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Environnement–accord de Paris : retrait prochain des États-Unis

Environnement–accord de Paris : retrait prochain des États-Unis

Donald Trump, qui a qualifié par le passé le changement climatique de canular, avait retiré les Etats-Unis de l’Accord de Paris de 2015 après sa première élection à la présidence en 2016, décision sur laquelle était revenue son successeur Joe Biden. Mais après la récente élection de trame, les États-Unis préparent un nouveau retrait de l’accord de Paris. L’enjeu évidemment et de s’affranchir des objectifs environnementaux pour renforcer la compétitivité économique du pays.

 

L’équipe de transition de Donald Trump a préparé des décrets pour retirer à nouveau les Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat et réduire la superficie des zones protégées du territoire américain afin d’autoriser de nouveaux forages et projets miniers, rapporte vendredi le New York Times.

Donald Trump devait également mettre fin à un moratoire sur la création de nouveaux terminaux d’exportation de gaz naturel et supprimer une dérogation permettant à la Californie et d’autres Etats d’avoir des normes anti-pollution plus sévères que dans le reste du pays.

 

Économie : le risque des promesses de Trump

Économie : le risque des promesses de Trump

L’imposition de droits de douane de 10 % à 20 % à toutes les importations tout comme une politique migratoire trop stricte pourraient porter un mauvais coup à l’économie américaine, qui jouit d’une excellente santé, diagnostique l’économiste Jason Furman, dans une tribune au « Monde ».

Donald Trump héritant d’une excellente économie, la question est de savoir s’il sera capable de la maintenir en cet état. Aujourd’hui, la croissance du PIB réel avoisine 3 %, les dépenses des consommateurs et les investissements des entreprises sont en plein essor, le taux de chômage atteint presque son niveau le plus bas depuis un demi-siècle, et l’inflation s’approche de l’objectif de la Réserve fédérale.

Le risque majeur dans cet heureux tableau est que Trump tienne ses promesses de campagne, avec entre autres : une augmentation des droits de douane, un radical coup de frein à l’immigration, une hausse du déficit et la fin de l’indépendance de la Réserve fédérale. Il est toutefois probable que le président ne respecte pas les pires de ses promesses : d’une part ce ne serait pas la première fois qu’il ne tiendrait pas sa parole, d’autre part le marché boursier lui ferait aussitôt comprendre que ce n’est pas là une bonne idée. Hélas, la Bourse ne donne pas de retour de bâton sur des questions comme le dérèglement climatique, les discriminations raciales, l’Etat de droit ou le financement de l’aide à l’Ukraine.

Cela dit, il n’est pas exclu que Trump tienne en grande partie voire en totalité ses promesses de campagne. Il aura sans doute assez de pouvoir pour imposer unilatéralement à la Chine la hausse d’au moins 60 % des droits de douane qu’il a promise. Cette hausse, qui ferait passer ces droits à plus du double de leur niveau actuel, excéderait largement toute forme de politique sensée visant à défendre la sécurité nationale ou les règles commerciales. Elle accélérerait du reste le coûteux découplage des deux plus grandes économies mondiales.
Même si ce ne serait pas du goût de la Bourse, il est possible que Trump s’accroche mordicus à cette idée bornée et erronée selon laquelle l’imposition de droits de douane de 10 % à 20 % à toutes les importations permettrait de faire cracher au bassinet les entreprises étrangères, en aidant les Etats-Unis aux dépens du monde. De tels droits de douane, cependant, ne manqueraient pas d’être à terme attaqués devant les tribunaux et créeraient dans l’intervalle une forte incertitude. Les premiers perdants dans cette affaire, estime le Centre d’études prospectives et d’informations internationales, un think tank français, seraient les Etats-Unis et la Chine, mais l’Europe et d’autres pays du monde y laisseraient également des plumes.

Europe : la Banque de France redoute des conséquences négatives avec Trump

Europe : la Banque de France redoute des conséquences négatives avec Trump

Il est clair que si Trump applique son programme il faudra prendre en compte les effets de la nouvelle étape de protectionnisme des États-Unis, ce qui se traduira notamment une baisse de croissance et davantage d’inflation. La compétitivité européenne va se trouver mécaniquement affectée et la baisse des échanges économiques va peser négativement sur l’activité.

La victoire de Donald Trump «augmente les risques pour l’économie mondiale», a estimé mercredi le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, soulignant la nécessité d’une «remobilisation européenne». «Je crois que le résultat de l’élection américaine augmente à la fois les risques pour l’économie mondiale et la nécessité d’une remobilisation européenne», a commenté le gouverneur lors d’une conférence à Lyon.

Une administration Trump entrainera «probablement plus de protectionnisme», «ce qui signifie plus d’inflation, au moins aux Etats-Unis, et à priori moins de croissance partout dans le monde», a souligné le banquier central. Il a également relevé un déficit budgétaire américain probablement plus élevé et l’augmentation des incertitudes, ce qui risque également de peser sur la croissance. «L’élection américaine doit sonner le réveil européen» après «un long engourdissement», a commenté François Villeroy de Galhau, soulignant que «l’Europe aborde cette nouvelle donne avec des faiblesses évidentes», dont le «retard technologique» et la «division politique».

États-Unis : une nouvelle baisse des taux

États-Unis : une nouvelle baisse des taux

 

Une nouvelle baisse des taux de l’ordre d’un quart de point  est probable dès les jours prochains aux États-Unis. Une décision qui prend notamment en compte la maîtrise de l’inflation et la détérioration de l’emploi. L’inflation attendue aux alentours de 2,1 % en 2025, soit la cible de long-terme de la banque centrale. Une politique monétaire restrictive n’a donc plus beaucoup d’intérêt La Banque centrale américaine, la Fed, devrait donc annoncer jeudi une nouvelle baisse de ses taux, un mouvement engagé en septembre à la faveur de la baisse de l’inflation.

«Nous tablons toujours sur une baisse, au moins en novembre», a déclaré Diane Swonk, cheffe économiste pour KPMG, dans un entretien à l’AFP.

Les taux se situent actuellement dans la fourchette de 4,75 à 5,00%. Une coupe d’un quart de point de pourcentage est majoritairement anticipée par les marchés, selon l’évaluation de CME Groupe.

Foot Ligue des champions : le PSG encore battu

Foot Ligue des champions : le PSG encore battu

Une nouvelle fois le PSG a déçu et cela dès le début de la compétition en accumulant déception sur déception. Le PDG a en effet enregistré une nouvelle défaite 2-1 face à l’Atlético de Madrid.

La qualification du PSG pour la ligue des champions paraît de plus en plus compromise et témoigne toujours des mêmes faiblesses manque d’engagement, manque de condition physique et trop de maladresses. Bref la confirmation que le PSG n’est pas au niveau pour cette compétition.

Santé- variant du virus Mpox : des transmissions locales

Santé- variant du virus Mpox :  des transmissions locales

Deux personnes ont contracté le nouveau variant du virus Mpox au Royaume-Uni après avoir été en contact avec un malade revenu d’Afrique, ce qui en fait les premières transmissions locales hors d’Afrique, a annoncé mardi 5 novembre l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Ces deux personnes vivent  »dans le même foyer qu’une personne testée positive peu de temps après un voyage dans plusieurs pays africains », précise l’OMS, ajoutant que ce sont « les premiers cas transmis localement en Europe et même les premiers en dehors d’Afrique » depuis août 2024.

. Une semaine plus tôt, l’agence britannique avait détecté à Londres un premier cas d’infection de ce nouveau variant. D’autres avaient précédemment été détectés en Allemagne, en Suède et dans plusieurs pays d’Asie.

Auparavant appelé variole du singe, le Mpox est une maladie virale qui se propage de l’animal à l’homme mais se transmet aussi entre humains, provoquant fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées. Depuis plusieurs mois, une nouvelle épidémie touche l’Afrique, les chiffres d’infection les plus élevés se trouvant en République démocratique du Congo (RDC), au Burundi et au Nigeria.

Foot Ligue des champions : encore un bon résultat de Lille

Foot Ligue des champions : encore un bon résultat de Lille

 

Après avoir battu le Real Madrid et l’Atlético, le LOSC a tenu en échec la Juventus lors de la 4e journée de Ligue des champions (1-1). Les Lillois ont ouvert le score par Jonathan David, en première période, avant l’égalisation de Dusan Vlahovic sur pénalty à l’heure de jeu. Les hommes de Bruno Genesio, avec 7 points, s’approchent de la qualification pour la suite de la compétition.

Pétrole : maintien des restrictions de production

Pétrole : maintien des restrictions de production

Dimanche, huit membres de l’Opep+ -Arabie Saoudite, Russie, Irak, Emirats Arabes Unis, Koweït, Kazakhstan, Algérie et Oman- ont annoncé dimanche une extension de leurs coupes de production de pétrole jusqu’à fin décembre, reportant ainsi la réouverture des vannes.

Les huit pays « ont convenu de prolonger d’un mois leurs réductions volontaires supplémentaires de production de 2,2 millions de barils par jour », a indiqué l’alliance dans un communiqué.

Cette décision vise à soutenir les prix, le WTI américain et le Brent se situant autour de 70 dollars face à une demande incertaine et une offre qui accélère.

Les cours sont minés depuis plusieurs mois par les incertitudes économiques, notamment en Chine, deuxième consommateur mondial et principal moteur de la croissance de la demande mondiale de pétrole, et aux Etats-Unis, suspendus aux résultats de l’élection américaine prévue le 5 novembre.

Augmentation du délai de carence des fonctionnaires : les Français

Augmentation du délai de carence des fonctionnaires : les Français 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 61 % des Français sont favorables au passage « d’un à trois jours de carence pour les fonctionnaires » ainsi qu’à « réduire les exonérations de cotisations sur les bas salaires ».

 

Budget: « Des sous, des sous »!

« Des sous, des sous »!

Sans doute en mal de contributions, le Monde diffuse un papier de responsable de différentes associations et autres syndicats pour réclamer davantage d’argent au service du social et de l’écologie. Bref pour résumer, « des sous,  encore des sous ». Un cri poussé partout par  les corporatismes de toute nature qui s’appuient  sur des arguments parfois pertinents mais dont  le résultat est d’accentuer encore déficit et dette. Bref un exemple d’irresponsabilité collective.

Dans une tribune au « Monde », les représentants des associations, fondations, syndicats, mutuelles réunis au sein du Pacte du pouvoir de vivre appellent les parlementaires à se mobiliser pour atteindre un budget écologiquement et socialement 

Un milliard d’euros en moins sur la rénovation thermique des logements, 1,1 milliard en moins pour les remboursements de soin au détriment des patients, un coup de rabot de 60 % du fonds vert, une diminution de 20 % dans l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap et de 25 % du budget consacré à l’économie sociale et solidaire, une réduction de 6 000 places d’hébergement pour les demandeurs d’asile et de 4 000 enseignants dans les écoles… Le projet de budget du gouvernement pour 2025 donne le « la » en privant de plusieurs milliards d’euros la cohésion sociale et notre avenir commun.

Ce budget de rigueur est en effet à rebours des besoins de la société : il propose de moins financer ce qu’il faudrait financer davantage. Quand il faudrait, par exemple, de 25 à 34 milliards d’euros supplémentaires chaque année pour la transition écologique juste, 4 milliards supplémentaires par an pour affronter la crise du logement, 9,2 milliards de plus pour une politique de l’autonomie et du grand âge, 1 milliard supplémentaire pour les bourses étudiantes, le gouvernement choisit de faire des coupes budgétaires aux impacts profonds et durables sur des millions de citoyens, et en particulier sur celles et ceux en situation de précarité, tout en fragilisant les associations qui œuvrent à leurs côtés.

Miser majoritairement sur la réduction des dépenses publiques est une approche dangereuse qui ne tient, par ailleurs, pas compte du coût de l’inaction sur le climat, la biodiversité, la lutte contre la pauvreté ou encore la santé.

A titre d’exemple, selon le secteur des assurances, la France perdrait de 1 % à 10 % de son produit intérieur brut au cours des cinquante prochaines années si le réchauffement mondial atteignait 2 °C. Ne rien faire nous coûtera in fine plus cher.


C’est pourquoi nos associations, fondations, syndicats, mutuelles réunis au sein du Pacte du pouvoir de vivre appellent les parlementaires à mobiliser toutes les marges de manœuvre qui existent, dès ce projet de loi de finances 2025, pour atteindre un budget écologiquement et socialement cohérent, avec une vision de long terme.

Bientôt des trains légers autonomes sur lignes secondaires

Bientôt des trains légers autonomes sur lignes secondaires

La perspective de train autonome dans le ferroviaire paraît autrement plus sérieuse que celle concernant les engins  routiers. En cause, le fait que le fer dispose d’une infrastructure en site propre donc complètement dédiée à la seule circulation des trains. Depuis le mois de juin, une  rame de TER équipée de nombreux capteurs récolte déjà des données qui viendront abreuver le projet TELLi (Train Léger innovant), lequel vise «à élaborer la future génération de trains qui circuleront sur les lignes régionales de dessertes fines non électrifiées». (Notons qu’une expérimentation de train autonome est par ailleurs en cours concernant les TGV entre la France et l’Allemagne).

 
Les lignes de dessertes fines du territoire (LDFT) représentent environ 9100 kilomètres, soit un tiers du réseau ferré national. Avec les petites lignes dédiées au transport de marchandises (environ 3600 kilomètres), elles complètent le réseau principal et sont principalement destinées aux trajets quotidiens assurés par les régions. La SNCF prévoit de «régénérer» peu à peu ces lignes, avec un objectif de décarbonation de tous ses trains à l’horizon 2035. Les LDFT ne sont aujourd’hui électrifiées qu’à environ 15%. TELLi se présente comme une des solutions pour l’avenir de ces liaisons essentielles.

, TELLi, le «train du futur», devrait disposer de 70 places assises, rouler à 120 km/h et avoir 200 km d’autonomie (voire 1000 km avec la solution hydrogène). L’objectif est qu’il entre en gare toutes les 15 minutes. Il bénéficiera de plusieurs expérimentations testées dans le train laboratoire.

Depuis juin, Hitachi Rail (la filiale ferroviaire du groupe japonais Hitachi) a en effet installé près de 25 capteurs et calculateurs dans cette rame laboratoire, afin de «développer et améliorer des algorithmes pour se diriger vers la télé-conduite et une autonomie des trains».

«L’objectif de TELLi est de redynamiser les “petites lignes” en offrant plus de services à coûts maîtrisés, et apporter une solution de mobilité ferroviaire pérenne et décarbonée aux territoires ruraux», résume la région Nouvelle-Aquitaine, avec à terme l’idée d’entraîner «une baisse significative des coûts sur l’ensemble de son cycle de vie pour accélérer le report modal vers le train», grâce à «l’emploi des technologies les plus avancées et à une nouvelle approche intégrant exploitation, matériel roulant et infrastructure».

Jour de carence des fonctionnaires : trois jours comme dans le privé

Jour de carence des fonctionnaires : trois jours comme dans le privé

 

Le ministre de la Fonction publique  GUILLAUME KASBARIAN  annonce un grand plan de lutte contre l’absentéisme des fonctionnaires.

 » J’ai hérité d’un ministère qui porte une dynamique pour tous les agents publics – à qui je veux redire mon respect pour leur travail et leur engagement courageux auprès des Français. Mes priorités sont multiples et concernent la valorisation, la rémunération, le logement, les conditions de travail des fonctionnaires. Mais aussi la simplification – dont j’ai hérité dans l’intitulé de mon ministère -, à la fois pour les usagers et, je le dis avec force, pour les agents eux-mêmes, qui souffrent de l’excès de bureaucratisation. »

Les arrêts maladie des fonctionnaires sont aussi  dans le viseur de Bercy.

 

Economie -Moral des ménages : recul

Economie -Moral des ménages : recul

Compte tenu de la crise politique et du tassement de la croissance, la confiance des ménages français se replie légèrement au mois d’octobre, indique l’Insee dans un communiqué vendredi. L’indicateur s’est établi à 94, en baisse d’un point par rapport à septembre, sous sa moyenne de longue période de 100, précise l’Institut national de la statistique.

 

La situation financière personnelle des ménages demeure ce mois-ci quasi inchangée et «la proportion des ménages considérant qu’il est opportun, dans la situation économique actuelle, de faire des achats importants est stable», indique l’Insee dans son communiqué.

Le solde d’opinion des ménages relatif à leur future situation financière diminue d’un point et atteint sa moyenne de longue période, calculée entre 1987 et 2023.

Les ménages sont également pessimistes sur leur niveau de vie futur. Le solde d’opinion relatif au niveau de vie futur perd trois points (-41). Un niveau bien en dessous de la moyenne de longue période. Concernant l’inflation, la part des ménages qui considèrent que les prix vont augmenter au cours des douze prochains mois rebondit mais reste bien au-dessous de sa moyenne de longue période. Enfin, sur le chômage, les craintes augmentent nettement de 5 points pour atteindre 31, mais demeure cependant un peu au-dessous de sa moyenne de longue période. Ces opinions ont été récoltées par téléphone auprès d’environ 2.000 ménages, du 26 septembre au 19 octobre.

Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires

Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires
L’Assemblée nationale a certes été parfois le lieu d’affrontement un peu rude entre des députés porteurs de stratégies et d’idéologies différentes. Pour autant  en général ,le débat s’est le plus souvent déroulé dans le respect et avec une certaine tenue. Aujourd’hui l’Assemblée nationale ressemble plutôt à une école maternelle avec nombre de députés complètement incompétents sortis d’on sait où grâce à leur relation dans des partis politiques gangrenés par de pseudos technocrates. La plupart n’ont pas assumé la moindre fonction électorale avant d’être élu député. D’où cette pluie d’amendements plus contradictoires les uns que les autres lors de l’examen du budget 2025.

 

Un budget normalement destiné à diminuer les déficits et qui va être augmenté par les incohérences des députés engagés dans une véritable foire à l’impôt et à la démagogie. S’ajoute à cela la vulgarité de trop nombreux députés qui n’ont même pas le respect de leurs fonctions, en hurlant, en s’agitant, en se  montrant avec le drapeau du Hamas, en faisant des bras d’honneur et même en consommant de la drogue avec le soutien de la gauche. Une curieuse manière de s’attaquer à fléau mortel qui pourrit désormais une grande partie du pays.

Inutile de tourner autour du pot, nombres de députés n’ont pas leur place à l’Assemblée nationale ils n’ont pas la légitimité que confère l’expérience locale et militante. Ils ont encore moins la compétence nécessaire examiner des problèmes forcément complexes et qui ne peuvent être résolu par des solutions simplistes et démagogiques.
De ce point de vue l’Assemblée nationale offre un spectacle indigne qui ne grandit pas la fonction politique. Pour preuve 90 % dans un sondage récent montre que les Français considèrent les partis politiques comme discrédités et inefficaces.

 

Sondage Partis politiques: discrédités pour 82% des Français

Sondage Partis politiques: discrédités pour 82% des Français

Selon l’enquête Odoxa-Backbone pour le Figaro, , 82 % des Français  ont désormais une mauvaise image des partis.

 Une écrasante majorité du pays (82 %)  condamnent les partis politiques, comme le révèle un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Pire encore, les appareils partisans sont jugés ni honnêtes (90 %) ni crédibles (85 %) par les électeurs. La popularité d’Emmanuel Macron est par ailleurs  au plus bas (22 %) depuis la dissolution, selon le baromètre mensuel. Et ce n’est pas le triste spectacle par ailleurs complètement contradictoire de l’Assemblée nationale qui risque de faire remonter la crédibilité des partis politiques en France

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