Attaque sur la SNCF : des pistes étrangères et des complicités nationales
Après ces attentats qui ont neutralisé une grande partie du réseau TGV différentes hypothèses peuvent être émises. Il est d’abord évident que l’objectif était de nuire à la fois aux JO, à la France et d’une façon plus générale à la démocratie. Une façon de montrer aussi les faiblesses de cette démocratie par rapport à des régimes autoritaires qui ont l’ambition de se répandre partout dans le monde. La piste russe est évidemment privilégiée tellement ce pays est habitué à des coups tordus mais d’autres pays terroristes peuvent être impliqués.
De toute façon, il fallait une bonne connaissance du réseau ce qui implique des complicités nationales. Pour paralyser le réseau TGV national en quelques points seulement il fallait nécessairement des informations précises sur les lieux de connexion des réseaux électriques, électroniques et numériques.
Cinq endroits particuliers des armoires électriques et des câbles ont été visés alors que la SNCF possède des milliers d’armoires de ce type et des milliers de kilomètres de câbles.
On peut envisager des complicités nationales et éventuellement des idiots utiles qui répandent des messages de violence voire d’insurrection au service d’intérêts étrangers. Une sorte d’ambiance de terreur verbale à laquelle finalement adhèrent des individus fragiles psychologiquement et-ou politiquement radicalisés.
Le climat général de violence en France au moins sur le plan verbal de la part de responsables nationaux sert clairement les intérêts étrangers qui veulent discréditer le pays et sa démocratie.
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