Archive pour le Tag 'Bachelot'

Puy-du-Fou : Bachelot justifie le copinage de Villiers-Macron

Puy-du-Fou : Bachelot justifie le copinage de Villiers-Macron

 

La ministre de la culture était à la peine pour tenter de justifier l’autorisation donnée au Puy-du-Fou d’accueillir 9000 personnes au lieu de 5000. La conséquence évidemment des relations très particulières qui lient de Villiers à Macron . Observons qu’il s’agit de la seconde autorisation exceptionnelle consentie au puy du fou. Un arrêté de la préfecture de Vendée a en effet autorisé le Puy du Fou à accueillir jusqu’à 9. 000 personnes pour son spectacle nocturne, le samedi 15 août, suscitant une controverse.

“Il n’y a eu aucun passe-droit pour le Puy du Fou”, a déclaré lundi Roselyne Bachelot sur BFMTV, en soulignant que la dérogation préfectorale avait été accordée moyennant le respect de “normes de sécurité très contraignantes”. Notons à propos de ces normes qu’aucune distance nouvelle n’était imposée aux spectateurs !

La préfecture de la Vendée a expliqué dans un communiqué diffusé samedi avoir “répondu favorablement, à titre exceptionnel, à la demande présentée par le Puy du Fou” au vu de la faible circulation du virus dans le département et des engagements pris par le parc vendéen: trois tribunes séparées et accessibles par des flux de circulation distincts, port du masque obligatoire, distribution de gel hydroalcoolique, etc.

“C’est ce qui s’est passé pour le Puy du Fou et ce qui se passera pour tous (…) les organisateurs de manifestations de plus de 5.000 personnes qui demanderont des dérogations”, a assuré la ministre en ajoutant que les organisateurs de spectacles assis qui “demanderont (une dérogation) l’obtiendront” sous réserve d’accepter les contraintes sanitaires.

La ministre de la Culture a précisé qu’une autre dérogation pourrait être accordée au Puy du Fou pour le week-end prochain.

“L’éventuelle attribution d’une telle dérogation pour les spectacles du week-end du 21 et 22 août s’appuiera notamment sur une réévaluation de la situation sanitaire ainsi que sur le respect effectif des engagements lors de la représentation du 15 août”, avait précisé le préfet dans son communiqué.

MINISTRE DE LA CULTURE: ROSELYNE BACHELOT: des grosses têtes au ministère de la culture

MINISTRE DE LA CULTURE: ROSELYNE BACHELOT: des grosses têtes au ministère de la culture

Ose demande bien sur quel critère culturel a été choisie Roselyne Bachelot pour prendre la tête du ministère de la culture. Certes e ne manque pas de personnalité ni même d’humour. Sa participation aux  différentes émissions télévisées y comprit les grosses têtes de RTL en témoigne. Avec la tonalité de grande bourgeoise provinciale , elle sait manier le verbe, l’ humour surtout  et même piquer très fort. Bref il est à prévoir qu’elle va nous réserver quelques surprises d’autant que sa connaissance du milieu culturel n’est pas forcément sa tasse de thé première. Ces  biographes font observer qu’elle aime l’Opéra. Un peu court comme expérience pour protéger une culture française largement bousculée par les productions anglo-saxonnes et les grands du numérique. Au moins avec Roselyne Bachelot, aux antipodes de l’austérité de son prédécesseur Franck Riester, on risque de ne pas trop s’ennuyer. Mais les bavures inévitables sont à prévoir car l’intéressée ne pourra s’empêcher de temps en temps de sortir quelque énormités, drôles peut-être, mais à côté de ses pompes ( exemple récent le reproche fait aux médecins libéraux de n’avoir pas fait les réserves suffisantes de masques dont la responsabilité incombait à l’Etat).

Terrorisme : Dati comme Bachelot reconvertie dans le journalisme :

Terrorisme : Dati comme Bachelot reconvertie  dans le journalisme :

Rachida Dati, la mondaine, envisage peut-être de se reconvertir comme Bachelot dans le journalisme. La preuve supplémentaire que les responsables politiques sont plus à l’aise dans le commentaire que dans l’action. Elle a  sans doute oublié qu’elle avait été ministre de la justice pendant le mandat de Sarkozy. Certains  commentaires ne sont sans doute pas sans pertinence mais on attend de la politique autre chose que des bavardages évidents. En outre et peut-être surtout le déni d’intégrisme n’est pas le seul fait du gouvernement actuel mais qu’il est pratiqué depuis une trentaine d’années. (Interview JDD)

Existe-t-il un Molenbeek français?
Partout en France, il existe des terreaux et des territoires favorables à la radicalisation. Aujourd’hui, nous sommes dans la réaction, comme tétanisés par la crainte du prochain attentat. Alors que nous devrions comprendre ce processus de radicalisation qui conduit à la barbarie, pour le prévenir et l’empêcher. ­Manuel Valls a fait une faute en déclarant qu’il ne fallait pas « comprendre car ce serait excuser »! C’est exactement ce que veulent ces terroristes : que nous ne comprenions pas ces processus criminels pour qu’ils nous terrorisent à leur guise. Il faut aussi accepter d’entendre que le terreau de cette radicalisation est en partie dû à une aggravation des inégalités, notamment à l’école, à un nombre croissant de jeunes sans formation et sans qualification perdus dans la nature. Pendant des années, on a glorifié le plan Borloo de rénovation urbaine à coups de milliards d’euros avec l’efficacité mitigée que l’on connaît : des ghettos avec leurs propres règles et des communautarismes. On a repeint et rénové les immeubles en y remettant dans les mêmes lieux les mêmes populations en difficulté. Valérie Pécresse a raison de ne plus vouloir de constructions de logements très sociaux dans des quartiers qui en sont déjà « surdotés ». On a aussi fermé les yeux sur ce qui se passait dans ces ghettos par facilité ou par cynisme. Nous devons cesser l’angélisme.

 

La droite n’est-elle pas encore, sur ce terrain, dans une logique du tout répressif?
Comme je vous l’ai dit, nous sommes dans la réaction. Et la réaction à des attentats de masse est d’abord sécuritaire. Mais nous devons agir dans la durée en mettant en œuvre une politique publique de détection de la radicalisation, de déradicalisation et d’intégration de tous ces jeunes qui sont français. Cessons de déléguer cette mission de service public aussi fondamentale pour notre cohésion à des associations non contrôlées, à des imams autoproclamés et à des experts improvisés, sans parler de l’influence dangereuse d’organisations financées par certains pays du Golfe! Nous le payons très cher aujourd’hui. Cette politique doit être une politique d’Etat incarnée par une autorité d’Etat. On a trouvé 8 milliards pour sauver les banques en 2008, ne peut-on pas trouver quelques millions pour sauver durablement notre jeunesse, préserver notre sécurité et notre cohésion? C’est une cause nationale. Oui le monde a changé, oui l’économie s’ubérise, mais le plus grave est cette ubérisation du terrorisme. Ce sont des sujets sur lesquels nous avions travaillé avec Nicolas Sarkozy avant 2007. Nous étions conscients des enjeux, de l’échec de l’intégration et des dangers du communautarisme.

 

Nadal : « Roselyne Bachelot est une imbécile»

Nadal : «   Roselyne Bachelot est une imbécile»

Roselyne Bachelot qui est sprt  ce qu’est McDo est  la gastronomie a accusé Nadal de dopage et cela sans aucun élément de preuve. « J’ai entendu ces accusations de dopage me concernant et cela commence un peu à me fatiguer », avait répondu le Majorquin. Son oncle et entraîneur de toujours, Toni, a été légèrement plus dur avec l’ex-ministre : « Cette femme est imbécile, a-t-il ainsi déclaré dans une interview pour RAC1. Rafa passe plusieurs contrôles chaque année… Si le cas Sharapova a été rendu public, pourquoi il en aurait été différent pour lui ? Je ne sais pas ce que cette femme a à gagner de raconter ce genre de choses, mais il est clair qu’elle connaît mal le monde du sport. » Toni Nadal a aussi évoqué la possibilité d’entreprendre une action légale contre Roselyne Bachelot.

Moralisation de la vie politique : une commission de fonctionnaires pour réfléchir sur la fonctionnarisation de la politique ; le changement ce n’est pas pour demain !

Moralisation de la vie politique : une commission de fonctionnaires pour réfléchir sur la fonctionnarisation de la politique ; le changement ce n’est pas pour demain !

 

Une commission composée essentiellement de fonctionnaires, magistrats, universitaires ; haut responsables de l’administration précisément pour réfléchir sur la mainmise des salariés de l’Etat (ou des collectiviés)  sur la politique. Chacun sait pourtant que la présence dominatrice des fonctionnaires constitue le blocage essentiel notre système. Un système qui se reproduit et qui fait considérer la carrière politique comme un prolongement normal de la carrière de fonctionnaire. Du coup, la plupart des responsables politiques n’ont aucune connaissance des réalités économiques et sociales et sont largement responsables du déclin du pays, du record mondial de fiscalité, du chômage, de la perte de compétitivité et de la paralysie du pays. Un seul responsable politique avait eu le courage d’évoquer cette question : Raymond barre. Il proposait que la carrière de fonctionnaire et la carrière politique (un mot inapproprié pour désigner le service de l’intérêt général) soit incompatible. Qu’on choisisse soit  le mandat politique, soit le service de l’Etat dans l’administration. Ce que font les rares élus politiques issus du privé. En outre mettre Jospin, pur produit de la haute administration ENA), par ailleurs plutôt psychologique et archaïque dans sa vison de la société, c’est évidemment être assuré qu’on ne va pas changer grands chose hormis peut-être le cumul des mandats et les problèmes de conflits d’intérêt. La vraie question est d’abord celle de la représentativité de la classe politique par rapport à la société civile. Un seul exemple, pas même un ouvrier à l’assemblée nationale ! Trois employés seulement du privé.  L’ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin a été nommé par François Hollande à la tête de la commission de moralisation de la vie politique, qui rendra ses premières conclusions début novembre. L’ancienne ministre UMP Roselyne Bachelot y siégera parmi des hauts fonctionnaires et des universitaires.  François Hollande a reçu son ancien mentor Lionel Jospin lundi matin pendant 45 minutes à l’Elysée.  »Le président de la République m’a remis officiellement la lettre de mission qui fait naître cette commission sur la rénovation et la déontologie de la vie publique« , a expliqué à la presse l’ancien Premier ministre socialiste. Le président de la république avait annoncé samedi lors de son interview à l’occasion du 14 Juillet la nomination de Lionel Jospin à la présidence de cette commission. Elle est chargée de « la rénovation et de la déontologie de la vie publique« , précise l’Elysée dans son communiqué. Cette commission a pour mission de « définir les conditions d’un meilleur déroulement de l’élection présidentielle », et examinera « les voies d’une réforme des scrutins applicables aux élections législatives et sénatoriales« . Elle s’interrogera également sur le statut pénal du chef de l’Etat et sur la manière d’assurer le non cumul des mandats. Enfin elle « définira des règles déontologiques de nature à garantir la transparence de la vie publique« . La commission doit se réunir une première fois le 25 juillet.  »Nous devrons travailler à un rythme assez soutenu, le président attendant que nous lui remettions nos réflexions tout début novembre« , a expliqué Lionel Jospin. Cette commission sera essentiellement composée « d’universitaires (…) de magistrats et de hauts-fonctionnaires« , a d’abord indiqué Lionel Jospin. Dans la foulée, l’Elysée en a communiqué la liste exhaustive. La surprise s’appelle Roselyne Bachelot. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy siégera dans cette commission paritaire homme-femme. Vont ainsi siéger des hauts fonctionnaires, comme l’ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin à Matignon et président de section au Conseil d’Etat, Olivier Schrameck, le préfet de région Jean-Pierre Duport, Marie-Christine Lepetit, chef du service de l’Inspection générale des finances.    La commission comptera aussi des universitaires tels que Jean-Claude Casanova, président de la Fondation nationale des sciences politiques, Julie Benetti, professeure à l’université de Reims, Wanda Mastor (Toulouse I), Ferdinand Melin-Soucramanien (Bordeaux IV), Agnès Roblot-Troizier (université d’Evry), Dominique Rousseau et Hélène Ruiz-Fabri (Paris I).    Enfin, des magistrats comme Chantal Arens, présidente du tribunal de grande instance de Paris, Jean-Louis Gallet, conseiller à la Cour de cassation, feront partie de la commission.

 

« Sarkozy a installé le désordre dans sa maison »d’après Rosine Bachelot

« Sarkozy a installé le désordre dans sa maison »d’après Rosine Bachelot

(INTERVIEW Roselyne Bachelot dans le JDD) Cinquante jours seulement après la présidentielle, n’est-ce pas déplacé pour une ex-ministre de procéder à l’inventaire de la stratégie de campagne du président sortant?
J’avais anticipé la défaite de Nicolas Sarkozy. Elle me paraissait inévitable pour des raisons structurelles. Dix-sept ans après, il y avait une logique à l’alternance, ensuite, les uns après les autres les gouvernements d’Europe étaient balayés par la crise. Enfin, Nicolas Sarkozy avait commis des erreurs de comportement qui l’avaient fragilisé dans son propre électorat. À cela venait s’ajouter la stratégie que l’on a appelée la stratégie droitière, qui allait éloigner de nous des électeurs modérés et pour autant absolument pas nous rapprocher de ceux du FN.

À quoi pouvait alors servir ce livre?
Le débat idéologique fondateur de l’UMP n’a pas eu lieu en 2002. On a formé une coalition de pouvoir et le pouvoir nous a tenu lieu de ciment et de ferment. Maintenant, il est urgent de construire. Et je ne voulais pas que l’on parte sur de mauvaises bases. J’avais peur de deux choses : soit que l’on parte sur une défense sans nuances de ces dix ans de la construction de l’UMP. Je ne voulais pas non plus laisser la parole qu’aux antisarkozystes primaires. Mon livre est d’ailleurs très mesuré, il rend hommage à Sarkozy.

Vous présentez Nathalie Kosciusko-Morizet en martyre de cette campagne…
Je l’ai ressenti comme cela. Nicolas Sarkozy choisit une ligne politique, avec laquelle j’émets des réserves et il choisit un porte-parole qui est antithétique avec lui ! J’ai vu tout au long de la campagne la tension que cela avait engendrée. Ce qui fait qu’elle se fâche tout de suite avec les conseillers et que Patrick Buisson va mener contre elle une guerre déchaînée. Nicolas Sarkozy a installé le désordre dans sa maison.

Vendredi, dans une lettre aux responsables de l’UMP, Jean-François Copé a écrit qu’il « n’est pas le temps de dresser un inventaire du quinquennat passé », que tous en sont « comptables et solidaires ». Qu’en pensez-vous?
Mais si, il faut commencer à le faire cet inventaire! L’échéance de la présidence de l’UMP est dans quelques semaines. Qu’est ce qu’on va faire, on ne va rien dire? On a perdu la présidentielle et les législatives. On a laissé une centaine de nos compagnons sur le terrain, on va passer au milieu des cadavres en chantonnant? La lucidité est toujours douloureuse. Mais celui qui ne pratiquera pas la lucidité, bâtira la construction sur du sable. Je suis fascinée par ce refus de débattre de ce qu’il vient de se passer. Est-ce qu’ils se rendent compte que l’on peut mourir?

 




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