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Archive mensuelle de octobre 2024

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Dollar: en recul

Dollar: en recul

Le dollar en repli en raison des interrogations concernant l’élection présidentielle mais aussi intégrant l’évolution de la situation économique mondiale et géostratégique. Certes l’inflation semble de mieux en mieux maîtrisée mais cela pourrait être dû à un tassement de l’activité économique.

 

Le dollar s’est replié lundi, consolidant à l’orée d’une semaine riche en indicateurs macroéconomiques, sur fond d’attentisme à l’approche de l’élection présidentielle américaine. Vers 20h20 heure française, le billet vert abandonnait 0,18% face à la monnaie unique européenne, à 1,0815 dollar pour un euro. Il lâchait aussi 0,11% devant la devise britannique, à 1,2973 dollar pour une livre.

 

Toutefois, «ce qui pourrait remettre en question (la dynamique du dollar), ce sont des données très faibles vendredi dans le rapport d’octobre sur l’emploi américain», a noté Marc Chandler. Les analystes tablent sur un taux de chômage similaire au mois dernier, à 4,1%, mais s’attendent à un recul important des créations d’emplois, à 110.000 contre 254.000 en septembre, selon le consensus de MarketWatch.

 

Fonctionnaires locaux : jusqu’à un mois de jours de maladie dans les villes de plus de 100 000 habitants

Fonctionnaires locaux  : jusqu’à un mois de jours de maladie dans les villes de plus de 100 000 habitants

 

Le nombre d’arrêts maladie des fonctionnaires locaux est proportionnelle à la taille de l’institution locale. Ainsi dans les villes de plus de 100 000 habitants, on  peut compter jusqu’à 30jours  de maladie pour les fonctionnaires sur une année. Un chiffre qui par ailleurs difficilement compréhensible puisqu’il dépasse de loin les absences hors congés du privé.

Selon les chiffres de l’Insee figurant dans le rapport de l’inspection générale des finances, en 2022, le nombre moyen de jours d’absence hors congés était effectivement plus élevé dans la fonction publique que dans le privé: 19,2 contre 16,1, soit trois jours de plus.

Depuis le Covid, dans le privé, on est passé de 8,4 à 11,7 jours, soit une augmentation de 39%. Dans la fonction publique, l’ampleur de cette envolée est loin d’être uniforme. Chez les enseignants, le nombre de jours d’arrêts pour raison de santé était en 2022 identique à celui des salariés du privé (11,7) alors qu’en 2019, l’Education nationale gérait plus facilement les absences, avec une moyenne de 5,5 jours.

Les données de l’Insee montrent également une très forte augmentation du nombre de jours d’absence pour raison de santé dans les hôpitaux publics (+74% avec 18,1 jours en moyenne) et dans les collectivités territoriales (+53%, 17,1 jours), ce qui représente 6 à 7 jours de plus d’arrêts par rapport à 2019. Pour la fonction publique hospitalière, cela peut se comprendre, mais pour les fonctionnaires territoriaux, cela pose davantage question.

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

 

Au motif qu’il existe déjà sur le Web des formes de casinos plus ou moins illicites, le ministre du budget envisage une concertation sur la légalisation des casinos en ligne.

Comme d’habitude, la question devrait d’abord être de savoir quel est l’objectif poursuivi. En effet dans la plupart des villes des casinos officiels sont déjà opérationnels. En outre, leur activité est relativement bien observé et suivi. La légalisation en ligne risque d’attirer des milliers et des milliers voire des millions de gogos qui comme pour les autres paris investissent parfois des sommes qui viennent amputer un budget des ménages déjà très réduits.
Certes il y a les parieurs du dimanche qui mettent régulièrement une petite somme sans remettre en cause l’équilibre de leur budget mais il y a aussi les accros, de plus en plus nombreux en période de crise, qui détournent en quelque sorte les ressources du ménage pour de vaines espérances. Et souvent en investissant de plus en plus.

«Le ministre lance une concertation qui doit pouvoir se tenir dès la semaine prochaine et devra aboutir sur un schéma permettant de répondre aux préoccupations du secteur» quant à la légalisation des casinos en ligne, a indiqué lundi le Ministère chargé du budget et des comptes publics dans un communiqué.

Addiction avait aussi tiré la sonnette d’alarme, les casinos en ligne étant considérés comme l’un des jeux les plus addictifs.

Perte de 200.000 abonnés pour le Washington Post qui refuse de soutenir Harris

Perte de 200.000 abonnés pour le Washington Post qui refuse de soutenir Harris

 

Conséquence du refus du patron du Washington Post de soutenir Kamala Harris, le journal a perdu immédiatement 200 000 abonnés.

Les  éditorialistes avaient décidé d’appeler leurs lecteurs à voter pour la démocrate Kamala Harris. Mais coup de théâtre. Vendredi, la direction générale du média a annoncé que le vénérable quotidien s’abstiendrait de prendre position« Nous sommes conscients que cette décision sera vue comme un soutien implicite à l’un des candidats, ou le rejet d’un autre, ou comme une fuite devant nos responsabilités », écrivait William Lewis. Les faits lui ont donné raison.200 000 abonnés sont immédiatement partis

Economie, politique, société: les plus lus 28 octobre 2024

Economie, politique, société: les plus lus 28 octobre  2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Absentéisme inadmissible à l’Assemblée nationale : Bayrou condamne

Absentéisme inadmissible à l’Assemblée nationale : Bayrou condamne

 François Bayrou juge « inadmissible » et « criminelle » l’absence de certains députés pendant les débats concernant notamment le budget.

François Bayrou attaque les députés de la coalition gouvernementale. Invité de BFM Politique ce dimanche 27 octobre, le président du Modem a été interrogé sur l’absentéisme des parlementaires du bloc central lors de l’ouverture des débats sur le budget 2025 à l’Assemblée nationale, qui doivent reprendre le 5 novembre.

« Dans une situation aussi grave que celle du pays aujourd’hui, dans une situation institutionnelle aussi inédite, avoir des parlementaires qui considèrent qu’ils ont mieux à faire qu’être présents à leur banc à l’Assemblée nationale est purement et simplement inadmissible », dénonce-t-il.

 

 

Gaspillage : 42 ministres, 577 députés pour quoi faire et quel coût ?

Gaspillage : 42 ministres, 577 députés pour quoi faire et quel coût ?

D’une manière générale, le gouvernement et certaines  forces politiques militent pour un rétablissement des comptes publics caractérisés par un endettement record en même temps qu’un autre record celui de la pression fiscale (prélèvements obligatoires). D’une certaine manière, une curieuse contradiction bien française d’autant que le service public n’est pas toujours à la hauteur en termes de qualité.

En cause souvent des superstructures partout, du sommet jusqu’au plan local, devenues complètement incontrôlables, qui génèrent elles-mêmes la demande de finances publiques et que les élus ne contrôlent absolument plus. Il faut dire que les responsables nationaux ne donnent pas l’exemple.

Ainsi pourquoi un gouvernement comprenant 42 ministres dont d’ailleurs la plupart n’ont pas la main sur la moindre administration mais dont l’objet est de satisfaire les équilibres politiques, de mixité et de sensibilité. Bref du potage politique. On pourrait aussi citer comme exemple celui de l’Assemblée nationale avec ce chiffre fou de 577 députés dont la plupart ne servent à rien. À peine une centaine travaillent  effectivement. Une moitié serait grandement suffisante. Pour preuve de ce gaspillage l’ancien président François Hollande qui n’a voté qu’une seule fois quand d’autres ont voté une centaine de fois ! Il n’est pas le seul à se limiter à faire acte de présence de temps en temps.

Au-delà des aspects quantitatifs se posent est encore davantage la légitimité de ces députés dont beaucoup n’ont jamais exercé le moindre mandat local ou de responsable d’association. Ils doivent leur mandat au copinage entre technocrates et amitiés particulières avec certains grands leaders.

Le grand gaspillage commence au plus haut niveau y compris à l’Élysée mais aussi au Parlement. Comment pourrait-on convaincre les Français d’une nécessaire austérité quand dans le même temps des élus  nationaux se montrent aussi illégitimes et aussi nuls.

Ce n’est pas seulement le coût de fonctionnement des institutions visées qu’il faut prendre en compte mais toute la machine procédurière générée par ces élus  qui compliquent la vie du pays en générant réglementations, budgets et structures inutiles.

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

Un enfant touché par balle victime de la « narcoracaille »

 

Pendant  que les députés des « Insoumis » et des » écologistes » montrent une scandaleuse bienveillance vis-à-vis d’un député drogué ,  la « narcoracaille » continue d’œuvrer dans le pays. Un enfant de cinq ans circulant à bord d’une voiture conduite par son père a été grièvement blessé par balles à la tête samedi soir près de Rennes, lors d’une course-poursuite survenue quelques heures après une fusillade sur fond « narcoracaille ». 

Depuis plusieurs mois, des fusillades éclatent régulièrement dans certains quartiers de Rennes, à Maurepas dans le nord de la capitale bretonne, où sont implantés plusieurs points de deal. Deux fusillades ont ainsi eu lieu les 23 et 30 septembre à Maurepas et une autre dans le quartier de Bréquigny (sud) le 24 septembre.

Un homme avait été grièvement blessé par balle dans la nuit du 5 au 6 octobre, dans le centre-ville de Rennes. La maire de Rennes Nathalie Appéré (PS) avait alors alerté dans un communiqué sur une «guerre de territoire entre narcotrafiquants au Gros-Chêne», évoquant «une escalade de la violence particulièrement inquiétante».

 

Projet Budget : le grand bazar fiscal

 Projet Budget : le grand bazar fiscal

Un papier de la « Tribune » attire l’attention sur les divisions, les contradictions et les incohérences du débat de l’assemblée sur le budget. Le risque étant de faire perdre encore un peu plus de compétitivité à la France et donc de croissance et même de recettes fiscales ( extrait de la « Tribune »)

« Faire beaucoup avec peu », c’est la croix que doit porter ce « pauvre Mr Barnier », le nouveau surnom donné au locataire de Matignon qui, à Givors, a fait acte de franchise : « je ne me suis pas roulé par terre pour être Premier ministre » a-t-il lancé alors qu’à l’Assemblée nationale, l’absence de majorité fait des ravages. Les deux textes budgétaires, celui de l’Etat et celui de la Sécu, ont été complètement dénaturés par les extrêmes qui ont voté des amendements sans queue ni tête, dont la suppression de 5 milliards d’euros de la contribution française au budget européen, à l’initiative du RN. Le tout en profitant des divisions de la « coalition » hétéroclite Modem Renaisssance et LR censée soutenir le chef du gouvernement. Avec des amis comme ceux-là, on n’a pas besoin d’ennemis et le spectre du 49-3 plane donc sur l’examen du budget, en attendant sa transmission au Sénat.

La France continue de jouer avec le feu, sous le regard peu bienveillant des marchés et des agences de notation. Certes, Moody’s a accordé un sursis en ne dégradant pas à nouveau la dette française. Mais en la plaçant sous surveillance avec « implication négative », l’agence américaine maintient la pression sur Bercy.

A Washington aussi, les responsables du FMI ont adressé un sérieux warning en demandant au ministre de l’économie de crédibiliser la trajectoire du redressement budgétaire, notamment sur le volet dépenses, encore très très flou. Le FMI s’est en même temps inquiété de l’impact récessif de l’ajustement budgétaire sur la croissance française.

Le piège se referme sur ce « pauvre Monsieur Armand », le ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, bien à la peine pour trouver « l’équilibre entre consolidation budgétaire et attractivité » sans mettre à terre la croissance. Face aux dizaines de milliards de hausses d’impôts qui menacent de mettre à bas la politique de l’offre qu’il a instauré depuis dix ans, le chef de l’Etat a haussé le ton vendredi en accueillant 120 entreprises du « Fabriqué en France » à l’Elysée : « il y a une bataille de cohérence et une bataille macroéconomique. Tout cela, c’est pas possible si on monte les impôts, si on monte le coût du travail et qu’on pense qu’on règle les problèmes de déficit public en revenant totalement sur une cohérence de politique économique » a insisté Emmanuel Macron. En sortant ainsi de sa réserve, le président de la République adresse un carton jaune à son Premier ministre à qui il a en même temps légué des finances publiques très dégradées. Comment maintenir la politique de l’offre face à la pression de Bruxelles, du FMI et des agences de notation ? L’équation semble insoluble et la « cohérence de la politique économique » de Macron est bien forcée de faire marche arrière car avec la crise de la dette on découvre le pot aux roses. L’espoir de financer les baisses d’impôt par le retour au plein emploi a fait long feu…

Du coup, on risque de passer brutalement du « Choose France » au « Loose France », comme le craignent de plus en plus d’économistes. Nombreux sont les projets d’investissements gelés ou annulés du fait de l’incertitude politique et donc fiscale actuelle. Les entreprises font leurs comptes sur la facture à payer et elle est salée. Les plus grandes n’hésitent pas à menacer de partir vers des cieux fiscaux plus cléments… Tandis que nombre d’entreprises étrangères recommencent à se demander « Why France ».

Assemblée nationale : incompétence et vulgarité

Assemblée nationale : incompétence et vulgarité
L’Assemblée nationale a certes été parfois le lieu d’affrontements un peu rudes entre des députés porteurs de stratégies et d’idéologies différentes. Pour autant en général , le débat s’est le plus souvent déroulé dans le respect et avec une certaine tenue. Aujourd’hui l’Assemblée nationale ressemble plutôt à une école maternelle avec nombre de députés complètement incompétents sortis d’on sait où grâce à leur relation dans des partis politiques gangrenés par de pseudos technocrates et des arrivistes.

La plupart n’ont pas assumé la moindre fonction électorale avant d’être élu député. D’où cette pluie d’amendements plus contradictoires les uns que les autres lors de l’examen du budget 2025.

Un budget normalement destiné à diminuer les déficits et qui va être augmenté par les incohérences des députés engagés dans une véritable foire à l’impôt et à la démagogie. S’ajoute à cela la vulgarité de trop nombreux députés qui n’ont même pas le respect de leurs fonctions, en hurlant, en s’agitant, en se montrant avec le drapeau du Hamas, en faisant des bras d’honneur et même en consommant de la drogue avec le soutien de la gauche. Une curieuse manière de s’attaquer à fléau mortel qui pourrit désormais une grande partie du pays.

Inutile de tourner autour du pot, nombres de députés n’ont pas leur place à l’Assemblée nationale ils n’ont pas la légitimité que confère l’expérience locale et militante. Ils ont encore moins la compétence nécessaire examiner des problèmes forcément complexes et qui ne peuvent être résolus par des solutions simplistes et démagogiques.
De ce point de vue ,l’Assemblée nationale offre un spectacle indigne qui ne grandit pas la fonction politique. Pour preuve 90 % des Français  considèrent les partis politiques comme discrédités et inefficaces.

 

Projet de budget 2025 : un débat irresponsable

Projet de budget 2025 : un débat irresponsable

Même si la France échappe fin octobre à la dégradation de sa note de crédit par Moody’s, il ne faut pas relativiser ce qui est à l’œuvre. Les parlementaires devraient faire davantage preuve de sens des responsabilités pour élaborer un budget crédible face à des déséquilibres qui ne sont plus soutenables. ( papier du » Monde »)

Alors que le débat sur le projet de loi de finances 2025 menace de s’enliser sur fond de cacophonie parlementaire, les perspectives économiques de la France s’assombrissent. Les doutes sur le rythme de la croissance se renforcent. Le marché de l’emploi ralentit. Le climat des affaires se dégrade, notamment dans l’industrie. La consommation flanche et la confiance des ménages français recule. A ce tableau déjà sombre, s’est ajoutée, vendredi 25 octobre, une pression supplémentaire de la part de l’agence de notation financière américaine Moody’s. Si celle-ci a maintenu sa note de crédit sur la France à Aa2elle l’a assortie d’une « perspective négative », ouvrant la porte à une prochaine dégradation.Au-delà de ses faiblesses structurelles, l’économie française commence à subir le contrecoup des difficultés de l’Allemagne, son principal partenaire commercial. L’industrie est confrontée à une demande atone, des prix de l’énergie qui restent élevés et une concurrence chinoise exacerbée. Les incertitudes liées aux hausses d’impôts et aux économies dont accouchera le débat budgétaire contribuent à fragiliser la confiance et n’incitent ni à consommer ni à investir.Dans ce contexte peu porteur, Moody’s s’inquiète surtout de l’incroyable dérapage budgétaire, qui a porté le déficit public à 6,1 % de la richesse nationale et la dette à 112 %. Les marchés financiers avaient déjà réagi en propulsant les taux d’intérêt français à dix ans au-delà de ceux du Portugal puis de l’Espagne, pour se rapprocher des taux italiens. L’attitude des investisseurs est désormais suspendue à la tournure du débat budgétaire pour savoir si l’objectif de Michel Barnier de ramener le déficit à 5 % en 2025 reste crédible. Moody’s évoque un « risque grandissant » que le gouvernement ne soit pas en mesure de tenir cette trajectoire. Il y a quelques jours, le Fonds monétaire international avait fait part de ses doutes à ce sujet.

Même si la France échappe cette fois-ci à la dégradation, il ne faut pas relativiser ce qui est à l’œuvre. Désormais, l’Hexagone n’est plus qu’à un cran de la catégorie A chez deux des trois principales agences de notation, Standard & Poor’s (S&P) et Fitch. C’est une zone dangereuse, car une nouvelle dégradation disqualifierait la dette française auprès de nombreux investisseurs. Les règles de gestion des fonds de placement limitent voire interdisent de détenir des obligations qui sont classées sous les catégories AAA ou AA. La dette française aurait beaucoup plus de mal à trouver preneur et ceux qui accepteraient d’en acheter ne le feraient qu’avec une prime de risque substantielle, c’est-à-dire des taux beaucoup plus élevés. S&P se prononcera le 29 novembre.

Le pays est au seuil de ce cercle vicieux, qui entraînerait un alourdissement de la charge de la dette et réduirait d’autant les marges de manœuvre budgétaires. La menace devrait inciter les parlementaires à faire davantage preuve d’esprit constructif et de sens des responsabilités pour élaborer un budget crédible face à des déséquilibres qui ne sont plus soutenables.

Géorgie : la dictature pro-russe en route

Géorgie : la dictature pro-russe en route

En Géorgie ,la dictature pro-russe est désormais en route. En effet après des élections truquées, le  Rêve géorgien, aux affaires depuis 2012, était crédité dimanche soir de 54,08% des voix, contre 37,58% à la coalition pro-UE, selon les résultats annoncés par la commission électorale centrale.

Il ne reste plus au pouvoir pro-russe qu’à interdire tout parti d’opposition comme prévu dans son programme.
La présidente Salomé Zourabichvili, en rupture avec le gouvernement, a fustigé une «falsification totale» des élections attribuée à une «opération russe».

Le pays entre «dans une période d’instabilité», dit Gela Vasadzé, du centre d’analyse stratégique sur la Géorgie.

La Géorgie a été secouée en mai par de grandes manifestations contre une loi sur «l’influence étrangère», inspirée d’une législation russe sur les «agents de l’étranger» utilisée pour écraser la société civile. Bruxelles a gelé dans la foulée le processus d’adhésion à l’UE et les États-Unis ont pris des sanctions contre des responsables géorgiens.

 

 

Tennis de table : encore un frère Lebrun

Tennis de table : encore un frère Lebrun

 

Après Alexis Lebrun qui vient  d’être sacré champion d’Europe après sa victoire en finale face à l’allemand Duda ce dimanche, c’est son petit frère Félix qui lui répond. Le 7e joueur mondial s’est imposé chez lui dans l’Hérault au WTT Champions de Montpellier face au Japonais Tomokazu Harimoto (11-7, 11-9, 11-6, 8-11, 11-4). Un exploit également exceptionnel puisqu’il est le premier français à remporter un tournoi de ce niveau.

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Rugby 15: Toulouse écrase Toulon ( 57-5)

Rugby 15:  Toulouse écrase Toulon ( 57-5)

Le Stade Toulousain a écrasé le RC Toulon (57-5) dimanche soir au Stadium, en clôture de la 8e journée du Top 14.  Grâce à ce succès, les Rouge et Noir récupèrent d’ailleurs le trône du Top 14 au profit des Girondins. Les spectateurs du Stadium se souviendront de cette soirée.

 

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

Après les déconvenues au plan européen, le PSG sera sur en battant nettement Marseille trois à zéro. club de la capitale conforte de place de leader et prend six longueurs d’avance sur l’OM, troisième derrière l’AS Monaco et à égalité de points avec Lille.

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