Archive mensuelle de mars 2023

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Récidive: Opposition entre Édouard Philippe et Macron sur la peine minimale d’un an de prison

Opposition entre Édouard Philippe et Macron sur la peine minimale d’un an de prison

Le texte du courant d’Édouard Philippe prévoyait une peine minimale d’un an d’emprisonnement pour des délits de violences commis en récidive contre des fonctionnaires, comme les professeurs ou les policiers. Elle a été rejetée à 98 voix contre 87 voix.

Parmi les motifs invoqués par Horizons pour défendre ce texte, on compte la part de « récividistes ou réitérants » dans les condamnations prononcées par la justice.

Au-delà de la réinstauration de peines minimales, la proposition de loi visait également à renforcer les moyens de réinsertion et à l’organisation d’une « conférence de consensus » pour réfléchir de manière globale à la lutte contre la récidive.

« Les peines plancher n’ont pas permis, ni de près, ni de loin, de réprimer la délinquance ou de mieux lutter contre la récidive », a justifié de son côté à la tribune le ministre de la Justice.

Après des négociations extrêmement tendues entre Renaissance et Horizons pendant les législatives, Édouard Philippe avait décrit sur BFMTV des relations « cordiales » mais  » lointaines » en février.

Russie : Centre mondial des cybercriminels

Russie : Centre mondial des cybercriminels

L’entreprise de cybersécurité américaine Recorded Future vient de publier une étude consacrée au volet cyber de la guerre en Ukraine qui montre le rôle central de la Russie dans la cybercriminalité internationale.

par Alexander Leslie, analyste chez Recorded Future, livre les principaux enseignements de cette étude.(dans LA TRIBUNE) –

L’une des grandes tendances soulignées par votre étude est la fuite des cerveaux de l’IT qu’a connue la Russie depuis le début du conflit, et l’impact de celle-ci sur la cybercriminalité dans le monde. En quoi cet exode massif a-t-il contribué à changer la donne ?
ALEXANDER LESLIE – On constate un lien très clair entre les différentes phases du conflit et l’activité des cybercriminels russophones. Lorsque les troupes russes commencent à s’amasser près de la frontière ukrainienne, puis de nouveau après le déclenchement du conflit, et plus encore après la déclaration de la mobilisation partielle par Vladimir Poutine en septembre 2022, on constate ainsi, à chaque fois, une baisse significative de l’activité sur les forums, les chaînes Telegram et les places de marché en langue russe utilisées par les cybercriminels. Après l’annonce de la mobilisation partielle, cette baisse atteint par exemple les 70%.
À ce jour, l’activité sur ces différents canaux n’est toujours pas revenue à ce qu’elle était avant le déclenchement des hostilités. Il existe donc un lien évident entre le fait que de nombreux individus dotés de compétences en informatique aient fui la Russie, soit par peur de la guerre, soit par désaccord avec celle-ci, ou encore pour échapper à la mobilisation, et la cybercriminalité russophone.


Comment expliquer cet impact ? On se doute que ces personnes qui ont fui la Russie n’étaient pas les hackers pro-Kremlin les plus zélés…

Cela s’explique par une règle tacite, qui veut que les autorités russes accordent un blanc-seing aux cybercriminels qui se trouvent en Russie, du moment que ces derniers ciblent des entités étrangères. Les hackers russes, qui, comme la plupart des cybercriminels, sont avant tout motivés par leur intérêt personnel et par l’appât du gain, sont parfaitement au courant de cet état de fait.
Ainsi, la plupart des forums et autres places du Darknet consacrés à la cybercriminalité bannissent instantanément les membres qui parlent de s’attaquer à des acteurs russes. En outre, certains logiciels malveillants, conçus par des hackers russophones, comme Raccoon Stealer, se désactivent automatiquement s’ils sont utilisés contre des sociétés russes.

Ainsi, la Russie constitue un havre qui permet à ces cybercriminels de prospérer sans être inquiétés. Contraints de quitter le territoire, ceux-ci ne bénéficient plus de cette protection implicite, et risquent l’arrestation, que ce soit par les autorités de leur pays d’accueil ou par Interpol, s’ils continuent d’agir comme avant. Ces acteurs malveillants sont donc contraints de réduire considérablement, voire d’interrompre leurs activités, au moins jusqu’à ce qu’ils trouvent une manière sûre d’opérer dans leur nouveau pays.

Quel intérêt la Russie a-t-elle à protéger les cybercriminels qui opèrent sur son sol ?
La proximité de l’État russe avec le crime organisé n’est pas un phénomène nouveau et remonte au moins aux débuts de la Fédération de Russie, en 1991. D’abord, cette proximité est mobilisée par l’État russe en période de conflit, dans une logique de cyberguerre. Ensuite, elle permet de faire entrer de l’argent sur le territoire russe, notamment à travers le phénomène des rançongiciels. Le groupe russophone Conti, qui s’est fragmenté après le début du conflit suite aux divergences de ses membres quant à l’attitude à adopter face à la guerre (certains la soutenant, d’autres non), était jusqu’alors le principal groupe de rançongiciel au monde.

Mais surtout, l’existence d’un puissant réseau de cybercriminels en Russie entretient le trouble quant à l’origine des cyberattaques émanant du pays et permet à l’État russe de facilement se laver les mains suite à une action disruptive menée contre un État ou une entreprise étrangère. Lorsqu’un groupe de hackers russophones comme Killnet, Xaknet ou encore Cyber Army of Russia lance une attaque sur les infrastructures ukrainiennes, par exemple, l’État russe peut affirmer qu’il s’agit d’une initiative émanant de cybercriminels n’ayant rien à voir avec lui. C’est parfois vrai, parfois non. Mais dans tous les cas, ce flou savamment entretenu permet aux autorités russes de mener une cyberguerre qui ne dit pas son nom.


Vous soulignez également que cette protection tacite accordée aux cybercriminels pourrait bien devenir officielle en Russie…

En effet, il y a actuellement plusieurs propositions allant dans ce sens étudiées par la Douma, la principale émanant du député Alexander Khinshtein, qui suggère d’amender le Code criminel pour conférer l’immunité aux hackers prorusses. Cela constituerait un pas supplémentaire de la part du Kremlin qui indiquerait ainsi noir sur blanc aux cybercriminels résidant sur son territoire qu’ils peuvent s’en prendre aux acteurs étrangers en toute impunité.

Ces dernières années ont été marquées par la montée en flèche des rançongiciels. Le conflit a-t-il eu tendance à exacerber ce phénomène ?
Pas vraiment, car certains des plus puissants cartels de rançongiciels ont été rayés de la carte. Conti s’est fragmenté suite à la déclaration d’allégeance du groupe à la Russie, qui a déplu à certains membres, et très récemment, Hive, un autre leader mondial du rançongiciel, a vu ses infrastructures saisies par le FBI. Bien sûr, de nouveaux groupes n’ont pas tardé à apparaître pour les remplacer, mais leur offre est pour l’heure d’une qualité inférieure. La guerre n’a donc pas été une bonne affaire pour ce business.
Le marché de contrebande sur le Darknet a également souffert : outre la saisie d’Hydra par la police allemande l’an passé, les mesures de rétorsion adoptées contre la Russie font qu’il est devenu très difficile pour les acteurs d’expédier des marchandises illégales (qu’il s’agisse d’armes, de drogue ou de produits de contrebande) au-delà de la frontière russe. Ainsi, nombre de places de marché illégales opérant sur le Darknet ont dû fermer boutique.

En revanche, une tendance inquiétante est celle du renforcement du modèle du malware-as-a-service. On voit ainsi plusieurs groupes d’haktivistes prorusses partager gratuitement les outils nécessaires, assortis des tutoriaux adéquats, pour conduire des attaques par déni de service, de rançongiciel ou autres logiciels malveillants. On assiste donc à une uberisation de la cybercriminalité. Un nombre croissant d’individus sans compétences avancées en informatique gagnent ainsi la possibilité de perpétrer des attaques à l’aide d’outils qui étaient jadis l’apanage des cybercriminels les plus évolués. Encore récemment cantonnés aux méandres du Darknet, ces outils circulent désormais au grand jour sur les réseaux sociaux russophones.

En outre, comme il est devenu plus difficile de faire de l’argent grâce aux rançongiciels, les cybercriminels s’attaquent de plus en plus aux infrastructures critiques, qu’il s’agisse de la grille énergétique, des hôpitaux ou des administrations publiques, car le coût potentiel (y compris en vies humaines) en cas de refus de payer la rançon est tel qu’ils savent avoir ainsi de meilleures chances de faire de l’argent. La combinaison de ces deux dernières tendances est très inquiétante et sera à surveiller de près dans les mois à venir.

Economie, politique, société: les plus lus (3 mars 2023-5h36)

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Co-dévelppement et Afrique : Macron pour un réveil économique de la France
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Corruption: Macron apporte son soutien au délit de favoritisme d’ Olivier Dussopt !
Economie France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre
Société Générale : un bon résultat financier aussi malgré la Russie
Politique: Poutine veut imposer la dictature et la misère sociale à l’Afrique
Ristourne carburant de Total : une escroquerie
Une épidémie de grippe en France
Covid France 9 février 2023: 3.991 nouveaux cas en 24h et 31 morts en 24 heures
Des excuses à la baisse du niveau scolaire ?
Bénéfice Total: record stratosphérique et indécent de 36 milliards
Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 févrie
REFORME DES RETRAITES : VOTRE DÉPUTÉ VA-T-IL VOTER POUR

Hausse des prix: la faute à « L’inflation importée »
Contre l’inflation, la hausse des taux d’intérêt pourrait durer (FED)
États-Unis : une nouvelle taxe sur les milliardaires (Biden
TECH CHATGPT: INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE CHEZ GOOGLE
Société-« Territoires perdus de la République » : vingt ans après
DRAME EN TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION
Drame TURQUIE ET SYRIE: Le résultat de normes de construction et des tricheries sur la qualité des bâtiments
Les transports en commun bénéficie surtout aux moins défavorisés ?
GRÈVE DU 7 FÉVRIER: TASSEMENT EN ATTENDANT LA GRANDE MANIFESTATION DE DIMANCHE
BNP: 10 milliards, nouveau résultat record ……mais 1000 licenciements
Poutine veut imposer la dictature et la misère sociale à l’Afrique
Crise de l’énergie pour les usagers et résultats supersoniques pour Total
Microsoft va aussi intégrer l’IA dans le moteur de recherche et le navigateur
France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre
Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010 !
Covid France 8 février 2023 : 4.999 nouveaux cas confirmés en 24h.

CHATGPT: UNE VERSION GOOGLE INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE
Retraites- Ruffin au gouvernement: Au service de qui êtes-vous ?
Contre l’hydrogène… les énergies fossiles !!!
Politique – Une réforme des retraites finalement coûteuse
Réforme des retraites : l’opposition des Français ne faiblit pas
Pouvoir d’achat : les Français réduisent de 10% les dépenses d’alimentation
Social: Salaires : baisse moyenne de 3 à 4 %
Politique-Retraites: Dussopt en danger
Politique: Ballon espion chinois dans le ciel américain : l’incroyable cynisme de la Chine !
Covid France 7 février 2023 : 40 morts supplémentaires en 24 heures et 718 nouveaux cas
Intelligence artificielle (IA): s’ouvrir au meilleur pour éviter le pire
Territoires perdus de la République » : vingt ans après<
Réforme des retraites : forte critique aussi du Medef
La croissance hypothéquée par la hausse de l’énergie pour les entreprises t moral au plus bas chez les patrons
SNCF : les syndicats décident de ne pas faire grève samedi
Royaume-Uni : le système de santé enregistre la plus grande grève

Inflation– des taux d’intérêts élevés pour longtemps (FMI)
Retraites: C’est la durée de cotisation qui doit être au cœur de la réforme pour la CFDT
Les Français disent non aux une voiture électriques trop chères
Plan de soutien à l’industrie américaine: La réplique de l’Union européenne pas à la hauteur
Prix de l’énergie : La scandaleuse décision du Conseil d’Etat
Politique: Macron et ses impôts, une relation douteuse
Retraites: le ministre Dussopt en danger…la réforme aussi
Politique et justice: A. BUZYN innocentée aussi dans l’affaire du Covid
Grève 7 février 2023 : fortes perturbations dans les transports
Salaires : une baisse moyenne de 3 à 4 %
Politique-macronie : Quelques grandes gueules, des technos et….. des minets
Bassines en Charente-Maritime : Le Conseil d’État confirme l’interdiction
Environnement: le honteux sabordage du « Foch » dans l’Atlantique
Ballon espion chinois dans le ciel américain : l’incroyable cynisme de la Chine !
RETRAITES: XAVIER BERTRAND CONDAMNE LA FAUSSE AVANCEE D’E. BORNE

Finances et Inflation– des taux d’intérêts élevés pour longtemps (FMI)
Sciences et avenir- L’Intelligence artificielle (IA) présentes les activités économiques
« Soutien Politique » : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement
Affaire Covid: A. BUZYN innocentée aussi
La démission de Dussopt et la fin de la réforme de la retraite ?
Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises
Macron et les impôts: une relation personnelle douteuse
L e favoritisme aussi de Macron dans l’affaire Alstom- General Electric
Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption
Covid France 5 février 2023 : 3618 cas supplémentaires en 24 h et 28 morts
Gouvernement Macron : Quelques sgrandes gueules, des technos et……des minets
Vers une crise démocratique et politique avec la réforme des retraites ?
Inflation et pouvoir d’achat : les Français réduisent les dépenses d’alimentation de 10%
Sciences- évolutions cognitives et taille du cerveau
Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin
Prix de l’énergie pour les entreprises, une hausse mortifère de plus de 80 % en 2023

États-Unis : taux de chômage au plus bas depuis 50 ans
Pouvoir d’achat : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%
Réforme des Retraites :Insignifiante et inefficace pour l’économiste Patrick Artus
Électricité : Un bouclier inefficace sollicité seulement par 30 % des entreprises
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Taille du cerveau humain et évolutions cognitives
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Politique : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement
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  • Chômage : stable dans la zone euro, pour l’instant

    Chômage : stable dans la zone euro, pour l’instant

    Le taux de chômage dans la zone euro est resté stable en janvier à 6,7% de la population active, comme en décembre, proche de son plus bas niveau historique, selon les données d’Eurostat publiées jeudi. Il est en baisse de 0,2 point par rapport à janvier 2022. L’indicateur avait atteint 6,6% en octobre, son point bas historique depuis avril 1998.

    Globalement, le marché du travail résiste plutôt bien au net ralentissement de la croissance, provoqué par la guerre en Ukraine, et à la flambée de l’inflation. L’économie européenne a réussi à échapper à une récession au dernier trimestre, mais la croissance s’annonce très faible en 2023.

    La tendance du chômage pourrait donc s’inverser d’ici la fin de l’année.

    Quelque 13,23 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’UE en janvier au sein des vingt-sept États membres, dont 11,29 millions parmi les vingt pays partageant la monnaie unique –la Croatie a rejoint la zone euro au 1er janvier. Le taux de chômage a légèrement baissé en France, à 7,1% (-0,1 point par rapport à décembre). Il est resté stable en Allemagne, à 3%. Outre l’Allemagne, les taux les plus bas de l’UE ont été enregistrés en République tchèque (2,5%) et en Pologne (2,8%). Le plus élevé a été relevé en Espagne (13%).

    Retraite : les sénateurs pour la réforme mais pas pour la leur


    Retraite : les sénateurs pour la réforme mais pas pour la leur !

    C’est toute la contradiction de la société française et de son système politique. Les élites proposent des transformations qu’ils refusent de s’appliquer à eux-mêmes. C’est ainsi le cas concernant la réforme des retraites. Le Sénat veut être en pointe sur ce sujet et veut absolument que la réforme du gouvernement soit appliquée. Par contre, il se refuse à supprimer la très avantageuse caisse de retraite des sénateurs. Une position qui discrédite évidemment les sénateurs à légiférer au nom des intérêts collectifs et un scandale démocratique de plus.

    Le texte de l’exécutif prévoit bien la suppression de certains régimes spéciaux déficitaires comme celui de la RATP ou de la Banque de France. Mais pour le président du Sénat, Gérard Larcher, le régime du Sénat ne doit pas être logé à la même enseigne, celui-ci étant «autonome» et autofinancé. En fait autofinancé par les finances publiques !

    Aujourd’hui, le régime de retraite des sénateurs est géré par le Sénat lui-même. Concrètement, d’après les comptes du Sénat, 38 millions d’euros ont été versés aux anciens sénateurs en 2021. Sur cette somme, 33% sont financés par les cotisations des sénateurs et du Sénat, et 67% par «des actifs financiers qui ont été constitués afin de consolider les équilibres à moyen et long terme du régime» (l’argent aussi du contribuable) , indique le site du Sénat. Ces actifs ne proviennent pas des impôts des Français mais de «l’excédent des cotisations constitué depuis la création du régime en 1905», explique au Figaro le service de presse de la chambre haute. ( comme si le salaire des sénateurs n’était pas aussi payé par l’Etat.

    «Le montant élevé des cotisations salariales, le nombre peu important des pensionnés et leur utilisation sur une durée faible des services de pension» expliquent le montant important épargné, ajoute-t-on. Les sénateurs partent en effet à la retraite plus tard que la moyenne des Français, et ont donc moins recours à leur droit à la retraite que la moyenne des Français. Bien gérée, cette épargne a permis d’équilibrer le régime et d’éviter ainsi d’avoir recours à des subventions de l’État : «Il n’y a ni dotation d’équilibre, ni subvention d’équilibre, ni transfert financier venant de l’extérieur», souligne le Sénat. Parmi les 33% de cotisation, 21% sont des cotisations employeur, comme c’est le cas pour tout régime où l’État est employeur, et sont donc financés par l’État. Ce montant s’élève à 8 millions d’euros. Cependant cela ne relève pas d’une subvention pour équilibrer les comptes. Une vraie explication ésotérique !

    Nucléaire : Élisabeth borne ne « résonne » plus de la même façon !


    Nucléaire : Élisabeth borne ne « résonne » plus de la même façon !

    Le gouvernement qui a sacrifié la politique énergétique et en particulier le nucléaire revient maintenant sur cette catastrophe. Et pour toute argumentation Élisabeth Borne convient qu’on ne « raisonne » ( ou résonne ?) plus de la même façon aujourd’hui. Effectivement c’est un autre son de cloche d’un personnel politique complètement incompétent en particulier depuis Hollande et Macron. Bilan la France a perdu son indépendance énergétique dans l’électricité et va tuer nombre d’entreprises, d’artisans et de commerçants.

    «On ne « raisonne » plus de la même façon puisqu’on a maintenant une vision beaucoup plus ambitieuse sur la réduction de nos émissions de gaz à effet de serre et donc sur les besoins de production en électricité», a justifié Élisabeth Borne devant une commission d’enquête de l’Assemblée.
    Cette commission, qui vise selon son intitulé «à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France», poursuit ses travaux depuis l’automne et rendra son rapport fin mars. Ses députés cherchent notamment à comprendre comment la France s’est retrouvée en situation de pénurie d’électricité et a dû en importer de l’étranger cet hiver.

    «C’est ce qui a conduit le président de la République à annoncer le lancement des six nouveaux (réacteurs nucléaires) EPR. C’est ce qui nous conduit aujourd’hui à demander l’étude notamment à l’ASN (Autorité de sûreté du nucléaire) sur les modalités de prolongations au-delà de cinquante ans de nos réacteurs nucléaires», a-t-elle ajouté. Elle a aussi insisté sur les scénarios produits par l’entreprise gestionnaire du réseau électrique français RTE quand la décision a été prise, sous François Hollande, de réduire la part du nucléaire en France et de fermer des réacteurs, notamment Fessenheim en Alsace qui a effectivement fermé en 2020.

    À lire aussiLa France entame une réforme contestée de son modèle de sûreté nucléaire
    «En 2014, les informations qui étaient à ma disposition, c’étaient les bilans prévisionnels de RTE» qui «prévoyaient une évolution de la consommation d’électricité stable ou en baisse», a-t-elle relaté. «On voit bien qu’on a depuis complètement réévalué ces scénarios (…) mais à l’époque il n’y avait aucune alerte sur un quelconque risque sur la sécurité d’approvisionnement», a-t-elle indiqué, admettant :
    51 milliards d’euros pour les six premiers nouveaux réacteurs

    Elle a aussi affirmé que la décision de relance du nucléaire avait été prise sur la base de calculs de RTE «montrant que d’un point de vue économique comme d’un point de vue de sécurité d’approvisionnement un scénario 100% renouvelable n’était pas soutenable». «Et sans doute, sur la base des scénarios qui ont été produits par RTE, on sera autour d’une production de 50% d’électricité d’origine renouvelable, 50% d’origine nucléaire», a-t-elle dit.
    Fin 2021, RTE a présenté six scénarios allant de 100% renouvelables en 2050 à un développement volontariste du nucléaire, présenté comme la voie la moins chère, de l’ordre de 10 à 20 milliards d’euros de moins par an. La relance du nucléaire devrait coûter au moins 51 milliards d’euros pour les six premiers nouveaux réacteurs et environ autant pour la prolongation au-delà de 40 ans des réacteurs existants qui le peuvent, hors gestion des déchets.

    Sondage popularité Macron : au plus bas

    Sondage popularité Macron : au plus bas

    Encore un écroulement de cinq points en un mois pour atteindre son plus bas niveau depuis sa réélection.

    D’après baromètre Kantar en un mois, la cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 5 points. Mais c’est surtout le nombre des mécontents qui doit inquiéter le chef de l’État. 64% des Français ne lui font pas confiance, le point le plus haut depuis sa réélection, dont 41% (+6) ne lui font pas du tout confiance.

    Autre élément inquiétant, la cote de confiance de sa première ministre suit la même pente et ne le protège donc pas. Ceux qui ne font pas confiance en Élisabeth Borne sont passés de 48% en juin dernier à 64% ce mois-ci. Enfin, tous les ¬ministres testés sont en forte baisse, ¬notamment ceux qui sont montés au créneau pour défendre la réforme des retraites, Gabriel Attal, Olivier Véran ou Bruno Le Maire. Le défi pour Emmanuel Macron est de taille pour la suite de son mandat.

    Sondage Kantar Public – Epoka effectué par Le Figaro Magazine. Dates de réalisation: 26 et 27 février 2023. Échantillon national de 1000 personnes, représentatif de l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, interrogées en ligne.
    À retrouver dans Le Figaro Magazine, en kiosque dès vendredi.

    Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !

    Cocaïne: Légalisation de la vente au Canada !


    Certains pays pratiquent la fuite en avant devant l’envahissement des drogues et autres opiacés de toutes sortes. Ainsi au Canada on va commencer à autoriser la vente de cocaïne. Finalement la même mode thérapeutique qu’aux États-Unis. L’entreprise canadienne de biotechnologies Sunshine Earth Labs a annoncé jeudi 2 mars avoir obtenu une licence de la part de l’agence fédérale de santé du Canada pour produire et vendre de la cocaïne.

    Ottawa a accordé une dérogation au Code criminel, code pénal canadien, en janvier à la province de Colombie-Britannique (ouest), pour un projet pilote de trois ans. L’objectif: lutter contre la stigmatisation associée à l’usage de stupéfiants qui empêche certains de demander de l’aide. Les militants en faveur de cette mesure demandent également qu’un approvisionnement plus sûr en drogues soit disponible pour les personnes en situation de dépendance. Celles-ci font face à un risque accru d’overdose liée à des drogues achetées illégalement dans la rue. Une sorte de fuite en avant entre diffusion et prévention

    Dans un communiqué Sunshine Earth Labs a déclaré avoir reçu la permission de Santé Canada pour «légalement posséder, produire, vendre, et distribuer de la feuille de coca et de la cocaïne», ainsi que de la morphine, de l’ecstasy, et de l’héroïne. Un accord de licence similaire avait été offert en février à une autre entreprise Adastra Labs, qui jusque-là ne fabriquait que des produits liés à des extraits de cannabis. La licence d’Adastra l’autorise également à produire de la psilocybine et de la psilocine, des hallucinogènes plus communément associés à des champignons dont la consommation produit des effets similaires au LSD. «Nous évaluerons comment la commercialisation de cette substance rentre dans notre modèle commercial à Adastra, afin de nous mettre en position de soutenir la demande pour un approvisionnement sûr en cocaïne», avait déclaré son patron Michael Forbes.

    La Colombie-Britannique suit l’État américain de l’Oregon (nord-ouest) qui a dépénalisé les drogues dites dures en novembre 2020. La province est l’épicentre d’une crise qui a vu plus de 10.000 personnes mourir d’overdose depuis qu’une urgence de santé publique a été déclarée en 2016 – représentant environ six décès quotidiens, sur une population de quelque cinq millions.

    Responsabilisation des réseaux sociaux : pour la fin de l’anonymat

    Responsabilisation des réseaux sociaux : pour la fin de l’anonymat

    Par Philippe Boyer, directeur relations institutionnelles et innovation à Covivio.


    Certaines images d’archives de l’INA montrent que, durant les évènements de Mai-68, lors des assemblées générales de grévistes, à un moment donné ou à un autre, la question déboulait lorsqu’une personne inconnue prenait la parole : « D’où parles-tu camarade ? », lui demandait-on alors. Par cette interpellation directe, l’orateur était sommé de justifier sa position de « classe », et donc sa légitimité à s’exprimer. Avec le numérique et singulièrement les réseaux sociaux, ce « D’où parles-tu camarade ? » s’est transformé en « Vas-y camarade : profite, exprime-toi autant que tu veux… tu as et tu es la parole ! ».

    C’est un fait : nous sommes désormais noyés dans un flot ininterrompu de paroles, au point, parfois, d’espérer un peu de silence…
    Bien sûr, on ne cédera pas à ce trop facile « c’était mieux avant… » au point d’oublier que ce sont ces outils numériques qui ont notamment permis à la parole de se libérer : #MeToo, #BlackLivesMatter, #OccupyWallStreet, #JeSuisCharlie ou, plus récemment #MahsaAmini … des milliards de prises de paroles pour exprimer une indignation et faire bouger l’ordre établi.

    Avec la révolution numérique, tout ou presque est devenu parole. Nous, les humains, avons d’ailleurs perdu ce privilège de la parole depuis que les machines interagissent sans cesse avec nous : réfrigérateurs, voitures, livres, journaux (à défaut de la lire, cette chronique peut être écoutée) : sans jeu de mots, tout nous parle.
    Outre que tout cela génère une cacophonie assourdissante qui a pour résultat de rendre impossible toute tentative de hiérarchisation de l’information, ce magma de mots, de sons et d’images (vidéos, smileys, SMS…) a pour effet de banaliser la parole et, par voie de conséquence, d’étouffer le débat.

    On se parle sans s’écouter, on se parle entre soi, on parle pour exclure, on parle pour ne rien dire… bref, trop de paroles tue la parole, selon la formule connue, en écho à la thèse de l’ouvrage récent de Monique Atlan et Roger-Pol Droit, « Quand la parole détruit [1] ».

    Ne rêvons pas : on ne refermera plus cette boîte de Pandore, qui, grâce à la palette d’outils numériques à la disposition du plus grand nombre, permet à cette parole de triompher voire de se transformer en arme lorsque celle-ci se mue en injure, complotisme, calomnie ou haine de l’autre.
    Alors comment tenter de réguler cette parole ou, à défaut, essayer de la canaliser ? Bien sûr, il y a la vision idéale d’un Socrate pour qui le « dialogue » (« dia » : à-travers et « logos » : parole) permet d’exercer sa raison grâce à l’échange et à l’objection. Nous n’en sommes malheureusement plus là…

    Il faut donc réfléchir à d’autres formes de maîtrise de la parole, non pour censurer mais pour faire en sorte que les débordements liés aux outils numériques soient contenus.

    Dans son dernier ouvrage, la philosophe Monique Canto-Sperber [2] avance l’idée que la liberté d’expression, héritée de grandes lois au XIXe siècle – en France, avec notamment la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse -, repose sur le principe que ceux qui avaient accès à la parole, pouvaient certes critiquer, contester… mais que leurs interventions dans le débat public se faisait en cohérence avec « un langage et des valeurs communes » [3].

    C hacun a les moyens de s’exprimer, mais les paroles les plus extrêmes sont valorisées par les algorithmes avec pour conséquence que la parole devient assassine et, partant, que l’écoute, les nuances et le débat n’existent plus. Et de conclure que la liberté d’expression est « un droit qui doit être limité si son emploi cause un dommage ».
    L’une des pistes consisterait donc à réfléchir à des actions destinées à définir ce qui est/serait admissible ou pas en termes de paroles et de liberté d’expression. Constat a priori logique mais pas simple à mettre en œuvre à l’ère du numérique, et cela, dans un État de droit.

    L’autre piste pour tenter de canaliser cette parole débridée, qui débouche souvent sur des formes de violence verbale, consiste à miser, voire imposer un plus haut niveau de responsabilisation des grandes plateformes. Concrètement, il faudrait règlementer en faveur de la fin de l’anonymat.

    En le faisant, on pourra tout autant s’exprimer mais on ne pourra plus le faire en toute impunité, en se cachant derrière un pseudonyme. Certes, la fin d’un anonymat généralisé qui déresponsabilise utilisateurs et diffuseurs n’est pas pour demain, mais cette idée connaît néanmoins de réelles avancées.

    Contraints de se réinventer et à appliquer les réglementations imposées par les États, et singulièrement l’Union Européenne (RGPD, DSA, DMA : ces sigles comme autant d’initiatives de l’UE pour réglementer le Far-West numérique), les GAFA tendent de plus en plus à proposer à leurs utilisateurs de nouveaux services payants qui passent par des contraintes d’identification.

    Outre que ces identifications individuelles s’avéreraient, à long terme, plus rentables que les formules qui reposent sur la gratuité et l’anonymat, elles permettraient à ces plateformes d’avoir le beau rôle : avoir été à l’origine d’une maîtrise du niveau de violences verbales sans toucher à la sacro-sainte liberté d’expression et tout en générant plus de bénéfices.
    En soi, un idéal à atteindre qui permettrait de faire en sorte que la parole ne tue plus, et que l’on sache enfin d’où parle ce camarade…
    ___
    NOTE
    1 Monique Atlan et Roger-Pol Droit, « Quand la parole détruit », Éditions de l’Observatoire (décembre 2022).
    2 Monique Canto-Sperber, « Sauver la liberté d’expression », Éditions Albin Michel (avril 2021).
    3 https://www.lepoint.fr/postillon/canto-sperber-la-liberte-d-expression-releve-du-juste-pas-du-bien-24-04-2021-2423560_3961.php

    L’inutile SNU intégré au temps scolaire !!!

    L’inutile SNU intégré au temps scolaire !!!

    Autour de 30 000 jeunes ont participé au service national. Un service national dit obligatoire qui n’a pas grand-chose à voir avec une préparation militaire. Or dans une guerre de haute intensité, il faudrait former les 800 000 jeunes par an . Conclusion, faute de moyens le gouvernement envisage maintenant d’intégrer cette formation ésotérique dans le cadre du temps scolaire. De plus en plus inefficace et ridicule.

    2000 jeunes en 2019, une année blanche en 2020 à cause du coronavirus, 15 000 en 2021, 32 000 en 2022… Et bientôt 800 000 ? Ces derniers jours, le sujet du service national universel (SNU) est revenu en force dans l’actualité. Le 26 février, le Snes-FSU, premier syndicat des enseignants du second degré, affirmait que le SNU deviendrait obligatoire pour les élèves de seconde de six départements à partir de janvier 2024, puis dans vingt départements en 2025, avant une «généralisation totale en 2026». Le lendemain, un article de Politis enfonçait le clou en dévoilant un document interne intitulé «Foire aux questions Post annonce SNU obligatoire».

    • Il n’en fallait pas plus pour que le bruit d’une généralisation prochaine du SNU se (re)mette à courir. «Il n’y a rien de nouveau, assurent pourtant de concert l’Élysée et le cabinet de Sarah El Haïry, secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel. La secrétaire d’État travaille toujours sur deux options.»

    L’école française dans le niveau ne cesse de régresser à évidemment autre chose à faire que de gérer l’anecdotique et inutile CNU. Sans doute pas ce qui serait utile pour faire face à Poutine par exemple !

    Santé-Papillomavirus : l’infection sexuellement transmissible massive

    Santé-Papillomavirus : l’infection sexuellement transmissible massive

    par Nasrine Callet, gynécologue et oncologue à l’Institut Curie. dans le Figaro

    • L’infection aux papillomavirus humains (en anglais, human papillomavirus, HPV) est l’une des infections sexuellement transmissibles (IST) les plus fréquentes. On estime qu’environ 70 à 80% des sexuellement actifs – femmes et hommes confondus – rencontrent un papillomavirus au moins une fois dans leur vie. «Dans la majorité des cas, l’infection sera éliminée spontanément par l’organisme et ne provoquera aucune maladie, assure le Dr Callet. Mais dans 10% des cas environ, elle peut provoquer différents types de lésions, bénignes ou précancéreuses. Mal traitées ou non diagnostiquées, elles peuvent donc au fil du temps évoluer en cancer ; de la vulve, du vagin, du col de l’utérus, de l’anus, du pénis, de la bouche et de la gorge.»

    • Même lors d’un rapport sexuel protégé, le papillomavirus peut se transmettre. «Et ce pour une bonne et simple raison : les papillomavirus appartiennent à la famille des verrues de la peau. De ce fait, le virus se transmet non seulement durant des rapports sexuels mais aussi par contact intime, de peau à peau, même sans pénétration avec une ou des personnes porteuses du virus», insiste Nasrine Callet. Certaines personnes pensent que l’on contracte le virus par le sperme, mais c’est une idée reçue. Il n’est pas contenu dans les sécrétions et peut donc notamment être transmis par les doigts lors de caresses sexuelles

    • Un virus très souvent indétectable à l’œil nu

    • Le papillomavirus sévit à bas bruit. «Il détériore les tissus et crée des anomalies, des lésions notamment, mais la plupart du temps, les personnes infectées ne présentent aucun symptôme», prévient le Dr Callet. Résultat : on ne se rend compte de rien, on ne ressent rien, «hormis dans certains cas, où de petites verrues surgissent sur les organes génitaux», mentionne la médecin. Les éventuels symptômes apparaissent tardivement, le plus souvent quand le cancer est déjà présent et qu’il a atteint un stade avancé, comme pour le cancer du col de l’utérus. D’où l’importance de se faire régulièrement dépister.

    • Si les hommes comme les femmes peuvent être touchés par le papillomavirus, seules les femmes peuvent être diagnostiquées, via un frottis. «Les hommes, eux, ne peuvent pas savoir s’ils sont infectés, sauf s’ils ont des verrues. Mais cela reste très rare», note Nasrine Callet. Depuis quelques années, les autorités de santé recommandent ainsi fortement à toutes les femmes de se rendre à la visite gynécologique gratuite, accessible dès 25 ans. «À cette occasion, la patiente peut parler de nombreux sujets, de sa sexualité, de sa contraception… Et surtout, elle peut effectuer un frottis, qui consiste à gratter un peu de sécrétions sur le col pour ensuite les analyser.»

    • Si le retour du laboratoire ne montre rien, tant mieux, il suffira de refaire un frottis trois ans plus tard. En revanche, si le papillomavirus a été détecté, on regardera de plus près s’il est bénin ou non en pratiquant une biopsie. «Il existe plusieurs papillomavirus, certains sont inoffensifs et d’autres malins, signale la gynécologue. S’il est malin, il faudra faire un examen du col de l’utérus avec une loupe (une colposcopie) pour voir si le col est abîmé.» En cas de lésion pré-cancéreuse, il s’agira de la traiter par laser ou chirurgie. En cas de lésion cancéreuse, le traitement dépendra du type de cancer et de son stade d’avancement. Une chimiothérapie peut être envisagée.

    • Il est à l’origine de 98% des cancers du col de l’utérus

    • Extrêmement fréquentes, les infections au papillomavirus sont la plupart du temps bénignes, mais elles peuvent persister et aboutir à un cancer. Chaque année, elles sont ainsi responsables de 2.900 cancers du col de l’utérus. Ce dernier, qui est le 12e cancer féminin en France et provoque plus de 1.000 décès par an, est même quasi exclusivement dû aux papillomavirus. «Or, le cancer du col est un des rares cancers que l’on peut éviter, grâce au dépistage et à la vaccination.»
    • Les professionnels de santé sont unanimes : la vaccination contre le papillomavirus est un moyen extrêmement efficace pour prévenir un certain nombre de cancers. Elle est préconisée aux filles entre 11 et 14 ans depuis 2007 et aux garçons du même âge depuis le 1er janvier 2021. Le schéma vaccinal contient deux doses espacées de 6 mois, ou trois dans le cadre d’un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus. Les personnes homosexuelles de moins de 27 ans bénéficient, quant à elles, d’un délai rallongé pour se faire vacciner. «Lorsqu’elle est effectuée avant le début de la vie sexuelle, l’efficacité de la protection contre les virus est proche de 100%», affirme Nasrine Callet. Si l’on peut se faire vacciner après le début de sa vie sexuelle, le risque augmente de fait avec les rapports, mieux vaut donc se faire vacciner avant.

    • À partir du mois de septembre 2023, «la prescription et la vaccination contre le HPV (papillomavirus) pourront être réalisées par les pharmaciens, sages-femmes et infirmiers», a précisé mardi 28 février Emmanuel Macron, lors d’une rencontre avec des élèves dans un collège de Jarnac (Charente), aux côtés des ministres de la Santé et de l’Éducation, François Braun et Pap Ndiaye.

    • Grâce à la vaccination, certains pays sont même en passe de vaincre ces cancers. C’est le cas de l’Australie où le taux de personnes infectées par les HPV à l’origine des cancers du col de l’utérus est passé de 22,7% en 2005-2007 à 1,5% en 2015 chez les jeunes femmes de 18-24 ans, relève l’AFP. Là-bas, les autorités de santé envisagent même une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici 15 ans.

    • Quid de la France ? À la fin de l’année 2021, 45,8% des jeunes filles âgées de 15 ans avaient reçu une dose, et 37,4% des jeunes filles de 16 ans un schéma complet à deux doses, selon les chiffres de Santé Publique France. Chez les garçons, seulement 6% avaient reçu une dose à 15 ans. «Malgré tous les efforts, une défiance vis-à-vis du vaccin demeure», regrette l’oncologue. L’une des raisons est le coût du vaccin, compris entre 95 et 116 euros. S’il est actuellement remboursé à 65% par l’Assurance maladie (le reste est pris en charge par une mutuelle complémentaire), l’avance des frais ou l’absence de mutuelle peuvent freiner. Autre raison de la méfiance ? Le tabou qui plane encore sur la sexualité des (pré)adolescents, selon la gynécologue : «Il y a un amalgame entre l’injection de ce vaccin et l’âge des premiers rapports».

    Olivier Véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

    Olivier véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

    Il y a souvent dans les gouvernements un gouvernement assez clownesque, cette fois avec Macron c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de mort. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

    Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé..

    Récemment, il a déclaré que la manifestation du 20 février ne serait pas importante. Elle a dépassé tous les records !. Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Il serait même responsable de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

    Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

    De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

    Covid France 3 mars 2023 : 4196 cas supplémentaires en 24 heures et 21 morts

    Covid France 3 mars 2023 : 4196 cas supplémentaires en 24 heures et 21 morts

    On enregistre jeudi 2 mars 2023 : 21 morts supplémentaires soit au total 165.009 morts et 4196 nouveaux cas en 24 h
    Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.584 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.425 (+21 depuis le dernier bilan).

    Le taux de reproductivité R est de 1,04 le taux d’incidence à 37,95 et la tension hospitalière à 14,3 %.

    La France compte actuellement 12.767 (-20) personnes hospitalisées et 721 (+3) malades en réanimation.

    Bilan des régions :

    • Ile-de-France : 4.243 (+48) hospitalisées, 304 (+5) en réanimation et +4 décès en 24h
    • Grand Est : 1.145 (-18) hospitalisés, 57 (0) en réanimation et +4 décès en 24h
    • Hauts de France : 1.261 (-8) hospitalisés, 53 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
    • Auvergne Rhône Alpes : 985 (+2) hospitalisés, 63 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
    • Provence-Alpes Côte d’Azur : 835 (-21) hospitalisé, 52 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
    • Bretagne: 278 (-4) hospitalisés, 9 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
    • Normandie : 796 (+5) hospitalisés, 20 (-3) en réanimation et +2 décès en 24h
    • Nouvelle-Aquitaine : 1.077 (-5) hospitalisés, 70 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
    • Pays de la Loire : 143 (-2) hospitalisés, 7 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
    • Occitanie: 761 (-5) hospitalisés, , 41 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
    • Centre-Val de Loire : 564 (-2) hospitalisés, 21 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
    • Bourgogne-Franche-Comté : 399 (-8) hospitalisés, 20 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h

    Réseaux sociaux : pour la responsabilisation et la fin de l’anonymat

    Réseaux sociaux : pour la responsabilisation et la fin de l’anonymat

    Par Philippe Boyer, directeur relations institutionnelles et innovation à Covivio.

    Certaines images d’archives de l’INA montrent que, durant les évènements de Mai-68, lors des assemblées générales de grévistes, à un moment donné ou à un autre, la question déboulait lorsqu’une personne inconnue prenait la parole : « D’où parles-tu camarade ? », lui demandait-on alors. Par cette interpellation directe, l’orateur était sommé de justifier sa position de « classe », et donc sa légitimité à s’exprimer. Avec le numérique et singulièrement les réseaux sociaux, ce « D’où parles-tu camarade ? » s’est transformé en « Vas-y camarade : profite, exprime-toi autant que tu veux… tu as et tu es la parole ! ».

    C’est un fait : nous sommes désormais noyés dans un flot ininterrompu de paroles, au point, parfois, d’espérer un peu de silence…
    Bien sûr, on ne cédera pas à ce trop facile « c’était mieux avant… » au point d’oublier que ce sont ces outils numériques qui ont notamment permis à la parole de se libérer : #MeToo, #BlackLivesMatter, #OccupyWallStreet, #JeSuisCharlie ou, plus récemment #MahsaAmini … des milliards de prises de paroles pour exprimer une indignation et faire bouger l’ordre établi.

    Avec la révolution numérique, tout ou presque est devenu parole. Nous, les humains, avons d’ailleurs perdu ce privilège de la parole depuis que les machines interagissent sans cesse avec nous : réfrigérateurs, voitures, livres, journaux (à défaut de la lire, cette chronique peut être écoutée) : sans jeu de mots, tout nous parle.
    Outre que tout cela génère une cacophonie assourdissante qui a pour résultat de rendre impossible toute tentative de hiérarchisation de l’information, ce magma de mots, de sons et d’images (vidéos, smileys, SMS…) a pour effet de banaliser la parole et, par voie de conséquence, d’étouffer le débat.

    On se parle sans s’écouter, on se parle entre soi, on parle pour exclure, on parle pour ne rien dire… bref, trop de paroles tue la parole, selon la formule connue, en écho à la thèse de l’ouvrage récent de Monique Atlan et Roger-Pol Droit, « Quand la parole détruit [1] ».

    Ne rêvons pas : on ne refermera plus cette boîte de Pandore, qui, grâce à la palette d’outils numériques à la disposition du plus grand nombre, permet à cette parole de triompher voire de se transformer en arme lorsque celle-ci se mue en injure, complotisme, calomnie ou haine de l’autre.
    Alors comment tenter de réguler cette parole ou, à défaut, essayer de la canaliser ? Bien sûr, il y a la vision idéale d’un Socrate pour qui le « dialogue » (« dia » : à-travers et « logos » : parole) permet d’exercer sa raison grâce à l’échange et à l’objection. Nous n’en sommes malheureusement plus là…

    Il faut donc réfléchir à d’autres formes de maîtrise de la parole, non pour censurer mais pour faire en sorte que les débordements liés aux outils numériques soient contenus.

    Dans son dernier ouvrage, la philosophe Monique Canto-Sperber [2] avance l’idée que la liberté d’expression, héritée de grandes lois au XIXe siècle – en France, avec notamment la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse -, repose sur le principe que ceux qui avaient accès à la parole, pouvaient certes critiquer, contester… mais que leurs interventions dans le débat public se faisait en cohérence avec « un langage et des valeurs communes » [3].

    C hacun a les moyens de s’exprimer, mais les paroles les plus extrêmes sont valorisées par les algorithmes avec pour conséquence que la parole devient assassine et, partant, que l’écoute, les nuances et le débat n’existent plus. Et de conclure que la liberté d’expression est « un droit qui doit être limité si son emploi cause un dommage ».
    L’une des pistes consisterait donc à réfléchir à des actions destinées à définir ce qui est/serait admissible ou pas en termes de paroles et de liberté d’expression. Constat a priori logique mais pas simple à mettre en œuvre à l’ère du numérique, et cela, dans un État de droit.

    L’autre piste pour tenter de canaliser cette parole débridée, qui débouche souvent sur des formes de violence verbale, consiste à miser, voire imposer un plus haut niveau de responsabilisation des grandes plateformes. Concrètement, il faudrait règlementer en faveur de la fin de l’anonymat.

    En le faisant, on pourra tout autant s’exprimer mais on ne pourra plus le faire en toute impunité, en se cachant derrière un pseudonyme. Certes, la fin d’un anonymat généralisé qui déresponsabilise utilisateurs et diffuseurs n’est pas pour demain, mais cette idée connaît néanmoins de réelles avancées.

    Contraints de se réinventer et à appliquer les réglementations imposées par les États, et singulièrement l’Union Européenne (RGPD, DSA, DMA : ces sigles comme autant d’initiatives de l’UE pour réglementer le Far-West numérique), les GAFA tendent de plus en plus à proposer à leurs utilisateurs de nouveaux services payants qui passent par des contraintes d’identification.

    Outre que ces identifications individuelles s’avéreraient, à long terme, plus rentables que les formules qui reposent sur la gratuité et l’anonymat, elles permettraient à ces plateformes d’avoir le beau rôle : avoir été à l’origine d’une maîtrise du niveau de violences verbales sans toucher à la sacro-sainte liberté d’expression et tout en générant plus de bénéfices.
    En soi, un idéal à atteindre qui permettrait de faire en sorte que la parole ne tue plus, et que l’on sache enfin d’où parle ce camarade…
    ___
    NOTE
    1 Monique Atlan et Roger-Pol Droit, « Quand la parole détruit », Éditions de l’Observatoire (décembre 2022).
    2 Monique Canto-Sperber, « Sauver la liberté d’expression », Éditions Albin Michel (avril 2021).
    3 https://www.lepoint.fr/postillon/canto-sperber-la-liberte-d-expression-releve-du-juste-pas-du-bien-24-04-2021-2423560_3961.php

    Afrique : Pour une autonomie alimentaire ?

    Afrique : Pour une autonomie alimentaire ?
    par Benoit Faivre-Dupaigre

    Chargé de recherche, département Diagnostics économiques et politiques publiques, Agence française de développement (AFD)

    Inflation, conflits, changement climatique… Pour toutes ces raisons, l’insécurité alimentaire en Afrique refait l’actualité : début janvier 2023, l’ONU alertait notamment sur la hausse de l’insécurité alimentaire « grave » au Sahel.

    Depuis trente ans, c’est la pauvreté, plus que le déficit de production, qui est mise en exergue comme cause profonde de l’insécurité alimentaire. Mais avec une population africaine qui pourrait presque doubler d’ici 2050, la question de l’offre, et donc de la production locale d’aliments, redevient une priorité.

    La définition de l’insécurité alimentaire a évolué au cours des dernières décennies pour mieux prendre en compte ses manifestations et ses causes immédiates.

    La sous-alimentation, indicateur le plus marquant de l’insécurité alimentaire, est caractérisée par un accès moyen déficient à une alimentation saine, nutritive et suffisante. Elle touchait 278 millions d’Africains en 2021, soit un tiers des personnes concernées dans le monde. L’Asie en représente actuellement la moitié ; mais en 2030, la sous-alimentation devrait concerner autant d’Africains que d’Asiatiques.

    En complément, des indicateurs d’insécurité alimentaire modérée et grave ont été établis à partir d’enquêtes de ménages afin de déceler des périodes de restriction ou de privation de nourriture allant jusqu’à mettre en péril la santé des personnes. L’insécurité modérée se manifeste par des repas sautés ou des quantités ingérées réduites, alors que l’insécurité grave se traduit par des journées entières sans manger.
    L’Afrique est la région du monde où non seulement la prévalence de l’insécurité alimentaire globale est la plus élevée (58 % de la population craint de ne pas pouvoir, ou ne peut pas, se nourrir tous les jours), mais aussi celle où la part de personnes en situation d’insécurité grave est la plus forte.

    Au total, 322 millions d’Africains sont touchés par l’insécurité alimentaire grave et 473 millions supplémentaires par des formes modérées, pour une population de plus de 1,2 milliard de personnes sur le continent. Sans oublier que l’Afrique concentre sept des huit pays où plus de 80 % des habitants sont en situation d’insécurité alimentaire modérée ou grave.

    La principale cause de la sous-alimentation est, en Afrique comme dans le reste du monde, la pauvreté. Les ménages pauvres qui achètent leur nourriture, notamment dans les villes, doivent y faire face à un coût de l’alimentation particulièrement élevé.
    L’alimentation saine en Afrique, qui coûte 3,46 dollars par personne et par jour, était en moyenne plus chère qu’en Amérique du Nord et en Europe, où la dépense moyenne équivalait à 3,19 dollars en 2020. Parallèlement, la population rurale, encore majoritaire en Afrique, dispose de peu de moyens (terres, eau, intrants) lui permettant de produire suffisamment de nourriture jusqu’à la récolte suivante.

    Logiquement, donc, c’est grâce à la forte croissance économique enregistrée lors de la décennie avant 2015 que la sécurité alimentaire avait pu s’améliorer. Elle s’est accompagnée, dans certains cas, d’une nette amélioration des indicateurs de malnutrition, notamment en ce qui concerne le retard de croissance des enfants de moins de 5 ans ou l’émaciation des enfants. Ces progrès sont à mettre au crédit de politiques plus performantes de ciblage des familles vulnérables et des femmes allaitantes.
    Une dépendance alimentaire généralement modeste

    L’idée que l’insécurité alimentaire en Afrique est liée aux difficultés d’accès aux denrées (faute de revenus suffisants) plus qu’au manque de disponibilité de la nourriture est bien ancrée.

    Cependant, une autre fragilité entre dans l’équation : la dépendance alimentaire, c’est-à-dire la proportion des biens alimentaires importés par rapport à l’ensemble de ceux consommés. Globalement, elle reste modeste, puisque la part de l’approvisionnement alimentaire national issu des importations n’est que de 16 % en moyenne sur le continent (contre 13 % à l’échelle mondiale). Mais ces chiffres cachent des inégalités au sein du continent. Ainsi, dans la moitié des pays, la dépendance aux importations céréalières est supérieure à 40 % (30 % en moyenne). Cette dépendance est encore plus marquée dans des pays comme l’Algérie, le Congo, le Gabon, le Botswana et le Lesotho, qui sont dépendants des importations céréalières à plus de 70 % (à l’inverse, d’autres, comme ceux du Sahel, ont une dépendance inférieure à 10 %).

    Or, l’analyse sur de larges données montre que plus un pays est dépendant de l’extérieur pour son alimentation, plus les indicateurs d’insécurité alimentaire sont sensibles aux dégradations macroéconomiques liées aux échanges internationaux. Cela place ces pays dans une situation de vulnérabilité en cas de choc économique, notamment sur les marchés internationaux et intra-africains, comme ce fut le cas en 2022 avec la guerre russo-ukrainienne.

    Dès lors, les perspectives de croissance démographique de l’Afrique et donc d’une hausse de la demande en nourriture couplées aux conséquences du changement climatique sur son agriculture, remettent la question de l’offre et de l’autonomie alimentaire des Africains au premier plan.

    D’ici à 2050, 60 % de l’augmentation de la population mondiale se produira en Afrique, et ce continent sera le seul dont la population rurale aura continué à croître (+ 35 %). L’Afrique devra satisfaire une demande alimentaire qui sera supérieure de plus de 160 % à ce qu’elle est aujourd’hui.

    La recherche de l’autonomie alimentaire est donc essentielle à la sécurité alimentaire de l’Afrique comme stratégie de réduction de la dépendance externe, de création de richesse en direction des ruraux pauvres – les plus vulnérables à l’insécurité alimentaire – et de création d’emplois (nécessaire à court terme, notamment dans les campagnes).

    La croissance de la production alimentaire est indispensable, mais avec une contrainte : si l’on veut éviter l’expansion des cultures sur de nouvelles terres, notamment au détriment des forêts, cette croissance doit être atteinte en privilégiant la hausse des rendements. Cela revient à s’éloigner de la trajectoire suivie depuis les indépendances, largement fondée sur l’extension des surfaces cultivées.
    La marge de manœuvre est étroite, puisque différents scénarios réalistes projettent pour l’Afrique des besoins en surfaces supplémentaires allant d’une centaine jusqu’à plus de 500 millions d’hectares – et ce, avec des hypothèses souvent modestes de changement climatique et de son impact sur les rendements.

    Si l’on devait se limiter à cultiver les surfaces actuellement cultivées (hors herbages), on devrait multiplier par huit les importations alimentaires en Afrique subsaharienne. D’autres études montrent que pour maintenir le niveau d’autosuffisance, il faudrait non seulement combler le fossé de rendement entre l’existant et le potentiel, mais aussi multiplier le nombre de récoltes sur une même surface, ce qui impose d’irriguer beaucoup plus largement.

    Un compromis reste à trouver, mais la hausse des rendements demeure incontournable. Dans cette logique, le soutien à l’agriculture par l’amélioration de la productivité de la terre aurait une triple vertu : limiter l’impact environnemental de cette croissance, lutter contre la dépendance aux marchés internationaux, mais aussi lutter contre la pauvreté et donc améliorer la sécurité alimentaire. Soutenir l’agriculture en Afrique serait deux fois plus efficace que de mettre en œuvre des politiques visant à augmenter la productivité dans le secteur industriel pour lutter contre la pauvreté.

    La relance de l’offre agricole – qui bénéficierait aux agriculteurs, qui sont aussi les plus pauvres – et la recherche de plus d’indépendance alimentaire redeviendront donc des sujets prioritaires dans les années à venir.
    ________________________________________
    Cet article a été co-écrit avec Bio Goura Soulé (Institut de recherches et d’applications des méthodes de développement/Cédéao). Pour une analyse plus détaillée de ces questions, lire L’Économie africaine 2023, paru aux éditions La Découverte en ja

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