Archive pour le Tag 'Hollande'

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Évolution du Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Évolution du Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Jérôme Cahuzac, ancien député du Lot-et-Garonne et ministre du délégué au Budget sous François Hollande, a accusé lundi 27 novembre sur France Inter l’ancien président socialiste d’avoir menti aux Français sur la courbe du chômage. ( Franceinfo)

En Lot-et-Garonne, Jérôme Cahuzac fait sa première sortie publique depuis dix ans
« En 2013, Hollande annonce le retournement de la courbe du chômage, sachant parfaitement que c’était impossible. Aucune note de la direction de la prévision de la Banque de France, de la direction du Budget, de la direction du Trésor ne lui permettait d’annoncer cela. Bien au contraire même », a accusé l’ancien ministre. « Il l’annonce en 2013 en sachant que ce n’est pas vrai, en 2014 en sachant que ce n’est pas possible, et ce jusqu’à la fin de son mandat. En vain toujours, puisque c’est au début du mandat d’Emmanuel Macron que cette courbe du chômage s’est inversée. D’ailleurs, en partie grâce aux mesures que François Hollande a pu décider. Il savait que ça prendrait ce temps-là », a-t-il poursuivi.

« Quand il l’annonce des années avant, il ment », affirme-t-il. Selon Jérôme Cahuzac, François Hollande « a lui aussi une part de responsabilité à cet égard » dans la défiance des Français vis-à-vis des politiques. « J’ai ma part de responsabilité que j’assume. Il faudrait peut-être que les autres reconnaissent la leur et l’assument. On en est loin », dit-il.

L’élection de François Hollande par les Français en 2012, « s’est avéré un choix malencontreux et même douloureux à la fin », a-t-il estimé. « Un président sortant qui n’a même pas la possibilité de se représenter, cela en dit long sur la façon dont il a précisément exercé ce mandat », a-t-il chargé.

Toute le monde en prend pour son grade. Jérôme Cahuzac a également dénoncé l’attitude les dirigeants socialistes dans la vie politique d’aujourd’hui : « Ils ont signé un accord qui n’est qu’un accord de soumission à l’égard de La France insoumise et de son leader Jean-Luc Mélenchon. Un accord de soumission avec comme seule contrepartie le sauvetage de leurs sièges à eux », a-t-il critiqué. « Ils ont vendu toute la gouvernance, tout l’esprit de responsabilité, tout le bilan du Parti socialiste de ces 40 dernières années pour sauver dix, quinze ou 20 sièges des dirigeants », a-t-il souligné

Jérôme Cahuzac fait son grand retour dans les médias après avoir été condamné à de la prison ferme à cinq ans d’inéligibilité et à 300 000 euros d’amende pour fraude fiscale.

Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Jérôme Cahuzac, ancien député du Lot-et-Garonne et ministre du délégué au Budget sous François Hollande, a accusé lundi 27 novembre sur France Inter l’ancien président socialiste d’avoir menti aux Français sur la courbe du chômage. ( Franceinfo)

En Lot-et-Garonne, Jérôme Cahuzac fait sa première sortie publique depuis dix ans
« En 2013, Hollande annonce le retournement de la courbe du chômage, sachant parfaitement que c’était impossible. Aucune note de la direction de la prévision de la Banque de France, de la direction du Budget, de la direction du Trésor ne lui permettait d’annoncer cela. Bien au contraire même », a accusé l’ancien ministre. « Il l’annonce en 2013 en sachant que ce n’est pas vrai, en 2014 en sachant que ce n’est pas possible, et ce jusqu’à la fin de son mandat. En vain toujours, puisque c’est au début du mandat d’Emmanuel Macron que cette courbe du chômage s’est inversée. D’ailleurs, en partie grâce aux mesures que François Hollande a pu décider. Il savait que ça prendrait ce temps-là », a-t-il poursuivi.

« Quand il l’annonce des années avant, il ment », affirme-t-il. Selon Jérôme Cahuzac, François Hollande « a lui aussi une part de responsabilité à cet égard » dans la défiance des Français vis-à-vis des politiques. « J’ai ma part de responsabilité que j’assume. Il faudrait peut-être que les autres reconnaissent la leur et l’assument. On en est loin », dit-il.

L’élection de François Hollande par les Français en 2012, « s’est avéré un choix malencontreux et même douloureux à la fin », a-t-il estimé. « Un président sortant qui n’a même pas la possibilité de se représenter, cela en dit long sur la façon dont il a précisément exercé ce mandat », a-t-il chargé.

Toute le monde en prend pour son grade. Jérôme Cahuzac a également dénoncé l’attitude les dirigeants socialistes dans la vie politique d’aujourd’hui : « Ils ont signé un accord qui n’est qu’un accord de soumission à l’égard de La France insoumise et de son leader Jean-Luc Mélenchon. Un accord de soumission avec comme seule contrepartie le sauvetage de leurs sièges à eux », a-t-il critiqué. « Ils ont vendu toute la gouvernance, tout l’esprit de responsabilité, tout le bilan du Parti socialiste de ces 40 dernières années pour sauver dix, quinze ou 20 sièges des dirigeants », a-t-il souligné

Jérôme Cahuzac fait son grand retour dans les médias après avoir été condamné à de la prison ferme à cinq ans d’inéligibilité et à 300 000 euros d’amende pour fraude fiscale.

PS: Avec LFI comme allié , c’est la défaite pour l’éternité (Hollande)

PS: Avec LFI comme allié , c’est la défaite pour l’éternité (Hollande)

Hollande se livre à une analyse politique du pays dans le journal la tribune. Il se montre en la circonstance meilleure observateur que gouvernant ! Il estime en particulier que le PS avec LFI comme allié est condamné à la défaite pour l’éternité.

« Le PS a le destin qu’il voudra se donner. S’il est en difficulté, ce n’est pas parce qu’il a gouverné. Quoi qu’on ait pensé de ce que j’ai fait au pouvoir ou de l’action de mes prédécesseurs de gauche, j’estime que la comparaison reste plutôt en notre faveur. Expier je ne sais quelle erreur commise hier ne sert à rien, ce qui compte c’est ce que le PS peut proposer aujourd’hui, en s’appuyant sur les acquis de sa gestion. Or, je regrette que le PS cherche à trop souvent effacer son histoire, son identité et son bilan, au nom d’une union dont il a renoncé pour le moment à être le pôle principal ! Donc, la seule façon pour le Parti socialiste de se succéder à lui-même, c’est de s’affirmer, de proposer, de travailler, et ainsi d’offrir une perspective sans pour autant rompre avec le reste de la gauche. L’union a été de tout temps un combat. Si François Mitterrand avait cédé au Parti communiste au moment de la rupture du programme commun, jamais il ne serait devenu président de la République en 1981. Si Lionel Jospin avait fait la politique de ses alliés, jamais il ne serait arrivé aux responsabilités en 1997. Si je n’étais pas moi-même en 2012 arrivé en tête de la gauche, jamais la victoire n’aurait été possible. Aujourd’hui, le redressement du Parti socialiste est la seule condition pour que la gauche gagne. »

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

On se souvient que Hollande, assisté de Macon,avait massacré la filière nucléaire en fixant la part de cette énergie à 50 % maximum. Un verrou qui vient de sauter à l’assemblée nationale. Et pour cause,cette politique a tué l’avantage énergétique de la France qui a même été contrainte d’importer de l’électricité de l’extérieur.

Avec une mauvaise foi incroyable, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet. m

Dans le sillage du Sénat, l’Assemblée nationale a supprimé lundi soir l’objectif de réduction à 50% de la part de l’énergie nucléaire dans le mix électrique français d’ici à 2035, lors de l’examen du projet de loi d’accélération du nucléaire. Introduit par le Sénat, l’article adopté en première lecture fait sauter un «verrou» introduit dans la loi en 2015 sous la présidence de François Hollande pour réduire la part du nucléaire, que l’exécutif souhaite désormais relancer.

Avec une hypocrisie lamentable la ministre a déclaré «J’étais très heureuse d’avoir contribué au discours de Belfort» d’Emmanuel Macron, consacré notamment à la relance du nucléaire en février 2022, mais la loi en cours d’examen «est supposée être une loi technique» d’accélération, pas une loi de programmation sur le mix énergétique.

La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet, alors que l’énergie nucléaire représente environ 70% de la production d’électricité habituellement, mais seulement 63% en 2022 en raison des arrêts de plusieurs réacteurs pour corrosion.
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À VOIR AUSSI – «La loi nucléaire révèle une prise de conscience de l’échec de l’anti-nucléarisme»

Nucléaire : les mensonges de Macron et Hollande

Nucléaire : les mensonges de Macron et Hollande


Il est clair que pour obtenir les voix des écolos, Hollande et Macron ont massacré la filière nucléaire en voulant réduire la part de l’électricité de 75 à 50 % et en fermant Fessenheim.

Macron de son côté a participé au massacre en tant que conseiller puis ministre de l’économie de François Hollande. Pendant tout le premier septennat et jusqu’à récemment il a encore soutenu que la part du nucléaire devait passer de 75 à 50 %. Preuve de l’hypocrisie deux loi contradictoires sont passées récemment : une loi sur les énergies nouvelles suivie d’une autre loi sur le nucléaire pour faire avaler le changement pro nucléaire aux écolos. À noter que tous les documents officiels de programmation n’ont pas encore annulé l’objectif de limitation de la part du nucléaire. Par ailleurs concernant la construction des EPR , aucun financement n’a encore été prévu. Autant dire que ce n’est pas pour demain. Il faut en effet 15 ans pour construire une centrale en France et seulement cinq ans en Chine tout en respectant les réglementations internationales

En 2011, socialistes et écologistes se mettaient d’accord pour fermer 24 réacteurs nucléaires d’ici à 2025, et prévoyaient la fermeture immédiate de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin). Quelques mois plus tard, en pleine campagne, François Hollande se désengageait partiellement de l’accord passé : il promettait quand même la fermeture de la centrale pendant le quinquennat.

L’ex-président de la République a ensuite acté le passage de la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75 % à 50 %. Pourquoi ? Auditionné le jeudi 2 février à l’Assemblée nationale sur la perte de souveraineté énergétique de la France, son ex-Premier ministre Manuel Valls a mis les pieds dans le plat. « Les 50 %, c’est là où je suis franc, je crois, n’étaient le résultat d’aucune étude d’impact ou analyse de besoins », a-t-il avoué.

Nucléaire : les mensonges de Hollande

Nucléaire : les mensonges de Hollande


Il est clair que pour obtenir les voix des écolos, Hollande a massacré la filière nucléaire en voulant réduire la part de l’électricité de 75 à 50 % et en fermant Fessenheim.

En 2011, socialistes et écologistes se mettaient d’accord pour fermer 24 réacteurs nucléaires d’ici à 2025, et prévoyaient la fermeture immédiate de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin). Quelques mois plus tard, en pleine campagne, François Hollande se désengageait partiellement de l’accord passé : il promettait quand même la fermeture de la centrale pendant le quinquennat.

L’ex-président de la République a ensuite acté le passage de la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75 % à 50 %. Pourquoi ? Auditionné le jeudi 2 février à l’Assemblée nationale sur la perte de souveraineté énergétique de la France, son ex-Premier ministre Manuel Valls a mis les pieds dans le plat. « Les 50 %, c’est là où je suis franc, je crois, n’étaient le résultat d’aucune étude d’impact ou analyse de besoins », a-t-il avoué.

Pourtant François Hollande récuse toute responsabilité dans cette erreur fatale de stratégie énergétique qui plombe pourtant actuellement la compétitivité du pays et le pouvoir d’achat des Français

Politique énergétique- Macron et Hollande responsable de la catastrophe

Politique énergétique- Macron et Hollande responsable de la catastrophe

Il n’est guère étonnant que Macron s’énerve à propos du scénario catastrophe qui se profile en matière d’électricité et plus généralement concernant l’énergie. En effet, Macron -avec Hollande- est directement responsable de la destruction de la puissance énergétique française des centrales nucléaires. Il faut rappeler l’objectif de Hollande: Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75% à 50% à l’horizon 2025. Et pour faire bonne figure et satisfaire les écolos bobos: fermer Fessenheim qui pouvait encore produire pendant 20 ou 30 ans.

Macron a repris cette stratégie lors de son premier mandat, il l’a prolongé lors du second. Il n’y a qu’un an environ, qu’ il s’est enfin réveillé à propos de la catastrophe énergétique en annonçant la nécessité d’entretenir tout le parc nucléaire, de construire rapidement six EPR et huit ultérieurement.

La catastrophe de l’éléctricité pourrait se matérialiser par des délestages mais aussi un black out total en fonction de la météo. Tout cela entraînant des conséquences complètement imprévisibles sur l’ensemble des conditions de production et de la vie de la population. En effet aujourd’hui tout est connecté et la privation d’électricité pourrait produire une crise générale avec certaines conséquences irréversibles.

Il faut revenir sur la fermeture de Fessenheim. Une fermeture uniquement faite pour faire plaisir aux écolos bobos et tenter de récupérer leur voix. Peine perdue pour Hollande qui n’a même pas été capable de se représenter. Peine perdue aussi pour Macron qui n’a été élu que grâce à la faiblesse de l’opposition. À l’incompétence, Macron ajoute l’arrogance. Une arrogance encore constatée lorsqu’il accuse les Français de vivre de façon insensée dans une société d’abondance énergétique. Le même type de propos méprisants et injustes que lorsqu’il a invité un chômeur à traverser la rue pour trouver du travail.

Macron et Hollande devrait être traduits devant une commission pour analyser la responsabilité et les condamner pour leur opportunisme et leur incompétence crasse . Non seulement Macron et Hollande ont tué le nucléaire mais ils ont tué en même temps le parti socialiste et ce qui est plus grave l’économie comme en témoigne l’extraordinaire aggravation du déficit des échanges extérieurs, le véritable baromètre de la compétitivité française. Si cela avait été possible, Macron et Hollande auraien t sans doute aussi délocaliser les centrales nucléaires en Chine comme une grande partie de l’industrie française. Environnement- Biodiversité : l’extinction des espèces

Politique énergétique- Macron et Hollande ont tué le nucléaire !

Politique énergétique- Macron et Hollande ont tué le nucléaire !


Il n’est guère étonnant que Macron s’énerve à propos du scénario catastrophe qui se profile en matière d’électricité et plus généralement concernant l’énergie. En effet, Macron -avec Hollande- est directement responsable de la destruction de la puissance énergétique française des centrales nucléaires. Il faut rappeler l’objectif de Hollande: Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75% à 50% à l’horizon 2025. Et pour faire bonne figure et satisfaire les écolos bobos: fermer Fessenheim qui pouvait encore produire pendant 20 ou 30 ans.

Macron a repris cette stratégie lors de son premier mandat, il l’a prolongé lors du second. Il n’y a qu’un an environ, qu’ il s’est enfin réveillé à propos de la catastrophe énergétique en annonçant la nécessité d’entretenir tout le parc nucléaire, de construire rapidement six EPR et huit ultérieurement.

La catastrophe de l’éléctricité pourrait se matérialiser par des délestages mais aussi un black out total en fonction de la météo. Tout cela entraînant des conséquences complètement imprévisibles sur l’ensemble des conditions de production et de la vie de la population. En effet aujourd’hui tout est connecté et la privation d’électricité pourrait produire une crise générale avec certaines conséquences irréversibles.

Il faut revenir sur la fermeture de Fessenheim. Une fermeture uniquement faite pour faire plaisir aux écolos bobos et tenter de récupérer leur voix. Peine perdue pour Hollande qui n’a même pas été capable de se représenter. Peine perdue aussi pour Macron qui n’a été élu que grâce à la faiblesse de l’opposition. À l’incompétence, Macron ajoute l’arrogance. Une arrogance encore constatée lorsqu’il accuse les Français de vivre de façon insensée dans une société d’abondance énergétique. Le même type de propos méprisants et injustes que lorsqu’il a invité un chômeur à traverser la rue pour trouver du travail.

Macron et Hollande devrait être traduits devant une commission pour analyser la responsabilité et les condamner pour leur opportunisme et leur incompétence crasse . Non seulement Macron et Hollande ont tué le nucléaire mais ils ont tué en même temps le parti socialiste et ce qui est plus grave l’économie comme en témoigne l’extraordinaire aggravation du déficit des échanges extérieurs, le véritable baromètre de la compétitivité française. Si cela avait été possible, Macron et Hollande auraien t sans doute aussi délocaliser les centrales nucléaires en Chine comme une grande partie de l’industrie française.

Electricité- Macron et Hollande ont tué le nucléaire

Electricité- Macron et Hollande ont tué le nucléaire !

Il n’est guère étonnant que Macron s’énerve à propos du scénario catastrophe qui se profile en matière d’électricité et plus généralement concernant l’énergie. En effet, Macron -avec Hollande- est directement responsable de la destruction de la puissance énergétique française des centrales nucléaires. Il faut rappeler l’objectif de Hollande: Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75% à 50% à l’horizon 2025. Et pour faire bonne figure et satisfaire les écolos bobos: fermer Fessenheim qui pouvait encore produire pendant 20 ou 30 ans.

Macron a repris cette stratégie lors de son premier mandat, il l’a prolongé lors du second. Il n’y a qu’un an environ, qu’ il s’est enfin réveillé à propos de la catastrophe énergétique en annonçant la nécessité d’entretenir tout le parc nucléaire, de construire rapidement six EPR et huit ultérieurement.

La catastrophe de l’éléctricité pourrait se matérialiser par des délestages mais aussi un black out total en fonction de la météo. Tout cela entraînant des conséquences complètement imprévisibles sur l’ensemble des conditions de production et de la vie de la population. En effet aujourd’hui tout est connecté et la privation d’électricité pourrait produire une crise générale avec certaines conséquences irréversibles.

Il faut revenir sur la fermeture de Fessenheim. Une fermeture uniquement faite pour faire plaisir aux écolos bobos et tenter de récupérer leur voix. Peine perdue pour Hollande qui n’a même pas été capable de se représenter. Peine perdue aussi pour Macron qui n’a été élu que grâce à la faiblesse de l’opposition. À l’incompétence, Macron ajoute l’arrogance. Une arrogance encore constatée lorsqu’il accuse les Français de vivre de façon insensée dans une société d’abondance énergétique. Le même type de propos méprisants et injustes que lorsqu’il a invité un chômeur à traverser la rue pour trouver du travail.

Macron et Hollande devrait être traduits devant une commission pour analyser la responsabilité et les condamner pour leur opportunisme et leur incompétence crasse . Non seulement Macron et Hollande ont tué le nucléaire mais ils ont tué en même temps le parti socialiste et ce qui est plus grave l’économie comme en témoigne l’extraordinaire aggravation du déficit des échanges extérieurs, le véritable baromètre de la compétitivité française. Si cela avait été possible, Macron et Hollande auraien t sans doute aussi délocaliser les centrales nucléaires en Chine comme une grande partie de l’industrie française.

Macron et Hollande ont tué le nucléaire

Macron et Hollande ont tué le nucléaire !

Il n’est guère étonnant que Macron s’énerve à propos du scénario catastrophe qui se profile en matière d’électricité et plus généralement concernant l’énergie. En effet, Macron -avec Hollande- est directement responsable de la destruction de la puissance énergétique française des centrales nucléaires. Il faut rappeler l’objectif de Hollande:
Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75% à 50% à l’horizon 2025. Et pour faire bonne figure et satisfaire les écolos bobos: fermer Fessenheim qui pouvait encore produire pendant 20 ou 30 ans.

Macron a repris cette stratégie lors de son premier mandat, il l’a prolongé lors du second. Il n’y a qu’un an environ, qu’ il s’est enfin réveillé à propos de la catastrophe énergétique en annonçant la nécessité d’entretenir tout le parc nucléaire, de construire rapidement six EPR et huit ultérieurement.

La catastrophe de l’éléctricité pourrait se matérialiser par des délestages mais aussi un black out total en fonction de la météo. Tout cela entraînant des conséquences complètement imprévisibles sur l’ensemble des conditions de production et de la vie de la population. En effet aujourd’hui tout est connecté et la privation d’électricité pourrait produire une crise générale avec certaines conséquences irréversibles.

Il faut revenir sur la fermeture de Fessenheim. Une fermeture uniquement faite pour faire plaisir aux écolos bobos et tenter de récupérer leur voix. Peine perdue pour Hollande qui n’a même pas été capable de se représenter. Peine perdue aussi pour Macron qui n’a été élu que grâce à la faiblesse de l’opposition. À l’incompétence, Macron ajoute l’arrogance. Une arrogance encore constatée lorsqu’il accuse les Français de vivre de façon insensée dans une société d’abondance énergétique. Le même type de propos méprisants et injustes que lorsqu’il a invité un chômeur à traverser la rue pour trouver du travail.

Macron et Hollande devrait être traduits devant une commission pour analyser la responsabilité et les condamner pour leur opportunisme et leur incompétence crasse . Non seulement Macron et Hollande ont tué le nucléaire mais ils ont tué en même temps le parti socialiste et ce qui est plus grave l’économie comme en témoigne l’extraordinaire aggravation du déficit des échanges extérieurs, le véritable baromètre de la compétitivité française. Si cela avait été possible, Macron et Hollande auraien t sans doute aussi délocaliser les centrales nucléaires en Chine comme une grande partie de l’industrie française.

Macron et Hollande ont tué le nucléaire,le PS et l’économie !

Macron et Hollande ont tué le nucléaire,le PS et l’économie !

Il n’est guère étonnant que Macron s’énerve à propos du scénario catastrophe qui se profile en matière d’électricité et plus généralement concernant l’énergie. En effet, Macron -avec Hollande- est directement responsable de la destruction de la puissance énergétique française des centrales nucléaires. Il faut rappeler l’objectif de Hollande:
Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 75% à 50% à l’horizon 2025. Et pour faire bonne figure et satisfaire les écolos bobos: fermer Fessenheim qui pouvait encore produire pendant 20 ou 30 ans.

Macron a repris cette stratégie lors de son premier mandat, il l’a prolongé lors du second. Il n’y a qu’un an environ, qu’ il s’est enfin réveillé à propos de la catastrophe énergétique en annonçant la nécessité d’entretenir tout le parc nucléaire, de construire rapidement six EPR et huit ultérieurement.

La catastrophe de l’éléctricité pourrait se matérialiser par des délestages mais aussi un black out total en fonction de la météo. Tout cela entraînant des conséquences complètement imprévisibles sur l’ensemble des conditions de production et de la vie de la population. En effet aujourd’hui tout est connecté et la privation d’électricité pourrait produire une crise générale avec certaines conséquences irréversibles.

Il faut revenir sur la fermeture de Fessenheim. Une fermeture uniquement faite pour faire plaisir aux écolos bobos et tenter de récupérer leur voix. Peine perdue pour Hollande qui n’a même pas été capable de se représenter. Peine perdue aussi pour Macron qui n’a été élu que grâce à la faiblesse de l’opposition. À l’incompétence, Macron ajoute l’arrogance. Une arrogance encore constatée lorsqu’il accuse les Français de vivre de façon insensée dans une société d’abondance énergétique. Le même type de propos méprisants et injustes que lorsqu’il a invité un chômeur à traverser la rue pour trouver du travail.

Macron et Hollande devrait être traduits devant une commission pour analyser la responsabilité et les condamner pour leur opportunisme et leur incompétence crasse . Non seulement Macron et Hollande ont tué le nucléaire mais ils ont tué en même temps le parti socialiste et ce qui est plus grave l’économie comme en témoigne l’extraordinaire aggravation du déficit des échanges extérieurs, le véritable baromètre de la compétitivité française. Si cela avait été possible, Macron et Hollande auraien t sans doute aussi délocaliser les centrales nucléaires en Chine comme une grande partie de l’industrie française.

Hollande meilleur journaliste que président

Hollande meilleur journaliste président

 

Dans « Bouleversements », François Hollande  évoque l’affaiblissement des  démocraties et inconsciemment son propre rôle puisque c’est bien lui qui a permis à Macron – ,l’homme   des banques   sans la moindre légitimité politique , de lui succéder . Un livre qui montre des capacités d’introspection très limitées y compris par rapport à la Russie ( dans le Monde)

 

Guerre en Ukraine, réchauffement climatique, montée en puissance du souverainisme, fragilisation des démocraties… Dans Bouleversements, François Hollande revient sur les dix dernières années qui ont rebattu les cartes des grands équilibres mondiaux. L’ancien chef de l’Etat nourrit principalement cet ouvrage de 100 pages d’anecdotes issues de son mandat. On y rencontre, à travers son regard personnel, Vladimir Poutine, Xi Jinping, Joe Biden, Recep Tayyip Erdogan ou Mohammed Ben Salman.

Ses réflexions sur le président russe éclairent l’actualité d’un jour cruel. Le 1er juin 2012, dans son bureau de l’Elysée, l’ancien secrétaire national du Parti socialiste découvre un homme obsédé par l’OTAN et les Etats-Unis, « avide de remonter le temps, désireux (…) d’en découdre ». « Ennemi convaincu de la démocratie », Vladimir Poutine pratique « un art du mensonge très élaboré ». Il est donc illusoire d’en espérer quoi que ce soit, tranche l’ancien président français, qui critique ainsi la posture d’Emmanuel Macron. Il ne fallait pas tenter de séduire Vladimir Poutine en lui vantant une Europe allant « de Lisbonne à Vladivostok », comme l’a fait l’actuel locataire de l’Elysée, en 2019, en l’invitant à Brégançon (Var). Et il est tout aussi illusoire d’espérer résoudre la crise ukrainienne par le dialogue.

A la folie impérialiste du président russe s’ajoutent les volontés du président chinois de « prendre sa revanche sur l’humiliation passée » et de « faire pièce à l’influence américaine ». En dix ans, la géopolitique mondiale s’est ainsi réorganisée autour de deux grandes puissances, la Chine et les Etats-Unis, « avec chacune son supplétif, la Russie pour l’une, l’Europe pour l’autre ». Les désirs d’expansion ont gagné d’autres endroits sur la planète, comme l’Iran, l’Arabie saoudite ou la Turquie. François Hollande raconte, par exemple, les différents visages d’Erdogan, qui fut un temps favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, avant de basculer dans la haine anti-occidentale. En apparence « chaleureux et accueillant », le chef d’Etat turc peut devenir « cassant et colérique », comme son « faux ennemi Vladimir Poutine ».

Autre tendance, l’émergence de la « vague souverainiste », jusque-là cantonnée aux marges des démocraties, et à laquelle le Brexit a donné une force de propulsion. En 2015, le président a tenté, avec Angela Merkel, de dissuader David Cameron de mener un référendum hasardeux sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne. En vain. L’élection de Donald Trump a ensuite parachevé l’arrivée d’« un nationalisme frileux » et d’« un patriotisme défensif », qui nourrissent les partis extrémistes européens.

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Émoustillé par l’emprise de Mélenchon sur la gauche, Hollande envisage son retour en 2027. Et le pire c’est qu’il y croit sérieusement, comme il croit sans doute à son triste bilan qui a eu pour résultat de tuer le parti socialiste et de faire émerger Macron.Dix ans plus tard presque jour pour jour, François Hollande veut  donc entamer  une nouvelle page de sa vie politique. Depuis ses vastes bureaux de la rue de Rivoli, où Philae, le labrador noir qu’il a eu à l’Elysée, se balade de pièce en pièce, il reçoit à tour de bras. Cette semaine, il a vu son ex-ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, échangé avec son dernier chef de gouvernement, Bernard Cazeneuve, mais aussi avec l’influente présidente de la région Occitanie, Carole Delga, avec le Marseillais qui rue dans les brancards contre l’accord à gauche, Patrick Mennucci, ou encore l’opposante à Olivier Faure au sein du Parti socialiste, Hélène Geoffroy.
L’ancien Président échafaude son plan sur les cinq prochaines années. « 2027 se prépare dès 2022, sur le plan des idées et sur celui de l’incarnation », expose-t-il.

Montée de l’extrême droite : Sarkozy, Hollande et Macron responsables

Montée de l’extrême droite : Sarkozy, Hollande et Macron responsables

 

« Par vos actions et vos manquements, vous avez contribué à la montée en puissance de l’extrême-droite et de ses idées », accuse Olivier Brunel  dans Le Monde en s’adressant à Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron et en adjurant les responsables politiques « républicains » de « combattre efficacement l’extrême-droite ».

 

J’accuse ! Je n’ai ni la légitimité ni la puissance d’Emile Zola pour reprendre ses mots forts et symboliques. Affichés il y a plus d’un siècle, ils sont devenus synonymes de justice. Devant la gravité de la situation, je me permets de les emprunter.

En 2002, j’ai pu voter à l’élection présidentielle pour la première fois. J’étais étudiant à Strasbourg, ville que j’ai choisie pour son rôle de capitale européenne. Je me souviens encore de l’incompréhension, de l’horreur et de la colère que nous avons ressenties au soir du premier tour de ces élections. Jean-Marie Le Pen, ses théories racistes, son négationnisme affirmé et son humour daté étaient qualifiés pour le second tour…

Vingt ans plus tard, ce qui était exceptionnel est malheureusement devenu la norme… Le Front national est devenu le Rassemblement national, les gros bras ont laissé la place aux costumes cintrés et la fille a remplacé le père. Les thèses populistes, les idées nauséabondes et les boucs émissaires faciles, eux, sont restés profondément les mêmes. Ce qui a changé, c’est que les candidats défendant des idées d’extrême-droite récoltent de plus en plus de voix. Ce qui a changé, c’est la normalisation de ces candidats et de leurs idées, il n’est plus
honteux aujourd’hui de s’en revendiquer. Ce qui a changé, c’est l’audience, le crédit et la place qui leur sont accordés par et dans les médias.

Qu’est-il arrivé à notre pays ? J’accuse Nicolas Sarkozy d’avoir utilisé et légitimé un langage outrancier et indigne d’un chef d’Etat. Les multiples affaires auxquelles le président a été et est encore mêlé, les conseillers polémiques et l’absence de front républicain lors du second tour des élections cantonales de 2011, entre autres, ont brisé un tabou et durablement affaibli un parti qui ne s’en remet pas et qui pense aujourd’hui que son salut est vers une droite plus dure et moins républicaine. L’influence d’Éric Ciotti dans la campagne désastreuse de Valérie Pécresse en témoigne.

J’accuse François Hollande d’avoir oublié qu’il était un président de gauche. Elu aussi pour redonner une stature au chef de l’Etat français et porteur de nombreux espoirs, il s’est contenté du mariage pour tous, belle avancée au demeurant, comme unique signature de son mandat. Le progrès social, l’humanisme et l’écologie ont été oubliés pendant cinq ans.

J’accuse Emmanuel Macron de mener depuis cinq ans une politique arrogante et déconnectée des réalités. Les réformes des retraites, de l’assurance chômage ou de l’éducation nationale sont hautement impopulaires, menées par un gouvernement de technocrates et accentuent encore la défiance des Français vis-à-vis de leurs représentants. Le mépris et l’absence de dialogue sont des marqueurs de ce gouvernement, le refus de débattre avec les autres candidats avant le premier tour de l’élection présidentielle en témoigne, tout comme le filtrage et l’évacuation systématique de toute voix discordante lors du meeting de Strasbourg entre les deux tours.

Par vos actions et vos manquements, vous avez contribué à la montée en puissance de l’extrême-droite et de ses idées. Aujourd’hui, le paysage politique est en ruines, les partis traditionnels n’existent plus. Le parti présidentiel est réduit à sa tête d’affiche, à ce jour aucune succession n’est envisagée ou envisageable. Les idées ont été remplacées par des punchlines sans profondeur ni réflexion, le débat enrichissant et constructif a disparu. Les équipes, les collectifs, ont laissé la place au culte de la personnalité, à droite comme à gauche. On supporte ou on déteste, en politique comme au foot.

Que se passera-t-il dans cinq ans ? Messieurs les anciens présidents Sarkozy et Hollande, à l’heure où l’on parle de l’un comme ayant « refusé d’adouber la candidate de son parti » et de l’autre comme « participant à un dîner secret en vue de recomposer sa famille politique », il serait bon que vous compreniez et acceptiez que vous êtes des personnages du passé. Laissez vos partis respectifs se reconstruire avec des idées d’avenir, et contentez-vous d’observer cela de loin, avec bienveillance si possible, mais sans entraves.

Monsieur le président, l’autosatisfaction et la joie dont vous avez fait preuve lors des résultats du premier tour sont tristes et dangereuses. On ne peut pas se réjouir du résultat d’une élection qui voit l’extrême-droite être au second tour. Le débat et la République en sont les victimes. La faiblesse de votre score et le taux d’abstention sont des camouflets. Vous n’avez pas été réélu sur votre programme, votre personnalité ou votre équipe, vous avez été réélu car le front républicain, bien que de plus en plus fragile, a tenu encore une fois.

Mais pour combien de temps ? Votre responsabilité directe est engagée. Vous avez semble-t-il découvert l’écologie et les problèmes économiques des Français entre les deux tours et vous faites aujourd’hui de grandes promesses alors que les avancées de ces cinq dernières années sur ces sujets sont très faibles. Je ne demande qu’à voir, mais je doute.

En tant que chef de l’Etat, vous avez cinq ans pour construire et développer une politique sociale et environnementale ambitieuse, partagée, progressiste et transparente. Vous avez cinq ans pour donner les moyens nécessaires aux hôpitaux, aux écoles et aux services publics, institutions auxquelles les Français sont attachés, pour que ces structures puissent remplir leurs fonctions, et notamment leur rôle de ciment républicain, et répondre aux attentes des citoyens.

Vous avez cinq ans pour donner un statut et un salaire dignes de leur fonction essentielle dans la société à ceux qui s’occupent de nos enfants, de nos aînés, de nos malades ou de nos concitoyens en situation de précarité. Vous avez cinq ans pour mettre l’environnement et la qualité de vie comme valeurs cardinales et incontournables des processus de prise de décision. Vous avez cinq ans pour rétablir une justice fiscale, proportionnelle et incitative, sans oublier la mise en œuvre de sanctions dissuasives contre ceux qui cherchent à éviter de participer à la construction du bien commun.

Vous avez cinq ans pour améliorer la liberté de la presse dans notre pays, garantir l’indépendance des médias et exiger une rigueur et une solidité des informations diffusées. Vous avez cinq ans pour reconstruire un service audiovisuel public fort, doté de moyens pérennes lui permettant de reprendre une place prépondérante dans la construction du débat public. Vous avez cinq ans pour défendre et raviver les valeurs européennes : égalité, démocratie, solidarité, droits de l’homme, tolérance… et stopper les compromis avec les adversaires de ces valeurs, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Union européenne.

Mesdames et messieurs les responsables de partis politiques républicains, vous avez cinq ans pour assumer vos responsabilités, pour proposer une alternative politique crédible, étayée et solide ainsi que pour désigner les leaders qui incarneront ce renouveau. Vous devez relever ce défi. C’est uniquement comme cela que vous combattrez efficacement l’extrême-droite.

Olivier Brunel, Strasbourg

Macron « bâtard » de François Hollande (François Ruffin )

  •  Macron  « bâtard » de François Hollande  (François Ruffin )
  •  François Ruffin  a qualifié Macron de « bâtard » de François Hollande et s’expliqué sur Twitter.
  •  (FRANCE INTER / RADIO FRANCE)
  • Bâtard », le mot est fort et il a fait réagir. Interrogé sur France Inter sur l’échec de Jean-Luc Mélenchon et l’état de la gauche après la présidentielle, jeudi 28 avril, François Ruffin a répondu en désignant Emmanuel Macron comme le « bâtard » de François Hollande. « Aujourd’hui, il y a un drapeau de la gauche qui est haut, qui peut briller alors qu’elle pourrait ne plus exister, s’est félicité le député La France insoumise. Quand on a eu cinq ans de Hollande, et que son héritier, son fils ou son bâtard, Emmanuel Macron, est présenté comme étant la continuité de cette gauche-là, ça pourrait être laminé dans le pays, ça ne l’est pas. » L’emploi du mot  »bâtard » pour qualifier le président réélu a fait réagir de nombreux élus de La République en Marche, qui pointent  »la provocation et l’excès » et dénoncent une « insulte ».
  • En guise de réponse, François Ruffin persiste et signe en rappelant sur Twitter la définition du mot bâtard. « ‘Bâtard, n. m. : enfant illégitime’. C’est vrai, ce n’est pas juste : Macron est dans la droite lignée de Hollande. ‘Mon ennemi, c’est la finance’ a accouché d’un banquier à l’Elysée. Avec la même politique : CICE, loi Travail, réforme des retraites et compagnie ».
  • Selon François Ruffin, « l’élection d’Emmanuel Macron est légitime, en revanche, le projet qu’il porte est aujourd’hui minoritaire dans le pays ». Toujours sur France Inter, il retient « deux réussites importantes » de LFI à la présidentielle. La première est qu’« un tiers des jeunes a voté Jean-Luc Mélenchon ». Pour lui, c’est  »un ferment pour l’avenir, ça pourrait être Marine Le Pen, ce n’est pas le cas ». Il se félicite également que « la gauche retrouve un droit de cité dans les quartiers, et ça n’est pas rien, ceux qui se sont longtemps abstenus ». François Ruffin identifie toutefois « un énorme point noir » : la France périurbaine a préféré la candidate du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, à Jean-Luc Mélenchon. « Je pense qu’on ne s’est pas fixé comme priorité d’aller reconquérir cette France-là (…)  dans les anciens bassins industriels ouvriers qui, c’est une réalité, sont abandonnés. »
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