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L’écosystème de l’information au service de l’intox

L’écosystème de l’information au service de l’intox

Le patron de l’Agence France-Presse déplore, dans une tribune au « Monde », l’arrêt du fact-checking sur les réseaux sociaux de Meta : ce processus de vérification de l’information fondé sur des techniques journalistiques « n’a jamais prétendu être la solution à la désinformation, mais il est le socle de la riposte. »

 

Arrêter le fact-checking [au sens d’une vérification par des journalistes tiers d’une information déjà publiée] par temps de désinformation massive, c’est un peu comme démanteler la caserne de pompiers de Los Angeles par temps de grand feu : rien ne dit que la caserne aurait suffi à contenir l’incendie, mais c’est à coup sûr se priver d’un outil de riposte précieux et éprouvé.C’est pourtant la décision qu’a prise Meta, aux Etats-Unis d’abord, comme prélude possible d’un arrêt partout dans le monde. Premier réseau de fact-checking au monde, constitué en grande part grâce au soutien financier de Meta, avec 150 journalistes qui s’y consacrent à plein temps dans une trentaine de pays en 26 langues, l’Agence France-Presse (AFP) est concernée au premier chef par cette volte-face.

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