’a pas de couleur.

Il est peut-être même la chose la plus partagée au monde.

Dès lors, si les insultes varient, la violence, elle, reste la même. Ainsi, selon la couleur de peau du haineux, on passe de nègre à nègre de maison, de la valorisation de la traite à la dévalorisation du traître, du singe trop gourmand au Bounty dont la noix de Coco intérieure est raffinée, du lancé de Banane au Banania, personnage devenu le symbole de la soumission des colonisés.

Quoi de surprenant, dans cette atteinte?

La lutte dite «antiraciste» des identitaires racialistes est un danger profond. C’est précisément ce que je tente de démontrer dans mon livre «Racée». Or, depuis sa sortie la mise en abyme entre le texte et le réel est fascinante.

Parce que ma pensée est indépendante des décoloniaux, mes paroles libres leur sont insupportables.

L’ouvrage énonce les mots utilisés dans la lutte dite antiraciste et qui dans le réel détruisent notre société universaliste, laïque et républicaine pour la remplacer par une société fermée faite de colère, de haine, de ressentiment donc de violence. Parce que mon livre est celui d’une afroyiddish, à l’histoire très spécifiquement française de la Shoah et de l’immigration, d’une femme qui n’aurait pas pu naître ailleurs qu’en France, pays des Lumières et d’ouverture, où les mariages d’amour «mixtes» sont possibles, et j’en suis la preuve, on me demande de me taire.

C’est trop tard, le livre est là. Le livre vit. De manière irréelle et prémonitoire, j’y décris les mécanismes «wokes» que j’éprouve personnellement aujourd’hui. Depuis sa sortie c’est un «déchaînement» de tous les identitaires racialistes pour mieux m’enchaîner.

Pour ces militants, être noire est une pensée unique. Toute liberté d’expression est circonscrite au dogme de la communauté, que je serais censée représenter au non de la « cause »

Car, pour ces militants, être noire est une pensée unique. Toute liberté d’expression est circonscrite au dogme de la communauté, que je serais censée représenter au non de la «cause».

Embrasser la France, sa liberté, son désir d’égalité, sa fraternité est une trahison, où mieux argument ultime: ferait le jeu des fachos. Fin du dialogue.

Ici aucun débat d’idée n’est possible. La pulsion haineuse prend tout individu libre pour cible. L’échange est banni, il faut vaincre et non convaincre toute personne dont le discours ne va pas dans le sens de cette idéologie de la vengeance à l’égard de l’homme blanc.

Or, en 2021, nous n’avons pas de leçon à recevoir de la colonisation des idéologies wokes issus d’un pays ségrégationniste il y a encore peu de temps, qui se prétendent être des sciences sociales pour opérer à la castration de nous-mêmes.

Je n’ai pas, non plus, de leçon à recevoir pour parler de mon livre où j’ai tenté pendant plusieurs mois de déployer dans une forme intime et littéraire une pensée face à ces nouvelles formes d’intolérance venues des États-Unis qui nous tuent.

Pour ces derniers, l’idée n’est plus d’ouïr mais de jouir de l’intimidation, de l’humiliation, de la terreur, de couper la parole sans cesse dans de faux débats dont les seuls fanatiques peuvent penser que c’est ainsi que l’on gagne.

La période exige des positions claires face aux discriminations et non de lutter contre le racisme par le racisme

Or, en France, nous sommes des identités multiples, complexes, en mouvement. La liberté d’expression et de création fait partie de nos principes fondamentaux. Mon livre a pour objet les mots, le langage, l’importance de préserver une création libre, un dialogue et de nous protéger contre cette nouvelle dictature en sourdine. Il s’agit surtout, d’un ouvrage relatif à notre réparation intime et des moyens de recoudre la société grâce à la transmission de notre héritage universaliste, pour que toujours nous puissions lutter contre toutes les formes d’injustices et de discriminations ensemble quel que soit notre pedigree ; car sur cette bataille-là, nous avons besoin de toutes les forces.

La période exige des positions claires face aux discriminations et non de lutter contre le racisme par le racisme. Si j’ai écrit «Racée» c’est pour permettre à tous les républicains et universalistes de s’exprimer sans crainte et sans peur.

Et puis il faut garder en tête que plus nous serons nombreux à défendre nos principes plus les Bananes et autres Banania sur nos peaux auront l’avantage de glisser.

Politique : « PS, sept ans de trahison »

Politique : « PS, sept ans de trahison »

Les réactions d’un lecteur du monde, Maurice Blanc,  au s’article : « PS, sept ans de trahison » « Même si le PS a des spécificités indéniables, vos constats concernent les partis politiques dans leur ensemble. Quand Pierre Moscovici déclare : « Qui a trahi a peur d’être trahi », ceci ne vaut pas uniquement pour Emmanuel Macron et La République En Marche ! De l’extrême droite à l’extrême gauche, tout le monde est concerné. » considère Maurice Blanc

« Fidèle abonné du « Monde », j’ai lu avec beaucoup d’intérêt la série de six articles d’articles de Gérard Davet et Fabrice Lhomme « PS, sept ans de trahisons » et je vous félicite pour une enquête qui a dû être difficile » Jacques Loic / Photononstop

Fidèle abonné du « Monde », j’ai lu avec beaucoup d’intérêt la série de six articles d’articles de Gérard Davet et Fabrice Lhomme « PS, sept ans de trahisons » et je vous félicite pour une enquête qui a dû être difficile. Même si cette lecture est attristante, elle dévoile les rancœurs et les trahisons qui ont abouti à la mort du Parti socialiste. Ses dirigeants se comportent comme des élèves dans la cour de récréation, leurs querelles d’ego et leur infantilisme sont affligeants.

Je comprends que vous vous en teniez à votre sujet et que vous ne vous permettiez aucune extrapolation. C’est ce que j’ai longtemps enseigné à mes étudiants ! Ici, sur deux points au moins, vous auriez pu monter en généralité.

1. Même si le PS a des spécificités indéniables, vos constats concernent les partis politiques dans leur ensemble. Quand Pierre Moscovici déclare : « Qui a trahi a peur d’être trahi », ceci ne vaut pas uniquement pour Emmanuel Macron et La République En Marche ! De l’extrême droite à l’extrême gauche, tout le monde est concerné. Le mépris des corps intermédiaires, en commençant par celui des partis politiques, s’inscrit dans une tradition bonapartiste, renouvelée par le général De Gaulle et toujours présente, à droite comme à gauche.

2. Paradoxalement, cette faillite avérée apporte une lueur d’espoir : si les experts autoproclamés qui confisquent le pouvoir du peuple échouent lamentablement, il faut prendre au sérieux la sagesse populaire et jouer à fond la carte de la démocratie participative.

Maurice Blanc, professeur émérite de sociologie, université de Strasbourg

Les «gilets jaunes» : la trahison des leaders

«Gilets jaunes» : la trahison des leaders

Indiscutablement le mouvement  des gilets  jaunes aura traduit au début un mécontentement social largement partagé dans l’opinion. Mais dérive en dérive, le mouvement s’est complètement discrédité. La responsabilité en revient à des leaders complètement incompétents pour mener une lutte sociale d’une telle ampleur. D’une certaine manière, ces leaders par leurs contradictions et leur entêtement ont trahi l’esprit même des gilets  jaunes. Pour preuve, ce sont les mêmes qui ont condamné tout contact avec les pouvoirs publics qui quémande une audience improbable auprès de Macron. L’objectif de départ était de virer Macron de l’Elysée et on finit avec une piteuse demande d’audience qui sera refusée.  En dépit de l’écroulement de la participation, les gilets jaunes continuent d’épuiser les quelques forces qui leur restent. Cette gestion du mouvement est assez pathétique puisqu’on est passé d’une participation de plusieurs centaines de milliers de manifestants à quelques milliers au point qu’il n’y a même pas une ligne dans la plupart des médias pour rendre compte de manifestations de plus en plus anecdotiques.

En cause, évidemment l’incapacité totale à structurer le mouvement par des leaders gauchistes et populistes complètement irresponsables. Une évolution bien connue dans les mouvements sociaux traditionnels. Plus la participation diminue et plus les mots d’ordre gauchistes durcissent  l’action jusqu’à l’épuisement total. On voudrait discréditer l’action qu’on ne s’y prendrait pas autrement. Il est à craindre cependant que les leaders gauchistes s’enferment un peu plus chaque samedi dans leur entêtement mortifère et le mouvement des gilets jaunes finira  avec quelques dizaines  de protestataires. D’une certaine manière,  l’étiolement de la participation rend service au pouvoir qui peut d’autant mieux critiquer un mouvement qui au départ avait un certain   sens mais qui de dérive en dérive a perdu toute notion d’objectif et de stratégie. Pour parler clair, on est passé de la contestation sociale à la protestation politique sans la moindre perspective d’aboutir. L’objectif annoncé des «gilets jaunes» de la rentrée : obtenir «un septembre noir» traduit bien le ridicule et l’inconséquence des leaders gauchistes. En fait on connait surtout un automne complètement transparent chez les Gilets jaunes.

 

 

Les «gilets jaunes» : la trahison des leaders

Les «gilets jaunes» : la trahison des leaders

Indiscutablement le mouvement  des gilets  jaunes aura traduit au début mécontentement social largement partagé dans l’opinion. Mais dérive en dérive, de mouvement s’est complètement discrédité. La responsabilité en revient à des leaders complètement incompétents pour mener une lutte de social d’une telle ampleur. D’une certaine manière, ces leaders par leurs contradictions et leurs entêtements ont trahi l’esprit même des gilets  jaunes. Pour preuve ce sont les mêmes qui ont condamné tout contact avec les pouvoirs publics qui quémande une audience improbable auprès de Macron . En dépit de l’écroulement de la participation, les gilets jaunes continuent d’épuiser les quelques forces qui leur restent. Cette gestion du mouvement est assez pathétique puisqu’on est passé d’une participation de plusieurs centaines de milliers de manifestants à quelques milliers au point qu’il n’y a même pas une ligne dans la plupart des médias pour rendre compte de manifestations de plus en plus anecdotiques. En cause, évidemment l’incapacité totale à structurer le mouvement par des leaders gauchistes et populistes complètement irresponsables. Une évolution bien connue dans les mouvements sociaux traditionnels. Plus la participation diminue et plus les mots d’ordre gauchiste durcissent  l’action jusqu’à l’épuisement total. On voudrait discréditer l’action qu’on ne s’y prendrait pas autrement. Il est à craindre cependant que les leaders gauchistes s’enferment un peu plus chaque samedi dans leur entêtement mortifère et le mouvement des gilets jaunes finira  avec quelques dizaines  de protestataires. D’une certaine manière,  l’étiolement de la participation rend service au pouvoir qui peut d’autant mieux critiquer un mouvement qui au départ avait un certain   sens mais qui de dérive en dérive a perdu toute notion d’objectif et de stratégie. Pour parler clair, on est passé de la contestation sociale à la protestation politique sans la moindre perspective d’aboutir. L’objectif annoncé des «gilets jaunes» de la rentrée : obtenir «un septembre noir» traduit bien le ridicule et l’inconséquence des leaders gauchistes. En fait on connait surtout un automne complètement transparent chez les Gilets jaunes.

 

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