États-Unis : un congrès divisé sur la politique de Trump
Avec une grandiloquence toujours aussi ridicule, le président américain a une nouvelle fois survaloriser sa politique globale notamment dans le domaine économique et politique. Certes les républicains sont en force congrès mais y compris au sein de leur rang commencent à monter des contestations sur la pertinence de ces orientations aussi bien concernant les droits de douane que dans le domaine de la défense vis-à-vis de Poutine. Mais on le sait rien ne peut arrêter le ridicule d’un président idiot et hyper égocentrique. Son entêtement pourrait bien cependant secouer très fort les États-Unis notamment dans le domaine économique où les repères commencent à manquer quant aux perspectives d’échange et de développement.
Les États-Unis sont «sur le point de connaître un retour en force comme le monde n’en a jamais connu et n’en connaîtra peut-être jamais plus», a affirmé le président américain mardi soir pour son premier grand discours face au Congrès américain.
Les États-Unis sont «sur le point de connaître un retour en force comme le monde n’en a jamais connu et n’en connaîtra peut-être jamais plus», a affirmé le président américain, se félicitant d’une «fierté» et d’une «confiance» retrouvée. «Nous avons accompli plus en 43 jours que la plupart des administrations en quatre ou huit ans, et nous ne faisons que commencer», a-t-il encore dit sous des applaudissements nourris.
Le républicain a également déroulé sa vision, résolument nationaliste, de la place et du rôle de l’Amérique dans le monde, juste après avoir décidé d’interrompre l’aide militaire américaine à l’Ukraine, dans la foulée d’une altercation inouïe dans le Bureau ovale avec le président Volodymyr Zelensky. Il a notamment réaffirmé que les États-Unis vont «reprendre» le canal de Panama et que le Groenland rejoindra les États-Unis «d’une manière ou d’une autre». «Nous en avons vraiment besoin pour la sécurité internationale et je pense que nous allons l’obtenir. D’une manière ou d’une autre, nous l’obtiendrons. Nous assurerons votre sécurité, nous vous rendrons riches et, ensemble, nous mènerons le Groenland vers des sommets que vous n’auriez jamais imaginés possibles», a-t-il déclaré, à l’adresse de la population de ce territoire autonome danois.
Sur le dossier ukrainien, Trump a affirmé avoir reçu une lettre de Volodymyr Zelensky, qui serait «prêt» selon lui à négocier avec la Russie et à signer un accord sur les minerais «à tout moment».
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