Economie Allemagne : 1500 milliards pour la défense de l’industrie

Economie Allemagne : 1500 milliards pour la défense de l’industrie

Un plan massif de 1000 à 1500 milliards sur une dizaine d’annéeés sera mis en œuvre en Allemagne par le chancelier Frédérique Merce. Il s’agit d’un changement total de doctrine tente en matière budgétaire qu’économique ou militaire.

Ce paquet de plusieurs centaines de milliards d’euros affectés à la défense et l’économie. Il visera aussi à moderniser les infrastructures.

Le texte est une révolution pour l’Allemagne, championne depuis des décennies de l’orthodoxie budgétaire et qui a longtemps négligé les dépenses militaires au profit du parapluie américain qui la protégeait depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais les temps ont changé. Après le choc de l’invasion russe de l’Ukraine depuis février 2022, Berlin voit maintenant Washington se détourner de l’Europe et se rapprocher de la Russie, sous l’impulsion de Donald Trump.

Sport-Saut à la perche: Marie-Julie Bonnin championne du monde

Sport-Saut à la perche: Marie-Julie Bonnin championne du monde

La perchiste bordelaise Marie-Julie Bonnin (23 ans) a été sacrée championne du monde en salle du saut à la perche ce samedi, en Chine, en effaçant une barre à 4,75m. Elle est devenue la première Française de l’histoire championne du monde de la discipline.

La Bordelaise de 23 ans, déjà médaillée de bronze aux Championnats d’Europe il y a deux semaines, décroche ainsi son premier titre international et devance la Slovène Tina Sutej (4,70 m) et la Suisse Angelica Moser (4,70 m). « Je ne peux pas y croire pour l’instant, je suis si fière, j’ai bien géré le concours, je suis si heureuse », a réagi Bonnin au speaker de la salle après sa victoire.

France: Comment trouver les moyens de financement

France: Comment trouver les moyens de financement

Financer les efforts de guerre sans s’endetter, sans augmenter les impôts, sans sacrifier le modèle social et l’environnement, sans emprunt national ni Livret défense… C’est possible ! Par Gabriel Gaspard, Chef d’entreprise à la retraite, spécialiste en économie financière dans la Tribune.

Investir dans la défense, les Français sont majoritairement favorables, mais 6 Français sur 10 refusent que leur épargne serve au financement de la Défense. Le déficit public a atteint 6,1% en 2024 avec un ratio d’endettement par rapport au PIB de 109,7%. Il va falloir faire d’autres choix que l’endettement extérieur pour soutenir l’économie et équilibrer le budget. Pour assurer le court et le long terme, la souveraineté et la sécurité, la seule solution envisageable serait d’utiliser l’épargne des Français pour des investissements massifs autres que régaliens.

La demande d’État des citoyens français dans les domaines régaliens reste très forte. L’affirmation des monopoles régaliens est historiquement indissociable de celle de la souveraineté nationale. L’État doit trouver le financement de son armée dans son propre budget. Il faut donc utiliser l’épargne des Français pour créer de la croissance productive et utile via des livrets réglementés gérés par des établissements de crédit publics garantis par l’État. Ces fonds serviraient à accompagner la vie, soutenir l’économie, protéger la terre, créer de la croissance et libérer de nouveaux budgets régaliens.

Les Français sont prêts, mais moins d’un quart font confiance à leur gouvernement. Pour les épargnants, l’instabilité des lois et des règlements sont devenus des vecteurs influents d’insécurité financière.

À la Libération, le développement industriel a été fortement façonné par l’action des pouvoirs publics. Le développement des entreprises nationalisées et les aides au développement ont largement participé à la remise sur pied du système productif, donc au renforcement du processus de croissance. Il est largement admis que la période de reconstruction, qui s’est achevée au début des années 1950, a contribué à renforcer cette croissance, sous l’impulsion aussi de l’action de l’État. Il reste que le développement des systèmes d’armement pendant les « trente glorieuses » a joué un rôle déterminant dans les performances de croissance enregistrées au cours des années 1950 et 1960. En 1960 la France a consacré 5,4% de son PIB aux dépenses militaires (9% pour les États-Unis), en 1970 3,5% et en 2022 1,9% (3,5% pour les États-Unis) d’après les données de la Banque mondiale.

Après la pandémie, et plus de trois ans après le début de la guerre à la porte de l’Europe, la France et l’Europe se réveillent et admettent qu’il faut se réarmer pour gagner la guerre en Ukraine. Les moyens consacrés à la défense doivent être augmentés pour sauvegarder les dividendes de la paix.

Faut-il emprunter plus
Le nouveau plan de la Commission européenne de 800 milliards d’euros pour « réarmer l’Europe », dévoilé le 4 mars 2025, prévoit quelque 150 milliards d’euros de prêts qui seront mis à la disposition des 27 pays de l’Union européenne pour soutenir leurs capacités de défense en Europe. La présidente de la Commission encourage plutôt les États membres à emprunter plus pour leurs dépenses militaires : le non-respect des critères de convergence « permettra aux États membres d’augmenter de manière significative leurs dépenses de défense sans déclencher la procédure de déficit excessif ». Ce n’est pas la bonne solution pour la France. Surendettée, elle est sous la pression des agences de notation américaine.
L’exemple de la Grèce, de la Suède et du Portugal.

La Grèce a subi de plein fouet les conséquences de réduction de ses dépenses publiques. Le 08 décembre 2009, l’agence de notation Fitch annonce sa décision de ramener la note de la dette publique grecque de A- à BBB+ avec une perspective négative. Le problème mis en lumière était le surendettement. La solution résidait dans la baisse des dépenses, baisse des retraites et des salaires, etc. Elle a créé une véritable cure d’austérité. L’efficacité de ces mesures a été remise en cause.

En Suède, le choix s’est porté sur des réductions de l’emploi public. Les dépenses publiques à 70% du PIB en 1993 ont fortement diminué à 37% en 2012. Avec des réformes importantes de son système social et de retraite, l’emploi qui était majoritairement public est devenu essentiellement privé. En réalité l’amélioration de la situation budgétaire est due uniquement à une forte croissance.

Reste le cas du Portugal. De 2011 à 2018, le Portugal a suivi deux politiques économiques différentes. La première infligée par la Troïka (les instances européennes et le FMI) qui ont imposé une violente cure d’austérité qui a contraint à l’exil plus de 340 000 Portugais et jeté dans la pauvreté plus de 2 millions de personnes. D’après les prévisions de la Troïka, de 2010 à 2014 le déficit public devait chuter de 9,8% à 2,3% en 2014. Ce fut un échec. Le déficit termina l’année 2014 à 7,2%. Après les élections d’octobre 2015, la seconde adopte l’opposé de la première politique tout en respectant les critères de convergences. Elle allège l’austérité par des mesures de soutien à la demande (accroissement du salaire minimum mensuel, privatisations, programme de valorisation de la fonction publique, etc.). Le taux de croissance atteint 2,2% en 2019, le chômage tombe à 6,5% et le déficit à 0,2%.

Faut-il augmenter les impôts ?
La France est déjà numéro un eu
ropéen du ratio (impôts + taxes + cotisations) / PIB. Le montant de ses prélèvements obligatoires en France est de 1 218Md€, soit 43,2% du PIB, en 2023. Il était près de 1 194Md€ (45,0% du PIB) en 2022 selon l’Insee. « Chaque impôt, considéré en lui-même, et de même l’ensemble du système fiscal d’un pays, se détruit lui-même en dépassant un certain niveau des taux de prélèvement » Ludwig von Mises. Pour les plus riches, il serait plus percutant de réviser les lois du capital. Ne faut-il pas plutôt baisser les impôts et créer de la croissance pour redonner confiance aux entreprises comme aux investisseurs ?

Faut-il un emprunt national?
L’exemple de 1973,1983 et 1993. L’emprunt Giscard à 7% de 1973. À partir de 1978, il fut indexé sur le cours du lingot d’or pour un montant de 6,5 milliards sur quinze ans. En 1988, il a coûté à l’État 92 milliards (capital et intérêts), soit, en francs constants, plus de trois fois et demie, sa valeur d’origine.

Emprunt Mauroy en 1983. Tout de suite après la troisième dévaluation du franc, les réserves de la Banque de France ont chuté, l’inflation s’est envolée au-dessus de 12%. Une partie des capitaux a pris la fuite. La politique de relance est un échec. Le gouvernement Mauroy lance un emprunt forcé. Les contribuables payant plus de 5 000 francs d’impôt doivent verser à l’État 10% du montant sur le revenu et de l’impôt sur la fortune. C’est une ponction de 14 milliards de francs. Le gouvernement remboursa la totalité en 1985.

1997 l’emprunt Edward Balladur en pleine récession. 110 milliards de francs furent collectés, au lieu des 40 milliards prévus avec un taux attractif de 6%. Cet emprunt s’est révélé très coûteux pour l’État dues aux commissions de placement réglées aux intermédiaires financiers, aux exonérations des taxations sur les plus-values, etc. L’État a donc dû rembourser aux particuliers plus de 96 milliards de francs.

Faut-il créer de nouveaux Livrets réglementés ?
Oui, mais l’État est-il le meilleur gestionnaire ?

En 2017, le taux du Livret A est gelé à 0.75% jusqu’en janvier 2020. Une mauvaise nouvelle pour les petits épargnants, car l’inflation en 2017 a atteint 1%, en 2018 1,8% et en 2019 1,1%. Il a atteint son taux le plus bas en février 2020 à 0,5%, à la veille de la crise de la Covid-19. La formule de calcul du taux a été changée le 14 juin 2018 et mise à jour par l’arrêté du 27 janvier 2021.

Début 2023, le taux du Livret A était à 2%, il sera à un taux de 3% au 1er février 2023 avec une inflation de 4,9%. Encore une très mauvaise nouvelle pour les épargnants qui seront rémunérés à un taux réel de – 1,9% par rapport à l’inflation. Le taux passera à 2,4% au 15 février 2025. De nouveau c’est une mauvaise nouvelle pour les épargnants et une bonne nouvelle pour les banques. Les banques ont prêté aux PME en 2024 à un taux supérieur à 4% (4,67% en septembre 2024).

Dans les Livrets réglementés, il y a le PEL. Depuis plus de 30 ans, le taux d’épargne du PEL n’a cessé de diminuer… Le taux du PEL au 1er janvier 2025 tombe à 1,75%. Son montant maximal de placement est de 61 200 euros. Depuis 2018, les intérêts perçus du PEL sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux (FLAT TAX de 30%), ce qui donne un taux réel (déduction faite du taux de l’inflation) à – 0,27%.

L’encours du PEL au 31 décembre 2024 représente 225,3 milliards d’euros (-12,6% sur un an). Une somme très importante. Les Français doivent pouvoir sortir de leur PEL sans pénalités et le transférer à de nouveaux livrets réglementés.

« Les emplois du fonds d’épargne sont fixés par le ministre chargé de l’économie … »faut-il changerla Loi de Modernisation de l’économie (LME) du 4 Août 2008?
Faut-il utiliser les « épargnes populaires » pour financer l’industrie d’armement ?
Le 28 décembre 2023, le Conseil constitutionnel a rejeté l’utilisation de l’épargne populaire (Livret A, Livret de développement durable) pour financer l’industrie de la Défense, après l’adoption en force de la loi de finances 2024 le 22 par un nouveau recours au 49-3. Pourquoi le Sénat repart à l’attaque ?

Pour une croissance auto-entretenue et vigilante

Les banques excluent de plus en plus le financement de l’industrie de l’armement. Dans la situation actuelle, notre économie a besoin des investissements publics pour soutenir la croissance et éviter les dérapages des finances publiques. Le gouvernement préfère les dépenses d’armements aux investissements écologiques, numériques ou sociaux. Les armements constituent un investissement improductif à court et long terme. Nécessaires pour la dissuasion, pour aider l’Ukraine, etc. Il faut être prêt pour une guerre de haute intensité, car le pire est suffisamment probable.

Si la France investissait uniquement dans l’armement, que les armes soient employées ou non, ces fonds n’auraient pas servi à la croissance auto-entretenue par des investissements dans de nouvelles technologies, l’écologie, la santé, etc. L’origine des fonds doit se faire autrement.

Des nouveaux livrets réglementés pour stimuler la croissance et prévoir de nouveaux budgets régaliens.

De 2024 à 2030, la France disposera d’un budget total de l’armée de 400 Md€. La France peut revenir rapidement à un budget comme en 1970 (3,5% du PIB) si la croissance est portée par la transition écologique, la santé, l’énergie, le numérique, etc. Et non uniquement par une économie militarisée. En 2024, le taux d’épargne des ménages a atteint 18,2 % de leur revenu disponible brut, marquant une progression de 1,3 point par rapport à 2023. L’État français devrait créer immédiatement des Livrets réglementés et spécialisés gérés par des établissements de crédit publics et paritaires. Chaque citoyen doit décider de la destination de son argent. Avec des plafonds de versement, ces livrets seraient garantis et rémunérés. Les nouveaux contrats devraient présenter plusieurs atouts pour les consommateurs : flexibilité, frais de gestion nuls, pas de frais de transfert, avantages fiscaux, stabilité du contrat, etc.

Avec une croissance prévue à 0,7% en 2025, une production industrielle encore en baisse, le nombre de demandeurs d’emploi en forte hausse, un besoin de 180 milliards d’euros d’effort rien que pour stabiliser la dette à l’horizon 2030 (en tenant compte de la hausse des besoins en matière de défense), il faut investir.

Il faut investir 1% du PIB par an pendant 4-5 ans, comme l’Allemagne qui s’apprête à engager 1 000 milliards d’euros pour la défense et ses infrastructures. À titre d’exemple : 100 milliards par an pour le pacte vert, 50 milliards pour le pacte républicain de solidarité, 40 milliards pour le pacte dépendance et handicap et 10 milliards pour le pacte ruralité, etc.

Il faut la confiance des ménages avec un contrat stable ; un plafond et une fiscalité inchangée jusqu’à fin 2030 ; un taux de rémunération égal au taux des obligations d’État à 10 ans (supérieur à 3% en 2025, le taux d’emprunt France à 10 ans est de 3,55 au 13 mars 2025) ; la gestion de l’épargne conservée par des établissements de crédits publics paritaires ; une centralisation à 90% à la Caisse des dépôts et consignations avec une répartition de chaque Livret réglementé à 90% selon le choix de l’épargnant.

D’après le FMI en 2020 : dans une période de grande incertitude, « une augmentation de l’investissement public égale à 1% du PIB renforcerait la confiance dans le redémarrage de l’activité et dynamiserait le PIB de 2,7%, l’investissement privé de 10% et l’emploi de 1,2%, à condition que les projets retenus portent sur des investissements haute qualité et que les niveaux préexistants de dette publique et privée n’affaiblissent pas la réponse du secteur privé à cette relance. »

À titre d’exemple, pour un investissement de 1% du PIB soit 291 milliards d’euros (PIB 2024 en valeur 2 917 milliards d’euros) le multiplicateur budgétaire est évalué à 1% sur 1 an (OFCE). Le PIB sera dynamisé de 291 milliards d’euros. Dans une économie comme la France, caractérisée par une pression fiscale de 43,2%, la recette fiscale additionnelle serait de 125,71 milliards d’euros en 2025. Pour stabiliser la dette il faut uniquement 18 mois. Il faut 3 ans pour réduire le déficit à moins de 3% du PIB. La France réalisera, en 2025, l’ajustement budgétaire évalué à 110 milliards d’euros estimée par la Cour des comptes.

« Lorsqu’un gouvernement dépend des banquiers pour l’argent, ce sont eux et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation »Napoléon Bonaparte.

Drogue: 110 tonnes saisies

Drogue: 110 tonnes saisies

Trafic de drogue : plus de 110 tonnes saisies par les douanes en France en 2024


Ce chiffre représente une hausse de plus de 74% par rapport à 2023. Les autorités françaises ont par exemple saisi 53,5 tonnes de cocaïne en 2024, soit une augmentation de 130% comparé à l’année précédente.

Une proposition de loi contre le narcotrafic est actuellement examinée à l’Assemblée nationale, pour permettre de «frapper plus vite et plus fort», a commenté dans un entretien publié samedi soir sur le site du Journal du Dimanche la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin.

Boualem Sansal : Manifestation de soutien mardi

Boualem Sansal : Manifestation de soutien mardi

Le comité de soutien français à l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné en Algérie, appelle à manifester mardi à Paris.

«Il appartient à toutes et à tous, citoyens engagés, militants des droits humains, amoureux de la liberté et acteurs culturels, de contrarier ce funeste dessein» ( condamnation à 10 ans de prisosn), écrit le comité de soutien dans un appel publié par le journal La Tribune Dimanche .

Parmi les signataires figurent la présidente du comité, l’ancienne membre du Conseil constitutionnel Noëlle Lenoir, l’ancien ministre Jean-Michel Blanquer ou encore les écrivains Georges-Marc Benamou et Alexandre Jardin. Jeudi, le parquet algérien a requis 10 ans de prison ferme à l’encontre de Boualem Sansal, âgé de 80 ans selon son éditeur français Gallimard et accusé d’atteinte à l’intégrité territoriale de l’Algérie. Son cas a aggravé les tensions entre Paris et Alger.

L’accusation lui reproche des déclarations en octobre au média français Frontières, réputé d’extrême droite, reprenant la position du Maroc selon laquelle son territoire aurait été tronqué sous la colonisation française au profit de l’Algérie.

Popularité : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Popularité : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Le Premier ministre François Bayrou enregistre une lourde baisse de sa cote de popularité en mars, dévissant de 11 points par rapport à février, selon un baromètre mensuel de l’Ifop pour le Journal du dimanche.

Le chef du gouvernement s’est retrouvé englué dans plusieurs polémiques dont sa gestion du dossier des retraites qu’il a pourtant lui-même souhaité rouvrir.

27% de Français satisfaits de son action, au plus bas depuis sa nomination en décembre.

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Environnement-Zones à faibles émissions : Une mesure écolo contre les pauvres !

Environnement-Zones à faibles émissions : Une mesure écolo contre les pauvres !


D’un point de vue écologique la mesure visant à réduire les émissions polluantes de la circulation automobile est évidemment pertinente et nécessaire. Par contre, le processus mis en œuvre de façon brutale dans les grandes agglomérations va surtout pénaliser les plus pauvres. Ceux qui n’auront pas les moyens financiers pour s’acheter un véhicule répondant aux critères. Une politique un peu trop influencée par des écolos bobos qui entretiennent des relations douteuses avec les réalités socio-économiques.

Les zones à faibles émissions (ZFE) sont des territoires où la circulation est limitée aux véhicules les plus polluants. Mais depuis le 1er janvier 2025, les restrictions autour des ZFE se sont durcies. Les agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent désormais en instaurer obligatoirement. Et les véhicules disposant d’une vignette Crit’Air 3 (également 4 et 5) ne peuvent désormais plus circuler au sein de ces zones.

En cas de non-respect de la ZFE, ils risquent ainsi une amende de 68 euros pour les véhicules légers ou 135 euros pour les poids lourds.

Certaines villes reculent cependant vis-à-vis du le dispositif. Montpellier suspend d’éventuelles contraventions jusqu’en 2027. Strasbourg assouplit également son calendrier. La métropole du Grand Paris compte, de son côté, sur une « année pédagogique » où il n’est pas question cette année de verbaliser.

Perspective Economie américaine : Atterrissage brusque ou en douceur

Perspective Economie américaine : Atterrissage brusque ou en douceur

La croissance américaine marque le pas. Et ce ralentissement a un impact direct sur l’évolution des marchés financiers et sur votre argent.

par Marc Fiorentino dans La Tribune

Revenons au début de l’année 2024. Tous les prévisionnistes s’attendent à une récession américaine du fait de l’envolée de l’inflation, des prix de l’énergie, de l’évaporation de l’épargne Covid. Mais rien ne se passe comme prévu. L’emploi tient, les salaires augmentent et les consommateurs américains font plus que résister. Le plan Biden visant à favoriser les investissements aux États-Unis renforce l’activité industrielle.

Puis arrive Trump, un président « probusiness ». On a oublié la récession. Et on ne parle plus que de l’extraordinaire résilience de l’économie américaine. Mais là encore, les économistes sont pris à contre-pied. Et, depuis quelques semaines, les signaux faibles et forts du ralentissement de l’économie américaine sont partout. Et c’était prévisible pour plusieurs raisons.

1. Le cycle de croissance ininterrompue a atteint une durée historique.

2. Les tensions sur le marché du travail disparaissent, les embauches et les salaires marquent le pas.

3. L’inflation persistante et le niveau relativement élevé des taux d’intérêt pèsent sur le pouvoir d’achat des ménages.

4. L’épargne Covid s’est totalement volatilisée et les ménages américains commencent à ne plus ressentir l’« effet richesse » lié à l’envolée de la Bourse, car les actions américaines sont sous pression.

Ajoutez le climat d’incertitude dû aux décisions erratiques de Trump depuis son arrivée au pouvoir et vous obtenez une économie qui commence à décrocher. On reparle de récession. C’est un peu exagéré, mais le ralentissement est là. Les patrons des grandes enseignes de distribution ont sonné l’alarme : les consommateurs américains sont fatigués… Or ce sont eux qui ont tiré la croissance.

Est-ce que c’est grave ? Non. Paradoxalement, c’est plutôt une bonne nouvelle pour les prix de l’énergie, de l’alimentaire et donc pour l’inflation. Qu’est-ce que ça change pour votre argent ? Les effets se font déjà sentir sur les marchés. Le dollar est sous pression. Les indices boursiers américains sont rattrapés par les indices européens.

Et la Fed devra continuer à baisser ses taux, d’autant qu’on a appris cette semaine que l’inflation était tombée à 2,8 %, plus bas que prévu. Les actifs spéculatifs comme les cryptos décrochent un peu. Bref, on revient « à la normale ». Les grands gérants de fonds ont réduit leurs parts d’actions américaines. Bref, l’économie des États-Unis retrouve peu à peu des cycles habituels : croissance, accélération de la croissance puis ralentissement. Elle n’échappe pas aux lois de la gravité économique.

Trump a déclaré cette semaine qu’une récession ne lui fait pas peur s’il faut en passer par là pour voir l’émergence d’un nouvel ordre économique mondial et d’une reconfiguration complète de l’économie américaine. Il pourrait cependant devenir plus nerveux si la situation se dégrade fortement.

Economie Allemagne : un plan massif de 1500 milliards

Economie Allemagne : un plan massif de 1500 milliards pour la défense de l’industrie

Un plan massif de 1000 à 1500 milliards sur une dizaine d’annéeés sera mis en œuvre en Allemagne par le chancelier Frédérique Merce. Il s’agit d’un changement total de doctrine tente en matière budgétaire qu’économique ou militaire.

Ce paquet de plusieurs centaines de milliards d’euros affectés à la défense et l’économie. Il visera aussi à moderniser les infrastructures.

Le texte est une révolution pour l’Allemagne, championne depuis des décennies de l’orthodoxie budgétaire et qui a longtemps négligé les dépenses militaires au profit du parapluie américain qui la protégeait depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais les temps ont changé. Après le choc de l’invasion russe de l’Ukraine depuis février 2022, Berlin voit maintenant Washington se détourner de l’Europe et se rapprocher de la Russie, sous l’impulsion de Donald Trump.

Ce paquet de plusieurs centaines de milliards d’euros affectés à la défense et l’économie a été approuvé par 513 députés, soit la majorité des deux tiers des élus présents mardi au Bundestag, la Chambre basse du Parlement.

Économie–Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Économie–Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Dans sa dernière note de conjoncture intitulée « Désordre mondial, croissance en berne », l’Insee a révisé légèrement à la baisse sa prévision de croissance du PIB pour le premier semestre 2025.

L’offensive commerciale de Donald Trump a amené l’Insee à réviser légèrement à la baisse (-0,1 point) ses prévisions de croissance française jusqu’en juin (0,1 % au T1 et 0,2 % au T2).

La politique commerciale de Trump plonge en effet l’économie européenne et française dans l’incertitude. La crise probable aux États-Unis va nécessairement se transmettre en Europe compte tenu de l’ampleur des échanges

L’institut table désormais sur une lente accélération de l’activité à 0,1 % au 1er trimestre et 0,2 % au deuxième contre 0,2 % en moyenne pour les deux premiers trimestres pronostiqués en décembre.

Société-Edouard Philippe refuse d’interdire totalement le voile dans le sport

Société-Edouard Philippe refuse d’interdire totalement le voile dans le sport


Encore un politique qui vient de se discréditer gravement à propos d’une valeur fondamentale de la société française : le respect de la laïcité. En effet
l’ancien premier ministre s’est opposé mardi à un bannissement «général et absolu» du voile dans les lieux sportifs, mesure qui est selon lui «contraire à la laïcité».

De façon très hypocrite Édouard Philippe souhaite «cantonner» la prohibition du voile aux seules «compétitions organisées dans le cadre de ce que les fédérations sont responsables». Autant dire Édouard Philippe est pour le maintien du voile dans la majorité des autres activités sportives voire au-delà.

Face aux folies de Trump, la Fed maintient ses taux

Face aux folies de Trump, la Fed maintient ses taux

En tenant compte des graves inquiétudes de la politique économique de Trump, la Réserve fédérale (Fed) américaine a laissé ses taux inchangés mercredi.

«L’incertitude autour des perspectives économiques s’est accrue», selon le communiqué de la banque centrale, qui s’attend toujours à baisser ses taux directeurs deux fois cette année. Les marchés s’attendaient massivement à un maintien des taux à leur niveau actuel (dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50% depuis décembre).

.la FED s’attend désormais à une croissance du produit intérieur brut (PIB) à 1,7% % à la fin de l’année (contre 2,1% prévus auparavant) et l’inflation en accélération à 2,7% (contre 2,5% précédemment), selon la première actualisation de leurs prévisions depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Ils ont aussi légèrement relevé le taux de chômage attendu, à 4,4% (contre 4,3% précédemment).

Lutter contre l’inflation
Dans ce contexte, les déclarations du président de l’institution, Jerome Powell, en conférence de presse à partir de 19h30, sont très attendues. Seul invariant dans les prévisions : les responsables s’attendent toujours globalement à ce que l’institution monétaire décide deux baisses de taux (d’un quart de point chacune) cette année. Depuis la précédente réunion de la Fed fin janvier, qui s’était aussi traduite par un statu quo sur les taux, le panorama a singulièrement évolué. Les entreprises ont commencé à subir de nouvelles taxes sur les importations, les consommateurs à surveiller de près leur porte-monnaie, et les investisseurs à sérieusement douter que les États-Unis puissent sortir sans dommages de l’essoreuse enclenchée par le président Donald Trump.

Outre son escalade, ponctuée de revirements, sur les droits de douane, le chef de l’État investi le 20 janvier a lancé le milliardaire Elon Musk à l’assaut de l’État fédéral pour tailler dans les dépenses et faire fondre le nombre de fonctionnaires. Jusque-là, face à une économie florissante et un taux de chômage faible, la Fed s’était surtout focalisée sur la lutte contre l’inflation, encore au-dessus de sa cible de 2% (à +2,5% sur un an en janvier, par rapport au pic de 7,2% en juin 2022, selon l’indice PCE privilégié par la banque centrale).

Les initiatives du président ont désorienté jusqu’à l’économiste Michael Strain, du centre de réflexion conservateur American Enterprise Institute. Favorable à plusieurs pans de son programme (baisses d’impôts, dérégulation, réduction du poids de l’État fédéral…), il vient de qualifier de «catastrophe» sa gestion de la politique économique. «Il était auparavant inconcevable qu’un président – y compris Trump pendant son premier mandat – fasse délibérément autant de mal à l’économie», a-t-il écrit sur son blog.

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Politique-France-Algérie : 67 % des Français soutiennent Retailleau

Politique-France-Algérie : 67 % des Français soutiennent Retailleau

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 67 % des Français estiment que le ministre de l’Intérieur a raison d’instaurer un rapport de force avec le pays dirigé par Abdelmadjid Tebboune.

Le conflit porte sur le refus maintenant systématique de l’Algérie d’accepter le retour des individus algériens dangereux (OQTF)

Il y a deux facteurs explicatifs dominants dans cet affrontement entre l’Algérie et la France. D’abord la rente mémorielle des autocrates algériens qui utilisent la haine de la France pour justifier le détournement des immenses richesses du pays qui laisse les Algériens dans une misère inadmissible.

Le second élément est géopolitique, il provient du fait que la France a reconnu la souveraineté du Maroc aux dépens de l’Algérie sur le Sahara occidental.

À souligner aussi la mauvaise soit scandaleuse de l’Algérie qui a emprisonné un intellectuel pour délit d’opinion avec menace de 10 ans de prison. Un homme de 80 ans par ailleurs très malade. Critique du pouvoir algérien, l’auteur de 80 ans est détenu dans le pays depuis novembre 2024 pour atteinte à la sûreté de l’Etat. Le verdict est attendu pour le 27 mars.

L’écrivain franco-algérien, incarcéré en Algérie, est poursuivi en vertu de l’article 87 bis du code pénal, qui sanctionne « comme acte terroriste ou subversif tout acte visant la sûreté de l’Etat, l’intégrité du territoire, la stabilité et le fonctionnement normal des institutions ». Critique du pouvoir algérien, l’auteur du Serment des barbares et de 2084 : la fin du monde a été arrêté à l’aéroport d’Alger le 16 novembre.

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