Archive pour le Tag 'Une'

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Une économie de guerre, vraiment ?

Une économie de guerre, vraiment ?

Depuis le début du conflit en Ukraine, Macron  ne cesse de déclarer que notre pays est entré dans une économie de guerre. Une illusion évidemment si l’on tient compte d’une part de l’état des forces armées de nature échantillonnaire (  Un seul porte-avions, 200 chars seulement par exemple ou à peine 50 000 hommes mobilisables immédiatement) et l’état notoirement insuffisant de la part militaire dans l’industrie. En cause en particulier une absence de vision stratégique et un manque chronique de financement de la défense. La France ne consacre que 2 % de son PIB  aux dépenses militaires quand la Russie consacre  actuellement 10 % du PIB et 40% de son budget.  . Pour l’instant cette économie les guerres n’est qu’un slogan à usage politique. Or c’est le pilier central pour s’opposer à un Poutine qui n’a que faire des relations diplomatiques, des règles internationales et des accords de paix. Le ministre des finances qui reprend son compte ce concept aujourd’hui très théorique d’économie de guerre qui supposera par parenthèse un bouleversement de nos paradigmes économique, démocratique et stratégique. Et derrière une autre allocation des ressources.

« Le 20 mars, à Bercy, avec Sébastien Lecornu (ministre des Armées, NDLR), nous rendrons compte publiquement de notre action visant à mobiliser les banques, les investisseurs français afin de développer la base industrielle et technologique de défense. C’est par l’action que nous répondrons aux anxiétés et que nous nous protégerons », a-indiqué le ministre des finances.

Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie et des Finances a précisé qu’il s’agissait d’un événement visant à permettre de faciliter l’investissement privé dans les structures industrielles et technologiques de défense. A la question de savoir si la situation était celle d’une « économie de guerre », il a répondu: « On n’y est pas mais il le faut ».

Lors d’échanges avec des internautes en février, le président Emmanuel Macron n’avait pas exclu de « lancer des produits d’épargne » pour soutenir le financement de programmes de défense, estimant que la France devrait « monter » la part de son PIB qu’elle y consacre, d’environ 2% aujourd’hui. Le Premier ministre François Bayrou avait dit jeudi souhaiter que les dépenses militaires soient exclues des règles européennes qui plafonnent le déficit public à 3% du PIB.

Selon le ministre de l’Economie, « c’est techniquement possible, mais il faut maîtriser notre dette. D’autres pays européens ont plus de marges de manoeuvre », alors que la France affiche l’un des déficit public les plus élevés de la zone euro.

La cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbocka, a quant à elle jugé urgent samedi que l’Allemagne et l’UE assouplissent leurs règles budgétaires afin de dégager des moyens supplémentaires pour renforcer leur défense et aider l’Ukraine.

Lombard une pour une « économie de guerre », vraiment ?

Lombard une pour une économie de guerre, vraiment ?

Depuis le début du conflit en Ukraine, Macro, ne cesse de déclarer que notre pays est entré dans une économie de guerre. Une illusion évidemment si l’on tient compte d’une part de l’état des forces armées de nature échantillonnaire (  Un seul porte-avions, 200 chars seulement par exemple ou à peine 50 000 hommes mobilisables immédiatement) et l’état notoirement insuffisant de la part militaire dans l’industrie. En cause en particulier une absence de vision stratégique et un manque chronique de financement de la défense. La France ne consacre que 2 % de son pipe aux dépenses militaires quand la Russie en dépense actuellement 30 % . Pour l’instant cette économie les guerres n’est qu’un slogan à usage politique. Or c’est le pilier central pour s’opposer à un Poutine qui n’a que faire des relations diplomatiques, des règles internationales et des accords de paix. Le ministre des finances qui reprend son compte ce concept aujourd’hui très théorique d’économie de guerre qui supposera par parenthèse un bouleversement de nos paradigmes économique, démocratique et stratégique. Et derrière une autre allocation des ressources.

« Le 20 mars, à Bercy, avec Sébastien Lecornu (ministre des Armées, NDLR), nous rendrons compte publiquement de notre action visant à mobiliser les banques, les investisseurs français afin de développer la base industrielle et technologique de défense. C’est par l’action que nous répondrons aux anxiétés et que nous nous protégerons », a-indiqué le ministre des finances.

Interrogé par l’AFP, le ministère de l’Economie et des Finances a précisé qu’il s’agissait d’un événement visant à permettre de faciliter l’investissement privé dans les structures industrielles et technologiques de défense. A la question de savoir si la situation était celle d’une « économie de guerre », il a répondu: « On n’y est pas mais il le faut ».

Lors d’échanges avec des internautes en février, le président Emmanuel Macron n’avait pas exclu de « lancer des produits d’épargne » pour soutenir le financement de programmes de défense, estimant que la France devrait « monter » la part de son PIB qu’elle y consacre, d’environ 2% aujourd’hui. Le Premier ministre François Bayrou avait dit jeudi souhaiter que les dépenses militaires soient exclues des règles européennes qui plafonnent le déficit public à 3% du PIB.

Selon le ministre de l’Economie, « c’est techniquement possible, mais il faut maîtriser notre dette. D’autres pays européens ont plus de marges de manoeuvre », alors que la France affiche l’un des déficit public les plus élevés de la zone euro.

La cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbocka, a quant à elle jugé urgent samedi que l’Allemagne et l’UE assouplissent leurs règles budgétaires afin de dégager des moyens supplémentaires pour renforcer leur défense et aider l’Ukraine.

Trump: une révolution « culturelle »

Trump: une révolution « culturelle »

 

Après la Conférence de Munich sur la sécurité, nous sommes désormais fixés quant au projet du président des Etats-Unis : il faut le prendre à la fois au sérieux et au pied de la lettre, avertit le politiste bulgare Ivan Krastev, dans une tribune au « Monde ».

« Si Mao, père de la terrible Révolution culturelle chinoise, et Trump ont peu de choses en commun sur le plan de l’idéologie, de la géographie ou de la coiffure, écrit Orville Schell, un des plus grands sinologues américains, ils peuvent tous deux être considérés comme des agents de l’insurrection. » La Révolution culturelle de Mao Zedong [lancée en 1966] était un ambitieux projet de rupture avec le passé, mais c’était aussi le règlement de comptes personnel d’un vieil homme parvenu à la fin de ses jours. Une fois le décor planté et la révolution lancée, elle a mené sa propre vie, engendrant des conséquences inattendues, que même les plus brillants stratèges n’auraient pas pu anticiper.
Il en ira très probablement de même de l’insurrection trumpienne. Mais pour bien comprendre l’Amérique d’aujourd’hui, il faut avant tout comprendre que le gouvernement au pouvoir, même s’il est organisé à la manière d’une cour impériale, est un gouvernement révolutionnaire.

Il fallait une personne comme l’actuel président des Etats-Unis pour rejeter toute possibilité de politique basée sur des valeurs communes, des intérêts partagés ou une solution gagnant-gagnant. Pour Mao, la politique était une guerre de classes ; pour Trump, c’est un transactionnalisme à somme nulle. Les Etats naissent inégaux et, comme le formula l’historien grec Thucydide [au Ve siècle avant notre ère], « le fort fait ce qu’il peut faire et le faible subit ce qu’il doit subir ». Trump, note pour sa part Vladimir Poutine, « ne se contente pas de dire ce qu’il pense, il dit ce qu’il veut ». Dans pareil contexte, les Européens perdent un temps précieux à se demander à quoi ressemblera le plan de Trump pour l’Ukraine et à se plaindre de ne pas être assis à la table des négociations.

Réalignement des civilisations

Les révolutions n’ont jamais de programme détaillé. On ne sait pas précisément ce que Trump compte obtenir de ses négociations avec Poutine. Un point est en revanche très clair : le président américain entend accomplir de grandes choses, et il entend les accomplir vite…

Trump: une embuscade mèdiatique tendue à Zelinsky

Trump: une embuscade médiatique tendue à Zelinsky

 

Dans une relation diplomatique sur une question importante et délicat il n’est pas d’usage de faire une conférence avant la rencontre. C’est une fois la réunion terminée qu’une conférence commune ou séparée permet de rendre compte des travaux et des points de vue. Zelinsky est tombé dans l’odieux piège tendu par Trump et Vance dont l’objectif était seulement de ridiculiser le président ukrainien en public et surtout devant leurs partisans. Les Américains y compris ont moyennement apprécié la manœuvre. Dans un sondage 60 % du public américain ont  désavoué la forme de l’entretien et le comportement de Trump. Partout dans le monde la condamnation est nettement supérieure sauf évidemment dans les dictatures privées comme d’habitude d’information un peu objectives. Pour preuve Trump après ce spectacle incroyable a encore eu le mauvais goût de déclarer : « celà Fera encore une belle émission télévisée  »

 

 

Bitcoins : une chute de 25 %

Bitcoins : une chute de 25 %

Face aux incertitudes économiques provoquées notamment par les nombreuses initiatives du président américain, les investisseurs tendent à se débarrasser de leurs actifs spéculatifs comme les bitcoins qui ont chuté de 25 % en six semaines. Les bouleversements voulus par Trump pourraient en effet affecter gravement l’inflation et par conséquence le pouvoir d’achat et d’investissement des ménages et des entreprises. Bref le risque est d’affecter aussi la croissance et le résultat financier des entreprises .

 

 

Mais le risque d’emballement d’une guerre commerciale tous azimuts a assombri ces dernières semaines l’humeur des investisseurs, les incitant à se débarrasser de leurs actifs spéculatifs ou à risque – comme le bitcoin – pour se réfugier vers des placements jugés plus sûrs et obtenir des liquidités pour couvrir leurs pertes sur les marchés boursiers et le marché des changes. . Les investisseurs avaient par ailleurs été refroidis la semaine dernière par l’annonce d’un vol historique de 1,5 milliard de dollars en cryptomonnaies sur la plateforme Bybit.

Foot Marseille: Une suspension « théorique » de 15 matchs pour le président de l’OM

Foot Marseille: Une suspension « théorique » de 15 matchs pour le président de l’OM

Officiellement le président du club de foot de Marseille est suspendu pour 15 matchs. Le problème c’est que cette condamnation aura peu d’ impact dans la réalité. La suspension d’un joueur a bien entendu de lourdes conséquences mais pas celle d’un président patron de son club.  »La commission de discipline de la vie professionnelle a considéré qu’il s’agissait de propos injurieux, et un comportement en forme de manquement à la charte de l’étique et qui porte atteinte à l’image du football. Trois points ont guidé notre décision, le premier étant la rareté des propos. La commission a entendu les regrets et les excuses du président, de mémoire de commission, ce ne sont pas des termes qui ont été utilisés par d’autres acteurs au cours de ces dernières années. C’est un point essentiel dans le cadre de notre délibéré….très théorique.

 

Santé-Détection du cancer avec une seule goutte de sang

santé-Détection du cancer avec une seule goutte de sang

 

Neurochirurgien et chef de service à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, Alexandre Carpentier a  décidé de créer Neok, avec deux autres professeurs, le gastro-entérologue Jean-Baptiste Bachet et l’oncologue Joseph Gligorov, chef de service à l’hôpital Tenon. La start-up propose un check-up préventif mis au point par des cancérologues de l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), qui promet de détecter 75 % des cancers les plus courants – sein, prostate, utérus, colon-rectum, ovaire, foie, poumon, pancréas… – dès les premiers stades de développement…

Politique de défense: « Une rupture existentielle pour l’Europe »

LA TRIBUNE DIMANCHE — Le candidat chrétien-démocrate à la chancellerie, Friedrich Merz, a déclaré le 21 février vouloir « discuter avec les Britanniques et les Français pour savoir si leur protection nucléaire pourrait également s’étendre à [l'Allemagne] ». Comment interpréter ses propos ?

THIERRY BRETON — Nous vivons un moment historique, à la mesure de la recomposition accélérée de l’ordre mondial qui est à l’œuvre depuis quelques semaines. Si ce qu’a dit Friedrich Merz devait se concrétiser, ce serait un changement radical de posture de la part de l’Allemagne depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce serait une rupture aussi existentielle, pour elle et pour l’Europe, que le fut sa décision de renoncer au Deutsche Mark au moment de la création de l’euro en 1999. Jusqu’ici, l’Allemagne avait choisi de se placer sous la protection nucléaire ultime des États-Unis dans le cadre de l’Otan. En s’exprimant ainsi à deux jours des élections législatives outre-Rhin, le probable futur chancelier acte la nécessité d’une nouvelle architecture de sécurité européenne face à une double menace : celle d’une vassalisation de l’Europe par les États-Unis et celle d’une volonté ouvertement belliqueuse de la part de la Russie. Il n’est plus possible de sous-traiter la sécurité de notre continent à autrui, un message que la France ne cesse de porter depuis de nombreuses années.

Trump, Musk. Vance: Une vraie bande de gangsters

Trump, Musk. Vance: Une vraie bande de gangsters

De nombreux éléments objectifs montrent que les États-Unis sous l’impulsion d’une bande de gangsters ayant pour seul idéologie le fric sont en train de dévaloriser voire de piétiner la démocratie . Ces responsables sont de notoires menteurs et des voyous.

 

Pour eux la seule valeur qui compte et le profit quitte à se renier presque chaque jour et à utiliser l’intoxication pour abrutir les esprits fragiles et les foules. Ainsi par exemple Trump qui veut se rembourser de la guerre en Ukraine avec les métaux rares de l’Ukraine dans le cadre d’un contrat perpétuel ! Ainsi Musk qui se nourrit de toutes les sources de financement de l’État fédéral et veut faire sauter toutes les réglementations qui nuisent à son développement financier tant  aux États-Unis qu’en Europe. Ainsi Vance qui n’a cessé d’insulter Trump avant de se rallier à lui et qui vient faire des leçons de démocratie en France et en Europe. De quoi sourire si l’affaire n’était pas aussi grave. Finalement ces responsables se comportent comme les oligarques russes notamment pour se remplir les poches en maintenant les populations en état de domination ( via par exemple les invraisemblables intoxications du réseau X notamment ).

C’est une autre forme d’internationale du crime  qui se mette en marche avec la bande de gangsters de Trump. Tout cela finira mal d’abord parce que la politique économique et diplomatique se retournera un jour et plus rapidement qu’on le pense contre les intérêts des États-Unis. Les pays  démocratiques ne pourront tolérer encore longtemps les insultes, le mépris et la domination des États-Unis. Ajoutons à cela que les gangsters de la tech américaine utilisent aussi la naïveté égocentrique de Trump , personnage douteux , idiot et clownesque qui ne possède peut-être pas plus de 500 mots de vocabulaire, pour tout dire, n’importe quoi et le contraire.

Interdiction du mariage d’un étranger en situation irrégulière : une loi votée par le Sénat

Interdiction du mariage d’un étranger en situation irrégulière : une loi votée par le Sénat

 

 

Encore un clivage qui va tuer la gauche avec son opposition à l’interdiction du mariage d’un étranger en situation irrégulière pourtant soutenue par une très large majorité de la population. Le Sénat a en effet  adopté jeudi 20 février une proposition de loi centriste visant à interdire le mariage aux étrangers en situation irrégulière, avec un soutien appuyé du gouvernement malgré d’importantes barrières juridiques.

Les sénateurs ont adopté ce texte en première lecture à 227 voix contre 110, avec l’approbation de la majorité droite-centriste de la chambre haute et malgré l’opposition claire de la gauche, qui brandit la jurisprudence défavorable du Conseil constitutionnel et estime la mesure attentatoire aux libertés fondamentales.

 

Ukraine : Une force de sécurité de 30 000 hommes pour Paris et Londres

Ukraine : Une force de sécurité de 30 000 hommes pour Paris et Londres

Londres et Paris réfléchissent actuellement à la mise en place d’une force assurant la sécurité de l’Ukraine après le cessez-le-feu. Une force qui comprendrait au moins 30 000 militaires.

 

Citant des «responsables occidentaux», plusieurs journaux, dont The GuardianThe Financial Times et The Times, indiquent que cette force serait principalement aérienne et maritime, avec une présence «minimale» sur le terrain, à l’écart de la ligne de front dans l’est du pays. Ce contingent militaire aurait pour objectif d’empêcher les attaques russes contre les villes, les ports et les infrastructures ukrainiennes, dans l’éventualité d’un cessez-le-feu conclu sous l’égide des États-Unis, écrit The Guardian.

Selon une source française proche des discussions qui a requis l’anonymat, le Centre de planification et de conduite des opérations (CPCO) de l’armée française planche effectivement sur la question des garanties de sécurité de l’Ukraine.

De fait, l’armée française serait obligée de déployer quasiment «tout ce dont elle dispose» comme équipements et armements pour sécuriser ces déploiements, a indiqué la source française à l’AFP. «Cela veut dire qu’on n’aurait plus grand-chose derrière en cas de dégradation de la situation», a ajouté la même source.

Un véritable aveu de l’indigence d’une armée française à caractère échantillonnaire et qui ne veut pas évoluer par manque de courage et de moyens consacrés à la défense

 

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation et une menace pour l’Europe

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation et une menace pour l’Europe

 

Macron  a mis en garde en garde contre une paix qui reviendrait à une «capitulation» de l’Ukraine et s’est demandé si son homologue russe Vladimir Poutine était «sincèrement» prêt à un cessez-le-feu «durable» dans une interview au Financial Times parue vendredi.

«Une paix qui soit une capitulation, c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde», a-t-il lancé à l’attention du président américain Donald Trump. «La seule question à ce stade, c’est “est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à cessez-le-feu sur cette base-là”», a-t-il relevé, ajoutant que l’Europe aurait un «rôle à jouer» dans les discussions sur la sécurité régionale.

Emmanuel Macron a également souligné que «seule» l’Ukraine pouvait «négocier avec la Russie» ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.

Le problème c’est que Macron ne pèse plus grand-chose en Europe et que la présidente de l’union européenne, Von der Layen  se fait particulièrement discrète sans parler des dissensions entre certains membres de l’Europe.

Or on sait que Poutine n’a jamais tenu ces engagements et que sa stratégie de conquête territoriale va continuer en grignotant petit à petit le territoire européen soit par des conflits ouverts, soit par une ingérence pour favoriser l’arrivée au pouvoir de régimes autoritaires.

C’est la défense de l’Europe qui est en jeu avec la capitulation probable en Ukraine. Il ne faut guère s’attendre en effet un accord de paix durable. Seulement un cessez-le-feu provisoire et une poursuite des agressions russes bien au-delà de l’Ukraine.

Face à cela, l’Europe est divisée sur le plan de la défense. Et la puissance militaire n’est nullement adaptée à l’enjeu.

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

 

Le président Français a mis en garde en garde contre une paix qui reviendrait à une «capitulation» de l’Ukraine et s’est demandé si son homologue russe Vladimir Poutine était «sincèrement» prêt à un cessez-le-feu «durable» dans une interview au Financial Times parue vendredi.

«Une paix qui soit une capitulation, c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde», a-t-il lancé à l’attention du président américain Donald Trump. «La seule question à ce stade, c’est “est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à cessez-le-feu sur cette base-là”», a-t-il relevé, ajoutant que l’Europe aurait un «rôle à jouer» dans les discussions sur la sécurité régionale.

Emmanuel Macron a également souligné que «seule» l’Ukraine pouvait «négocier avec la Russie» ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.

Le problème c’est que Macron ne pèse plus grand-chose en Europe et que la présidente de l’union européenne, Von der Layen  se fait particulièrement discrète sans parler des dissensions entre certains membres de l’Europe.

Une augmentation des droits de douane américain de 50 %

Une augmentation des droits de douane américain de 50 %

Le président américain a signé lundi un décret imposant 25% de droits de douane sur l’acier et l’aluminium importé aux États-Unis, à compter du 12 mars, «sans exception ou exemption. Et c’est tous les pays», a-t-il affirmé devant la presse depuis le bureau ovale. Évoquant des risques pour la «sécurité nationale», le républicain a publié deux décrets visant l’acier et l’aluminium d’où qu’ils viennent, y compris de partenaires économiques qui bénéficiaient auparavant d’exemptions sur ces deux produits: Argentine, Australie, Canada, Mexique, UE et Royaume-Uni.

Le Brésil, le Japon et la Corée du Sud se voient eux être privés de l’exemption dont ils bénéficiaient pour l’acier et ses dérivés.

On peut imaginer que cette taxation massive ne restera pas sans réponse de la part des pays exportateurs. Au total nombre d’économies vont être bousculés par ces hausses radicales et l’économie sera impactée aux États-Unis. Les conséquences pourraient même être graves d’après l’agence de notation Fitch.

Grenoble: Une grenade lancée dans un bar

Grenoble: Une grenade lancée dans un bar

Nouvelle action à mettre au compte du narcotrafic sans doute à Grenoble. La ville où précisément le maire écolo freine l’installation de caméras et propose de libéraliser le cannabis.

Une explosion est en effet survenue dans un commerce de Grenoble ce mercredi soir 12 février, rue Claude Kogan, dans le sud de la ville, a appris Le Figaro de source policière. Une douzaine de personnes ont été blessées et ont été prises en charge par les secours, selon un bilan provisoire. Deux d’entre elles sont en urgence absolue.

L’individu était en possession d’un fusil d’assaut de type Kalachnikov dont il ne se serait pas servi. «Beaucoup de clients» étaient présents au moment de l’explosion, selon lui.

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