Archive mensuelle de mai 2023

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L’inflation jusqu’à quand ?

L’inflation jusqu’à quand ?

par Karl Eychenne, chercheur chez Oblomov & Bartleby dans la « Tribune »


L’inflation galopante contemporaine est une tragédie économique qui se joue en 3 actes. Le 1er acte est celui d’une pénurie de l’offre abrutie par la crise sanitaire puis la crise ukrainienne. Le 2e acte est celui d’une exubérance de la demande déconfinée puis survoltée par les politiques du quoi qu’il en coûte. Enfin, le 3e acte est celui où les ménages revendiquent des hausses de salaire afin de limiter la casse des prix sur leur pouvoir d’achat. Ce 3e acte est censé être le dernier, et pourtant tout indique le contraire.

La hausse des salaires est censée être le 3e et dernier acte de l’inflation galopante, car il anticiperait la fin du cycle d’expansion économique. Comme attendu, la Banque centrale serait incitée à monter une bonne fois pour toutes ses taux directeurs afin de renchérir suffisamment le coût du capital et freiner ainsi l’activité. Mais surtout, cette hausse du coût salarial éroderait alors les marges bénéficiaires des entreprises, les incitant à réviser à la baisse leurs programmes d’investissements et d’embauches. Toutes les conditions seraient alors réunies pour que le marché d’actions commence enfin sa purge. Sauf que tout indique le contraire.

D’une part, les marges des entreprises restent sur des niveaux historiquement élevés. D’autre part, les marchés d’actions sont en hausse de près de 15 % depuis le début de l’année.

Concernant les marges des entreprises, ce qu’il y a de plus surprenant encore est que les analystes financiers n’anticipent pas de révision baissière significative pour les 12 mois à venir. Il existe évidemment des nuances en fonction des secteurs d’activité, mais globalement aucun ne semble biaiser la lecture générale. Pourtant, les graphes que nous montrent la finance professionnelle sont sans équivoque : une hausse du coût salarial unitaire anticipe toujours une baisse des marges des entreprises. Sauf que là, non. Pour l’instant, l’accélération des salaires n’est pas jugée insupportable pour les entreprises. Le 3e acte de l’inflation galopante ne serait donc pas le dernier. Il existerait en fait un 4e acte.

Si les marges des entreprises restent aussi élevées malgré la hausse des prix des inputs (essentiellement les salaires), c’est forcément parce que les prix des outputs (prix à la consommation) montent d’autant. Autrement dit, les entreprises n’éprouvent pour l’instant aucune difficulté à ajuster les prix des produits vendus aux coûts qu’elles supportent. La valse des étiquettes n’est pas un problème pour l’entreprise, car c’est elle qui dicte le tempo.

Comment lui en vouloir ? L’entreprise entend à longueur de journée que nous vivons un déséquilibre offre – demande sans précédent motivant un renchérissement des prix de tous les biens, que la démondialisation et la transition énergétique ne font qu’exacerber cette tendance haussière des prix pour une durée indéterminée. Puisque les prix doivent monter, quoi de plus naturel que de les monter ? Il ne faut pas voir le mal partout, mais il ne faut surtout pas être naïf en la matière. On peut très bien imaginer que nous vivons un 4e acte de l’inflation galopante : celui d’une inflation opportuniste de la part des entreprises. On dira alors que l’inflation fait le larron.

Et cette très bonne tenue des marges serait donc une des explications à la très bonne tenue des marchés d’actions depuis le début de l’année. On rappellera qu’en 2022, c’est aussi la très bonne tenue des marges qui avait permis aux marchés d’actions de limiter la casse, face à l’impact défavorable de la hausse des taux d’intérêt sur la valorisation des prix des actifs (le PER). Pour le reste de l’année 2023, les taux d’intérêt semblent déjà être à bout de souffle, comme en témoigne leur relative stabilité depuis le début de l’année. Si les taux cessaient d’être une menace pour les marchés d’actions, alors seules les marges des entreprises seraient susceptibles de peser sur le moral des investisseurs. À condition que ces marges s’érodent enfin.

Épargne–Livret A : vers un taux de 4 % ?

Épargne–Livret A : vers un taux de 4 %

Le taux de ce produit d’épargne, aujourd’hui à 3%, pourrait être à nouveau revalorisé en août prochain. On parle d’un taux de 4 %. Notons que sur un an l’inflation est proche de 6 %

Bruno Le Maire n’exclut pas un nouveau relèvement de taux du Livret A, actuellement à 3%. C’est, en effet, ce qu’a expliqué le ministre de l’Économie, ce mercredi, au micro de France Info.
Depuis le 1er février, le taux du Livret A a été porté à 3%, un niveau sans précédent en France depuis 2009, contre 2% auparavant. Le Livret d’épargne populaire (LEP), réservé aux ménages les plus modestes, est, lui, passé de 4,6 à 6,1%. Un choix qui avait bien été suggéré par le gouverneur de la Banque de France. Cette proposition était néanmoins en légère baisse par rapport à ce qui était attendu. La BPCE avait, en effet, estimé, sur la base des chiffres de décembre, que le taux du Livret A pourrait être porté à 3,3 %. En effet, sans arrondi, la formule de calcul aurait fait ressortir le taux à ce seuil.

De son côté, François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France, a rappelé qu’il ferait sa proposition « en juillet », selon la situation « à ce moment-là ». « Toute spéculation sur une future décision de la Banque de France est prématurée et infondée aujourd’hui », a-t-il réagi. D’autant que compte tenu de l’inflation actuelle, à l’été prochain, le taux pourrait passer à 4%, voire 4,3%, selon Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne.

Pour le Livret A, la collecte a réalisé un bond de 28% sur un an. Au total, sur le trimestre, la collecte cumulée des deux livrets a dépassé les 25 milliards d’euros, dont près de 20 milliards sur le seul Livret A. Un record « sans précédent », selon le Cercle de l’Épargne. Les encours s’élèvent, eux, à 535 milliards d’euros sur les deux livrets.

(Avec AFP)

Taux d’intérêt américain : nouvelle hausse décidée par la Fed

Taux d’intérêt américain : nouvelle hausse décidée par la Fed


La Banque centrale américaine (Fed) a relevé mercredi 3 mai son principal taux directeur pour la dixième fois d’affilée depuis mars 2022, d’un quart de point de pourcentage. La Fed s’est également décidée à juguler l’inflation malgré des signes d’essoufflement de l’économie et en dépit de la récente crise bancaire. Le principal taux directeur de la Fed se situe désormais dans une fourchette de 5,00 à 5,25%, au plus haut depuis 2006, une décision prise à l’unanimité, a annoncé l’institution dans un communiqué publié à l’issue de la réunion de son comité de politique monétaire (FOMC).

Le président de la Fed, Jerome Powell, a indiqué lors d’une conférence de presse qu’«aucune décision sur une pause» dans la hausse des taux «n’a été prise aujourd’hui». Il a toutefois souligné que la Fed n’indique plus dans son communiqué qu’elle anticipe des hausses supplémentaires. «On a ôté cette partie. C’est un changement significatif», a précisé Jerome Powell. Le président de la Fed a également exclu un abaissement cette année des taux d’intérêt malgré la possibilité d’une «légère» récession car l’inflation «ne va pas baisser rapidement». De son côté la banque centrale européenne devrait bientôt suivre cette hausse de taux d’intérêt

Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Internet: 30 gros influenceurs épinglés pour fraude commerciale et fiscale

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction.

Sur France Info, Bruno Le Maire a dévoilé mercredi matin les résultats de la dernière campagne de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) à leur encontre.

Sur les 50 influenceurs contrôlés au cours du premier trimestre 2023, 30 étaient en situation d’infraction, passible de poursuite pour pratiques commerciales trompeuses. Le signe pour Bruno Le Maire d’un besoin urgent de régulation du secteur. Et ce pour empêcher qu’il ne devienne un «Far West» numérique. Le ministre de l’Économie compte même placarder publiquement les noms des influenceurs fautifs.

À la demande de Bercy, la DGCCRF a musclé les contrôles depuis décembre 2022, au point d’en avoir réalisé autant en un trimestre que pendant toute l’année dernière. Dans les 30 influenceurs en état d’infractions, «aucun n’était transparent quant au caractère commercial de sa démarche et l’identité de la personne pour le compte de laquelle il agissait», précise l’autorité de contrôle des fraudes dans un communiqué. En découlera le «prononcé de 18 injonctions de cesser des pratiques illicites, et à 16 procès-verbaux pénaux». Et le communiqué confirme que «Bruno Le Maire et la DGCCRF rendront publiques les mesures prises à l’encontre de certains influenceurs dans une optique de sensibilisation aux enjeux de loyauté».

Le 9 mai, une proposition de loi visant à lutter contre les arnaques et les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux sera votée au Sénat, après avoir été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale. Ce texte devrait donner «un cadre clair et plus sécurisant pour le consommateur», renforcer les pouvoirs de la DGCCRF pour faire cesser plus rapidement les comportements illicites, et réaffirmer «les obligations des plateformes numériques [...] concernant la lutte contre les contenus illicites et la modération des comptes d’influenceurs».

Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Malheureusement l’Afrique cultive toujours de cette maladies généralisée de la corruption entretenue par nombre de dirigeants politiques. Le dernier exemple est celui du Zimbabwe ou la famille de l’ancien dictateur héritière de son père possède des actifs de l(ordre millions de dollars alors que le pays est dans une pauvreté lamentable. Pour l’ensemble de l’Afrique, on considère en général que les dirigeants et anciens dirigeants africains possèdent une richesse égale au moins à la moitié de la totalité de la dette du continent.

Le divorce engagé par la fille de l’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, mort en 2019, a levé le voile sur l’extrême richesse amassée par la famille de l’ancien dirigeant, des documents judiciaires répertoriant des biens d’une valeur de près de 80 millions de dollars. Bona Mugabe, 33 ans, a engagé une procédure de divorce d’avec Simbarashe Mutsahuni Chikore, un ancien pilote de ligne, après neuf ans de mariage.

La diversité et la valeur des actifs répertoriés dans le cadre de sa requête risquent de susciter la colère de nombreux Zimbabwéens, au moment où le pays lutte contre la pauvreté, des coupures d’électricité récurrentes et une sévère inflation. Parmi les actifs, figurent 21 fermes et plus de 25 propriétés dans les quartiers chics de la capitale Harare, dont l’une évaluée à 40 millions de dollars, et un hôtel particulier à Dubaï.

Simbarashe Mutsahuni Chikore recense aussi de nombreuses voitures, dont une Rolls Royce d’une valeur de 800.000 dollars et trois Range Rovers. Bona Mugabe détient en outre «une somme substantielle d’argent liquide en devises étrangères, dont le montant exact devrait être divulgué au tribunal», et a retiré «des espèces d’une somme de 760.000 dollars dans un sac» de la résidence du couple, selon les documents.

Robert Mugabe, qui a dirigé le pays de son indépendance de l’empire britannique en 1980 jusqu’en 2017, chassé par un coup d’État, est mort à Singapour en 2019 à l’âge de 95 ans.

Quelques autres exemples de la richesse de dirigeants africains. Notons que le salaire moyen est d’environ 150 $ mensuels en Afrique avec beaucoup de dispersion autour de cette moyenne.

Le Top des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

1. Paul Biya (620 976 $)

Paul Biya (620 976 dollars par an)
Dans son dernier classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021, Business Insider Africa a révélé que le Président camerounais était en tête avec 620 976 dollars de salaire annuel. Paul Biya gagne donc un salaire mensuel d’environ 29.000.000 francs CFA, selon le site Business Insider Africa. Un salaire qui lui permet de se hisser à la tête du classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

Paul Biya est le deuxième Chef de l’État du Cameroun. Il a accédé au pouvoir le 06 novembre 1982, après la démission du Président Ahmadou AHIDJO, intervenue le 04 novembre. Le roi Mohammed 488 604 $

2. Le roi Mohamed IV (488 604 $)

Le roi Mohamed IV (488 604 dollars par an)
Le roi du Maroc vient en deuxième position de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Il est payé à plus de 400 000 dollars par an. Mohamed IV est le vingt-troisième monarque de la dynastie alaouite et le troisième à porter le titre de roi du Maroc, depuis le 23 juillet 1999.

3. Cyril Ramaphosa (223 500 $)

Cyril Ramaphosa (223 500 dollars par an)
Matamela Cyril Ramaphosa est un homme d’État sud-africain, président de la république d’Afrique du Sud depuis le 14 février 2018. Syndicaliste et homme d’affaires, il est classé troisième dans ce Top 10 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 avec un salaire de plus de 223 500 dollars par an.

4. Uhuru Kenyatta (223 500 $)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Quatrième de ce classement avec 192 200 dollars par an, Uhuru Kenyatta, né le 26 octobre 1961 à Nairobi, est un homme d’État kényan, président de la République depuis le 9 avril 2013.

5. Yoweri Museveni (183 216 $)

Yoweri Museveni (183 216 dollars par an)
Yoweri Museveni est un homme d’État ougandais, président de la République depuis 1986. Il est actuellement l’un des plus anciens dirigeants au pouvoir en Afrique et dans le monde. Yoweri Museveni occupe la 5e place de ce Top 15 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Son salaire s’élève à 183 216 dollars par an.

6. Abdelmadjid Tebboune (168 000 $)

Abdelmadjid Tebboune (168 000 dollars par an)
Président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune est un homme d’État algérien. Avec 168 000 dollars comme salaire par an, il est classé 6e des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

7. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 $)

Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 dollars par an)
On retrouve à la 7e place de ce classement Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Président de la République de Guinée équatoriale depuis 1979, il est actuellement le plus ancien président en exercice au monde et gagne 152 680 dollars par an.

8. Emmerson Mnangagwa (146 590 $)

Emmerson Mnangagwa (146 590 dollars par an)
Emmerson Mnangagwa est un homme d’État zimbabwéen, né le 15 septembre 1942 à Shabani. Il est le président de la République du Zimbabwe depuis le 24 novembre 2017. Emmerson Mnangagwa touche 146 590 dollars par an et est au 8e rang de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

9. Denis Sassou-Nguesso (108 400 $)

Denis Sassou-Nguesso (108 400 dollars par an)
Le N°09 de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 est Denis Sassou-Nguesso. Militaire et homme d’État, le Président de la République du Congo depuis 1997 touche 108 400 dollars par an.

Référendum- Réforme des retraites : le Conseil constitutionnel à la botte du gouvernement

Référendum- Réforme des retraites : le Conseil constitutionnel à la botte du gouvernement


Une nouvelle fois le conseil constitutionnel a cru bon de manifester son allégeance au pouvoir en refusant une demande de référendum (référendum d’initiative partagée, RIP). Une décision bien davantage politique que juridique. En effet ce conseil d’idée sage et complètement obsolète juridiquement puisque composé de neuf membres politiques et non de juristes ( trois sont désignés par le président de la république, trois sont désignés par le président du Sénat, trois sont désignés par le président de l’Assemblée nationale).

Ce refus est d’autant plus un déni de justice que de toute façon les chances d’aboutir à un vrai référendum dans le cas du RIP devant l’Assemblée nationale étaient très minimes tellement la procédure est complexe. La proposition devant en fin de procédure revenir devant l’Assemblée nationale qui indécis de principe en dernier ressort au bout d’un parcours d’un minimum de neuf mois.

C’est toujours non. Deux jours après la mobilisation du 1er Mai, placée sous le signe des retraites, le Conseil constitutionnel a rejeté ce mercredi la ­seconde demande de référendum d’initiative partagée (RIP). Ce texte visait à organiser une consultation pour maintenir l’âge de départ à la retraite à 62 ans.

Pour le conseil constitutionnel la nouvelle proposition de loi Faisant l’objet d’une demande de référendum« ne porte pas sur une réforme relative à la politique sociale de la nation, au sens de l’article 11 de la Constitution (qui définit le champ du référendum) » !

NotonsdDepuis son introduction, en 2008, aucune tentative n’est allée au bout de ce processus de referendum long et fastidieux.

Comble du ridicule Il faudra désormais attendre un peu moins d’un an, soit avril 2024, pour déposer un ­nouveau texte. En effet, pour que celle-ci soit jugée recevable, la demande « ne peut avoir pour objet l’abrogation d’une ­disposition législative promulguée depuis moins d’un an ». Reste aussi une dernière bille pour l’opposition : une proposition de loi pour abroger l’article sur le passage à 64 ans sera présentée, le 8 juin prochain, à l’Assemblée nationale lors de la niche du groupe Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires).
L
‘intersyndicale a d’ores et déjà appelé à une quatorzième journée de mobilisation, le 6 juin prochain, deux jours avant l’examen de ce même texte.

Covid France 4 mai 2023 : 8715 cas supplémentaires en 24 heures et 1 mort

Covid France 4 mai 2023 : 8715 cas supplémentaires en 24 heures et 1 mort

Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France. D’après le dernier bilan de Santé Publique France, la France fait état de +1 morts supplémentaires au total. On recense ce mercredi 3 mai 2023, 166.646 morts au total et +8.715 nouveaux cas confirmés en 24h.
En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 207.029 cas confirmés soit +8.715 depuis le dernier bilan.

On enregistre mercredi 3 mai 2023 : 8715 cas supplémentaires en 24 heures et 1 mortsSoit depuis le début de la pandémie 166.646 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.642 (+1) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.004 (0 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,83 le taux d’incidence à 57,80 et la tension hospitalière à 14,7 %.

La France compte actuellement 12.439 (+31) personnes hospitalisées et 741 (-14) malades en réanimation.


Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.709 (-3) hospitalisées, 312 (-5) en réanimation et +5 décès en 24h
Grand Est : 577 (-2) hospitalisés, 43 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 999 (0) hospitalisés, 54 (+2) en réanimation et +7 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 921 (-14) hospitalisés, 42 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 830 (+38) hospitalisé, 54 (+3) en réanimation et +12 décès en 24h
Bretagne: 406 (+1) hospitalisés, 13 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 550 (+10) hospitalisés, 26 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.233 (-5) hospitalisés, 79 (-5) en réanimation et +10 décès en 24h
Pays de la Loire : 221 (+8) hospitalisés, 8 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Occitanie: 756 (-22) hospitalisés, , 45 (-7) en réanimation et +5 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 622 (-2) hospitalisés, 30 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 410 (+3) hospitalisés, 22 (0) en réanimation et +7 décès en 24h

Crise de l’eau- La situation hydrogéologique de la France ( BRGM)

Crise de l’eau- La situation hydrogéologique de la France ( BRGM)

Après plusieurs semaines sans pluie efficace, les précipitations de mars ont engendré des épisodes de recharge sur les secteurs les plus arrosés, notamment à l’ouest du territoire. Cependant ces pluies ont eu peu d’impact sur l’état des nappes. La situation demeure peu satisfaisante sur une grande partie du pays : 75% des niveaux des nappes restent sous les normales mensuelles (58% en mars 2022) avec de nombreux secteurs affichant des niveaux bas à très bas.

A partir d’avril, les épisodes de recharge devraient rester ponctuels et peu intenses, sauf événements pluviométriques exceptionnels. Pour les prochains mois, la recharge 2022-2023 déficitaire risque d’impacter l’ensemble des nappes. De nombreux secteurs présentent un risque avéré de sécheresse durant la période estivale. L’incertitude demeure cependant élevée sur certaines nappes, des pluies abondantes durant le printemps pourraient permettre de soutenir les niveaux voire de retrouver des niveaux satisfaisants.

La période de recharge 2022-2023 a été marquée par une succession d’épisodes de recharge et de périodes sèches. Les tendances se sont lentement inversées au cours de l’automne 2022. Ce constat s’explique par une faible infiltration des pluies en profondeur, du fait de sols très secs et d’une végétation active tardivement. En décembre 2022 et janvier 2023, la recharge était active avec des niveaux globalement en hausse. La fin de l’hiver 2022-2023 a été marqué par un fort déficit de pluies efficaces et février 2023 a été caractérisé par des niveaux en baisse.

En mars, le cumul de précipitations a été excédentaire sur une grande partie du territoire. Cependant l’impact sur les nappes est hétérogène : 41% des points d’observation sont en hausse, 32% sont stables mais 27% restent en baisse. Les pluies ont d’abord permis d’humidifier les sols secs puis ont permis à la végétation de sortir de sa dormance avant de réussir à s’infiltrer en profondeur.

Sur les nappes réactives, les précipitations ont eu un impact sur les secteurs les plus arrosés. Les niveaux sont ainsi en hausse sur les nappes du socle du sud du Massif armoricain et du nord et de l’ouest du Massif central, sur les nappes des calcaires jurassiques et crétacés du Berry, de Vendée, du Périgord et des Causses du Quercy, sur la nappe du Plio-Quaternaire aquitain et sur les nappes alluviales de la Garonne, de la Dordogne et de leurs principaux affluents. Ailleurs, les pluies infiltrées en profondeur ont été insuffisantes pour compenser la vidange vers les exutoires naturels et les niveaux sont stables ou restent en baisse.

Concernant, pour les nappes inertielles du Bassin parisien et de l’Artois, la période de recharge a débuté en décembre-janvier et semblait se terminer courant février. Les pluies de mars ont permis à la recharge de se poursuivre sur la nappe de la craie du bassin Artois-Picardie, de la Champagne et de Touraine. Les niveaux se sont également stabilisés sur les nappes inertielles du centre du Bassin parisien. Cependant, la recharge enregistrée depuis l’automne 2022 reste très faible voire même inexistante sur certains piézomètres du centre et du sud du Bassin parisien.

Concernant les nappes inertielles du couloir Rhône-Saône, la recharge s’est mise en place en novembre 2022. Elle a été très peu intense et semblerait s’être arrêtée précocement, entre février et mars. Ainsi, les niveaux de mars sont stables ou en baisse.

Les déficits pluviométriques enregistrés sur l’année hydrologique 2021-2022 et la forte sollicitation des eaux souterraines durant le printemps et l’été 2022 ont engendré un étiage sévère sur une majorité des nappes. La situation durant l’automne et l’hiver 2022-2023 n’a que peu évolué, la recharge ayant été peu active. Seul le mois de janvier a enregistré une nette amélioration de l’état des nappes, avant une forte dégradation courant février. Les pluies infiltrées en profondeur durant le mois de mars n’ont pas été suffisantes pour engendrer une amélioration franche.

Les épisodes de recharge de l’automne et de l’hiver 2022-2023 restent très insuffisants pour compenser les déficits accumulés cette dernière année hydrologique. En conséquence, l’ensemble des nappes affichent des niveaux sous les normales et 75% des points d’observation sont modérément bas à très bas. La situation en fin d’hiver est plus déficitaire que l’année dernière (58% des niveaux sous les normales en mars 2022).

Le risque « très fort » de sécheresse traduit une situation actuelle préoccupante, avec des niveaux modérément bas à très bas en mars, et présage d’un printemps et d’un été probablement tendus. En absence de pluies très excédentaires durant le printemps et l’été, des restrictions d’eau souterraine seront vraisemblablement prises en 2023.

Les secteurs à risque « fort » abritent des nappes dont les niveaux sont proches à sous les normales mensuelles en mars. Les niveaux de cet été dépendront essentiellement des pluies de ces prochaines semaines. Une pluviométrie abondante pourrait garantir des niveaux suffisamment hauts pour éviter des restrictions d’eau.

Le risque « faible » concerne les nappes enregistrant actuellement des niveaux relativement satisfaisants. L’incertitude sur l’absence de sécheresse reste toutefois élevée. Dans le cas d’un printemps et d’un été 2023 à l’image de 2022, avec une absence de pluies, des températures élevées et une forte demande en eau, ces nappes pourraient connaître une baisse importante de leur niveau.

Aucune nappe n’affiche des niveaux supérieurs aux normales en mars, permettant de garantir des niveaux satisfaisants jusqu’à l’automne. .

Economie- L’inflation menace la croissance française

Activité économique- L’inflation menace la croissance française


Après un dernier trimestre atone (0%), Une très petite reprise du produit intérieur brut (PIB) est repartie à la hausse à 0,2% au premier trimestre. Une reprise toutefois maintenant menacée par le tassement des investissements et la baisse de la consommation. Les ménages dont le pouvoir d’achat est amputé très nettement par la hausse des prix en particulier dans l’alimentaire ajustent leur consommation qui diminue. L’inflation a continué d’accélérer au mois d’avril laissant présager encore des difficultés du côté de la demande des Français. En zone euro, la croissance a fait quasiment du surplace au premier trimestre (0,1%) après un dernier trimestre 2022 décevant (0%).

L’INSEE vient de réviser à la baisse ses chiffres du troisième T (-0,1 point) et quatrième (-0,1 point) trimestres 2022 et légèrement à la hausse ceux du premier trimestre (+0,1 point).

Le gouvernement table toujours sur une croissance de 1% en 2023 dans son dernier programme de stabilité pour la période 2023-2027 envoyé cette semaine à Bruxelles. Mais cette prévision est deux fois supérieure aux projections du consensus des économistes (+0,5%) comme l’a souligné le Haut conseil des finances publiques dans son dernier avis rendu public cette semaine.

Dans le détail, le commerce extérieur a poussé la croissance du produit intérieur brut vers le haut entre janvier et mars. « La progression du PIB est à mettre sur le compte du commerce extérieur, qui contribue de 0.6 point à la croissance grâce à des exportations plus dynamiques que des importations (+1.1% sur le trimestre versus -0.6%) ». Comme souvent, les ventes de matériel de transport ont joué un rôle essentie et ont enregistré un bond spectaculaire de 9,5% tandis que les exportations agricoles ont plongé brutalement de 21%.

Le commerce extérieur français enregistre un déficit abyssal en 2022 à 164 milliards d’euros

L’envolée des prix continue de peser sur la consommation des ménages. Après avoir reculé de 1% au dernier trimestre 2022, la consommation des Français a patiné (0%) au premier trimestre alors que c’est un moteur traditionnel de l’économie hexagonale.

L’autre signe de difficulté chez les ménages est l’impressionnante poursuite de la baisse des investissements, principalement dans la construction et l’immobilier. Depuis le premier trimestre 2022, la formation brute de capital fixe (FBCF), c’est-à-dire l’investissement des Français, n’a enregistré aucun rebond. Le resserrement de la politique monétaire avec la forte hausse des taux d’intérêt a plombé les investissements dans le logement. La poursuite de ce durcissement dans les mois à venir pourrait mettre à mal le secteur de la construction et de l’immobilier déjà sous tensions.

L’indice des prix à la consommation est de nouveau reparti à la hausse en avril pour s’établir à 5,9% après 5,7% en mars selon une première estimation de l’Insee ce vendredi 28 avril. « Le glissement annuel des prix à la consommation en France reste pour le 11ème mois consécutif sur son plateau autour de 6% . Pour l’énergie sur un an, la baisse au mois d’avril est moins spectaculaire que celle du mois de mars 2023 sur les prix de l’énergie.

Quant à l’alimentaire, les prix continuent de s’envoler à 14,9%. La plupart des experts et de gouvernement avaient prévu un ralentissement de l’inflation à partir de l’été ce qui n’est plus du tout certain dans la mesure où il se révèle qu’une partie de cette inflation est largement structurelle. Elle pourrait progresser mais les prix continueraient d’augmenter.

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Politique- Pétition pour la destitution de Macron

Une pétition pour la destitution de Macron a été déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale. Juridiquement, elle a assez peu de chances d’aboutir mais elle témoigne du processus engagé pour progressivement discréditer complètement le président de la république et l’acculer à la paralysie politique. Jusqu’au jour où le discrédit sera tel que Macron sera de fait politiquement sans aucun pouvoir .

« En application de l’article 68 de la Constitution », les signataires « demandent que l’Assemblée nationale s’érige en haute cour de justice afin de pouvoir juger de la destitution de l’occupant de l’Élysée », peut-on lire sur le site du Palais-Bourbon.

Si le texte pour destituer Emmanuel Macron dépassait les 100.000 signataires, on imaginer sans peine que la commission des lois, dirigée par Sacha Houlié (Renaissance), ne la classe à nouveau sans suite.

« On l’étudiera en septembre prochain puisque nous nous penchons sur l’étude des pétitions tous les 6 mois », fait savoir l’entourage du président de la commission auprès de BFMTV.com.

« Tous les députés de la commission des lois ont été consultés sur la pétition de la Brav-M et ce sera à nouveau le cas si on étudie la pétition pour la destitution d’Emmanuel Macron ».
Une procédure de destitution déjà engagée sous François Hollande

Si la pétition dépasse les 500.000 signatures, issues d’au moins 30 départements, la conférence des présidents peut également décider d’organiser un débat, sans vote, sans passer par la case commission des lois. Autant dire que la destitution du président semble improbable. Mais sur le papier, elle n’a cependant rien d’impossible.

Selon l’article 68 de la Constitution, cité par la pétition en ligne pour destituer Emmanuel Macron, le chef de l’État peut être destitué en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

Cette procédure impliquerait l’adoption par les deux assemblées d’une proposition de destitution. Elle serait ensuite prononcée par le Parlement réuni en Haute Cour.

Mais si la commission des lois la validait, l’Assemblée doit voter pour permettre à la Haute cour de se rassembler. Dans ce cas de figure, la proposition de loi doit être transmise au Sénat dans les 15 jours. En cas de validation par les 2 chambres, la Haute cour se réunirait dans les 4 semaines pour voter à bulletin secret sur la destitution d’Emmanuel Macron. Une telle décision, hautement improbable à ce jour, serait à effet immédiat.

L’importance de l’activité physique sur les facultés cognitives

L’importance de l’activité physique sur les facultés cognitives

auteurs
par Matthieu P. Boisgontier
Associate Professor, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa

Boris Cheval
PhD. Neuropsychologie de l’activité physique, Université de Genève

Les effets positifs de l’activité physique sur la santé sont indéniables. Cependant, une étude récente remet en cause le célèbre adage Mens sana in corpore sano, ou « un esprit sain dans un corps sain ». Les auteurs y contestent l’importance de l’exercice physique pour la santé de notre cerveau et de notre cognition. Chercheurs en santé, neurosciences et psychologie, nous avons publié, quelques jours plus tard, une étude qui vient alimenter ce débat scientifique. Qui a tort, qui a raison ? La réponse n’est pas si simple. Voici ce qu’il en est dans the Conversation .

L’exercice physique serait-il inutile au fonctionnement cognitif ?

La première étude a été publiée le 27 mars 2023. Il s’agit d’une revue de 24 méta-analyses qui réexamine les données de 11 266 personnes en bonne santé, en utilisant une approche plus rigoureuse que les analyses antérieures.

Bien que la quasi-totalité des 24 méta-analyses incluses dans cette étude ait démontré un effet positif de l’exercice physique régulier sur les fonctions cognitives, les auteurs soutiennent que ces analyses manquaient d’ajustements. Ils soulignent par exemple que le niveau d’activité physique en début d’intervention ainsi que la tendance de la communauté scientifique à ne publier que les résultats significatifs étaient rarement pris en compte. Une fois ces ajustements effectués, les auteurs aboutissent à des résultats suggérant que les bénéfices de l’exercice physique sont en réalité plus faibles que ceux estimés dans les précédentes méta-analyses, voire négligeables.

Sur la base de ces résultats, les auteurs se disent convaincus que les organismes de santé publique tels que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) devraient retirer l’amélioration de la santé cognitive et de la réussite scolaire de la liste des bienfaits de l’activité physique.

Dans la dernière phrase du résumé de l’article, les auteurs mettent notamment le lecteur en garde contre les affirmations et les recommandations liant l’exercice physique régulier aux bénéfices cognitifs chez les personnes en bonne santé, tout du moins, jusqu’à ce que des preuves scientifiques plus fiables s’accumulent.

Il n’a pas fallu attendre longtemps.

La seconde étude, la nôtre, est une étude génétique incluant près de 350 000 personnes, publiée 4 jours plus tard, soit le 31 mars. Nous y apportons des preuves scientifiques à l’appui des bénéfices cognitifs de l’activité physique d’intensité modérée et élevée.

Ces preuves sont basées sur la méthode de randomisation mendélienne à deux échantillons, qui exploite les variations aléatoires de notre ADN survenant lors de la conception, donc avant la naissance.

Lorsqu’on compare deux humains, 99,9 % de leur matériel génétique est identique. On peut considérer l’ADN comme une longue chaîne de briques, appelées nucléotides. Il y a quatre types de briques, agencées de manière aléatoire : la thymine, l’adénine, la guanine et la cytosine. Ainsi, une fois sur 1 000, la brique d’ADN varie entre ces deux humains. Ces variations génétiques, appelées « snips », peuvent par exemple donner une brique de cytosine à un certain endroit de l’ADN d’une personne et une brique de thymine au même endroit chez une autre personne.

Le premier échantillon de notre étude, comptant 91 084 personnes, a été utilisé pour identifier les variations génétiques qui aboutissaient à des différences d’activité physique, mesurée à l’aide de capteurs de mouvement portés au poignet.

Le second échantillon de notre étude, qui comptait 257 854 personnes, a été utilisé pour tester si ces variations génétiques associées au niveau d’activité physique influençaient le fonctionnement cognitif de manière proportionnelle. Si c’était le cas, nous pouvions conclure à un effet causal de l’activité physique sur la fonction cognitive.

Preuves génétiques des bienfaits cognitifs de l’activité physique

Dans notre étude utilisant une nouvelle méthode de randomisation mendélienne, plus précise et plus robuste que les versions précédentes, les résultats montrent que des niveaux d’activité physique modérés et élevés conduisent à une amélioration du fonctionnement cognitif.

Il est d’ailleurs intéressant de noter que l’effet de l’activité physique modérée (marche rapide, vélo) était 1,5 fois plus important que celui de l’activité physique d’intensité élevée (course à pied, basketball, ski de fond). L’intensité de l’activité physique que nous pratiquons est donc importante. Et, surtout, nos résultats soulignent qu’il n’est pas nécessaire de se pousser jusqu’à l’épuisement pour obtenir les bénéfices cognitifs d’une activité physique régulière.

femme sur un vélo
Les bénéfices cognitifs de l’activité physique modérée sont 1,5 fois supérieurs à ceux de l’activité physique soutenue. (Shutterstock)
L’importance de la durée et de l’intensité de l’exercice
Quand l’ensemble de l’activité physique des participants était considéré (incluant les activités sédentaires et les activités physiques d’intensité légère), nos résultats ne montraient plus d’effet sur le fonctionnement cognitif. Ce résultat confirme l’importance d’atteindre des intensités suffisantes pour profiter des bénéfices cognitifs de l’exercice physique.

Ces résultats concordent avec ceux d’une étude récente qui souligne l’importance de la durée et de l’intensité de l’exercice pour la libération d’une protéine appelée BDNF dans le cerveau. Cette protéine est impliquée dans la création de nouveaux neurones, de nouvelles connexions entre ces neurones et de nouveaux vaisseaux sanguins permettant de nourrir ces neurones.

Cette protéine, dont la production augmente au cours de l’exercice, est donc un des mécanismes physiologiques permettant d’expliquer les effets bénéfiques de l’activité physique sur le fonctionnement cognitif. L’existence même de ce mécanisme explicatif renforce les résultats soutenant ces effets bénéfiques.

Plusieurs différences peuvent expliquer la divergence de résultats entre la méta-analyse basée sur des essais contrôlés randomisés et notre étude basée sur la génétique.

Tout d’abord, la méta-analyse s’intéresse uniquement aux personnes en bonne santé, ce qui n’est pas le cas de notre étude. Ensuite, notre étude différencie les activités physiques d’intensité modérée et élevée alors que la méta-analyse ne fait pas cette distinction. Enfin, la randomisation mendélienne évalue des effets à long terme, tout au long de la vie, alors que la méta-analyse se base sur des interventions durant entre 1 mois et 2 ans.

Puisque nous abordons ici les aspects temporels de l’activité physique, il nous parait important de rappeler qu’il n’est jamais trop tard pour s’y mettre. En effet, une étude de 2019 avait montré que commencer à être actif tard dans la vie procurait les mêmes effets positifs sur la santé qu’avoir été actif toute sa vie.

Sur la base de nos résultats, il semble que l’amélioration du fonctionnement cognitif ait encore sa place sur la liste des bienfaits de l’activité physique. Comme c’est souvent le cas en sciences, il est plus raisonnable de ne pas prendre de décision hâtive et d’attendre les résultats des études scientifiques à venir avant de modifier les lignes directrices de promotion de l’activité physique.

Dans le climat sociopolitique actuel de méfiance envers la science, il est important de ne pas se précipiter sur la base d’une seule étude analysant différemment des données déjà existantes, et aboutissant à des conclusions contredisant des années de recherche basées sur ces mêmes données.

L’accumulation de preuves convergentes provenant de différentes équipes de recherche doit être un prérequis incontournable avant toute modification du message de santé publique. Comme le montre cet article, nous n’en sommes pas du tout là, et les effets de l’activité physique sur de très nombreux versants de la santé physique et mentale restent indéniables.

le numérique modifie la lecture

Le numérique modifie la lecture


Les évolutions rapides de ces outils numériques invitent à s’interroger sur la manière dont on apprend à lire aujourd’hui et à se demander si l’utilisation de nouveaux supports modifie notre capacité de compréhension, qui peut se définir comme l’activité par laquelle les individus vont acquérir et utiliser des connaissances. Complexe et dynamique, elle fait intervenir différentes sources d’informations.

Par Xavier Aparicio, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) et Ugo Ballenghein, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) dans the Conversation

Comprendre suppose d’élaborer une représentation basée sur une interprétation des informations textuelles mise en relation avec nos connaissances antérieures. Le modèle de compréhension de texte de Kintsch & van Dijk formalise trois niveaux de représentation :

le premier, niveau de surface, correspond à notre capacité à nous rappeler d’un mot lu dans le texte, sans que le sens ne soit pris en compte ;

le deuxième niveau correspond à l’intégration du sens des phrases de façon indépendante ;

enfin, le troisième niveau, appelé le modèle de situation, rend compte de la capacité du lecteur à élaborer une représentation qui est le produit de l’interaction entre ce qu’il lit et ses connaissances antérieures. C’est la capacité à produire des inférences.

Prenons un exemple pour comprendre ce que sont ces inférences. Imaginez que vous deviez répondre à la question « Où Anaïs et Julien se trouvent-ils ? » dans le texte qui suit : « Samedi, Anaïs et Julien ont vu des lions et des tigres ». La première inférence qui émerge à la lecture de cette phrase grâce à nos connaissances est très probablement le zoo. Ajoutons maintenant la phrase « Puis le clown les a beaucoup fait rire ». L’inférence produite suite à la lecture de la phrase initiale doit être inhibée, au profit d’une nouvelle inférence situant nos deux protagonistes probablement au cirque. Concluons à présent le texte avec la phrase « Maman leur a alors demandé d’éteindre la télévision pour aller se coucher ». Là encore, une nouvelle inférence est mise en place : ils étaient chez eux depuis le début.

Comprendre suppose donc la mise en place de différents traitements cognitifs en parallèle : mémoire, flexibilité mentale, mise à jour des informations, inhibition.

D’une manière générale, nous pouvons intuitivement considérer que lire sur écran ou sur papier ne modifie pas notre capacité à comprendre un texte : indépendamment du support, il s’agit toujours de décoder des signes graphiques pour leur attribuer une signification. Toutefois, la lecture sur écran suppose de prendre en considération les caractéristiques ergonomiques des supports de lecture (taille, luminosité, contraste, etc.) et les caractéristiques du lecteur.

Une récente méta-analyse qui propose la compilation des résultats de 44 études menées auprès de plus de 170 000 participants portant sur les effets du numérique sur la lecture nous indique que, globalement, la compréhension est négativement impactée par la lecture sur support numérique comparé à la lecture sur papier. Les études ne permettent pas d’identifier de différence entre les deux supports en termes de compréhension dans le cas où on consulte des textes en pleine page (sans faire défiler le texte).

En effet, lorsque nous lisons sur écran, nous utilisons un procédé de « scrolling » qui consiste à faire défiler verticalement le texte, ce qui n’est pas sans conséquence sur notre capacité à comprendre les informations lues. Il est très difficile de retrouver une information, un mot ou une phrase, après avoir fait défiler le texte : les mots n’apparaissent plus à la même place alors que, sur papier, leur position spatiale ne change pas. Le « scrolling » perturbe le fonctionnement de notre mémoire spatiale. Le repérage de la position des mots dans le texte (codage spatial des mots) est notamment utile pour revenir rapidement sur les mots du texte, processus indispensable pour la compréhension.

D’autre part, le rétroéclairage des écrans sur lesquels nous lisons, qui implique la projection d’une source lumineuse vers l’utilisateur, n’est pas sans conséquence sur notre capacité à lire les informations. Plusieurs études ont mis en évidence son effet néfaste sur la lecture.

La capacité de prise d’information visuelle est réduite sur écran et nécessite davantage de fixations oculaires lors de lecture des textes. Il en résulte une fatigue visuelle accrue, associée à différents symptômes (maux de tête, migraines chroniques, etc.), notamment lorsque l’activité de lecture est prolongée ou effectuée sur des interfaces de mauvaise qualité (avec un mauvais contraste entre fond et couleur, des interlignes réduits renforçant l’encombrement visuel). Ces effets délétères ne sont pas répertoriés sur les liseuses, qui ne sont pas rétroéclairées mais disposent d’une encre électronique.

Pour le lecteur adulte, la lecture est une activité automatique et rapide car l’apprentissage systématique de la correspondance entre les graphèmes (lettres, groupes de lettres) et les phonèmes (sons) et le développement du lexique mental permettent notamment de libérer des ressources cognitives nécessaires à la mise en place du processus de compréhension. Notre vitesse de lecture varie en fonction de l’objectif de lecture que nous nous sommes fixé.

Lorsque l’on navigue sur des pages web, notre lisons des pages riches en informations, véhiculant des messages parfois très courts et dynamiques destinés à être plus accessibles en termes de quantité de contenu et donc de rapidité de lecture. Cela donne un côté superficiel à la lecture, qui devient un écrémage.

Cette lecture superficielle correspond davantage à une recherche d’information qu’à une lecture approfondie visant à comprendre un concept par exemple. L’attention est notamment perturbée par la présence de fenêtres multiples, l’apparition de notifications, la présence de liens hypertextes qui vont nous permettre de naviguer mais vont aussi contribuer à nous désorienter face au flux conséquent d’informations présentes.

Une grande quantité d’informations accessibles ne facilite pas l’extraction des informations nécessaires à la prise de décision, et peut même conduire à une surcharge cognitive conduisant le lecteur à ne plus être capable de traiter efficacement les informations. C’est le principe de la loi de Hick : le temps qu’il faut à un utilisateur pour prendre une décision augmente en fonction du nombre de choix à sa disposition.

Une étude réalisée par Gary W.Small et ses co-auteurs s’est intéressée aux modifications cérébrales associées à l’usage d’internet. L’objectif était de comparer les zones cérébrales activées chez des utilisateurs experts et novices d’internet, en leur demandant d’effectuer des activités de lecture ou de recherche d’information.

Les données issues de l’imagerie cérébrale montrent que lors de la lecture de texte, les zones cérébrales activées (contrôlant le langage, la mémoire et la vision) sont similaires quel que soit le niveau d’expertise Internet. Par contre, lors de la recherche d’information, des zones supplémentaires sont activées chez les experts : celles des régions contrôlant la prise de décision et le raisonnement complexe.

En conclusion, si l’utilisation des outils numériques présente des avantages indéniables, des améliorations ergonomiques semblent nécessaires pour optimiser les supports de lecture et les rendre plus compatibles avec les aptitudes cognitives des lecteurs. À titre d’exemple, les filtres anti-lumière bleue, supposés diminuer les effets de fatigue associés à l’utilisation des écrans, ont une efficacité contrastée. Nul doute que les recherches, nombreuses, sur une technologie en évolution rapide, nous apporteront ces prochaines années de nouvelles données sur l’influence des écrans sur notre capacité de lecture.

Pourquoi l’échec du retrait de la réforme des retraites ? 

Pourquoi l’échec du retrait de la réforme des retraites ? 

Partant de l’échec du mouvement contre la réforme, le politiste Dominique Andolfatto s’interroge, dans une tribune au « Monde », sur la pertinence de la stratégie conduite par les syndicats, qui a conduit à privilégier les défilés à la grève.

Un papier intéressant mais qui sous-estime plusieurs facteurs. Le premier sans doute est la dégradation significative du pouvoir d’achat qui décourage la coûteuse grève. Le second qu’il faut prendre en compte est celui que la grève bouton n’existe pas. La quasi-totalité des grands mouvements de grève ayant été décidés de manière assez spontanée. Et la troisième raison est liée à l’affaiblissement de l’intermédiation syndicale qui pèse de moins en moins en particulier du fait de Macron qui lui substitue des « conseils machins bidons ». Enfin l’action contre la réforme des retraites est encore loin d’être terminée non seulement sur le plan social mais aussi sur le plan politique. NDLR

Pourquoi les syndicats n’ont-ils pas obtenu gain de cause lors de la réforme des retraites ? Est-ce un échec ? L’autocensure, qui prévaut aujourd’hui dans bien des secteurs, semble interdire une telle question. D’autant plus que l’exécutif a remporté une victoire à la Pyrrhus puisque, pour imposer son projet, il a dû recourir à tout l’arsenal du parlementarisme dit rationalisé que lui offre la Constitution. Mais qu’est-ce qui a fait défaut aux syndicats pour obtenir le retrait de la réforme ?

La stratégie de la rue, apparue comme une évidence, mérite d’être interrogée. Celle-ci n’a-t-elle pas conduit à penser que le recours à la grève pour des raisons sans doute plus culturelles qu’économiques est devenu aujourd’hui quasi impossible. Pourtant, c’est bien sur la grève que les mouvements du passé ont pris appui tandis que la stratégie de la rue a déjà été tenue en échec contre la précédente réforme des retraites, sous Sarkozy, en 2010, contre la loi El Khomri en 2016, contre les ordonnances Macron en 2017, contre la retraite à points en 2019-2020.

La stratégie de la rue, malgré des cortèges nombreux, sa récurrence, son caractère pacifique, n’a pas produit les effets escomptés. Avait-elle les défauts de ses qualités ? De fait, les « gilets jaunes », pourtant moins nombreux, mais plus inattendus, plus innovants dans leurs formes de protestation, plus visibles, plus réguliers et déterminés, ont obtenu des résultats. Si eux n’avaient pas promis de mettre la France à l’arrêt – et n’étaient pas obligés, dès lors, de tenir un tel engagement –, ils n’en étaient pas moins devenus obsédants pour le pouvoir.

Le privé largement absent
Le contexte peut expliquer aussi l’échec. Les syndicats ont surtout mobilisé leurs publics habituels : les fonctionnaires, les salariés d’entreprises mixtes, des retraités… Le secteur privé est resté très largement absent, même si les enquêtes d’opinion ont montré l’impopularité de la réforme. Autrement dit, par fatalisme, indifférence, compréhension voire consentement à la réforme, par éloignement volontaire ou pas de l’action collective, des pans entiers du salariat, des actifs, de la société sont restés spectateurs du mouvement.

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Partenaires sociaux : « Le syndicalisme doit se renouveler profondément pour sortir de la spirale du déclin »

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La réussite ou l’échec d’un mouvement social doit aussi beaucoup à l’attitude de l’adversaire, ici le gouvernement. Fort des leçons passées, celui-ci s’est armé de patience. Il a regardé passer les contestataires comme un monôme qui défile. Il a laissé faire des excès de la police, escomptant qu’un maintien de l’ordre à l’inverse

Social : Face à l’étatisation, le réveil du Medef

Social : Face à l’étatisation, le réveil du Medef


Il semblerait qu’enfin les syndicats patronaux se réveillent et prennent conscience qu’ils ont peut-être un rôle à jouer vis-à-vis de cette colère sociale qui affecte le pays au moins depuis le début de l’année en particulier concernant les retraites mais pas seulement. Jusque-là en effet , les patrons se seront montrés d’une discrétion coupable laissant ainsi Macron et son gouvernement minoritaire déciderde l’agenda social y compris dans des domaines qui concernent en priorité les entreprises et les partenaires sociaux.

Si les patrons avaient su assumer leurs responsabilités y comprise en matière de retraite, on aurait peut-être pu éviter une crise sociale qui en fait est une crise entre la technocratie gouvernementale et le corps social. La question globale du travail mérite en effet être traitée d’abord par les partenaires sociaux et le cas échéant ensuite par la sphère politique si l’intérêt général est en jeu.

Or pour des raisons essentiellement politiciennes, le pouvoir politique s’est emparé d’un peu près tous les enjeux sociaux pour montrer un dynamisme progressiste plus que douteux et surtout peu efficace. Témoin d’ailleurs cette condamnation par l’agence de notation Fitch qui note la compétence du gouvernement à gérer les conflits sociaux. Les trois leaders du Medef, de la CPME et de l’U2P ont proposé à leurs homologues syndicaux une rencontre au plus vite. Le but ? Décider ensemble des futures négociations post-retraites « sans rien nous laisser imposer par le gouvernement ».

En appelant ce mardi à une nouvelle journée d’action le 6 juin prochain , l’intersyndicale retraites a envoyé un signal clair : tous ceux qui espéraient la voir tourner la page de la contestation en sont pour leurs frais. L’opposition aux 64 ans est là pour durer, écrivent ses membres dans le communiqué publié ce mardi à l’issue d’une rencontre en visioconférence entre leurs numéros un.

Emploi des seniors, salaires, usure professionnelle, reconversions… Une nouvelle séquence s’ouvre désormais pour bâtir l’agenda social des mois à venir, Elisabeth Borne l’ayant inscrit en haut de sa feuille de route . Avec, en toile de fond, un nouveau rapport de force qui se dessine entre les trois acteurs de la pièce – exécutif, syndicats et patronat – ce dernier ayant peur d’en faire les frais, comme le montre un courrier auquel « Les Echos » a eu accès.

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Macron à la télé : 80 % des Français ont désapprouvé l’intervention
Finances-réduction déficits et dettes : du pipeau !
Social-Enseignants : des salaires de misère
Une augmentation de 10% des salaires nécessaires pour compenser l’inflation
Politique: Le départ de Macron se pose

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Macron dit Jean Edouard 1er

Macron dit Jean Edouard 1er | TAM

Croissance: l’activité en hausse dans les services
Epargne: Signes d’inquiétude avec le record du livret A
Climat–Record de température pour les océans
Intervention Macron à la télé : 80 % des Français ont désapprouvé
Réduction déficits et dettes : du pipeau !
Politique: La démission de Macron se pose
Rémunérations des Enseignants : des salaires de misère
Salaires: il faudrait une augmentation de 10% nécessaires pour compenser l’inflation
Conseil constitutionnel : Une institution hybride politisée
Le non-cumul des mandats a produit des députés hors sol
L’ affaire McKinsey et le financement de Macron rebondit
Glaciers: fonte record
Quelles tendances des marchés financiers ?
Intelligence artificielle : la fin du travail ?
Départ de Laurent Berger de la CFDT, devenu premier syndicat de France
Inflation-Hausse des prix alimentaires: qui sont les profiteurs ?
« Les échos »: un journal vraiment très réac
Crise démocratique :peu d’issue pour Macron ( (l’historien Jean Garrigues))

Consommation sur Internet : pourquoi la valse des prix ?
Réforme des retraites : la mobilisation continue pour la CFDT et la CGT
Déficits et dettes : du pipeau !
Enseignants : Macron promet 100 euros
La démission de Macron se pose
Retraites : macron doit arrêter les provocations
« Les casseroles Françaises font avancer la France » déclare le fabricant Cristel à Macron
Sondage Présidentielle 2027 : Ruffin devance Mélenchon
Macron à la télé : 80 % des Français désapprouvent l’intervention
Covid France 21 avril 2023 : 8201 cas supplémentaires et un mort en 24h
Retraites et Justice-Le « palmarès » juridique de membres importants du conseil constitutionnel
Le conseil constitutionnel : Un conseil hybride politisé
Politique : Macron à la télé n’a convaincu personne
Salaires: augmentation de 10% nécessaire pour compenser l’inflation
Dérèglement climatique: une question d’abord un problème politique
Enseignants : des salaires de misère

Macron à la télé : Un discours creux et confus
Laurent Berger quittera la direction de la CFDT, devenu premier syndicat de France
Démographie: L’Inde premier pays du monde
Un transport routier de marchandises plus attractif ?
Gaz: fin des tarifs réglementés pour Engie et augmentation des tarifs
Macron conspué en Alsace
Vitesse route : la fin des retraits de points pour les petits excès de vitesse en 2024
Covid France 20 avril 2023: 8807 cas supplémentaires et un mort en 24h
Pouvoir d’achat: il faut augmenter les salaires de 10%
Covid France 19 avril 2023: 10 616 cas supplémentaires et 26 morts en 24 heures
Macron à la télé n’a convaincu personne
Environnement–Record de température pour les océans
Salaires: il faut un augmentation de 10%
Intelligence artificielle : quelle conséquence sur le travail ?
Réforme des retraites : un autre rôle du Conseil constitutionnel
L’inflation qui pèse sur l’avenir des Français
La démission de Macron: Pourquoi ?
Hausse des prix alimentaires: qui sont les profiteurs ?

Conseil constitutionnel : Quelle objectivité juridique ?
Retraites : La réforme financièrement déjà obsolète
Le Medef a Macron :P oliment , on verra plus tard
Comment les médias déforment l’information
Politique Macron à la télé: Discours confus et creux qui évite surtout la question du pouvoir d’achat
Politique-Une curieuse compétence juridique de membres importants du conseil constitutionnel
Retraites-Le conseil constitutionnel s’est encore discrédité
Macron chantant dans les rues a-t-il fumé la moquette
Covid France 19 avril 2023: 10 616 cas supplémentaires et 26 morts en 24 heures
Politique-Le conseil constitutionnel définitivement discrédité
Covid France 19 avril 2023: 10 616 cas supplémentaires et 26 morts en 24 heures
Intervention à la télé : Macon n’a convaincu personne
Réforme du marché du carbone adopté par le Parlement européen
Continuer le combat de la laïcité
Macron encore attendu avec des casseroles en Alsace
Pouvoir d’achat: il faut augmenter les salaires de 10%

Budget : Augmentation de 30 milliards du coût de la dette
Un « veto démocratique » pour prévenir les crises politiques ?
Retraites : on ne peut pas passer l’éponge, il faut une autre concertation ( Laurent Berger)
Alimentaire : l’inflation est désormais structurelle
Sondage: crainte de la violence chez 88% des Français
Macron à la télé: Discours creux qui évite surtout la question du pouvoir d’achat
Mobilisation Retraites: Il faut continuer pour 64 % des Français
Macron: Un discours creux et confus
Discours de Macon :toute l’opposition condamne le vide
Covid France 18 avril 2023 : 1411 cas supplémentaires en 24 heures
Politique-Le conseil constitutionnel définitivement discrédité
Justice-Le palmarès juridique de membres importants du conseil constitutionnel
Social -Pouvoir d’achat: Augmenter les salaires de 10%
Réforme des retraites : La bienveillance du Conseil constitutionnel pour le gouvernement
Réforme des retraites : Le Conseil constitutionnel n’a pas rétabli l’équilibre entre les pouvoirs
Croissance économique: Fort ralentissement en Europe en 2023 selon le FMI
Politique: Le parti des « Républicains »: complice et cocu !

Le renoncement du gouvernement au dialogue social
Le parti des « Républicains: complice et cocu !
Croissance: Fort ralentissement en Europe en 2023 selon le FMI
Macron à la télé: maitre d’école curé ou président
Passé et palmarès juridique de membres importants du conseil constitutionnel
La décision du conseil constitutionnel: une honte
PROMULGATION PRECIPITEE RÉFORME RETRAITES: BERGER DÉNONCE « LE MÉPRIS » DE MACRON
Social-Augmenter les salaires de 10%
La constitution de la Vᵉ République, 65 ans, doit -elle partir à la retraite ?
Augmenter les salaires de 10%
La « Macronie », un parenthèse malheureuse ?
Marchés Financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?
Démocratie: Une république de « stagiaires » dans la plupart des partis
LA FRANCE : NOMBRE D’HEURES TRAVAILLÉES PAR HABITANT LE PLUS FAIBLE

France : la chienlit pendant 4 ans ?
L’ intelligence artificielle pour remplacer les créateurs ?
Macron : Le stoïcisme ou la gloriole ?
La honteuse décision du conseil constitutionnel
Inflation: A qui profite des hausses de prix en France
La gestion de la ressource eau, un enjeu majeur ?
Le » palmarès » juridique très spécial de membres importants du conseil constitutionnel
Secteur immobilier: vers une crise économique , sociale et financière ?
Finances : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?
Inflation: toujours plus haut
Augmenter les salaires de 10%
Augmentation de la pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas
Le vice-président des « Républicains » demande à Marcon un référendum sur les retraites
PROMULGATION DE NUIT DE LA RÉFORME RETRAITES: BERGER DÉNONCE « LE MÉPRIS » DE MACRON
La Vᵉ République, 65 ans, doit -elle partir à la retraite ?
Économie, politique, société: les plus lus (16 avril 2023 -7h27)
France : la chienlit pendant 4 ans ?
L’ intelligence artificielle pour remplacer les créateurs ?
Macron : Le stoïcisme ou la gloriole ?
La honteuse décision du conseil constitutionnel

RÉFORME DES RETRAITES: des manifs y compris violentes à prévoir après le conseil constitutionnel
L’ intelligence artificielle pour remplacer les auteurs
Chine : rebond temporaire des exportations ?
L’inflation à un haut niveau en France durant toute l’année 2023 selon l’OFCE
Plan « eau » : une petite politique de » petits tuyaux »
Sécheresse : 75 % des nappes à un niveau trop bas
Sondage retraites : 74% des Français pour signer le référendum d’initiative partagée
Macron vendredi à Notre Dame: pour prier sur son avenir ?
Politique et Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave
La suite du conseil constitutionnel, la chienlit ?
Gestion de l’eau : enjeu majeur du développement durable
Perspectives immobilier: vers une crise économique , sociale et financière ?
Finances: Marchés : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?
Environnement- Sécheresse : 75 % des nappes à un niveau trop bas
L’entreprenariat, la clé des conditions de travail ?
Comment sortir de la crise du travail (Dominique Méda )
Réforme des retraites : le processus de crise en construction

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Macron dit Jean Edouard 1er

Macron dit Jean Edouard 1er | TAM

Finances : Crise bancaire ou pas ?
Etats-Unis : l’inflation en baisse
Après le conseil constitutionnel, la chienlit ?
Marchés financiers : CAC au plus haut……….. Avant la chute ?
Politique France: Une crise sociale et démocratique
Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave
Retraites -conseil constitutionnel: et après ?
Viande: Consommation en baisse
Pauvreté : des Français diminuent ou suppriment des repas
Secteur immobilier: vers une crise sociale et financière ?
Metavers pour bouleverser l’enseignement ?
Réforme des retraites : Macron se réveille un peu tard (CGC)
Quelle confiance dans le conseil constitutionnel ?
RETRAITES: MACRON propose la concertation quand tout est décidé
Covid France 13 avril 2023 :14.207 cas supplémentaires en 24h et 0 mort
Immobilier : L’accession à la propriété devient impossible

Immobilier : la propriété de plus en plus inaccessible
Chine : l’inflation se tasse nettement avec la faiblesse de la croissance
Croissance France: 0.2% au lieu de 0.1% au premier trimestre
Finances: CAC au plus haut……….. Avant la chute ?
Politique France: Une crise multiple et durable
International: Macron critiqué pour sa bourde sur Taïwan
Vie chère: les plus pauvres diminuent les repas
MACRON Chahuté À LA HAYE
Croissance mondiale : moins bien en 2023 mais mieux en 2024 (FMI)
Covid France 12 avril 2023: 1884 cas supplémentaires en 24 heures et zéro mort
France :Une crise politique et démocratique durable
Secteur Immobilier: vers une crise financière ?
Afrique: ces écoliers qui quittent prématurément l’école
Politique: Pas de sortie de crise pour Macron
Ukraine : Pour une aide militaire massive
Autonomie stratégique de l’Europe : l’illusion complète de Macron

Une crise économique systémique
Intelligence artificielle: quel danger ?
Énergie : une politique irresponsable de la France
Un nouveau contrat social pour la transition écologique
Inflation : les plus pauvres diminuent les repas
France: une crise qui va durer des mois
Politique: Pas de scénario de sortie de crise pour Macron
Taïwan : Poutine soutient Pékin
International: nouvelle bourde de Macron cette fois sur Taïwan
Covid France 11 avril 2023 : 1342 cas supplémentaires en 24 heures
Plan de sobriété de l’eau: la démagogie et la taxation de l’eau potable
Les limites du Conseil constitutionnel
Immobilier: vers une crise financière ?
Economie-Echanges commerciaux: dans le vert en Allemagne, dans le rouge en France
Réforme des retraites -conseil constitutionnel: et après ?

Réforme des retraites : le régime des sénateurs maintenu
Politique-fraude fiscale : le tabou ! (Romain Huret, président de l’EHESS)
Economie: Une agriculture sans agriculteurs ?
Politique-Olivier Véran : l’archétype du pitre politicard
Social-Pouvoir d’achat : La prochaine explosion sociale
Russie- Groupe Wagner : guerre, business et crimes
Le massacre de la politique énergétique
Economie et finances : Une crise systémique
Macron ne pourra pas finir son mandat
Politique-Visite en Chine: l’erreur politique de Macron
Echanges commerciaux dans le vert en Allemagne dans le rouge en France
Compétences économiques- Le niveau des connaissances des Français en partie responsable de la perte de compétitivité
Société-Consommation de viande: en baisse
Pas de scénario de sortie de crise pour Macron
La chienlit va s’installer durablement en France
Une nouvelle gauche ? ( Samir Lassoued et Baptiste Ménard)
Macron- Berger: duel de personnalités ou opposition entre un banquier et les Français
Intelligence artificielle: un danger ?

Politique: Un pouvoir en décomposition
Après le conseil constitutionnel, la chienlit pendant près d’un an dans le pays
Gestion de l’eau : La question de la réutilisation des eaux usées
Economie: de l’abondance à la rareté », un changement de paradigme
Gestion de l’eau: la démagogie et la taxation de l’eau potable
Réforme des Retraites et Conseil constitutionnel : quelle vraie indépendance ?
Réforme sociale : l’étatisation systématique du débat à cause de l’impuissance du Medef
Achats alimentaires: Explosion des prix <
Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier
Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes
Sondage Macron : une politique condamnée par plus des deux tiers des Français
Macron- Berger: une opposition entre un banquier et un citoyen engagé
Macron, Après l’échec de sa visite en Chine
Une nouvelle droite ou disparaître
«Pour une nouvelle gauche» – La tribune de Samir Lassoued et Baptiste Ménard

Sondage Macron : une politique ni juste ni efficace pour plus des deux tiers des Français
Le risque sanitaire et social demeure en Afrique
Inflation : 40 % des jeunes en situation de pauvreté
Economie: Attention à la baisse de croissance internationale
Economie: Fort tassement de la croissance aux Etats-Unis
Macron ou la caricature de la noblesse d’Etat
Duel Macron- Berger: une opposition entre une vision de banquier et celle du français moyen engagé
Popularité: Macron plonge encore
IA- peut-on vraiment employer le concept d’intelligence ?
Covid: du stade épidémique au stade endémique
Retraites: quel avis du Conseil constitutionnel ?
Economie-Croissance: Une chute de consommation
Visite en Chine : encore un échec de Macron
Pourquoi macron doit partir ?
Covid France samedi 8 avril 2023 : 8586 cas supplémentaires et 28 morts en 24 heures
Immobilier :vers une grave crise de financement

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Macron dit Jean Edouard 1er | TAM

Colère retraites « La détermination va a grandissant »
Réforme des retraites : les citoyens victimes de leurs émotions ?
Macron- Berger: une opposition entre une vision de banquier et celle du français moyen
Retraites: une nouvelle journée de mobilisation le 13 avril
Croissance: fort tassement aux Etats-Unis
Commerce international: net tassement de la croissance
Retraites: les mensonges de Macron sur la CFDT
Lois-la folie réglementaire en France
Politique-Réforme des retraites: La constitution a été bafouée
Covid France 7 avril 2023: 9374 cas supplémentaires et 35 morts en 24h
«Ne pas freiner les IA «
IA- peut employer le concept d’intelligence ?
Croissance mondiale 2023: en dessous des moyennes habituelles
Immobilier :une crise faute de moyens des acquéreurs
Popularité: Encore une nouvelle baisse pour Macron
La crise du recrutement dans 30% des entreprises
Macron: la caricature de la noblesse d’Etat

Sondage présidentielles : Le Pen ferait 55% et Macron seulement 45%
Prix de l’alimentaire: L’explosion
Prix -les hausses vont durer
Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier
Les méconnaissances en économie des Français : une menace pour la démocratie ?
Consommation de viande: en baisse
Réforme des retraites: le honteux mensonge de Macron sur la CFDT
Politique: « Macron doit garder ses nerfs » (Berger ,CFDT)
Front National: le processus de dédiabolisation
Connaissances économiques- Le niveau des connaissances des Français qui expliquent la faiblesse du pays
Covid France 6 avril 2023 : 9 922 cas supplémentaires et 33 morts en 24 heures
Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans
Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique
Reforme des retraites: La constitution a été bafouée
Réglementation: la folie des lois en France
Retraite : peut-être pas de porte de sortie pour Macron
Commerce international: net tassement de la croissance

Rencontre de Borne avec les syndicats: une rencontre inutile
Le niveau des connaissances des Français en matière économique
Méconnaissance en économie: une menace pour la démocratie ?
Allemagne : les exportations repartent
Orthographe, le niveau baisse depuis un siècle !
Immobilier : crise et chute des prix ?
Stop à la folie des lois en France
Le Service national déjà marginal en cause
Armée: Limite d’âge des réservistes repoussée à 70 ou 72 ans
Covid France 5 avril 2023
IA- des intelligences très artificielles
ChatGPT : technologie de rupture ou d’aliénation ?
Fraudes aux dividendes :Enquête juridique dans les grandes banques françaises
Environnement- «Les idiots utiles de l’écologie radicale»–
Appel contre l’arrestation Evan Gershkovich en Russie
Dette de l’Afrique: une menace démocratique
Finlande: officiellement membre de l’OTAN

Gaz et électricité : une baisse de 13 % dans les entreprises
FOOT :Le PSG se moque du monde !( ROTHEN )
Société-Fin de vie : Prendre le temps de la réflexion
Hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier
Pétrole: après la baisse, la hausse ?
Chine : tassement de croissance en mars
Carburant en hause, cours du pétrole en baisse
ChatGPT : outil de rupture ou de domination ?
Marlène Schiappa dans Playboy, Macron dans PIf gadget…..pathétique
Covid France 4 mars 2003: 1 453 cas supplémentaires et 38 morts en 24 heures
« L’intelligence artificielle va générer plus d’emplois qu’elle n’en élimine »
La fin du Service national ?
Arrêter la folie des lois en France
Euthanasie : l’Ordre des médecins « défavorable »
Croissance: Une chute de consommation
Fraudes des banques aux dividendes
Immobilier : après la hausse des taux , la chute des prix
Société-Fin de vie : le tabou

Pourquoi Macron devra partir ?
Les Syndicats reçus chez Borne: un bavardage pour rien ?
Fin de vie : Prendre le temps de la réflexion
Politique-Sondage popularité : Macron s’écroule
Gestion de l’eau : un effort de tous est nécessaires (Jean Viard)
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Economie-La croissance menacée par l’inflation
Ariège- Législative partielle : la socialiste dissidente bat LFI
FootPSG: de Charybde en Sylla
Marlène Schiappa dans Playboy…..et Macron dans PIf gadget !
Retraites: quelles critiques du Conseil constitutionnel ?
Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier
Démographie: l’emploi des seniors une opportunité ?
Fraude aux dividendes :Enquête juridique dans les grandes banques françaises
La réutilisation des eaux usées ?
Le Royaume-Uni: Augmentation du salaire minimum de près de 10 %

Un plan eau qui se résume à une augmentation des tarifs
Débat social : pourquoi l’étatisation systématique

Une loi particulièrement antidémocratique
Social une colère générale

Société-La déferlante des drogues douces et dures en Europe menace la démocratie
Instabilité des revenus: Un mal qui nourrit aussi l’inquiétude générale
Le scandale de l’indigence de relations téléphoniques avec les services publics

Avenir de la CGT : le choix entre le déclin et l’action responsable
Poutine : un entourage de brutes incultes
Russie: Risque de conflit mondial ?

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