Législatives: «Le pays joue sa peau» pour Attal

Législatives:  «Le pays joue sa peau» pour Attal

De toute évidence Attal a particulièrement mal vécu la décision du président de procéder brusquement à la dissolution de l’Assemblée nationale. Son analyse est moins violente que celle du président lequel parle aujourd’hui de risque de guerre civile dont il porte une part de responsabilité. Pour autant, le Premier ministre est bien conscient des menaces qui pèsent sur l’avenir de l’économie, l’épargne et la sécurité des Français.

Le premier ministre ne développe pas mais il est certain que la situation déjà particulièrement dramatique de l’endettement risque de se détériorer encore. Comme la dévaluation n’est plus possible avec une monnaie unique cela se traduira mécaniquement par une hausse du prix de l’inflation, donc une montée des prix autant pour les entreprises que pour les consommateurs, une baisse de compétitivité et de la croissance. La régulation se fera sur la baisse du pouvoir d’achat. Et de ce point de vue le premier ministre a raison des menaces qui pèsent sur l’économie et le pouvoir d’achat. Dans le Figaro, Gabriel Attal confirme ses propres inquiétudes

 Deux semaines après la dissolution, avez-vous réussi à vous convaincre qu’elle n’était pas une prise de risque insensée d’Emmanuel Macron ?

GABRIEL ATTAL. - Je ne regarde pas en arrière. Cette décision est prise, il est inutile de revenir dessus. Les Français ont leur destin en main. Le pays joue sa peau dans cette élection. Je veux les convaincre que la victoire du RN ou de la Nupes menacerait notre économie, l’épargne et la sécurité des Français.

 

 

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