Nouvelle victoire méritée pour le 15 de France même si l’Argentine n’a pas démérité et ont même offert une belle résistance. . Après le Japon et les All Blacks, c’est donc l’Argentine qui est tombée vendredi soir au Stade de France, dominée 37 à 23 par les Bleus d’Antoine Dupont.
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Archive mensuelle de novembre 2024
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- Politique: Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)
- Les agriculteurs en face des contradictions de l’union européenne
- Politique : un manque général de vision et d’évaluation
- L’inflation: Un coût de 1230 euros pour chaque ménage français en 2023
- Le dollar monte par rapport à l’euro
- Un gouvernement technique : dernière carte avant la démission de Macron ?
- Popularité des ministres du gouvernement Barnier : surtout des inconnus !
- Popularité Macron : dans les profondeurs
- Nettoyage policier dans la Z Mafia
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- Les raisons économiques du succès de Trump
- Fiscalité entreprise : toujours au dessus de la moyenne pour la France
- Ford :4.000 postes menacés en Europe
- IA et intox
- États-Unis : Les démocrates ont perdu le soutien des syndicats
- Le Mali renforce encore sa dictature
- SNCF: Hausse des salaires de 2%
- La Turquie condamne les rebelles Houthis
- Budget sécurité sociale : le Sénat vote un jour de travail non rémunéré
- Kamala Harris future candidate en 2028
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- Politique: Diplomatie mondiale: Influence grandissante des pays autoritaires
- Poutine ne respectera jamais rien
- Pour un nouveau service national citoyen
- Haine en ligne : quelle régulation ?
- Ukraine : une aide insuffisante et trop tardive des États-Unis
- Censure du gouvernement : Macron souhaite maintenant la stabilité !
- Électricité : fin ou poursuite des tarifs réglementés ?
- ArcelorMittal: Menace de suppressions d’emplois à Reims et Denain
- Space X : premier échec d’Elon Musk
- Poutine utilise encore la terreur nucléaire nucléaire
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- Déficit France: Dérapage ou naufrage financier ?
- Influence grandissante des pays autoritaires
- Economie de la France : 30 ans de retard
- France : baisse de l’attractivité économique
- Sécurité économique : La menace américaine sur l’Europe
- Drogue: Des opérations spectacles inefficaces
- Le magazine « 60 millions de consommateurs » à vendre !
- Restos du cœur : priorité aux plus défavorisés
- Hong Kong: prison ferme pour 45 militants démocrates
- Budget 2025: Santé baisse du remboursement des médicaments
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- Trump : Une chance pour l’Ukraine ?
- Arrêt maladie fonctionnaire : la ministre de l’éducation pour l’alignement public-privé
- Trump remet en cause la démocratie américaine
- Modifier en profondeur le Mercosur (FNSEA)
- Biden autorise enfin l’Ukraine à frapper la Russie Jusqu’à 300 km en profondeur
- Economie de la France : 30 ans de retard
- Dérapage déficit public : : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc
- Attal : Futur maire de Paris ? (Sondage)
- Élections Sénégal : le nouveau pouvoir conforté
- Foot. Le réveil de la France face à l’Italie (3-1)
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- Finances publiques-Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)
- Economie: 30 ans de retard pour la France
- Athlétisme–exceptionnel record d’Europe par un Français
- Nomination cabinet présidentiel : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus
- Assistants parlementaires du RN : la grande confusion juridique et politique dans les médias
- Législatives Géorgie : encore la main de Poutine dans les urnes
- COP29: Des oppositions surtout sur le financement
- SNCF: Pourquoi de nouvelles grèves (Jean-Pierre Farandou, président ) ?
- Rugby 15-Angleterre-Afrique du Sud : défaite du XV de la Rose
- Rugby 15: la France bat les « Blacks »
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- Assistants parlementaires du RN : la grande confusion juridique et politique dans les médias
- Nomination cabinet présidentiel : Trump choisie les plus extrémistes et les plus tordus
- Foot- Paul Pogba quitte la Juve
- Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)
- France: Dérapage budgétaire ou naufrage financier ?
- Foot-L’OL rétrogradé !
- Immobilier : les frais de notaire vont encore augmenter
- Liban : proposition américaine de cessez-le-feu
- SNCF : une proposition pour encadrer le droit de grève ( Sénat)
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- Trump: Quelle politique internationale ?
- Social: Grève aussi des fonctionnaires le 5 décembre
- Trump attaque les institutions des Etats-Unis
- Compétitivité : Contre l’alourdissement fiscal
- Sondage emploi : 84% des Français inquiets
- Drogue-Marseille : encore deux tués
- Affaire assistant parlementaire du RN : la grande confusion juridique et politique dans les médias
- Budget : comme de bien entendu Barnier utilisera le 49-3
- États-Unis: Un anti vaccin à la tête du ministère de la Santé !
- Foot – France–Israël : un match nul….. vraiment nul (0-0)
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- L’arsenalisation ou l’extension du contenu de la guerre
- La folie du Bitcoin : attention au retour de bâton !
- COP29: Des oppositions surtout sur le financement
- Conjoncture économique-Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France
- La transformation du syndicalisme ?
- Légère remontée du chômage… En attendant la grosse vague
- Trump : Déjà candidat pour un troisième mandat !
- Déserts médicaux : la liberté d’installation en cause ?
- Mécontentement agriculteurs : 82 % des Français soutiennent
- Drogue: Nouvelle guérilla à Grenoble
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- Retraite : une revalorisation de 1 % au 1er janvier
- Social : François Hommeril, leader syndical national et nouveau chômeur !
- Economie-L’Europe bête à manger du foin ?
- Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France
- Mercosur : 600 parlementaires français disent non
- Budget à l’assemblée : un débat pour rien
- Le budget dingo rejeté par l’Assemblée nationale
- Dollars en hausse, Euro en baisse
- Espagne : nouvelles inondations en Catalogne et Andalousie
- EU- Elon Musk ministre de l’«efficacité gouvernementale» !!!
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- 100 000 à 150 000 emplois au moins menacés
- Social : florilège d’annonces de grève d’ici la fin de l’année
- Le pouvoir de Trump
- Agriculture : la crise qui revient
- La pieuvre de l’antisémitisme
- France : après la crise politique…. la crise sociale ?
- COP29: Des oppositions surtout sur le financement
- Israël refuse un État palestinien
- Politique-Trump: Le triomphe aussi de la nullité intellectuelle
- Foot France Israël sous protection avec Macron et Barnier
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- Drogue – Plan narcotrafic: Surtout de l’anecdotique
- France : après la crise politique, la crise économique et la crise sociale
- Trump: Le triomphe aussi de la nullité intellectuelle
- Antisémitisme : la pieuvre
- Budget à l’assemblée : un débat pour rien
- Social-Jusqu’à 200 000 emplois au moins menacés
- Devoir de mémoire- Poème en hommage aux poilus de 14-18
- Mercosur : La France toujours opposée à l’accord « en l’état »
- Nouvelle taxation du transport aérien: Grève jeudi
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- Avenir Fret SNCF: Transfert avant liquidation ?
- Société-Antisémitisme : ça suffit !
- Politique-Plan narcotrafic: Surtout du réchauffé et de l’anecdotique
- « Privatisation de la SNCF en pleine crise climatique »
- France : après la crise politique et économique , l’explosion sociale sociale ?
- Chômage : des milliers d’emplois menacés
- Jusqu’à 100 000 emplois au moins menacés
- Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).
- Rugby 15: Victoire facile de la France contre le Japon en attendant les Blacks
- Foot ligue 1: Victoire sans briller du PSG sur Angers
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- Projet Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien
- Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023
- Plan narcotrafic: Surtout du réchauffé et de l’anecdotique
- Notation financière de l’Espagne : relèvement de la note par Fitch
- Antisémitisme : maintenant ça suffit !
- Environnement–accord de Paris : retrait prochain des États-Unis
- Fonctionnaire de Paris :40 jours jours d’arrêts pour maladie en moyenne
- Foot- l’OM humilié par Auxerre à Marseille
- Économie Chine : nouveau ralentissement de l’inflation
- Coup d’éponge sur les poursuites judiciaires de Trump
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- Reprise officielle du dialogue entre Trump et Poutine
- Défense économique et UE: Pour une taxe carbone aux frontières ?
- Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien
- Fiscalité sur les entreprises : une politique de gribouille
- Trump : Offre-t-il une opportunité à l’Europe ?
- États-Unis : les faiblesses du parti démocrate
- Foot -Equipe de France : Mbappé écarté !
- Le retour du chômage en 2025 ?
- Un plan contre le narcotrafic ?
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- Économie : le risque des promesses de Trump
- Trump: Bonne ou mauvaise nouvelle pour l’Europe
- Avec Trump, la fin de l’Europe ?
- Europe : la Banque de France redoute des conséquences négatives avec Trump
- Une institution indépendante pour déterminer les prévisions économiques du gouvernement ?
- États-Unis : une nouvelle baisse des taux
- Allemagne : élections législatives anticipées
- Réseaux sociaux : interdiction aux moins de 16 ans… en Australie
- Foot Ligue des champions : le PSG encore battu
- Élections États-Unis : une campagne à coup de milliards
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- Hypermarchés : quel avenir ?
- Santé- variant du virus Mpox : des transmissions locales
- Foot Ligue des champions : encore un bon résultat de Lille
- Industrie de défense: L’Europe contre la France
- Fret SNCF : une liquidation anti économique et anti environnementale
- Michelin : Cholet et de Vannes liquidées
- Élection présidentielle États-Unis : Trump en tête à 5 heures
- Auchan: Un train de licenciements pourrait en cacher un autre
- Ferroviaire: Grève le 21 novembre suite à la liquidation de fret SNCF
- Présidentielle États-Unis : quasi égalité
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- Dette publique: 10.000 milliards d’euros, le vrai montant
- Fret SNCF: Transfert avant liquidation ?
- Stratégie énergétique : une consultation publique bidon !
- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?
- États-Unis : une démocratie au point de rupture
- Bolloré Videndi : Spoliation d’actionnaires ?
- La dernière élection démocratique aux États-Unis ?
- Automobile : la France conteste les normes CO2 de l’UE
- Auchan : 2 300 postes supprimés
- Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche
- Société-Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023
- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?
- L’Europe sur le chemin du déclin (Thierry Breton)
- Pétrole : maintien des restrictions de production
- Ferroviaire en Europe : hausse de la fréquentation..sauf pour le fret
- Ligue 1 foot France: Vers la marginalisation avant la crise
- Sport automobile F1 : la France enfin sur le podium
- Rugby Top 14 : Toulouse défait à Bayonne
- Présidentielle Moldavie : Victoire de la démocratie
- Élections États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?
- L’indispensable soutien à l’industrie
- Trafic drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023
- Drogue et violence: Plus de 300 narchomicides en 2024 ?
- Inondations Espagne: au moins 200 victimes
- La Cop16 biodiversité : pas d’accord sur le financement
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- Foot -PSG :Vainqueur contre Lens mais pas de niveau européen
- Violence -Valence: : encore un jeune sportif tué
- Député LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale
- Assemblée et Projet Budget : Un nouvel impôt sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?
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- Économie Chine : une petite croissance en dépit d’une politique monétaire accommodante
- Emplois États-Unis : en baisse
- Ligue 1 foot : Angers gagne à Monaco
- Plus de 300 narchomicides en 2024 ?
- Trafic de drogue : déjà en hausse de 57 % en 2023
- Tennis Master 1000 Paris: Première demi-finale pour Ugo Humbert
- Inflation États-Unis : encore en baisse.. comme la croissance
- Projet Budget : Un nouvel impôt sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?
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- Politique- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?
- Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime
- Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime
- Augmentation du délai de carence des fonctionnaires : les Français
- Inondations Espagne : dégâts inestimables et les plus de 150 morts
- Sport-tennis- Exploit français contre Alcaraz
- LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale
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- Démocratie aux États-Unis : un état critique
- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur
- Vincent Bolloré, le nationaliste qui veut échapper à la fiscalité française
- Défaillances d’entreprises : fortes hausses
- Afghanistan : interdiction aux femmes maintenant de se parler entre elles !
- Budget : Un nouvel impôt sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?
- La menace de grippe aviaire chez les animaux
- Les Français découvrent la crise financière
- La dictature du tribunal médiatique
- Budget : une taxe sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?
- Mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale !
- Budget: « Des sous, des sous »!
- Macron en visite officielle au Maroc avec un humoriste douteux
- Pétrole: Stable pour le moment
- Justice-Meurtre de Philippine : le suspect « accepte » d’être extradé
- Dette : risque de mise en tutelle de la France ( Baverez)
- Atall , patron de Renaissance et un gadget pour Borne
- Il est urgent de mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale
- Géorgie : vers une dictature pro-russe
- États-Unis : une politique économique au service de la croissance interne
- Politique et Gaspillage : 42 ministres, 577 députés pour quoi faire et quel coût ?
- Avec Trump tous les délires sont permis
- « Territoires zéro chômeur »: Du positif
- Bientôt des trains légers autonomes sur lignes secondaires
- Dollar: en recul
- Fonctionnaires locaux : jusqu’à un mois de jours de maladie dans les villes de plus de 100 000 habitants
- Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres
- Absentéisme inadmissible à l’Assemblée nationale : Bayrou condamne
- Gaspillage : 42 ministres, 577 députés pour quoi faire et quel coût ?
- Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »
- Projet Budget : le grand bazar fiscal
- Assemblée nationale : incompétence et vulgarité
- Projet de budget 2025 : un débat irresponsable
- Géorgie : la dictature pro-russe en route
- Tennis de table : encore un frère Lebrun
- Rugby 15: Toulouse écrase Toulon ( 57-5)
- le PSG gagne en France: 3-0 contre l’O
- Economie -Moral des ménages : recul
- International BRICS : le front antioccidental et antidémocratique
- Projet de budget : un débat irresponsable
- Iran: Réponse ciblée d’Israël ….pour l’instant
- L’histoire du changement d’heure
- Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires
- Budget : le grand bazar fiscal
- Budget: un débat irresponsable
- Budget: vote reporté en attendant le 49-3
- Société- Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux
- Sondage Partis politiques: discrédités pour 82% des Français
- International-Érosion de l’influence française en Afrique
- Budget 2025 : le Recours au 49-3 de plus en plus probable …et urgent
- Moral des ménages : recul
- Chômage : Légère hausse au troisième trimestre 2024
- Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux
- En réponse aux attaques Iranienne, l’armée israélienne a mené des «frappes de précision» sur des cibles militaires en Iran.
- Notation de la France et Moody’s: perspective dégradée
- Forte baisse du moral des patrons dans l’industrie
- Dettes et déficits : nouvelle dégradation de la France par Moody’s
- BRICS : le front antioccidental et antidémocratique
- Dette France: alerte du FMI
- Le FMI pour la fusion entre banques en Europe
- Foot- racisme, homophobie: Arrêt des matchs et pertes de points pour les clubs
- Guterre ( ONU): sous influence des Brics et de Poutine
- Mpox: La transmission s’effectue surtout entre humains
- Foot ligue des champions : Lyon battu à domicile
- En attendant le 49-3: la foire aux impôts
- Politique mer Rouge: La Russie en soutien des attaques des Houthis
- Partis politiques: discrédités pour 82% des Français
- Un budget douteux et peu efficace
- Prix Nobel d’économie 2024 contestables
- SONDAGE budget . 66% Français s’attendent à une augmentation des impôts
- Budget : Des prévisions très douteuses
- Pouvoir d’achat : baisse en 2023, selon l’Insee
- Des cabinets ministériels toujours pléthoriques
- Trump » De plus en plus fou et dangereux » (Kamala Harris)
- Élections américaines : la loterie électorale de Musk illégale ?
- Foot Ligue des champions : Lille surprend encore l’Atlético de Madrid
- Netanyahou très déçu par Macron
Politique: Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)
Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose. Et le plus souvent, c’est la technostructure- (et les cabinets de conseil) qui décide de tout aussi bien au plan national qu’ au plan local. Résultat alors qu’on affirme partout être à l’euro près ( dixit Bruno Le Maire et autres élus y compris locaux), on a perdu de l’ordre de 50 milliards de recettes fiscales !En clair on a dépensé 50 milliards supplémentaires sans les ressources correspondantes.
« Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.
Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.
S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».
Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».
Les agriculteurs en face des contradictions de l’union européenne
L’accord de libre-échange avec le Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay et Paraguay) pourrait être adopté en décembre 2024 par l’Union européenne. En France, les agriculteurs français se mobilisent pour s’opposer à cette décision. Les normes sanitaires et environnementales imposées aux agriculteurs européens ne sont pas respectées par les pays du Mercosur. Cette différence a des conséquences importantes sur les coûts de production. L’Europe envoie donc un message contradictoire, demandant aux agriculteurs de respecter des normes strictes tout en ouvrant ses portes à des produits bien moins contrôlés. L’agriculture française (et européenne) est l’une des plus sûres au monde grâce aux normes sanitaires et environnementales imposées par le régulateur français et européen.
par
Bertrand Valiorgue
Professeur de stratégie et gouvernance des entreprises, EM Lyon Business School
Xavier Hollandts
Professeur de stratégie et entrepreneuriat, Kedge Business School dans The Conversation
Une simple comparaison des pratiques agricoles actuelles avec celles des années 1990 permet de prendre la mesure de ce saut qualitatif (abandon de certaines molécules, prise en compte de la biodiversité, qualité de l’alimentation du bétail, par exemple).
On a tendance à oublier que ces démarches d’amélioration ne se réalisent pas sans investissements ni surcoûts. La substitution d’une technique de production par une autre n’est pas qu’un simple changement d’habitude.
Vos dons nous permettent de continuer à produire un contenu de qualité.
C’est un investissement, un apprentissage et un risque nouveau qu’il faut apprendre à gérer.
On oublie aussi régulièrement que ces investissements et surcoûts sont très difficilement répercutés sur les prix, du fait de la structure et du fonctionnement des marchés des matières premières agricoles.
Un agriculteur soucieux de l’environnement et de ses pratiques n’est pas un agriculteur qui est mieux rémunéré. C’est un agriculteur qui doit fournir un effort supplémentaire qui n’est pas intégré dans le prix de vente des denrées alimentaires qu’il produit.
Cette dure loi économique, que l’on retrouve dans le secteur agricole, porte le nom d’« effet tapis roulant ». Elle a été introduite pour la première fois par l’économiste Willard Cochrane.
Pour rester compétitifs et présents sur les marchés, les agriculteurs doivent procéder à des investissements et à l’incorporation de nouvelles technologies qui les rendent plus productifs. Cela engendre une plus grande disponibilité de denrées alimentaires commercialisées sur les marchés des matières premières et une baisse concomitante des prix.
Il faut alors procéder à de nouveaux investissements et à l’incorporation de nouvelles technologies pour rester sur le marché. On a, à l’arrivée, des agriculteurs toujours plus efficients mais dont les rémunérations stagnent. Ils doivent toujours courir plus vite sur le tapis roulant sans que leurs situations économiques progressent pour autant.
Le même effet (tapis roulant) s’observe au niveau de la préservation de l’environnement.
Les agriculteurs incorporent des normes environnementales toujours plus exigeantes sans jamais bénéficier d’augmentation des prix.
L’UE en pleine contradiction
La signature du traité de libre-échange du Mercosur touche directement à cette question en faisant entrer sur le territoire européen et français des denrées alimentaires produites selon des normes bien moins strictes, voire tout simplement interdites aux agriculteurs hexagonaux : utilisation d’antibiotiques comme activateurs de croissance, variétés issues de la transgénèse, farines animales, recours à certaines molécules chimiques, culture de céréales génétiquement modifiées…
Cet accord pourrait contribuer à déverser sur le marché français et européen des matières premières agricoles et des denrées alimentaires moins chères et produites dans des conditions peu soucieuses de l’environnement et dans des proportions très significatives.
Liste des matières premières agricoles concernées par le traité Mercosur :
99 000 tonnes de viandes de bœuf
160 000 tonnes de viande de volaille
25 000 tonnes de viande porcine
180 000 tonnes de sucre
650 000 tonnes d’éthanol
45 000 tonnes de miel
60 000 tonnes de riz
Si le traité venait à être ratifié, les filières et les agriculteurs concernés devront faire face à une concurrence déloyale et un dumping environnemental orchestré par l’Union européenne qui au même moment renforce ses exigences environnementales et sanitaires à l’égard des producteurs agricoles localisés dans la zone Europe.
Cette réalité brutale pousse les agriculteurs français et européens à descendre dans la rue afin de dénoncer une concurrence déloyale, réalisée au détriment de l’environnement et de leurs exploitations. L’Europe envoie un message contradictoire à ses agriculteurs, leur demandant de respecter des normes strictes tout en ouvrant ses portes à des produits bien moins contrôlés.
Elle accélère de la sorte la vitesse de rotation du tapis roulant tout en augmentant les charges que doivent supporter les agriculteurs. Ces derniers progressent de manière continue sur le respect de l’environnement sans que les marchés récompensent les efforts accomplis.
L’opposition des agriculteurs français à l’égard du Mercosur est emblématique d’une inquiétude croissante à l’égard des politiques menées par l’Europe.
La littérature sur le management des paradoxes a montré qu’à partir d’un certain niveau de contradiction, les acteurs exposés à des injonctions paradoxales s’engagent dans des dynamiques de repli et de contestation de l’autorité jugée comme étant à l’origine de la situation dans laquelle ils se retrouvent plongés.
Quand le niveau de contradiction est trop fort, la conflictualité devient la seule issue possible afin de retrouver une situation plus équilibrée et cohérente.
La contestation des agriculteurs à l’égard du traité Mercosur est révélatrice d’un niveau de contradiction fabriqué par les politiques de l’Union européenne que les agriculteurs français n’arrivent plus à supporter.
Ce niveau de contradiction est vécu avec intensité par les agriculteurs français qui mettent une pression politique sur leur gouvernement.
Il en va autrement dans les autres pays européens, comme l’Allemagne ou l’Espagne, favorables à l’accord avec le Mercosur. Sans mouvement des agriculteurs à l’échelle de l’Union et sans veto d’au moins 4 pays de l’Union européenne, il est probable que le traité soit validé en décembre prochain.
Cette ratification placerait les agriculteurs français dans un grand désarroi et enclencherait de nouveaux mouvements de contestation susceptibles d’être de plus en plus virulents.
Frédéric Courleux, agroéconomiste et conseiller au sein du Parlement européen, est co-auteur de cet article
Politique : un manque général de vision et d’évaluation
Le premier ministre a réaffirmé, dans son discours de politique générale, la nécessité d’une culture de l’évaluation. La conduite des actions publiques réclame une connaissance fine des effets de celle-ci. Il faut donc évaluer, avec le plus de rigueur possible, les effets réels de chaque décision, et de chaque action concrètement menée. Cependant, s’il y a lieu de réaffirmer cette exigence, c’est que les choses sont loin d’aller de soi. Qu’est-ce donc, alors, qui fait problème ? Et comment donner à l’évaluation ce qui serait sa juste place dans l’action publique ? Par Charles Hadji, enseignant-chercheur (*)- »dans la Tribune »
Il faut tout d’abord reconnaître la dimension paradoxale de l’appel au développement d’une culture de l’évaluation. Car, dans notre société, l’évaluation est déjà omniprésente. Et l’on pourrait davantage se plaindre du trop, que déplorer le trop peu ! Notre époque est marquée par une expansion et une extension impressionnantes de la pratique évaluative (Hadji, 2012). L’évaluation est devenue proprement obsessionnelle, chacun étant tour à tour évalué, par ses maitres, ses employeurs, ses clients, et même ses proches ; et évaluateur, pour les produits qu’il achète, les biens culturels qu’il consomme, les situations qu’il vit.
Mais cette expansion est, à bien des égards, calamiteuse. Les effets d’un tel déferlement sont trop souvent désastreux. Aussi bien pour les personnes évaluées, prises dans le filet de jugements lapidaires et sans appel. Que pour les évaluateurs, qui se laissent griser par la folie évaluative, et acceptent d’entrer dans des rapports de manipulation, et de domination. L’urgence est donc d’appeler au développement d’une pratique qui ne soit pas toxique.
On peut observer, à cet égard, que les obstacles à une saine pratique se situent essentiellement, aujourd’hui, à deux niveaux : celui des usages sociaux : au service de quoi, et de qui, met-on la pratique d’évaluation ? Et celui des fins par rapport auxquelles on formule ses jugements évaluatifs : qu’était-on légitimement en droit d’attendre des actions évaluées? Et, de proche en proche : où est-il souhaitable de vouloir aller?
Dans ce contexte, l’être humain lui-même tend à devenir une marchandise, que l’on note comme on pèse des fruits ou des légumes. Une culture de l’évaluation n’aura donc d’intérêt et de valeur que si elle contribue à préserver l’être humain de ce « devenir marchandise », en plaçant au cœur du débat la question de ce qui mérite vraiment d’être attendu. C’est-à-dire la question de la Valeur. Pour éviter la réduction de la valeur à la valeur économique, et de la personne humaine à un objet de consommation. C’est pourquoi la réflexion sur les fins des actions politiques et sociales est essentielle.
Plus que d’une culture de l’évaluation, nous avons besoin d’un culte de la Valeur. Autrement dit, d’un effort de réflexion collectif, soutenu, et transparent (pourquoi pas à l’occasion de « journées de consultation citoyenne » ?), pour spécifier les « valeurs communes » dignes de donner du sens à notre vie collective, au sein d’un Etat. Valeurs communes qui rendront signifiant le « projet de société » servant de référentiel pour évaluer les actions qui viseront à sauvegarder et à développer le « bien commun ». C’est-à-dire toutes les actions politiques au sens large.
Il est impératif de savoir ce qui, in fine, « vaut » absolument, et fonde la valeur de ce que l’on tient pour digne d’être valorisé. S’engager dans un travail évaluatif conduit ainsi, qu’on le veuille ou non, à affronter la question de la transcendance, i.e. de ce qui mérite absolument d’être désiré. Notre hymne national ne qualifie-t-il pas de « sacré » l’amour de la patrie ?
Une conception idéale de la société, comme une conception idéale de l’homme, sont en jeu à l’horizon de tout acte d’évaluation. Ce qui mine le plus l’évaluation des politiques publiques, et la rend contestable, est l’absence d’un système réfléchi de valeurs clairement affirmées, remplacées alors par des « philosophies implicites », ou des « idéologies clandestines », qui en tiennent lieu, et nous font agir, et juger, dans le brouillard… L’action politique (publique), comme son évaluation, doivent pouvoir s’inscrire dans ce que Jacques Ardoino (2000) appelait un « projet-visée ».
Toute action publique implique en ce sens un « horizon culturel », fait de valeurs communes et acceptées, sinon par tous, du-moins par une majorité de citoyens. Ce socle de valeurs définit un imaginaire commun, dynamisant une société où il sera possible de vivre ensemble d’une façon apaisée, voire heureuse. Dans le respect, certes, des différences ; mais aussi des valeurs fondatrices de la société, celles qui en marquent l’identité.
Or, on peut se demander si nous disposons aujourd’hui, dans notre société divisée et fragmentée, du minimum d’horizon culturel commun fondant la possibilité d’un « vivre ensemble » apaisé. Existe-t-il encore un socle de valeurs fondatrices, dans lesquelles pourront se reconnaître tous les français? Certes, il y a sans doute toujours eu une pluralité d’horizons culturels, selon les appartenances économiques, idéologiques, ou religieuses. Mais le vivre ensemble n’est guère possible sans un socle de valeurs partagées, qui rend possible la vie en commun, par-delà toutes les particularités, et la diversité des opinions, des religions, et des comportements.
C’est dans la construction d’un tel horizon culturel commun que peut, et que doit, se concrétiser ce que nous appelons le culte de la Valeur, pour échapper au risque majeur d’un conflit entre des imaginaires concurrents (par exemple, laïc/républicain vs religieux/post colonial). Un déficit d’horizon culturel commun sera la source de fractures sans cesse renouvelées, et de séparatismes ravageurs. Il rendra le pays ingouvernable. Pour agir et évaluer dans la clarté, au sein de ce que Spinoza appelait une Cité, il faudrait continûment, et avec une énergie désespérée, se poser la question : « mais où cela vaut-il vraiment la peine d’aller, et d’aller ensemble ? »
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(*) Agrégé de philosophie, Docteur d’État ès Lettres et Sciences Humaines, Professeur honoraire (Sciences de l’éducation) de l’Université Grenoble Alpes (UGA), Charles Hadji s’est consacré pendant vingt ans à la formation des enseignants des premier et second degrés, avant d’être enseignant-chercheur à l’Université de Lyon, puis à celle de Grenoble. Ses travaux ont porté principalement sur les apprentissages, et sur l’évaluation. Il est l’auteur, entreautres, de « Faut-il avoir peur de l’évaluation ? » (Bruxelles, De Boeck, 2012) ; et de « Le défi d’une évaluation à visage humain » (Paris, ESF Sciences Humaines, 2021).
Références bibliographiques :
- Abelhauser, A., Gori, R., et Sauret, M. J. (2011). La folie évaluation. Les nouvelles fabriques de la servitude. Paris : Editions Mille et une nuits (Fayard).
- Ardoino, J. (2000). Les avatars de l’éducation. Paris : PUF.
- Hadji, C. (2012). Faut-il avoir peur de l’évaluation ? Bruxelles : De Boeck.
L’inflation: Un coût de 1230 euros pour chaque ménage français en 2023
En moyenne du fait de l’inflation, la perte de pouvoir d’achat de chaque ménage n’est pas négligeable puisqu’elle atteint 1230 € en 2023. Mais ce qu’il faut surtout observer dans la dernière étude de l’INSEE sur le sujet c’est l’extrême dispersion des pertes de niveau de vie qui vont de -7,1 % pour les plus pauvres à 3,1 % pour les plus riches. Un constat qui permet une nouvelle fois de remettre en cause les les ajustements de même niveau pour tous les revenus.
Notons enfin que l’INSEE se fonde toujours sur une évolution des prix de la consommation obsolète qui ne tient pas compte de la modification structurelle des achats des ménages qui globalement achètent moins et différemment.
Selon le dernier rapport de l’Insee, « France, portrait social », publié ce jeudi 21 novembre, l’inflation a en effet représenté une perte moyenne de 1 230 euros annuels par personne en 2023, dans l’hypothèse où les ménages n’auraient pas modifié leur consommation sous l’effet de la hausse des prix. En termes de niveau de vie, l’institut national de statistiques souligne un impact plus fort de cette baisse chez les plus modestes, avec des pertes qui représentent -7,1 % du niveau de vie pour les 10 % les plus pauvres, contre seulement -3,1 % pour les 10 % les plus aisés.
Le dollar monte par rapport à l’euro
Nouvelle hausse pour le dollar par rapport à l’euro; Le dollar atteint son plus haut niveau face à l’euro depuis plus d’un an, poussé par des politiques monétaires divergentes, entre une Fed attendue plus ferme que prévu du fait des risques d’inflation et une BCE jugée accommodante du fait de la faiblesse de la croissance. Vers 20h20 GMT, le billet vert s’appréciait de 0,60% par rapport à la monnaie unique, à 1,0479 pour un euro. Il est même monté jusqu’à 1,0462 euro, un sommet touché pour la dernière fois en octobre 2023.
Les opérateurs attribuent désormais une probabilité de 56% à une réduction d’un quart de point à l’issue de la prochaine réunion de la Fed, les 17 et 18 décembre, contre 72% la semaine dernière, selon l’estimation de CME Group. Les taux américains se trouvent actuellement dans la fourchette de 4,50 à 4,75%. Sur le long terme, le marché s’attend à trois baisses du taux directeur de la Fed d’ici fin 2025, alors que les opérateurs en prévoyaient six sur la même période il y a deux mois. Parallèlement, «il semble que la Banque centrale européenne (BCE) va être plus agressive que la Fed» dans ses baisses de taux, a noté M. Chandler, une position plus accommodante qui profite donc au dollar. Les marchés attendent déjà une baisse des taux lors de la prochaine réunion de la BCE, en décembre, et prévoient que le taux de référence baissera jusqu’à 2% d’ici mi-2025.
Un gouvernement technique : dernière carte avant la démission de Macron ?
Benjamin Morel, constitutionnaliste : « En cas de censure, le gouvernement technique serait la dernière carte d’Emmanuel Macron ». Si le gouvernement Barnier venait à être censuré, il serait immédiatement démissionnaire. La configuration parlementaire actuelle ne laisserait alors plus beaucoup d’options au chef de l’Etat, estime le maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas dans un entretien au « Monde ».
Après les propos de Marine Le Pen indiquant que le Rassemblement national pourrait voter la motion de censure du NFP, en cas de recours à l’article 49.3 pour faire adopter le budget, le scénario de la chute du gouvernement Barnier prend de l’épaisseur. Pour le politiste et constitutionnaliste Benjamin Morel, maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas, l’avantage, en cas de nomination d’un gouvernement « technique », est que « chacun prendra date avec l’idée que cette fois-ci la dissolution n’est pas une option, mais bien une chose acquise ».
Que se passerait-il au lendemain d’une censure du gouvernement de Michel Barnier ?
Si jamais la motion de censure est votée, le gouvernement sera immédiatement réputé démissionnaire, ce qui est différent de la situation du mois de juillet, quand le gouvernement pouvait en droit être considéré comme démissionnaire une fois seulement la démission du premier ministre acceptée par le président de la République. Là, Emmanuel Macron ne pourra pas retarder le moment où le gouvernement ne pourra qu’expédier les affaires courantes.
Popularité Macron : dans les profondeurs
En dépit des multiples interventions de Macron en France comme à l’étranger, sa cote de confiance ne cesse de diminuer pour tourner aujourd’hui autour de 17 %. En cause évidemment les piètres résultats de sa politique et ses orientations pour le moins contradictoire tant en politique intérieure qu’à l’international. Dans ces conditions et compte tenu de la crise politique dans laquelle le pays s’enfonce, Macron aura bien du mal à finir son mandat.
le président de la République voit ses cotes de popularité ou d’avenir fléchir dans la plupart des sondages.
Que ce soit en termes d’approbation ou de cotes d’avenir, le président de la République a chuté dans la plupart des baromètres d’opinion. Dans celui réalisé fin octobre par l’institut Verian-Epoka pour Le Figaro Magazine , il ne recueillait la « confiance » que de 17 % (- 5) des personnes interrogées. Son plus bas niveau jamais enregistré. De son côté, l’Ifop jaugeait au même moment à 22 % (- 3) le taux de Français « satisfaits » du chef de l’État.
Nettoyage policier dans la Z Mafia à Marseille
Vingt-six membres de l’organisation criminelle marseillaise ont été interpellés cette semaine par la police judiciaire marseillaise et la Brigade de répression du banditisme, dans le cadre d’une vaste enquête judiciaire, ouverte notamment pour extorsion en bande organisée.
Pour procéder à ces arrestations, les autorités ont investi plusieurs établissements de la cité phocéenne, sur lesquels la DZ Mafia aurait fait main basse, dont un bar à chicha, un restaurant, une boîte de nuit. Les policiers ont saisi lors de leurs opérations des armes, parmi lesquels figure un fusil d’assaut de type kalachnikov et des dizaines de milliers d’euros en espèces. D’après une source policière, il s’agirait d’un «important coup donné» à la DZ Mafia.
Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)
Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose.Et le plus souvent c’est la technostructure qui décide de tout aussi bien au plan national au plan local .
« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.
Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.
S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».
Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».
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- Projet de budget 2025 : un débat irresponsable
- Géorgie : la dictature pro-russe en route
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- International BRICS : le front antioccidental et antidémocratique
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- L’histoire du changement d’heure
- Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires
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- Sondage Partis politiques: discrédités pour 82% des Français
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Les raisons économiques du succès de Trump
La réélection décisive de Donald Trump – qui a remporté le collège électoral et le vote populaire tout en obtenant des résultats significatifs auprès de presque toutes les catégories démographiques – a été saluée par beaucoup comme un vote audacieux en faveur du changement et un mandat clair pour son programme. Par Tiffany Wilding, économiste chez Pimco (*) dans la Tribune.
Pourtant, comme l’indique Adam Tooze, historien à l’Université de Columbia, lors des élections à l’échelle mondiale, les partis au pouvoir ont souvent perdu, les électeurs étant en quête de changement face à la performance économique post-pandémique et aux ajustements douloureux des prix, qui ont placé de nombreuses personnes dans une situation économique plus difficile. Les données de l’OCDE montrent que, contrairement à ce qui se passe presque partout ailleurs dans le monde, le niveau de vie aux États-Unis ne s’est pas seulement amélioré au cours des cinq dernières années, il a grimpé en flèche. En d’autres termes, si l’on en juge par les performances économiques globales, les États-Unis sont sans doute le pays qui a le moins besoin de changements majeurs.
Les statistiques globales masquent cependant d’importantes différences dans les expériences individuelles en termes de niveau de richesse. La réalité est que de nombreux Américains, en particulier à faibles revenus, ne sont pas mieux lotis. Par conséquent, les électeurs américains – comme beaucoup d’autres dans le monde – ont voté pour un changement, et sur la base du premier mandat de Trump et des majorités républicaines étroites dans les deux chambres du Congrès, le nouvel élu semble prêt à tenir bon nombre de ses promesses de changement.
Étant donné que la transition économique recherchée par les citoyens est une économie caractérisée par une croissance plus équitable et une amélioration du niveau de vie réel, les politiques qui modèrent l’inflation, augmentent l’efficacité et soutiennent la productivité sont les plus susceptibles de répondre aux besoins des électeurs américains.
Prenons un peu de recul par rapport à l’élection et considérons l’économie. Aussi douloureuse que l’inflation ait pu être depuis la pandémie, les États-Unis s’en sont bien mieux sortis que la plupart des autres économies de marchés développés. Avant la pandémie, le niveau de vie des États-Unis – mesuré par le PIB par habitant ajusté au pouvoir d’achat – était l’un des plus élevés au monde, dépassant de 35 à 50 % celui de la zone euro, du Royaume-Uni, du Canada et du Japon. Depuis 2019, les États-Unis ont conservé leur avance.
À l’exception de quelques petits pays de la zone euro, les performances économiques des États-Unis ont dépassé celles de tous les autres pays de l’OCDE, avec un niveau de vie réel par habitant ayant grimpé de 10 %. Ces résultats contrastent avec ceux du Japon et de la zone euro, qui n’ont progressé que de 2 à 3 % sur la même période, tandis que le niveau de vie en Allemagne, au Royaume-Uni et au Canada est aujourd’hui pire qu’avant la pandémie.
Qui plus est, les États-Unis ont enregistré cette expansion malgré une inflation inférieure à la médiane des autres pays de l’OCDE. L’augmentation cumulée de 19 % de l’indice des prix à la consommation aux États-Unis depuis 2019 est en en fait inférieure à l’inflation cumulée en Allemagne, au Royaume-Uni et en Australie sur la même période.
Ces chiffres reflètent un remarquable bond de productivité aux États-Unis après la pandémie. Contrairement à tous les autres pays, les États-Unis ont dépassé leur tendance de productivité prépandémique, grâce à une forte croissance de l’investissement non résidentiel, en particulier dans les domaines de la propriété intellectuelle et de la recherche et du développement. Dans l’ensemble, ces tendances suggèrent qu’en comparaison avec la quasi-totalité des autres pays, l’économie américaine est sans doute moins en besoin de changements radicaux.
Bien que l’économie américaine ait mieux performé en moyenne par rapport à la plupart des autres régions, nombreux sont ceux qui pas profité de ces gains. Les statistiques globales cachent le fait que l’expérience des niveaux de vie varie considérablement selon les niveaux de richesse et de revenus. Selon les comptes de distribution de la Fed, les niveaux de richesse nette réelle des populations à faibles revenus sont moins bons qu’en 2019, bien que les cinq dernières années aient été une aubaine pour les individus les plus fortunés.
La victoire de Trump est susceptible de le renforcer dans sa volonté de mettre en œuvre le changement qu’il a promis. Et ces changements pourraient avoir des implications significatives pour les perspectives économiques. Une politique axée sur un commerce mondial plus équitable, des marchés plus efficaces et une trajectoire plus viable à long terme pour la dette publique américaine pourrait potentiellement maintenir le niveau de vie des Américains à la hausse.
Mettre en œuvre des réformes de l’immigration qui accroissent la main-d’œuvre productive, simplifier les régulations et les limitations de permis de projets qui ont freiné l’investissement, et ouvrir les marchés d’exportation pour les projets américains pourraient également être des gains importants pour les entreprises et les travailleurs. D’autre part, l’augmentation des droits de douane sans gains stratégiques, la mise en œuvre de réductions massives des dépenses dans les agences gouvernementales et les pressions exercées sur la Réserve fédérale pourraient perturber l’économie : en augmentant l’incertitude, en retardant l’investissement et l’embauche, et en affaiblissant les exportations américaines.
Des politiques frontalières plus strictes pourraient mettre à mal les entreprises qui dépendent des immigrés. L’augmentation des droits de douane sur les biens d’équipement pourrait rendre l’investissement aux États-Unis plus coûteux – ce qui pourrait amplifier la pression inflationniste – tout en nuisant à la compétitivité du secteur exportateur américain.
En fin de compte, l’économie américaine s’est généralement bien comportée au cours des cinq dernières années, même si tous les Américains n’ont pas profité de cette performance. Le programme de Donald Trump – axé sur la disruption et le changement – pourrait renforcer encore l’économie américaine, en maintenant les gains de productivité et de niveau de vie parmi les plus élevés au monde, et en élargissant les avantages économiques à l’ensemble de la distribution des revenus. Il sera important de garder à l’esprit que les politiques isolationnistes et populistes ont historiquement étouffé la croissance de la productivité et n’ont pas tendance à renforcer les résultats économiques des groupes qui en avaient le plus besoin.
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(*) Tiffany Wilding est Managing Director et économiste au bureau du Newport Beach. Elle dirige le Forum cyclique de Pimco, ébauche les perspectives de l’entreprise pour l’économie mondiale et évalue les principaux risques macroéconomiques pour le Comité d’investissement. Elle copréside également le Comité de portefeuille Amérique.
Fiscalité entreprise : toujours au dessus de la moyennes pour la France
Le poids des impôts de production en France baisse mais reste élevé par rapport aux autres pays européens. C’est ce qui ressort d’une note publiée par l’association Fipeco ce mercredi. « Leur produit est passé de 108,8 milliards d’euros en 2016 à 130,3 milliards d’euros en 2023 (+ 19,8%), ce qui correspond à une légère baisse en pourcentage du PIB (de 4,9% à 4,6%) », écrit le président de Fipeco, François Ecalle.
Leur produit a augmenté de 12 milliards d’euros (+28%) entre 2016 et 2023, pour s’établir à 54,8 milliards d’euros. Dans le détail, ces impôts se composent de la taxe sur les salaires (16,7 milliards d’euros), du versement mobilités (11,3 milliards), de la contribution au financement de l’apprentissage (11,2 milliards) et du forfait social (6,4 milliards).
Les impôts de production comprennent également les « impôts divers sur la production », rappelle Fipeco. Leur produit a pour sa part augmenté de 9,6 milliards d’euros (+ 14,5 %), pour atteindre 75,6 milliards d’euros en 2023.
Si le poids des impôts de production est en baisse, il reste « nettement plus élevé en France (4,5 % du PIB selon Eurostat) que dans la moyenne de la zone euro (2,2 % du PIB) ou de l’Union européenne (2,4 % du PIB) et qu’en Allemagne (0,9 % du PIB) », souligne Fipeco. Dans ce domaine, la France se classe à la deuxième place de l’Union européenne, loin derrière la Suède (10,5 % du PIB).