Une « task force » européenne pour lutter contre les ingérences étrangères en ligne
Il s’agit par exemple de vidéos qui affirment que les citoyens fuient la « dictature » en Pologne et cherchent refuge en Biélorussie, que l’armée française recrute 200 000 volontaires pour aller combattre en Ukraine, qu’en Slovaquie, l’homme qui a tiré mi-mai sur le premier ministre Robert Fico est marié à une réfugiée ukrainienne ou encore, dans un autre registre, que l’Allemagne a décriminalisé l’exploitation sexuelle en ligne des enfants. L’objectif : semer la méfiance et conflictualiser le débat en inondant les réseaux de mensonges ainsi qu’en diffamant les dirigeants européens.
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