Archive pour le Tag 'convergence'

La CGT appelle à une convergence entre agriculteurs et salariés

La CGT appelle à une convergence entre agriculteurs et salariés


« La CGT appelle ses militantes et militants, partout où c’est possible, à créer les conditions permettant de faire converger les revendications des salarié·es, des travailleuses et des travailleurs agricoles et des agricultrices et des agriculteurs », écrit la centrale de Montreuil.

« Nos échanges doivent permettre d’élargir la mobilisation et de créer des convergences sur les moyens de bien vivre de son travail, de bien manger, tout en protégeant notre santé et celle de la planète », estime la CGT, qui dit avoir pris attache avec la Confédération paysanne et le Mouvement de défense des exploitants familiaux (Modef).

Sécurité : la politique agressive de la Russie favorise une convergence Europe États-Unis

Sécurité : la politique agressive de la Russie favorise une convergence Europe États-Unis

Les Etats-Unis ne se désengagent pas du Vieux Continent et l’administration Biden peut aider les relations transatlantiques de sécurité à s’affranchir d’un rapport de subordination, relève le politiste dans une tribune au « Monde ».

Tribune.

 

Depuis novembre 2020, la presse européenne met en garde ses lecteurs avec malice : ne nous attendons pas à un retour des Etats-Unis en Europe au prétexte qu’un vieux démocrate bon teint est de retour à la Maison Blanche. Cette prudence est explicable : le désengagement américain des affaires européennes de sécurité est une idée admise de ce côté de l’Atlantique. Cette idée inquiète. Elle est pourtant triplement incorrecte.

D’abord, pour désenchanter l’espoir d’un retour, il faudrait pouvoir documenter l’hypothèse d’un départ. Or, rien ne la corrobore sérieusement à l’analyse. En réalité, les dépenses directes des Etats-Unis pour la défense en Europe ont augmenté ces dernières années, pour dépasser 5,5 % du budget total de la défense des Etats-Unis. L’OTAN a entrepris de réduire sa dépendance à l’égard des Etats-Unis en matière capacitaire. C’est une action inscrite dans le long terme (au moins depuis George W. Bush), avalisée par tous les Etats membres de l’Alliance depuis 2014 au moins.

 

Il n’y a aucune raison d’attendre de l’administration Biden un revirement, mais cela ne sera pas un signe de désengagement. L’autonomie stratégique européenne est une réalité inscrite dans plus de vingt années de pratique. Le rythme de sa progression peut faire débat, mais l’idée selon laquelle une politique de sécurité commune ne peut pas être efficace si elle ne s’appuie pas sur des capacités militaires appropriées a fait son chemin. 

Ensuite, imaginer que la politique européenne de l’administration Biden ne sera pas ambitieuse, c’est oublier que les menaces à la sécurité de l’Europe affectent les intérêts de sécurité américains en termes semblables.

La détérioration des relations entre l’OTAN et la Russie est très documentée : érosion de l’architecture de sécurité conventionnelle en Europe depuis la décennie 2000, crise géorgienne de 2008crise ukrainienne depuis 2013, violations répétées du traité FNI (sur les forces nucléaires à portée intermédiaire) par la Russie et abandon de ce traité en 2019, soutien de la Russie au régime de Bachar Al-Assad… Les dirigeants des pays de l’OTAN ont considéré à l’issue de la réunion dite de Londres en décembre 2019 que « les actions agressives de la Russie constituent une menace pour la sécurité euroatlantique ».

Convergence Poutine-Macron sur le Haut-Karabakh ?

Convergence  Poutine-Macron sur le Haut-Karabakh ?

La France a des raisons de se rapprocher de Poutine à propos du conflit sur le Haut-Karabakh puisque la Russie, la France et les États-Unis sont chargés par l’OSCE en quelque sorte depuis 1990 de tenter d’assurer une médiation dans la paix. Jusqu’alors les États-Unis s’étaient très peu investis dans ce conflit préoccupés par des problématiques internes et notamment par les élections présidentielles. Il n’est pas certain que Joe Biden prête une grande attention à ce conflit très éloigné. Poutine tient sans doute davantage les clés de la solution pour des questions de proximité et aussi de capacité militaire et diplomatique à intervenir sur deux anciens territoires de l’URSS.

Poutine serait aussi en mesure de freiner les ardeurs guerrières d’Erdogan présents aussi dans ce conflit pour attiser les flammes de la guerre en soutenant l’Azerbaïdjan. Poutine pourrait par exemple choisir non pas forcément d’intervenir sur le terrain des deux pays en conflit mais par exemple d’intervenir en Syrie où Erdogan jouent aussi un jeu très dangereux. Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se sont donc entretenus samedi au téléphone du conflit opposant l’Arménie à l’Azerbaïdjan dans l’enclave du Haut-Karabakh, les deux présidents exprimant leur forte préoccupation face à l’intensité des affrontements et à l’implication de combattants venant de Syrie et de Libye, a déclaré samedi le Kremlin.

Le président russe a informé son homologue français des mesures prises par Moscou pour faire appliquer un cessez-le-feu et tenter de parvenir à une solution négociée à la crise, a ajouté le Kremlin.

Les deux présidents “ont convenu de la nécessité de mettre fin aux combats, afin de permettre le retour à des négociations sur une base réaliste, l’objectif principal devant être d’assurer le maintien des populations arméniennes sur cette terre et la fin des souffrances pour les populations civiles”, a de son côté indiqué l’Elysée dans un communiqué.

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev, soutenu par le président turc Recep Tayyip Erdogan, réclame le retrait total des combattants pro-arméniens du territoire.

La Russie et la France coprésident avec les Etats-Unis le groupe de Minsk, chargé par l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) d’une médiation dans ce conflit qui remonte au début des années 1990.

Les combats ont repris le 27 septembre dans l’enclave azerbaïdjanaise peuplée majoritairement d’Arméniens, faisant des centaines de morts.

Trois trêves négociées par Moscou et Washington n’ont pas permis de faire cesser les affrontements, les plus violents depuis la guerre pour le contrôle de l’enclave qui a fait quelque 30.000 morts entre 1991 et 1994.

Schiappa, la philosophe de télé réalité voit une «convergence idéologique» entre «la Manif pour tous et les terroristes islamistes»

Schiappa, la philosophe de télé réalité voit une «convergence idéologique» entre «la Manif pour tous et les terroristes islamistes»

 

Il est clair que Marlène Schiappa s’ennuie  dans son ministère et qu’elle cherche à faire le buzz en sortant du champ réduit de son portefeuille. Malheureusement la ministre est souvent à côté de ses baskets et se comportent en philosophes de télé réalité. En cause notamment  une formation initiale très approximative. Pour parler franc, Macron s’est aussi entouré d’idiots assez notoires. Pour preuve cette déclaration un peu surréaliste- «je souligne l’existence d’une convergence idéologique» sur l’homophobie entre la manif pour tous et les terroristes islamistes. » Certes la manif pour tous n’est pas caractérisée par des positions très progressistes sur le plan sociétal. Il en est de même aussi pour les extrémistes islamistes. Mais de là à parler de convergence, cela démontre à l’évidence l’approximation intellectuelle de l’ancienne chroniqueuse de télé qui est sans doute à la politique et à la philosophie ce que McDo est à la gastronomie.  À ses yeux, dans un contexte de recrudescence des actes antisémites (+74% en 2018) et homophobes (+4,8% en 2017), les homosexuels – comme les juifs, dit-elle – sont les «boucs émissaires» des «théories islamistes radicales». Mais aussi de l’«extrême droite», à laquelle elle assimile La Manif pour tous, mouvement né en 2012 dans l’opposition à la loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe. «Il y a une alliance entre les gens d’extrême droite et les islamistes, qui s’unissent de fait dans ce combat» contre les homosexuels, explique-t-elle. «Les slogans et l’agressivité de la Manif pour tous ont nourri la recrudescence de violences homophobes».

La Manif pour tous a dénoncé mercredi, dans un communiqué, un «scandaleux amalgame» qui «insulte les millions de Français mobilisés depuis 2012 pour témoigner pacifiquement de leur attachement aux droits de l’enfant et à la famille». Le mouvement «attend des excuses immédiates de Marlène Schiappa». Soutien de la Manif pour tous, le président du groupe Les Républicains (LR) au Sénat, Bruno Retailleau, a pour sa part fustigé «les raccourcis de Marlène Schiappa».

Les raccourcis de Marlène Schiappa non seulement blessent les millions de français qui ont défendu pacifiquement une conception du mariage, mais ils banalisent aussi l’idéologie violente des islamistes envers les homosexuels.

 

 

Grèves Jeudi : pas une convergence mais une chienlit qui s’installe

Grèves Jeudi : pas une convergence mais une chienlit qui s’installe

 

 

Ce jeudi ce ne sera pas la première tentative ni sans doute la dernière pour faire converger les luttes sociales ; Pas sûr d’ailleurs que cette stratégie de convergence se réalise jeudi ou plus tard. Il est plus vraisemblable qu’on va assister à une multiplication de conflits sociaux jusqu’au moins au début de l’été. Une sorte de chienlit pire qu’une grève globale plus limitée dans le temps. La CGT, qui organisera jeudi sa première journée de “convergence des luttes”, affirme cependant  qu’elle parviendra à inscrire dans la durée la contestation des réformes d’Emmanuel Macron, même si cette idée suscite peu d’adhésion dans le milieu syndical. Certaines sont organisées par plusieurs syndicats comme la FSU, Solidaires, ou encore les organisations étudiantes UNEF et UNL. Sur le plan confédéral, cependant, seul Solidaires et l’UNEF ont appelé à rejoindre le mouvement. Les syndicats représentatifs de la RATP (CGT, FO, SUD RATP et UNSA) ont pour l’occasion déposé un préavis de grève – pour certains reconductible – entraînant davantage de perturbations sur le trafic à Paris et en Ile-de-France. La journée coïncide par ailleurs avec une nouvelle journée de grève à la SNCF. Cet appel à la mobilisation trouve toutefois peu d’écho auprès des autres syndicats représentatifs du secteur privé (FO, CFDT, CFE-CGC et CFTC), qui ont tous décliné l’invitation, estimant que les conditions n’étaient pas réunies. S’exprimant lors d’un débat sur l’avenir des syndicats réformistes lundi, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a déclaré au sujet de la convergence des luttes: “les travailleurs ne suivent pas forcément et ça ne marche pas”. Le numéro un de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, n’en est pas si sûr. Il estime que beaucoup de Français s’interrogent sur l’impact de la reprise économique sur leur pouvoir d’achat. “L’emploi, on ne voit pas l’effet. Le pouvoir d’achat, on ne voit pas l’effet. Ça commence à peser ce genre de chose”, a-t-il dit mardi sur BFM Business.

Plus grande convergence fiscale franco Allemande (Merkel)

Plus grande convergence fiscale franco Allemande (Merkel)

Les mesures protectionnistes de Trump auront deux conséquences pour les entreprises. D’abord on va rechercher une plus grande convergence entre la France et l’Allemagne, voire au plan européen comme l’a déclaré Merkel. Ensuite on va encore abaisser le taux d’imposition notamment sur les bénfices. En effet les meures Trump pourrait bien contaminer le champ mondial et conduire à un bing bang fiscal qui s’il n’est pas réalisé en Europe affecterait la compétitivité du vieux continent. La France est le pays qui s’est le moins impliqué, si bien qu’elle est désormais celle qui présente le taux facial d’impôt sur les sociétés le plus élevé du Vieux continent, à plus de 33%. Le gouvernement a donc annoncé une baisse de l’IS à 28%, dans un premier temps (sur 2017 et 2018) pour les petites et moyennes entreprises (PME), puis pour toutes les entreprises d’ici à 2020. De son côté, quelques mois après le vote choc du Brexit au Royaume-Uni, le nouveau gouvernement de Theresa May menace de faire chuter son taux à 10%, soit deux fois moins qu’actuellement, alors qu’il a déjà beaucoup diminué ces dernières années. Les taux des impôts sur les sociétés sont très différents d’un pays à l’autre, allant de 12,5% des bénéfices en Irlande à 34,4% en France (33,3% de taux normal plus la contribution sociale pour les plus grandes entreprises), d’après les chiffres compilés par l’OCDE.   La réforme fiscale promulguée fin décembre par le président Donald Trump ramène en effet  le taux de l’impôt sur les bénéfices des sociétés de 35% à 21%, ce qui a entraîné des contestations au sein du bloc communautaire. Les Européens craignent que cela n’empire la concurrence fiscale à travers le monde. C’est pourquoi les Etats membres de l’UE, dont l’Allemagne et la France, espèrent améliorer leur coopération fiscale pour rendre leur marché plus compétitif. “Nous avons décidé, avec plus d’importance qu’auparavant, d’accélérer le projet d’assiette commune pour l’impôt sur les sociétés avec la France”, a dit la chancelière allemande dans un podcast vidéo. « Cela signifie que quand nous aurons décidé avec la France de la base imposable d’imposition sur les sociétés, nous étudierons également les réalités qui se jouent aux Etats-Unis”, a-t-elle ajouté.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol