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Rachat d’actions : Macron découvre les superprofits des multinationales !

Economie: Macron découvre les superprofits des multinationales


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Incroyable : Macron découvre les superprofits des multinationales

Incroyable : Macon découvre les superprofits des multinationales


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Logement : manque d’offre, la ministre découvre la lune !

Logement : manque d’offre, la ministre découvre la lune !

 

 

La ministre du logement, EMMANUELLE WARGON , semble découvrir la lune dans une interview à la Tribune en affirmant un manque en matière d’offre de logement et non de  la demande.  

 

Interview

EMMANUELLE WARGON : Cette piste pour construire bien et durablement fonctionne très bien à tel point que nous avons déjà délégué la totalité des 300 millions d’euros à 200 projets. C’est pourquoi le Premier ministre a décidé d’y ajouter 350 millions d’euros pour porter des projets supplémentaires. Le volume des premières demandes sur les projets a atteint en effet les 1,5 milliards d’euros ! Si ces opérations sont vertueuses, elles n’en demeurent pas moins coûteuses, à Saint-Fargeau comme à Saumur où je me trouvais la semaine dernière.

Au regard du grand écart – de 1 à 10 – entre les 6,7 milliards d’euros fléchés vers la rénovation et les 650 millions d’euros pour la construction neuve, dont les 300 du plan Friches, les aménageurs, les constructeurs et les promoteurs immobiliers s’affichent pessimistes…

Bien sûr et je les comprends. Qu’ils soient rassurés : nous suivons les chiffres de près. Aujourd’hui, en termes de mises en chantier, nous nous trouvons entre 6 à 10% en-dessous du rythme d’avant la crise sanitaire. Cela n’est pas si bas, mais cela reste très inquiétant. C’est pourquoi le Premier ministre vient d’annoncer la création de cette Commission nationale de Relance de la Construction qui devra formuler des propositions opérationnelles avant l’été pour nourrir le projet de loi de finances 2022 de septembre. Avec d’autres élus locaux, des économistes et des promoteurs, son président François Rebsamen, président (PS) de Dijon Métropole, devra partager un diagnostic et trouver les bons leviers pour redémarrer la machine. Actuellement, nous rencontrons bien plus un problème d’offre qu’un problème de demande, les particuliers et les investisseurs étant toujours présents.

Vous avez déjà signé en novembre un Pacte national pour la construction durable, ainsi qu’un avenant à la charte en question pour délivrer 250.000 agréments de logements sociaux d’ici à fin 2022. Les professionnels du logement neuf construisent en effet la moitié du parc HLM…

Le logement social tire le logement privé et inversement. Ce n’est donc pas un problème de modèle économique, mais un sujet de résistance culturelle à la construction.

L’aide aux maires densificateurs de 350 millions d’euros serait donc inutile ?

Non, au contraire, puisqu’elle a permis de financer la sortie de 1.000 permis de construire dans près de 700 communes pour un montant total de 70 millions d’euros. Cela devrait donc permettre de donner un coup de pouce financier à 30.000 logements. En termes de densification, la transformation de bureaux en logements peut aussi aider. Dans la loi Climat, nous avons réintroduit un dispositif qui facilite l’accès au bonus de constructibilité pour équilibrer les opérations. J’ajoute que je suis en train de faire un tour des métropoles pour discuter avec leurs président(e)s – comme lundi dernier avec Jeanne Barseghian maire de Strasbourg – après avoir été à Lyon et à Orléans et avant de me rendre à Rennes.

Justement, le projet de loi Climat et Résilience, qui vient d’être adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, consacre que « l’Etat continuera à financer les aides à la rénovation sur un délai de dix ans ». Pour quels montants ? Pour qui ? Pour quel type de travaux ?

La loi climat prévoit une programmation de la rénovation énergétique à travers la loi quinquennale sur l’énergie, qui elle-même est un acquis parlementaire de 2019. Tout ceci sera formalisé d’ici à 2023. En attendant, nous mettons déjà en place une politique de moyen et de long-terme avec des aides financières, un accompagnement et des guichets de proximité. Nous mettons fin au sans stop-and-go. Nous avons en effet déjà progressé depuis le début du mandat avec une montée en charge de plus en plus forte. De 190.000 dossiers déposés en 2020 auprès de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), nous en sommes à 285.000 en ce 19 mai et nous devrions atteindre bientôt les 400.000 et même les 700 à 800.000 fin 2021. Soit quatre fois plus de Ma Prime Rénov qu’en 2020. Il est assez rare qu’une aide trouve à ce point son public.

Il n’empêche, le rôle d’accompagnateur fait débat. Les architectes, pour ne citer qu’eux, revendiquent de déjà jouer ce rôle auprès des particuliers.

Cette proposition « d’accompagnateur », formulée par le directeur général délégué de la Caisse des Dépôts Olivier Sichel, doit être précisée. L’objectif est d’arriver à un cahier des charges où l’accent sera mis sur la neutralité du conseil. Nous allons ainsi agréer des réseaux étatiques, des associations voire des réseaux privés sous conditions. Pour cela, nous avons encore besoin de quelques semaines de concertation. Notre objectif : publier le décret d’application pour une entrée en vigueur progressive début 2022.

Parallèlement, le ministère de la Transition écologique, dont dépend celui du Logement, publie ce mercredi 19 mai son Observatoire de la rénovation énergétique 2016-2019. A y regarder de plus près, avec 1,4 millions de rénovations, les maisons individuelles dépassent légèrement les logements collectifs qui en totalisent 700.000. Quelles conclusions en tirez-vous pour aujourd’hui et demain ?

Les grands gagnants, ce sont les Français ! Au-delà de la formule, cela fait un an que je mobilise mes services pour que nous ayons accès à ces données. En l’absence de ces chiffres, nous serions amenés à conduire une politique de manière aveugle. Là, au contraire, avec cette méthode fiable, nous disposons de premières données solides. Nous pouvons par exemple recenser tous les logements aidés, même si nous ne pouvons pas encore chiffrer les rénovations dans les logements collectifs qui n’ont pas été aidés. Demain, nous voulons être en capacité de disposer de données exhaustives. Toujours est-il que rien qu’en 2019, un logement sur quinze a été rénové. C’est loin d’être négligeable. D’autant que les économies d’énergie réalisées au total s’améliorent avec +50% de gains estimés. Les aides ont donc bel et bien ciblé les travaux les plus efficaces. In fine, ces économies d’énergie nous permettent de tenir les objectifs de notre stratégie nationale bas carbone, même si ces objectifs vont s’accentuer à l’avenir et qu’il faudra donc encore accélérer.

Les propriétaires occupants sont les premiers à réaliser des travaux, démontre également cette étude. Pour reprendre votre expression, en avez-vous fini avec le stop-and-go qui excluait les plus riches des dispositifs avant de les réintégrer dans le plan France relance de septembre 2020 ?

Notre politique répond à deux objectifs : financer les travaux les plus efficaces et aider ceux qui ont en le plus besoin. C’est une première en France. Alors que le volume de travaux a augmenté de 20%, les économies d’énergie ont cru de 50% car nous avons ciblé les travaux les plus efficaces, notamment via les certificats d’économie d’énergie pour l’isolation des combles. De la même façon, nous avons été redistributifs en transformant le crédit d’impôt pour la transition énergétique traditionnellement utilisé par les plus aisés en MaPrimeRenov’, une prime dont les montants les plus élevés bénéficient aux ménages aux revenus les plus modestes. Nous n’avons pas encore les chiffres de 2020, mais je suis sûre que cette année sera encore plus redistributive, Ma Prime Rénov les aidant encore davantage en ciblant les économies d’énergie.

Que répondez-vous à l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) qui se déclarent « inquiets » sur les obligations de rénovation et les interdictions de mise en location ?

Je les comprends et je tiens à les rassurer : nous accompagnerons chaque propriétaire. Les logements G, c’est-à-dire les plus énergivores, seront interdits à la location en 2025, suivis des habitats F en 2028 et E en 2034. Avec la loi Climat, nous aurons les moyens de solliciter individuellement tous les propriétaires, en nous fondant sur la base des diagnostics de performance énergétique (DPE). Nous aurons également besoin de la mobilisation de l’ensemble des professionnels de l’immobilier, gestionnaires, syndics, agences, etc.. Que tous se rassurent : d’ici à 2025, nous avons un délai suffisant pour que les propriétaires aient le temps de réaliser les travaux. Ils savent que cela ne peut qu’améliorer la valeur de leur bien – la valeur verte – et qu’ils pourront le revendre à un meilleur prix . C’est pourquoi nous menons actuellement un gros travail d’accompagnement et que nous avons ouvert Ma Prime Rénov aux copropriétés et aux bâtiments eux-mêmes le 1er janvier dernier. Elle sera aussi accessible aux propriétaires bailleurs à partir du 1er juillet prochain. Cela va beaucoup aider les propriétaires de logements en location.

Par ailleurs, le changement de chauffage et/ou de système d’eau chaude sanitaire apparaissent, selon l’Observatoire de la rénovation, comme les gestes les plus efficaces devant l’isolation des murs, des toits ou des planchers. Cela va-t-il vous faire revoir vos priorités ? Prioriser des actions plutôt que d’autres ?

Nous ne nous sommes pas fixé d’objectifs par type de travaux, mais nous continuons à souhaiter que les diagnostics soient les plus fréquents possibles et que les bouquets de travaux soient les plus complets. Chaque bâtiment a son chemin spécifique de rénovation. Parfois il faut refaire le mur, le plancher, ou plutôt changer la chaudière, ou l’ensemble, cela offre à chacun la possibilité de rénover son logement en fonction de ses caractéristiques et des besoins issus du diagnostic.

Les rénovations sont plus nombreuses dans le Nord-Est du pays que dans le Sud, à cause du froid, et dans le périurbain davantage que dans les villes-centres. Sachant que la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs stipule une résistance aux vagues de chaleur, comment allez-vous concilier les deux contraintes de température ?

Je vous rappelle que les données de l’Observatoire de la rénovation énergétique balayent les années 2016-2019. Il est en outre normal que les rénovations se concentrent là où il fait le plus froid, et car les besoins de chauffage et factures d’énergie y sont plus élevés, et que les rénovations soient davantage sur le périurbain car c’est là où se trouvent les maisons individuelles. Nous devrions quand même avoir un volume croissant dans les centres villes.

Encore faudra-t-il améliorer la notoriété des aides, qui souffrent d’un « déficit » de reconnaissance…

Nous avons beaucoup communiqué, notamment autour de MaPrimeRenov’,et la situation est en train de changer. Depuis le 1er janvier 2021, nous avons eu plus de 4 millions de visites sur le site officiel maprimerenov’.gouv.fr, et en juin prochain, nous lancerons des publicités à destination des propriétaires bailleurs. C’est une aide qui existe depuis seulement un an. D’après notre dernière étude, 88% des utilisateurs se déclarent satisfaits et surtout 69% assurent qu’ils n’auraient pas réalisé de travaux sans l’aide Ma Prime Rénov.

Vous espérez le dépôt de 700 à 800.000 dossiers à l’Agence nationale de l’habitat d’ici à la fin de l’année. Où en êtes-vous dans la consommation de l’enveloppe de 2 milliards d’euros de France Relance dédiée aux logements privés ?

La montée en puissance est extrêmement rapide. Nous avons dépensé 510 millions d’euros depuis le début de l’année, si bien que nous devrions avoir consommé une grande partie de l’enveloppe d’ici à fin 2021.

Qu’en est-il pour les 500 millions d’euros dévolus aux habitats à loyer modéré (HLM) ?

Beaucoup de demandes ont été déposées pour lesquelles nous sommes en train de répartir les enveloppes, mais cela devrait concerner près de 40.000 HLM.

Quid des 1,3 milliards d’euros de dotation de subvention à l’investissement local (DSIL) fléchés vers la rénovation des bâtiments appartenant aux collectivités locales, dont 300 millions pour les régions, 300 millions pour les départements et 650 millions pour les communes ?

Nous devrions obtenir une vision consolidée fin mai étant donné que les négociations sont toujours en cours entre les élus locaux et les préfets. Ces derniers nous font déjà remonter qu’il y a plutôt trop de demandes que pas assez !

Comment allez-vous répondre à cet afflux dans cas ?

C’est avant tout aux préfets, qui sont proches du terrain, de prioriser en fonction des besoins du territoire mais aussi de la qualité des projets : s’assurer que l’on retient les plus ambitieux pour l’environnement et ceux qui peuvent se lancer vite pour relancer l’activité économique locale rapidement.

L ‘OMS: découvre la pandémie !

L ‘OMS: découvre la pandémie !

 

 

Depuis le début de la crise sanitaire, l’organisation mondiale de la santé aura montré ses défaillances et ses contradictions. D’abord en reprenant mot pour mot la propagande de la Chine qui a dissimulé les vrais chiffres et fait perdre un mois dans la lutte contre la maladie. Ensuite en hésitant entre discours rassurant et des propos d’alerte. Ce n’est qu’hier que l’organisation mondiale de la santé a enfin reconnu le caractère de pandémie du Coronavirus.

Il était temps puisque tous les continents sont touchés et plus de la moitié des pays. En fait,  l’organisation mondiale de la santé ne sert pas à grand-chose, elle est surtout le fruit de compromis politique permanent entre les grandes puissances. Sa direction est confiée à des responsables de pays mineurs. Ces derniers en position de faiblesse essayent  surtout de ne mécontenter personne dans les grands pays et pour cela se contentent  de banalités. Cette reconnaissance du caractère pandémique de l’épidémie grave évidemment sur le plan sanitaire va surtout provoquer des bouleversements économiques et financiers d’une ampleur  sans doute égale à celle de 2008.

“Nous sommes extrêmement préoccupés tant par le niveau alarmant et par la sévérité de la propagation que par le niveau d’inaction. Nous avons donc décidé de considérer que le Covid-19 peut être qualifié de pandémique”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

Le nombre de nouveaux cas hors de Chine a été multiplié par 13 au cours des deux dernières semaines, a-t-il souligné.

Apparu fin décembre en Chine, le nouveau coronavirus s’est propagé partout dans le monde, perturbant lignes de production et chaînes d’approvisionnement et incitant les autorités à fermer les écoles, à repousser ou annuler événements sportifs et culturels.

L’OMS a déclaré le 30 janvier que l’épidémie de coronavirus était un cas d’urgence de santé publique de portée internationale, son niveau d’alerte le plus élevé. Il n’y avait alors qu’une centaine de cas de contamination hors de Chine.

Ce sont désormais plus de 118.000 individus dans 114 pays qui sont contaminés par le Covid-19 et 4.291 sont mortes en l’ayant contracté.

En dehors du cas particulier de la grippe, l’OMS ne dispose plus de la nomenclature qui lui permettrait de qualifier telle ou telle maladie de pandémique, c’est-à-dire touchant un grand nombre d’individus dans un grand nombre de pays.

Plusieurs responsables de l’OMS ont déclaré ces dernières semaines qu’ils pourraient toutefois utiliser le mot de pandémie pour caractériser l’épidémie tout en soulignant que cela n’aurait aucune portée légale. En faite cela n’a aucune portée du tout car l’organisation mondiale de la santé ne sert pas à grand-chose comme nombre d’autres organismes de l’ONU. Il faudrait sans doute trouver un autre cadre pour décider d’une véritable coordination internationale des plans de lutte contre le virus.

La justice découvre les pots de vin de Total !

La justice découvre les pots de vin de Total !

il y a quelque chose de merveilleux dans la naïveté de la justice française qui découvre l’existence de pots-de-vin dans le business international. En l’occurrence, il s’agit de Total, l’un des plus grands groupes pétroliers mondiaux, qui aurait versé une trentaine de millions en Iran notamment pour obtenir l’exploitation  d’un gisement. Le problème c’est que toutes les sociétés internationales ou presque utilisent les mêmes procédés pour leurs débouchés commerciaux. C’est notamment valable dans l’industrie de l’armement mais dans beaucoup de branches.  inutile de tourner autour du pot, pour les contrats internationaux, il est souvent nécessaire d’arroser d’une manière ou d’une autre les décideurs. Le ministère public a cependant requis vendredi la confiscation de 250 millions d’euros à l’encontre du groupe pétrolier Total, jugé pour corruption d’agents publics étrangers en marge de la conclusion de contrats en Iran en 1997. Total est soupçonné d’avoir versé quelque 30 millions de dollars de pots-de-vin entre 2000 et 2004 sous couvert d’un contrat de consultance visant à faciliter la conclusion d’un accord concernant l’immense gisement gazier de South Pars. Pour le procureur, ce contrat avec la société Baston Associated LTD “recouvrait en réalité des paiements corruptifs” dont une grande partie destinée à un fils de l’ancien président iranien Hachemi Rafsanjani (1989-1997), Mehdi.

Iran : l’Allemagne découvre l’intérêt de la politique étrangère européenne

Iran : l’Allemagne découvre l’intérêt de la politique étrangère européenne

 

 

D’une  certaine manière, c’est un peu une surprise d’entendre Merkel plaider pour une politique étrangère commune au sein de l’Europe. Il faut dire que ses intérêts économiques sont malmenés par les décisions de Trump qui justement se plaint en particulier des exportations allemandes. L’affaire de l’Iran est en quelque sorte la goutte d’eau qui fait déborder le vase des risques commerciaux pour l’Europe et l’Allemagne en  particulier. Jusque là pourtant on peut dire que l’Allemagne avait adopté uen position de relative neutralité vis-à-vis de la politique étrangère. Pour ne pas dire un certain mépris. Témoin encore récemment sa position très ambiguë sur les frappes en Syrie pour ne pas déplaire à la Russie.  Merkel découvre aussi les risques de guerre alors qu’elle ne s’est pas impliquée jusque-là dans les conflits en cours. Mais les nouveaux conflits pourraient menacer son businesse d’où la déclaration de Merkel sur la nécessité d’une politique diplomatique commune. Politique diplomatique qui implique aussi une politique commune de défense car il apparait évident que l’OTAN protège les Etats-Unis mais pas forcément l’Europe. Trump souhaite d’ailleurs se désengager de l’OTAN (en particulier au moyen Orient), il souhaite aussi  faire payer davantage l’Europe. Merkel rejoint la position française. Selon le ministre français des Affaires étrangères, les pays européens devront se montrer “très unis et très solidaires sur les choix” dans la période qui s’ouvre, marquée par les échanges de tirs entre Israël et forces iraniennes stationnées en Syrie. “Les événements qui se produisent en ce moment donnent la preuve de cette nécessité”, a-t-il déclaré sur BFM TV. Le chef de la diplomatie française a fait donc écho à des déclarations d’Angela Merkel, pour qui “l’Europe en est toujours à ses balbutiements en matière de politique étrangère commune”. “Et c’est une nécessité existentielle de faire des progrès dans cette voie parce que les conflits ont complètement changé de nature depuis la fin de la Guerre Froide”, a déclaré la chancelière allemande lors d’un discours prononcé à Aix-la-Chapelle, en présence d’Emmanuel Macron.

Partant du constat que l’alliance avec les Etats-Unis n’avait plus valeur d’assurance tous risques, elle a insisté sur l’impératif pour les Européens de “prendre leur destin en main”. “C’est la tâche à accomplir dans le futur.”“Cela a beaucoup bougé dans ce domaine-là depuis quelques mois. La prise de conscience (…) de la nécessité pour les Européens d’avoir leur capacité de décision stratégique est devenue essentielle et que l’Allemagne le dise est encore un élément supplémentaire”, a-t-il poursuivi.

Pollution Diesel: la commission Royal découvre la lune !

Pollution Diesel: la commission Royal découvre la lune !

Suite au scandale du trucage des émissions polluantes par Volkswagen, une commission avait été mise en place par Ségolène Royal pour vérifier les véhicules circulant en France. Dans ses premières conclusions, cette commission «  indépendante » relève que des véhicules diesels dépassent les normes. D’une certaine manière ce groupe d’experts découvre la lune puisse depuis longtemps que les émissions réelles sont bien supérieures aux limites fixées par la réglementation. En cause le fait que la mesure des émissions n’est pas effectuée dans les conditions réelles de circulation. D’après cet de commission outre les français Renault et PSA Peugeot Citroën, sont concernés Fiat Chrysler Automobiles (FCA), la marque haut de gamme du groupe Daimler Mercedes-Benz, Volkswagen, Nissan, Ford et la filiale européenne de General Motors, Opel. Les experts notent l’absence de système de fraude comparable à celui utilisé par Volkswagen mais constaté des dépassements significatifs par rapport aux normes d’émissions polluantes d’oxydes d’azote (NOx) sur un certain nombre de véhicules. En fait l a pollution hors normes par les véhicules automobiles est une affaire aussi vieille que la norme  elle-même. Le décalage entre ces normes et les émissions polluantes réelles a toujours existé. Cependant il faut faire une distinction entre cette situation et celle qui consiste à installer sur les véhicules des logiciels pour réduire artificiellement cet écart (cas de Volkswagen). Avec l’affaire Volkswagen aux États-Unis, on découvre à nouveau que la mesure de la pollution   est relativement truquée. D’abord truquée par les constructeurs eux-mêmes au départ qui annonce des taux de pollution sous-estimés volontairement pour satisfaire aux normes. Les constructeurs effectuent leurs mesures avec des véhicules évidemment entièrement neufs et dans des conditions théoriques qui ne rien avoir avec l’usage normal d’un véhicule. Même lors  du contrôle technique les mesures sont également faussées car effectuées aussi dans des conditions théoriques. Ceci étend sur la durée la pollution des véhicules a sensiblement diminué grâce aux progrès techniques et aux normes. Malheureusement des progrès individuels qui ont été compensés par un accroissement du volume de circulation. Témoin par exemple les pics de pollution dangereux constaté dans certaines grandes villes notamment à Paris. En réalité les automobiles autos brûlent bien plus de CO2 ou de carburant que ce qu’on nous promet : de l’ordre de 20 à 25%, avec des pointes jusqu’à plus de 40% pour certains modèles (contre 7% à peine en 2001). Une inflation qui tient à la procédure d’homologation. Loin, très loin de la vie réelle. Puisque la voiture ne roule pas en ville, par exemple, mais sur un banc à rouleau. Onze kilomètres de test au total, pendant une vingtaine de minutes. Ensuite, il faut savoir que cela se déroule dans de très bonnes conditions, à une température comprise entre 20 et 30 degrés. D’autre part, la climatisation, le GPS et les phares ne fonctionnent jamais durant le test. La vitesse et les accélérations sont faiblardes. Sans compter quelques astuces : cela va des boîtes de vitesses en passant par des moteurs soigneusement rodés. Au final c’est donc le grand écart. Selon l‘Institut européen transport et environnement, une Audi A8 diesel produirait vingt-et-une fois plus d’oxyde d’azote en réel que sur homologation. Pourtant la réduction de consommation et du niveau de pollution est bien réelle. C’est ce que rappellent, à juste titre, les constructeurs. Les dernières générations de moteurs sont bien moins polluantes et plus sobres. En quinze ans, les consommations des véhicules ont été sérieusement revues à la baisse. Ainsi en moyenne, pour 100 kilomètres parcourus, c’est 1,6 litre de carburant économisé pour un diesel et 2 litres pour une essence. Cependant la voiture  consomme souvent plus que ce qu’annoncent officiellement les constructeurs. Une situation qui a d’ailleurs amené l’Europe à modifier les normes pour les rapprocher du taux d’émissions réelles. Rien de neuf donc sous le soleil avec une commission qui avait sans doute pour but aussi de montrer combien la France était attachée  à la question des émissions polluantes dans la perspective de la COP 21 présidée par la France

Amazon découvre les faux avis sur internet !

 

Amazon découvre les faux avis sur internet !

 

D’une certaine manière Amazon découvre la lune et la réalité des faux avis sur internet. Ou fait dans l’hypocrisie. Il est clair que-un grand nombre d’avis sont truqués. En France par exemple le ministère de l’économie a relevé des anomalies sur environ 50% d’avis. En général les marques ne diffusent que des avis  positifs avec quand même quelques avis négatifs pour donner un minimum de crédibilité aux commentaires favorables ; un phénomène observé sur tous les sites internet où finalemenet les avis diffusés  n’ont que peu d’intérêt.ils peuvent auusi être entièrement truqués comme pour Amazone et bien d’autres. En faveur de la marque ou contre. Ce qu’on appelle l’évaluation bidonnée. Sans parler des délires et autres insultes, que permet de manière anonyme le net.  Le géant américain de la distribution Amazon vient en faire le frais en ligne Amazon a porté plainte aux Etats-Unis contre plus d’un millier de personnes accusées d’avoir écrit contre paiement de faux avis sur des produits proposés dans sa boutique en ligne. La plainte vise des individus non identifiés (« John Doe ») numérotés de 1 à 1.114, accusés de proposer sous des pseudonymes leurs services pour inventer des revues d’articles sur Amazon, avec un prix unitaire démarrant à 5 dollars pièce. Ils ont pour point commun d’utiliser le site fiverr.com, utilisé par des travailleurs indépendants pour trouver des emplois à la tâche dans divers domaines (traductions, design, édition…) et qui n’est pas lui-même ciblé par la plainte. Les individus visés promettent par exemple au vendeur d’un produit qu’ils n’ont pas acheté de publier des critiques positives ou assorties de la note maximale de 5 étoiles, certains permettant même au vendeur d’écrire lui-même la critique, détaille Amazon, qui dit avoir lui-même réussi à acheter de faux avis en se faisant passer pour un vendeur ou un fabricant.

Hollande découvre les priorités du pays

Hollande découvre les priorités du pays

Sans doute l’effet bénéfique des vacances, Hollande découvre la lune et en même temps les priorités du pays : la crise agricole, la question économique, l’immigration et le climat ;  il était temps qu’il  s’aperçoive de l’ampleur de la crise agricole notamment chez les éleveurs aussi chez les producteurs de fruits et légumes. La question économique fait aussi partie des priorités du chef de l’État pour cette rentrée. Et pour cause puisque la croissance, qui pourtant d’après lui « était là » a été nulle au second trimestre et que par ailleurs les indicateurs de conjoncture pour le troisième trimestre ne paraissent guère encourageants. Ce qui n’empêche pas Hollande de promettre pour 2016 des diminutions d’impôts pour dit-il répartir les fruits de la croissance. Encore faudrait-il que cette croissance existe. Ou de manière plus significative que les 1 % environ qui seront réalisés en 2015. Pour cette perspective de croissance il faudra aussi compter avec le ralentissement mondial observé dans de nombreux pays en particulier en Chine. Pour les impôts dont Hollande annonce la réduction en 2016, il faut cependant préciser que ces derniers ont augmenté d’une centaine de milliards depuis son arrivée. Une augmentation de la fiscalité qui a d’ailleurs plombé un peu plus la croissance et l’emploi. Mais de toute évidence nous somme déjà dans une période pré électorale pour la présidentielle de 2017. Pour la première fois ou presque, Hollande s’exprime sur l’immigration. Il était aussi temps car  cette émigration va atteindre des chiffres record dans toutes l’Europe et pour l’instant la seule ligne politique consiste dans chaque État à mettre des policiers supplémentaires pour refouler les migrants dans les états voisins. Un peu court comme stratégie. Pas étonnant compte tenu de l’indigence de la réflexion sur les facteurs explicatifs de cette immigration. Dernière préoccupation de hollande : le climat. Avec une belle loi d’intention sur la transition énergétique qui renvoie surtout la responsabilité aux gouvernants d’après 2017 et qui reste dans le flou sur les modalités et la programmation de cette transition. Le gouvernement, dont les propos étaient rapportés par Stéphane Le Foll, doit donc   »avancer et en même temps donner des garanties aux Français en termes de liberté, de sécurité, d’efficacité de l’action de l’Etat et de solidarité ». Il doit « être bien sûr totalement mobilisé« , a insisté François Hollande. Toujours selon le porte-parole du gouvernement, François Hollande a estimé qu’on était « entré dans une phase de redistribution des gains de la croissance et des efforts faits par les Français ».  »Cette rentrée est marquée par une baisse des impôts pour 9 millions de foyers« , a fait valoir Stéphane Le Foll. Sur l’immigration, a poursuivi François Hollande, la ligne de conduite de la France « s’appuie sur deux principes, la fermeté et la solidarité« . Cette question, a-t-il précisé, sera à l’ordre du jour d’une rencontre lundi à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel, dont l’autre thème sera l’Ukraine. Quant à la Conférence mondiale de Paris sur le climat (COP21), il s’agit d’un « enjeu essentiel« , a souligné François Hollande.

Un futur sans carbone : la Banque mondiale découvre la lune

Un futur sans carbone : la Banque mondiale découvre la lune

 

En prévision de la conférence mondiale sur le climat, la banque mondiale apporte sa contribution pour un monde sans carbone. En réalité rien de bien nouveau et c’est même un peu tardif pour un organisme qui a pour vocation de rééquilibrer les richesse  (et la pollution qui va avec  !) entre pays riches et pays pauvres. La banque mondiale propose des normes pour le futur ; on se demande pourquoi pas dés maintenant  ( de manière progressive), ensuite de valoriser et de taxer le carbone enfin de prévoir les mutations économiques et sociales liées à une augmentation du prix du carburant. Autant de mesures bien connues mais qui n’ont pas encore connu le moindre début d’application si l’on en juge par exemple par le record de chaleur en 2014 ou encore au mois de mars 2015. Par ailleurs sans aide les pays en voie de développement ne pourront pas réduire la pollution à cause par exemple des usines polluantes que les occidentaux y implantent ou encore  à cause des vieux véhicules que nous exportons en Afrique ; A cet égard le rééquilibrage des problématiques environnement et-économie relève de l’urne et non du long terme ; On peut enfin douter de l’efficacité de la banque mondiale en matière d’écologie  si l’on en juge par son action déjà complètement inefficace sur le plan économique. La banque mondiale est au développement ce que le doliprane est au cancer : une rustine pour cacher la misère. Il faut espérer que la communauté internationale saura mettre en place uen véritable institution de lutte contre la pollution à ‘limage de l’OMC avec de vrais pouvoirs de décision et de sanction.    A six mois de la conférence climat de Paris, ce rapport de la Banque mondiale  donne sa solution miracle et précise donc  les trois étapes à suivre pour éliminer nos émissions de CO2. D’abord, il faut penser à l’avenir dans toutes les normes pour des bâtiments, pour les voitures, pour qu’ils soient plus sobres en énergie mais aussi lorsque l’on construit une ville. Il sera plus facile de faire baisser les émissions s’il y a des transports en commun. La deuxième étape consiste à fixer un prix au carbone. Cela permet à la fois de faire rentrer des recettes fiscales beaucoup plus difficiles à frauder selon le rapport et cela incitera usager et entreprise à choisir les solutions moins émettrices de CO2.  L’exemple de la téléconférence qui contrairement à la réunion évite de déplacer 20 personnes. Enfin, le rapport ne nie pas que cette transition aura des conséquences économiques : l’essence sera plus chère, certains emplois disparaitront. Les états doivent donc redistribuer ces recettes en particulier vers les plus pauvres qui sont souvent ceux qui polluent le moins en particulier dans les pays en développement. En bref, la Banque mondiale explique que réchauffement climatique ou pas, réduire le carbone à zéro est aujourd’hui un objectif commun partout sur la planète. En Asie, en particulier en Chine, il s’agit principalement  de réduire la pollution de l’air pour des raisons de santé En Europe ou aux Etats-Unis, les efforts sont plus liés aux aspects économiques. Toujours est-il que la question n’est plus comment on atteindra cet objectif mais plutôt quand arrivera-t-on à zéro carbone.

SwissLeaks -fraude fiscale : le Monde découvre la lune

SwissLeaks -fraude fiscale : le Monde découvre la lune

Grande découverte du Monde et d’un réseau international de journalistes, des revenus se dissimulent dans les paradis fiscaux grâce à la Banque HCBC et par exemple l’humoriste Gad Elmaleh ( celui qui rêve d’une banque dans une pub ! Et qui l’a sans doute trouvée à Monaco depuis qu’il s’y est marié avec une princesses locale)  disposait de 80 000 euro sur un compte susse ; De quoi vraiment sourire quand on sait que les fonds dissimulés dans les paradis fiscaux atteignent sans doute 25 000 milliards. Le Monde a donc « révélé », dimanche soir, le premier volet d’une enquête sur un système international de fraude fiscale. Un système « accepté, et même encouragé » par l’établissement britannique HSBC. Le quotidien dévoile les noms de nombreuses personnalités impliquées : célébrités, artistes, hommes d’affaires, politiques…  Le premier volet de l’enquête a été mis en ligne dimanche soir sur le site du Monde.fr. Une dizaine d’articles détaillant un « système international de fraude fiscale » impliquant la banque britannique HSBC et de nombreuses personnalités publiques. Des célébrités, des politiques, des hommes d’affaires, des trafiquants d’armes ou de stupéfiants, en France et ailleurs dans le monde, dont le quotidien dévoile certains noms. Parmi les personnalités françaises citées l’humoriste Gad Elmaleh, qui disposait, d’après le journal, d’un compte faiblement approvisionné à Genève, avec un peu plus de 80.000 euros entre 2006 et 2007. Toujours selon le quotidien, il aurait régularisé sa situation auprès du fisc français. Ce serait le cas aussi de Jacques Dessange qui lui possédait un compte dans la filiale suisse de HSBC sur lequel il aurait eu jusqu’à 1,6 million d’euros entre 2006 et 2007. Bref des révélations qui n’en sont pas eu égard à l’ampleur de la fraude fiscale généralisée au plan mondial qui représente davantage que le PIB des Etats unis. Une fraude souvent légale par ailleurs grâce d’une part à la présence de la plupart des banques dans les paradis fiscaux (y compris des banques françaises) et au système  de la surfacturation autorisée qui permet d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité et à l’linverse d’ internaliser les pertes dans les pays à forte fiscalité comme la France  (ce qui explique que les sociétés  du CAC sont sous imposées,  quand elles payent ! Total par exemple pendant des années n’a pas payé d’impôts sur les bénéfices. Dès lors, il ne fait pas s’étonner que seulement 1% de la population détienne 50% de la richesse mondiale.

Au bout de deux ans le gouvernement découvre internet, encore deux ans il va découvrir l’économie !

Au bout de deux ans  le gouvernement découvre internet, encore deux ans il va découvrir l’économie !

 

 

Il y a du changement dans l’air, le gouvernement vient de découvrir internet lors de Noel avec son jeu nunuche « Bingo » concernant les « éléments de langage » socialiste ( le bla-bla politique) pour répondre aux critiques. Un gouvernement qui tweete et utilise aussi Facebook. Au bout de deux ans de pouvoir c’est quand même une belle découverte ; encore deux ans et il faut espérer que Hollande et son équipe de fonctionnaires vont découvrir l’économie ! Nos 16 Ministres sont en vacances en France. François Hollande, lui, a passé Noël à l’Élysée avant de partir se reposer à la Lanterne à Versailles. Et pendant ce temps-là, son service de communication ne chôme pas. En effet, depuis le début des congés, il multiplie les messages sur Facebook, ou encore Twitter. Le gouvernement est hyperactif sur les réseaux sociaux. Le jour de Noël, une campagne « oui je vote » a été lancé sur un ton décalé. Installé sur une bûche, on y voit un bonhomme de neige qui demande à un petit renne « il est où le lutin ? » Ce à quoi répond le renne : « il est parti s’inscrire sur les listes électorales ». L’Élysée ne s’est pas arrêté là, puis, toujours le 25 décembre, il poste un nouveau message accompagné d’un dessin humoristique pour rappeler que chaque foyer jette tous les ans à la poubelle entre 20 et 30 kilos de nourriture. Et si le cadeau que vous avez reçu ne vous plaît pas, pas de panique. Le gouvernement rappelle que grâce à la loi Hamon, vous avez 14 jours et non plus 7 pour être remboursé. Si vous vous ennuyé toujours, jouez au bingo pour être incollable sur la politique du gouvernement. Tout ceci est présenté de façon très ludique. En passant commande à trois dessinateurs, l’objectif est de parler politique pendant les fêtes, sans fatiguer les électeurs, en investissant le web.

 

Une ex-députée découvre que pôle emploi ne sert à rien !

Une ex-députée découvre que pôle emploi ne sert à rien !

Un ex députée maintenant au chômage découvre à travers sa propre situation que Pôle emploi ne sert à rien. Une découverte sans doute une peu tardive et significative du décalage entre la vision de nos élus et la réalité sociale. Sandrine Bélier, une ancienne eurodéputée Europe Ecologie Les Verts, parle d’un « moment un peu déroutant » face à la conseillère Pôle Emploi. Depuis sa défaite aux européennes, elle n’a pas retrouvé d’emploi.  « Excusez-moi, ma question est peut-être stupide, vous avez fait quoi en tant que députée européenne ? » : c’est la première question posée par la conseillère Pôle Emploi à Sandrine Bélier, ancienne députée européenne EE-LV sans emploi depuis sa défaite aux élections du 25 mai. Ce « moment un peu déroutant », qu’elle pensait initialement raconter par mail à ses proches, elle le retranscrit sur sa page Facebook. Le post a recueilli plus de 400 « likes » et a fait l’objet de nombreux commentaires d’internautes. A la « grande surprise » de l’intéressée qui préférerait que « ses posts sur les questions environnementales aient autant de « likes »‘. Pour Sandrine Bélier, interrogée par France Info, ce premier entretien à Pôle Emploi a été « chaleureux et dans l’empathie » même si elle se fait peu d’illusions quant à l’utilité de l’organisme public dans ses recherches. « Cela ne devrait pas arriver, non je ne pense pas mais si cela arrive, je pars avec vous », lui a confié sa conseillère dans une agence parisienne. L’ancienne candidate aux européennes dans le Grand Est recherche un poste de directrice juridique ou stratégique. Alors que ses indemnités parlementaires (un peu plus de 6.000 euros) s’arrêteront à la fin du mois de décembre, Sandrine Bélier avoue qu’elle « reculait ce moment ». Cela fait quatre mois qu’elle répond à des candidatures, envoie des lettres de motivation ou s’est inscrite sur LinkedIn et Viadeo. Vivant entre Paris et Strasbourg, l’ancienne directrice d’Alsace Nature et France Nature Environnement a préféré s’inscrire dans la capitale où elle est moins connue. « Plus qu’une femme politique, je suis une personne qui cherche un travail pour payer son loyer et assurer le quotidien ».. Seulement, face à la conseillère, difficile de ne pas aborder son précédent mandat politique. N’ayant pas d’attestation employeur, Sandrine Bélier se prend à lui dire : « Mon employeur, c’est vous, les citoyens ».

 

Valls découvre l’investissement et l’apprentissage

Valls découvre l’investissement et l’apprentissage

 

Ils sont merveilleux ces politiques il leur faut des années pour découvrir la lune. Exemple la panne des investissements qui hypothèque la croissance à venir. Encore un effort et Valls découvrira les raisons de cette panne : le manque de confiance, la dictature bureaucratique et la fiscalité. Même chose pour l’apprentissage , ridiculement bas en France d’abord parce que réservé aux activités de main d’œuvre, ensuite réservé aux rejetés du système scolaire, enfin  du fait des procédures tordues qui décourage l’embauche d’apprentis ( exemple un apprenti couvreur qui ne peut montre dans une échelle de plus de 4 mètres !). A l’issue d’un séminaire gouvernemental réunissant l’ensemble des ministres, Valls a  donc évoqué les perspectives de la rentrée, qui devraient être focalisées sur l’apprentissage et sur l’investissement.  Les vacances devraient être studieuses pour l’exécutif français. A l’issue d’un séminaire gouvernemental, ce vendredi 1er août, l’ensemble des ministres -et le chef de l’Etat- s’accorderont deux semaines de repos avant une rentrée qui s’annonce une nouvelle fois compliquée.  Le discours de Manuel Valls, justement, visera à fixer le cap pour cette dernière, et devrait notamment mettre l’accent sur deux rendez-vous considérés à l’Elysée comme majeurs, en septembre prochain: les assises de l’investissement et celui portant sur l’apprentissage. L’objectif pour le Premier ministre sera donc de garder ses troupes mobilisées pour aborder dans les meilleures conditions un virage important du quinquennat.

 

Ils sont merveilleux ces politiques il leur faut des années pour découvrir la lune. Exemple la panne des investissements qui hypothèque la croissance à venir. Encore un effort et Valls découvrira les raisons de cette panne : le manque de confiance, la dictature bureaucratique et la fiscalité. Même chose pour l’apprentissage , ridiculement bas en France d’abord parce que réservé aux activités de main d’œuvre, ensuite réservé aux rejetés du système scolaire, enfin  du fait des procédures tordues qui décourage l’embauche d’apprentis ( exemple un apprenti couvreur qui ne peut montre dans une échelle de plus de 4 mètres !). A l’issue d’un séminaire gouvernemental réunissant l’ensemble des ministres, Valls a  donc évoqué les perspectives de la rentrée, qui devraient être focalisées sur l’apprentissage et sur l’investissement.  Les vacances devraient être studieuses pour l’exécutif français. A l’issue d’un séminaire gouvernemental, ce vendredi 1er août, l’ensemble des ministres -et le chef de l’Etat- s’accorderont deux semaines de repos avant une rentrée qui s’annonce une nouvelle fois compliquée.  Le discours de Manuel Valls, justement, visera à fixer le cap pour cette dernière, et devrait notamment mettre l’accent sur deux rendez-vous considérés à l’Elysée comme majeurs, en septembre prochain: les assises de l’investissement et celui portant sur l’apprentissage. L’objectif pour le Premier ministre sera donc de garder ses troupes mobilisées pour aborder dans les meilleures conditions un virage important du quinquennat.

Croissance trop molle pour faire baisser le chômage ( d’après Sapin qui découvre la lune)

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Croissance trop molle  pour faire baisser le chômage ( d’après Sapin qui découvre la lune)

Il progresse Sapin, le gouvernement aussi. Après la fable de l’inversion, on découvre qu’il faut de la croissance pour créer des emplois. C’est un progrès incontestable de la part de nos responsables qui pensaient jusque là le contraire ( par exe mple en augmentant la fiscalité !) ;  cependant on n’attend pas des politiques qu’ils se limitent à commenter l’évidence , on attend des actions. Mardi, le ministre du Travail François Rebsamen a déjà joué la carte de la prudence. Alors que François Hollande n’avait eu de cesse, en 2013, d’annoncer l’inversion de la courbe du chômage, l’ancien maire de Dijon préfère désormais viser une « stabilisation ». « Il y avait 9,7% du taux de chômage fin 2013. Cette année, on va essayer de tenir sur cette base, en-dessous de 10% du chômage. J’espère une stabilisation à la fin de l’année », déclarait-il sur LCI et Radio Classique.  En tout cas, le gouvernement continue de peaufiner ses outils pour lutter contre le chômage. Lundi 23 juin, François Rebsamen a ainsi présenté son plan pour les seniors, une catégorie dont les chiffres ne cessent de se dégrader. Au mois d’avril, le nombre de personnes sans emploi de plus de 50 ans avait encore augmenté de 0,7%. François Rebsamen propose notamment de doubler la prime allouée aux entreprises pour l’embauche d’un senior dans le cadre des contrats de génération (2.000 euros actuellement). Quant aux jeunes de moins de 25 ans, autre population plus fortement frappée par le chômage, Manuel Valls a affirmé, mardi 24 juin, souhaiter « une mobilisation générale pour l’apprentissage » qui, selon lui, est « un formidable outil pour l’insertion professionnelle ». L’apprentissage et les pistes pour relancer l’emploi des seniors sont d’ailleurs deux thèmes qui devraient être abordés lors de la grande conférence sociale des 7 et 8 juillet prochains. Une conférence sociale qui s’annonce par ailleurs explosive.

 

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