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Archive mensuelle de décembre 2022

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Covid France 28 DÉCEMBRE 2022 : nouvelle baisse avec +140 MORTS ET +26.081 NOUVEAUX CAS

Covid France 28 DÉCEMBRE 2022 : +140 MORTS ET +26.081 NOUVEAUX CAS

On enregistre mercredi 28 décembre 2022 :26.081 cas supplémentaires en 24h soit aul tota l1.568.638 cas confirmés, +140 MORTS en 24h soit, 161.715 morts au total

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.469 (+6) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 132.246 (+134 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,79 le taux d’incidence à 421,26 et la tension hospitalière à 29,3 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 24.993 (-91) personnes hospitalisées et 1.483 (+36) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 5.939 (+18) hospitalisées, 390 (+7) en réanimation et +14 décès en 24h
Grand Est : 2.167 (+9) hospitalisés, 123 (0) en réanimation et +9 décès en 24h
Hauts de France : 2.504 (+64) hospitalisés, 153 (+14) en réanimation et +8 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.745 (-29) hospitalisés, 156 (+4) en réanimation et +15 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.405 (+6) hospitalisé, 144 (+2) en réanimation et +18 décès en 24h
Bretagne: 971 (-29) hospitalisés, 56 (+3) en réanimation et +5 décès en 24h
Normandie : 1.100 (-21) hospitalisés, 35 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.857 (-64) hospitalisés, 137 (-7) en réanimation et +16 décès en 24h
Pays de la Loire : 743 (-24) hospitalisés, 36 (+1) en réanimation et +6 décès en 24h
Occitanie: 1.992 (+67) hospitalisés, , 137 (+16) en réanimation et +20 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.110 (-58) hospitalisés, 44 (-2) en réanimation et +11 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.113 (-24) hospitalisés, 56 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h

Encore un chèque bois énergie …. À quand un chèque pastis énergie

Encore un chèque bois énergie …. À quand un chèque pastis énergie ?

Faute d’une politique énergétique efficace et cohérente, le pouvoir multiplie les petits cadeaux via des chèques. Ou la politique de régulation remplacée par le secours populaire , le secours catholique ou les restos du cœur. .

Il est clair que la régulation par les prix incluant notamment une modulation de la fiscalité et un meilleur fonctionnement des conditions de concurrence serait plus efficiente que la distribution de chèques au caractère très temporaire et en plus très peu réclamés par les bénéficiaires potentiels.

On peut se demander si les producteurs d’alcool forcément eux aussi touchés par la crise énergétique ne vont pas recommander au pouvoir de distribuer également des chèques pastis énergie ( ou autre alcool.) tant il est vrai que la consommation de cet élixir contribue à l’élévation de la température intérieure autant qu’à celle du moral.

Comme nous sommes dans une période caractérisée par l’émergence du corporatisme auquel ne résiste pas le pouvoir; les habitués du bistrot seraient légitimes , via Internet évidemment, à solliciter un chèque de boissons alcoolisées pour contribuer à remonter la santé de la filière et leur propre température.

Le plus drôle dans cette distribution de cadeaux de Noël ,c’est que ce chèque bois énergie est également un « chèque en bois » puisque financé par l’emprunt qui atteint désormais près de 115 % du PIB et représente presque 50 milliards de charges financières. Un chèque pinard énergie ne serait sans doute pas susceptible d’alourdir de façon excessive un endettement qui comme l’alcool provoque une addiction durable.

Covid France 28 décembre 2022: 208 morts et 30.989 cas supplémentaires en 24h

Covid France 28 décembre 2022: 208 morts et 30.989 cas supplémentaires en 24h.

On enregistre mardi 27 décembre 2022 : 208 morts et 30.989 nouveaux cas confirmés en 24h .

Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.463 (+2) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 132.112 (+206 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 0,79 le taux d’incidence à 428,10 et la tension hospitalière à 28,6 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 25.084 (+41) personnes hospitalisées et 1.447 (-7) malades en réanimation.

• Bilan des régions


• Ile-de-France : 5.921 (-43) hospitalisées, 383 (-6) en réanimation et +30 décès en 24h
• Grand Est : 2.158 (-48) hospitalisés, 123 (-13) en réanimation et +35 décès en 24h
• Hauts de France : 2.440 (+89) hospitalisés, 139 (+9) en réanimation et +25 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 2.774 (-9) hospitalisés, 152 (+4) en réanimation et +22 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.399 (+44) hospitalisé, 142 (-3) en réanimation et +21 décès en 24h
• Bretagne: 1.000 (+2) hospitalisés, 53 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
• Normandie : 1.121 (+15) hospitalisés, 33 (-1) en réanimation et +11 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.921 (+4) hospitalisés, 144 (+10) en réanimation et +17 décès en 24h
• Pays de la Loire : 767 (-19) hospitalisés, 35 (-6) en réanimation et +6 décès en 24h
• Occitanie: 1.925 (+15) hospitalisés, , 121 (+3) en réanimation et +10 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 1.168 (+6) hospitalisés, 46 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 1.137 (-1) hospitalisés, 60 (-3) en réanimation et +10 décès en 24h

Société et e-commerce: Stop au tout digital

Société et e-commerce: Stop au tout digital

La présence en ligne n’est pas la panacée. Encore moins une solution miracle pour redresser une entreprise en crise. Rechercher à tout prix et sans prendre de hauteur un projet de digitalisation pourrait même s’avérer dangereux. Par Romain Didrich, Fondateur de l’agence Kaizen (dans la Tribune)

Une tribune intéressante mais dont l’objet n’était pas de traiter également le côté kafkaïen de la digitalisation de l’ensemble de la société qui génère la robotisation des relations humaines NDLR

« Halte au tout digital !… À la suprématie d’Internet !… Au règne du click et du e-commerce ! ». On ne compte plus le nombre d’entreprises qui se lancent, tête baissée, dans un projet de digitalisation. Certaines dans l’optique de faire comme le concurrent. D’autres, pour répondre aux injonctions de notre société qui ne jure désormais que par le virtuel. D’autres, encore, par simple vanité personnelle. Parce qu’il est toujours valorisant de pouvoir afficher une jolie vitrine qui chante les louanges de son activité. Quand bien même serait-elle dématérialisée.
Bien sûr, une présence en ligne s’avère utile pour développer une activité commerciale (prestation de service, hôtellerie et restauration, vente de produits…).

Elle n’est toutefois pas toujours nécessaire et peut même se révéler dangereuse. A défaut d’accompagnement stratégique sur la question, certaines entreprises s’enlisent dans un projet de digitalisation mal ficelé, mal pensé, mal piloté. La perte de temps (et d’argent) qui s’ensuit n’est bien souvent pas négligeable. Surtout pour les petites entreprises.

Les ayatollah du digital oublient bien souvent un élément. Un détail qui a toutefois son importance : le réel, la vraie vie… et le bon sens ! Non, le digital n’est pas toujours la meilleure solution pour faire connaître son activité et se développer. En e-commerce, les places sont chères. Seule une poignée d’établissements « remontent » en première page Google. Comment peut-on espérer être visible, avoir des « e-clients », lorsque l’entreprise n’apparaît qu’en troisième ou quatrième page du moteur de recherche ?

Prenons l’exemple d’un producteur de vin qui souhaite développer son activité. Sur la Toile, il sera confronté à des géants du secteur. Des mastodontes comme Nicolas, Cash Vin, Dock du Vin, etc. Difficile, voire impossible, dès lors, pour ce producteur de tirer son épingle du jeu en ligne. S’il souhaite faire connaître sa marque et son produit, mieux vaut établir avec lui et pour lui, une stratégie à son échelle. Pourquoi pas autour de petits événements physiques et de proximité (stand sur des marchés, présence dans des salons…). Et, s’il parvient à développer son chiffre d’affaires et à fidéliser sa clientèle, alors il pourra envisager sereinement une stratégie de e-commerce. Une stratégie adaptée à son activité et à sa cible. En effet, les clients fidélisés sur les marchés seront les premiers à naviguer sur le site du producteur et donc, les premiers à acheter en ligne.

La logique est la même pour les petits commerçants. Notamment dans l’univers du prêt-à porter. Comment des boutiques de quartier peuvent-elles se démarquer sur Internet face à des marques comme H&M, Promod, Ba&sh, mais aussi des plateformes comme Amazon, Shein, Veepee…? Chercher une très grande visibilité en ligne n’a, dans ce cas, que peu d’intérêt. Le principal client de ce type de commerce est un consommateur local. C’est d’ailleurs parce qu’il est ultra-local que celui-ci est bien souvent très fidèle. Pour un tel commerce de proximité, la clientèle ne se fait pas en ligne, mais dans la rue. Avant de chercher une présence en ligne, il est ainsi indispensable de penser à la visibilité de la boutique. Est-elle suffisamment éclairée ? Est-elle située dans une zone passante ? Ses horaires d’ouverture sont-ils clairement affichés ? Des questions qui peuvent paraître anodines mais qui, bien souvent, passent à la trappe. Elles sont pourtant indispensables avant d’envisager tout chantier digital.

Qu’en est-il pour les professions libérales, les auto-entrepreneurs et autres acteurs qui n’ont ni pignon sur rue ni objet matérialisable à vendre ? Ces acteurs doivent effectivement, d’une manière ou d’une autre, déployer leur visibilité en ligne (sauf s’ils disposent d’une solide réputation et qu’ils ont la possibilité de se développer uniquement grâce au « bouche à oreille ». C’est rare, mais ça existe). Ces professions n’ont pas nécessairement besoin d’avoir leur propre site et ont la possibilité de se reposer sur la puissance de célèbres plateformes.
Les kinésithérapeutes, ostéopathes, podologues… peuvent ainsi compter sur le rayonnement de doctolib.

Ils ont la possibilité de se présenter, d’indiquer leur activité, leur mode d’exercice, leurs tarifs… et même de diffuser des photos d’eux et de leur cabinet. Il en va de même pour les restaurants, les hôtels ou les gîtes, qui peuvent très largement se présenter via des sites spécialisés comme Booking ou TheFork.

Nombreux sont les établissements qui font le choix de ne pas avoir de site propre et de n’être visibles que sur ces plateformes. D’autres entreprises optent pour une solution encore plus simple et se limitent à une page Facebook ou une référence Google via une fiche d’établissement (anciennement connue sous le nom « Google my business »). Une présence a minima sur la Toile mais qui, dans certains cas, suffit à atteindre son but final : augmenter son chiffre d’affaires.

Mieux vaut ainsi, pour un grand nombre d’acteurs, une présence simple et efficace sur la Toile, qu’une stratégie complexe, chronophage et coûteuse. Car oui, digitaliser son activité n’est pas une mince affaire. Elle suppose à la fois d’avoir un regard global sur le secteur, sur l’activité, sur la zone géographique, sur les objectifs commerciaux… Elle suppose ensuite de déterminer la meilleure stratégie possible. Cette stratégie prend en compte la création d’un site, mais aussi son référencement sur les moteurs de recherche. Un projet complet et, à certains égards complexe, qui suppose à la fois d’en avoir les moyens financiers et de s’entourer des bonnes personnes. Des prestataires aguerris et éclairés qui sont capables d’avoir non seulement un regard technique mais également une vision stratégique et globale. Sans quoi digitalisation pourrait bien rimer avec damnation.

« L’Enfer numérique »


« L’Enfer numérique »
 :

Dans son livre « L’Enfer numérique », Guillaume Pitron rappelle les origines du numérique et explique comment ce nouvel outil de la communication a des conséquences catastrophiques sur notre environnement
.( chronique du Monde)

Le livre. Le 2 octobre 1971, l’humanité est soudainement projetée dans l’ère de l’immédiateté. L’ingénieur américain Ray Tomlinson (1941-2016) envoie le premier e-mail sur Arpanet 1, un réseau informatique prisé des scientifiques et des militaires américains.

Après les routes pavées de l’Antiquité et les chemins ferrés de l’ère industrielle, quelles infrastructures rendent nos actions numériques quotidiennes désormais possibles ? Que se passe-t-il lorsque vous envoyez un e-mail ? Quelle est la géographie des clics ? Quels défis écologiques et géopolitiques charrient-ils à notre insu ? C’est le sujet de L’Enfer numérique. Voyage au bout d’un like (Les liens qui libèrent), de Guillaume Pitron.

« L’Enfer numérique. Voyage au bout d’un like », de Guillaume Pitron, Editions Les liens qui libèrent, 304 pages, 20 euros.

Pendant deux ans, le journaliste a suivi, sur quatre continents, la route de nos e-mails, de nos likes et de nos photos de vacances. Son ouvrage nous conduit dans les steppes de la Chine septentrionale à la recherche d’un métal qui fait fonctionner nos smartphones, mais aussi dans les vastes plaines du cercle arctique où refroidissent nos comptes Facebook, et dans l’un des Etats les plus arides des Etats-Unis, pour enquêter sur la consommation d’eau de l’un des plus grands centres de données de la planète, celui de la National Security Agency (NSA).

« Nous avons découvert qu’Internet a une couleur (le vert), une odeur (de beurre rance), et même un goût, salé comme l’eau de mer. Il émet également un son strident, semblable à celui d’une immense ruche. Bref, nous avons fait l’expérience sensorielle de l’univers numérique, prenant par là même la mesure de sa démesure. »

4 % des émissions globale

Pour envoyer un simple like, nous déployons ce qui sera bientôt la plus vaste infrastructure jamais édifiée par l’homme, un royaume de béton, de fibre et d’acier, un inframonde constitué de datacenters, de barrages hydroélectriques et de centrales à charbon, tous unis dans une triple quête : celle de puissance, de vitesse et… de froid.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés L’argot de bureau : le management au garde à vous !
L’industrie numérique a beau vanter son tribut positif à la préservation de la planète compte tenu des fabuleux leviers d’optimisation de nos méthodes agricoles, industrielles, « servicielles » qu’elle permet, la réalité est moins enchantée : la pollution numérique est colossale, et c’est même celle qui croît le plus rapidement. Elle est d’abord due aux milliards d’interfaces constituant notre porte d’entrée sur Internet, mais provient également des données que nous produisons à chaque instant.

Les chiffres sont édifiants : l’industrie numérique mondiale consomme tant d’eau, de matériaux et d’énergie que son empreinte est le triple de celle d’un pays comme la France ou l’Angleterre. Les technologies numériques mobilisent aujourd’hui 10 % de l’électricité produite dans le monde et rejetteraient près de 4 % des émissions globales de CO2, soit un peu moins du double du secteur civil aérien mondial.

« La pollution digitale met la transition écologique en péril et sera l’un des grands défis des trente prochaines années. » Une course est désormais engagée : d’un côté, les entreprises du numérique déploient leur formidable puissance financière et d’innovation pour optimiser et « verdir » Internet. De l’autre, des réseaux et communautés de défricheurs pensent qu’un autre numérique, plus sobre, responsable et respectueux de l’environnement est possible.

Par quelles technologies de l’information voulons-nous en effet être accompagnés vers l’avenir ? Fabriquées selon quels procédés et avec quels matériaux ? Souhaitons-nous un réseau central, constitué de lourdes infrastructures permettant des gains énergétiques d’échelle, ou plutôt éclaté afin de relocaliser la transmission des données, grosse consommatrice d’électricité ? Le voulons-nous neutre et dérégulé, ou bien partial, voire liberticide, car n’autorisant que la production de data jugée essentielle ? Devra-t-il être payant ou gratuit ? « Nos rues de l’avenir seront probablement une hybridation de ce large éventail de solutions qui fermentent aujourd’hui aux quatre coins du monde. »

« L’Enfer numérique. Voyage au bout d’un like », de Guillaume Pitron, Editions Les liens qui libèrent, 304 pages, 20 euros.

Espagne: la TVA sur les aliments de première nécessité supprimée

Espagne: la TVA sur les aliments de première nécessité supprimée

Pedro Sanchez, le premier ministre espagnol, a annoncé La suppression de la TVA sur les aliments de première nécessité pour faire face à l’inflation.

Plus d’aides pour les aliments et moins de ristournes sur le carburant. Plus de subventions ciblées et moins de cadeaux universels. Voilà en substance le dernier ensemble de mesures, le sixième depuis l’invasion de l’Ukraine, que prend le gouvernement espagnol pour aider familles et entreprises à faire face à l’inflation. Les dispositions adoptées par l’exécutif ont été annoncées ce mardi par le président du gouvernement lui-même, le socialiste Pedro Sanchez, comme il est de coutume à l’issue du dernier Conseil des ministres de l’année. Une manière aussi de se réserver les bonnes nouvelles à la veille d’une année 2023 qui sera rythmée par les élections municipales, régionales et législatives.

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Un tribunal international pour juger Poutine
Retraites : Bayrou voulait du temps pour expliquer
LR et Ciotti: clarifier rapidement ou disparaitre
élenchon n’est pas mort mais ses héritiers se disputent déjà l’héritage
Covid: Flambée inquiétante en Chine
Fusion nucléaire : Percée majeur aux États-Unis
Retraites : nouveau recul de Macron
Covid France 13 décembre 2022: +10.878 cas en 24h
Corruption Parlement européen : une vice-présidente emprisonnée
La personnalisation de la nature: une erreur
L’inflation temporaire va durer
Loi énergie nouvelle : 72% des français disent NON
Endettement et emprunt record qui représente 10 % de la richesse annuelle du pays
Bompard utilise les méthodes communistes pour « remplacer » Mélenchon

Transition écologique : Un budget riquiqui
Concilier croissance et sobriété ?
5g: un affaiblissement encore plus important des batteries
Manuel Bompard pour remplacer Mélenchon
Europe Ecologie-Les Verts : Le choix entre le gauchisme ou l’environnement
Inflation et salaires : menace de grève à la BCE !
Parlement européen: Un véritable nid de lobbyistes
Transport- »GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON
Corruption Qatar au Parlement européen : une vice-présidente emprisonnée
Politique-Parlement européen: Énorme corruption du fait du Qatar
Compte personnel de formation: Arnaques et fiasco
Sondage Covid : le retour du masque ?
GUERRE EN UKRAINE: MEDVEDEV menace avec de nouvelles armes
Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Une inflation temporaire qui va durer !
Activité économique France: la stagnation au quatrième trimestre
Retraites : le réveil tardif de Bayrou !
Politique-Traduire Poutine en justice
Mondial foot France Angleterre : un grand ouf !
Justice et accident Rio Paris : Airbus et Air France innocentés… dans quatre mois ?
GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON
Réforme des retraites : Un projet du gouvernement très insuffisant
Parlement européen: Énorme corruption du fait du Qatar
Réforme des retraites :tous les syndicats contre le report à 65 ans

Perspective Croissance : la stagnation au quatrième trimestre ?
Energie et Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes
Crise économique, le fret maritime chute
Crise démographique en France : acron veut des préservatifs gratuits pour les jeunes
Démocratie-Macron, champion de la théorie des paradoxes
Politique énergétique- Macron et Hollande ont tué le nucléaire !
Convention citoyenne, Conseil national de la Refondation : où la démocratie de Macron à la sauce Poutine
Convention sur la fin de vie : Une caricature de démocratie
Environnement- Biodiversité : l’extinction des espèces
Covid France 10 décembre 2022 : toujours la hausse avec 65.509 nouveaux cas confirmés en 24h
Réforme des retraites : de très fortes mobilisations en janvier
Justice-Crash Rio Paris : Airbus et Air France innocents… dans quatre mois
Travail-Semaine de quatre jours : Mais même productivité voire davantage ?
Réforme des retraites : le réveil de Bayrou !
Traduire Poutine en justice

Crash Rio Paris : Airbus et Air France innocents… dans quatre mois ?
Social et syndicats: Le mépris de Macron pour les syndicats y compris la CFDT
Chèque carburant : une aumône ridicule
Croissance : la France va frôler la stagnation au quatrième trimestre
Emplois-jeunes: trop faibles en France
Nucléaire : Encore 18 réacteurs à l’arrêt sur 56
Electricité- Macron et Hollande ont tué le nucléaire
Politique-Macron, champion de la théorie des paradoxes
Crise démographique en France : des préservatifs gratuits pour les jeunes !
Covid France 9 décembre 2022 :71 597 cas supplémentaires en 24 heures
Biodiversité : l’extinction des espèces
Réforme des retraites : opposition totale des syndicats au report à 65 ans
Semaine de quatre jours : Mais même productivité voire davantage ?
Urgence écologique oui, dictature verte non

Les surprofits du, renouvelable
Macron, Champion de la théorie des paradoxes
Crise de l »électricité : Macron responsable pour l’opposition
Crash Rio-Paris : Comme souvent exemption de responsabilité pour Airbus et Air Franc
Covid: la Chine s’entête mais plus mollement
Le mépris de Macron pour les syndicats Y compris la CFDT
Macron et Hollande ont tué le nucléaire
Iran: Le régime de dictature menacé ?
SNCF : Une augmentation de salaire de 5,9 % aux cheminots
Enedis réprimandé pour avoir dit la vérité
ÉLECTRICITÉ:60 % des Français pensent réduire leur consommation
Chine : signe du ralentissement mondial le commerce extérieur s’écroule
Record d’emprunt pour la France

Réforme des retraites : vers des grandes grèves générales en janvier
Pauvreté : 6,5% et 8,5% de la population et 300 000 SDF
Justice: La Société de Trump coupable de fraude fiscale
Signe du retournement économique, le fret maritime chute
Assemblée nationale: vents contraires pour les éoliennes
Biodiversité , enjeu de vie sur terre
L’inflation temporaire va durer
Société- Le projet fou d’Elon Musk de connecter les cerveaux
Coupures d’électricité: des conséquences graves et sous-estimées sur l’économie
Covid France 7 décembre 2022 : 105 516 cas supplémentaires en 24 heures

La hausse temporaire des prix va durer !
Loyer à l’Élysée : un appartement valorisé à seulement 2000 € par Macron
« Garanties de sécurité pour la Russie »: Marcon dérape encore
Eglise orthodoxe et Russie : l’alliance de la Kalashnikov et du goupillon
Emplois : Des seniors sous utilisés en France
L’enjeu de l’emploi des seniors
Ecoutes téléphoniques: M. Bismuth est innocent (Sarkozy)
Trafic d’influence : Des Médicis à Sarkozy
Réforme des retraites : Mobilisation des syndicats en janvier
Covid France 6 décembre 2022 :10 591 cas supplémentaires en 24 heures
Finances France : S&P abaisse à «négative» la perspective financière du pays
Chine : Recul de la croissance des services
Loi d’accélération des Enr : 72% des français disent NON
e projet fou d’Elon Musk de connecter les cerveaux

Russie : l’alliance de la Kalashnikov et du goupillon
Notation France : S&P abaisse à «négative» la perspective du pays
Réforme des retraites: Réunion de tous les syndicats aujourd’hui
Iran- Abolition de la police des mœurs : Trop tard pour arrêter la colère
Coupure d’électricité : une catastrophe dans certains élevages d’animaux
Vers triple crise sanitaire ?
Environnement et Biathlon- Haute-Savoie : de la neige transportée par camion !
Perspectives Croissance reportées par Macron en 2024 !
Pétrole : L’Opep + maintient ses quotas
Ecologie: Prolonger la durée de vie des véhicule

RER DANS 10 MÉTROPOLES : Une promesse démago de Macron
Afrique: Le danger du terrorisme …….et de la Russie
Optimisation » fiscale : une fraude d’« environ » 50 milliards par an ?
Fraude fiscale des multinationales : alerte de l’OCDE
Ecole: 55,6 % des collégiens seulement lisent correctement
Coût de l’Énergie : difficultés financières pour 40 % des Français
Biathlon- Haute-Savoie : de la neige transportée par camion !
Croissance reportée par Macron en 2024
Délestages d’électricité : le risque d’une grande pagaille « organisée »
Menaces :Coupures d’électricité : les conséquences d’une politique de gribouille

Durée de la Retraite : Une moyenne de 25 ans supérieure à celle de l’OCDE
Alstom et Valérie Pécresse : enquête judiciaire pour prise illégale d’intérêts
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Pouvoir d’achat : les salariés payent la note de l’inflation
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Inflation et Pouvoir d’achat : le mensonge des experts
Coupure d’électricité : le risque d’une grande pagaille organisée
Énergie- Coupures d’électricité : les conséquences d’une politique de gribouille
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Grèves SNCF : une association appelle à la «grève des billets»

Grèves SNCF : une association appelle à la «grève des billets»

Une association d’Indre-et-Loire appelle à la grève des billets suite aux grèves et aux dysfonctionnements de la SNCF ;une association d’usagers du TGV, qui réunit les abonnés de la ligne Paris-Tours : . La méthode, déjà utilisée par le passé, consiste à ne pas acheter ou présenter son billet lors du contrôle des chefs de bord. Les usagers se regroupent dans le wagon-bar, une mesure qui a connu un franc succès et avait déjà fait ses preuves par la même association il y a dix ans.

Le président de l’association, David Charretier, rappelle cependant «qu’il ne s’agit pas d’une incitation à la fraude» mais plutôt le refus de justifier son abonnement auprès du contrôleur. Cet appel vise d’abord à obtenir l’indemnisation des passagers abonnés à hauteur de 150 euros, le prix de certains forfaits pouvant être assez élevé (entre 500 à 600 euros mensuels).

En outre, l’association plaide pour l’instauration de mesures permettant de «limiter l’impact des grèves sur les usagers SNCF», comme l’instauration d’un service minimum réellement effectif et une réquisition de contrôleurs de réserve.

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan fou Dmitri Medvedev

Apocalypse en Occident : les prédictions du courtisan Dmitri Medvedev

Medvedev qui un temps avait assuré l’intérim de président de la Russie avant de retransmettre le pouvoir à Poutine s’est fait une spécialité de noircir les perspectives pour l’Occident. Il faut dire qu’il en rajoute comme courtisan particulièrement zélé car Poutine s’est toujours méfié de lui. D’abord quand Medvedev a manifesté des velléités de se représenter comme président russe ensuite quand il a fait évoluer un peu le pays vers une conception un peu plus libérale. Du coup, pour se crédibiliser à nouveaux auprès de Poutine, il en rajoute des tonnes et prévoit l’effondrement de l’Occident
et la guerre civile aux États-Unis.Comme d’habitude il s’agit de la rhétorique soviétique qui consiste à dire tout, n’importe quoi et le contraire. Ou la conversion de l’ancien libéral modéré en suppôt zélé du dictateur également fou.
Une maladie qui semble contagieuse chez les oligarques russes.

Extrait des prévisions dans le Figaro

Medvedev commence par affirmer que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5000 dollars pour 1000 mètres cubes, soutient que le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. L’ancien président va jusqu’à redessiner les contours de l’Europe et assure que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Il n’hésite pas à évoquer la création d’un quatrième Reich qui «englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, les États baltes, la Tchéquie, la Slovaquie, la République de Kiev et d’autres parias».

Medvedev ne s’arrête pas là et soutient que la guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. La Pologne sera divisée et l’Irlande du Nord se séparera du Royaume-Uni pour rejoindre la République d’Irlande. Les États-Unis ne seront pas en reste puisqu’une guerre civile mènera, dans l’esprit de Medvedev, à l’indépendance du Texas et de la Californie. Après ce conflit fratricide, ce sera à Elon Musk, élu président des États-Unis selon Medvedev, de recoller les morceaux. L’Asie deviendra alors le refuge des grands marchés boursiers et des activités financières qui quitteront les États-Unis. L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods.

L’ancien président russe termine ses prédictions délirantes par souhaiter de «joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant». Depuis l’invasion de l’Ukraine, le 24 février dernier, Medvedev, pourtant réputé pour être un modéré, s’est transformé en faucon, multipliant les sorties haineuses envers Kiev et les Occidentaux. Il n’a pas hésité depuis à décrire le conflit en termes apocalyptiques et religieux, qualifiant les Ukrainiens de «cafards» dans un langage que Kiev qualifie ouvertement de génocidaire.

Dmitri Medvedev est accusé par la fondation anticorruption de l’opposant politique Alexeï Navalny d’avoir monté un système de pots-de-vin dans son intérêt et d’avoir détourné plus d’un milliard de dollars par ce biais. Ces accusations sont reprises dans le documentaire Ne l’appelez pas Dimon (2017) — qui est vu plus de 33 millions de fois jusqu’en janvier 2020 — et auraient pesé sur sa carrière politique40.
.

Pétrole russe : Poutine interdit la vente

Pétrole russe : Poutine interdit la vente

La Russie interdira à partir du 1er février 2023 la vente de son pétrole aux pays étrangers qui utilisent le plafonnement du prix de l’or noir russe, fixé début décembre à 60 dollars par baril par l’UE, le G7 et l’Australie. «La livraison de pétrole et de produits pétroliers russes à des personnes morales étrangères et autres particuliers est interdite» si ceux-ci utilisent le prix plafond, est-il écrit dans un décret signé mardi par le président russe Vladimir Poutine.

Mercredi 28 décembre 2022 06:00. Le cours du pétrole Brent en dollars était à 84.84 $

Électricité : consommation en baisse

Électricité : consommation en baisse

La consommation d’électricité continue de baisser en France, avec un recul de 7,4% la semaine dernière par rapport à la moyenne des années précédentes (2014-2019) la même semaine, selon les dernières données du gestionnaire du réseau RTE publiées mardi soir. Ce chiffre est diffusé après retraitement des effets calendaires et météorologiques : il s’agit donc de la consommation qui aurait eu lieu si les températures avaient été alignées sur les températures normales pour la période.

De cette manière, il est possible d’identifier les variations structurelles de la consommation d’une année sur l’autre, au-delà des effets météorologiques, explique RTE. Ces variations structurelles sont l’effet, par exemple, des variations dans l’activité économique ou des actions orientées vers la sobriété. Sur les quatre dernières semaines, la baisse structurelle moyenne atteint 8,7%.

Le rythme de baisse a toutefois ralenti la semaine dernière (-7,4% contre -8,1% celle d’avant), selon un calcul «excluant les années aux configurations calendaires trop différentes (la position du jour de Noël conditionne la consommation de la semaine entière)», indique le gestionnaire du réseau électrique.

LFI et Nupes : Un risque d’explosion

LFI et Nupes : Un risque d’explosion

« Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens », peut-on lire dans une tribune de militants de LFI mais aussi de la NUPES. Inutile de tourner autour du pot, ce sont certains militants exclus de la direction de LFI et des écologistes radicaux d((écologie les Verts qui sont à la manœuvre.

Pourtant en adhérant à la Nupes, ces militants auraient dû savoir qu’ils adhéraient en même temps au centralisme démocratique habituel des organisations procommunistes. Et Mélenchon n’a jamais caché sa sensibilité de ce point de vue. Témoin la manière dont il a imposé aussi le nouveau patron de LFI et les autres dirigeants non pas élus mais choisis en fonction de leurs « compétences particulières ».

« Nous demandons une démocratie interne plus juste où les représentants seront nommés et légitimés par les militant-e-s et non pas essentiellement par le cercle restreint par le bureau national », écrivent-ils encore.La formulation de démocratie plus juste pose question. Il n’y a pas en effet de démocratie plus ou moins juste mais une démocratie ou une dictature. Quand on est dans un parti pro communiste, il faut en accepter le principe et les modalités.

« Appliquez vos promesses, agissez: oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles », exhortent les signataires.
Suspendu pour quatre mois de son groupe à l’Assemblée nationale dans la foulée de sa condamnation, début décembre, à quatre mois de prison avec sursis pour des « violences » sur son épouse, le député du Nord s’était déclaré victime d’un « lynchage médiatique » et a refusé de démissionner.

Ce qui est en cause dans ces protestations c’est la future existence non seulement de LFI mais aussi de la Nupes dans certains adhérents naïfs et ou hypocrites constatent aujourd’hui le caractère autoritaire forcément antidémocratique.

L’Euro, bourreau et sauveur

L’Euro, bourreau et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat dû à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie.

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France. Entre début 2021 et septembre dernier, l’euro avait plongé de 22 % rapport au dollar.

Application de rencontres ou la déshumanisation

Application de rencontres ou la déshumanisation


par François Nicolle,Enseignant chercheur – ICD Paris, ICD Business School et Ziyed Guelmami, Enseignant-chercheur en marketing, Institut Mines-Télécom Business School
Déclaration d’intérêts
dans the Conversation

Aujourd’hui, malgré une réputation encore sulfureuse, les applications constituent un moyen crédible de rencontrer des partenaires pour de nombreux Français.
À titre d’exemple, près d’un quart des Français ayant trouvé un partenaire depuis la fin du premier confinement l’a rencontré sur une application de rencontre.
Pourtant, ce type de plates-formes suscite encore de la méfiance pour les non-utilisateurs, mais aussi pour les utilisateurs. Ces derniers vivent parfois ces applications comme des espaces de frustration et parfois de souffrance. Au-delà du lieu commun du « supermarché de l’amour », nous proposons d’examiner les raisons pour lesquelles les applications de rencontre peuvent aliéner ou objectifier leurs utilisateurs.

Un design d’application exploitant le désir amoureux

Quel que soit leur concept (à l’exception des applications de slow dating proposant volontairement peu de profils dans une logique qualitative) et, leurs spécificités, les applications de rencontre visent à faciliter et à accélérer les rencontres. À l’instar des réseaux sociaux, leur enjeu économique fondamental est l’acquisition, la rétention et la monétisation de leurs utilisateurs. Et comme pour les réseaux sociaux, la démarche business sous-jacente à ces plates-formes revêt de graves conséquences.

Ainsi, dès l’inscription, les applications simplifient l’accès à leur vivier de célibataires : il suffit souvent d’un compte Facebook ou d’un numéro de téléphone, et d’une image pour exister sur la plate-forme. Les utilisateurs étant peu guidés et conseillés, la qualité des profils s’en ressent.
Selon l’étude que nous avons menée dans le cadre de notre ouvrage « Applications de rencontre. Décryptage du néo-consumérisme amoureux », seulement 59 % des profils masculins proposent une description et un tiers d’entre eux proposent une description ou biographie de plus d’une phrase. La pauvreté du contenu de nombreux profils (ou leur aspect très artificiel) implique que l’on s’y attarde moins, qu’on ne les prend pas au sérieux. En conséquence, l’être humain derrière le profil s’avère beaucoup moins visible. Notons que ce phénomène est moins prégnant sur les sites de rencontre traditionnels (où les frais d’inscription supposent une plus grande élaboration du profil) et sur certaines applications encourageant les utilisateurs à répondre à un grand nombre de questions pour alimenter leur profil.

Ce premier problème n’a pourtant qu’une influence toute relative sur le désir des utilisateurs, promis à la rencontre d’une abondance de célibataires. Une ou deux photos peuvent suffire à susciter l’envie de rencontrer. Ici, la nécessité des applications à retenir leurs inscrits peut s’avérer nuisible. Nul ne sait comment sont conçus les différents algorithmes de suggestion de profils, seulement, si l’on se fie à l’expérience des utilisateurs telle qu’elle est racontée, on se rend compte que les applications distillent les profils pertinents au compte-goutte et qu’une lassitude tend à s’installer. Ce sentiment suscite une moindre implication dans la démarche de dating, un moindre intérêt dans chaque profil proposé, et, conséquemment, la multiplication de comportements peu constructifs, voire antisociaux.

Enfin, la nécessité de monétiser les profils prometteurs contribue également à faire des applications de rencontres des machines à créer de la frustration. Il s’agit pour ces plates-formes d’amoindrir la performance naturelle de ces utilisateurs pour les encourager à opter pour des options payantes (pour mettre en avant son profil, pouvoir aimer un nombre illimité de profils ou envoyer un message non sollicité, etc.). Ce système permet aux applications de rencontre de figurer parmi les plus rentables au monde.
[Près de 70 000 lecteurs font confiance à la newsletter de The Conversation pour mieux comprendre les grands enjeux du monde. Abonnez-vous aujourd’hui.]
L’utilisateur lambda, attiré par les applications pour leur gratuité apparente, se retrouve donc sans le savoir dans une sorte de purgatoire où son expérience serait rendue volontairement frustrante, aux antipodes de la promesse initiale des plates-formes, en proie aux problèmes d’estime de soi que l’on peut imaginer. On observe ainsi nombre d’utilisateurs s’accrochant désespérément à la moindre mise en contact et certains autres développant de l’agressivité.

Un système fécond de comportements antisociaux

La conception (le design) des applications de rencontre, ainsi que la nature même du cyberespace, favorise les comportements antisociaux et tend donc à déshumaniser les rencontres en ligne. Nous abordons ici quelques exemples parlants qui nous ont été relatés dans le cadre de notre étude.

Tout d’abord, parmi les critères d’adoption des applications de rencontre, deux aspects sont régulièrement évoqués : s’engager dans une logique d’homophilie ou s’ouvrir à de nouveaux horizons. Si cela semble contradictoire, nos recherches démontrent que ces deux approches aboutissent sur un comportement de recherche similaire : une hypercritérisation.
D’après notre étude, 73,8 % des répondants se considèrent plus sélectifs en matière de critères sur les applications que dans la vie hors ligne. Cette hypercritérisation correspond à une tendance très prononcée à focaliser son attention sur des critères conçus comme des préférences personnelles mais souvent découlant du système des applications tels que l’âge, la taille, la couleur de peau, des cheveux, le métier, le niveau d’études, la religion, la qualité de l’orthographe, etc.

Cette hypercritérisation va souvent de pair avec une hypersélectivité. Un utilisateur pourra donc considérer que le moindre élément d’un profil est rebutant et disqualifier ainsi chaque profil non conforme, à tout moment. Ce phénomène, s’il peut paraître bénin ou légitime, tend à vider la démarche de rencontre de son sens, à la rendre bien plus artificielle et à instaurer la fameuse atmosphère de « prêt-à-jeter » tant décriée sur les applications. Paradoxalement, l’hypercritérisation et l’hypersélectivité constituent le revers de la médaille d’une trop grande abondance de profils.

Violence du ghosting

En conséquence, le ghosting s’est imposé comme un acte de violence normalisé et intériorisé par les utilisateurs. Ce terme issu de l’anglais « ghost » (fantôme) désigne le fait de ne plus donner de nouvelles à quelqu’un de manière subite et définitive, sans raison apparente. Selon notre étude, 53 % des hommes et 80 % des femmes admettent l’avoir déjà fait lors de leur activité de dating. Il est intéressant de noter que le ghosting se pratique aussi après une rencontre « en réel » suite à des échanges sur les applications de rencontre. Il ne s’agit donc pas seulement d’un problème de design des applications ; le système d’abondance qu’elles ont instauré altère également les interactions humaines hors du monde virtuel.

Plusieurs éléments viennent favoriser cette pratique sur les applications : la consommation cyclique des plates-formes (les utilisateurs s’inscrivent et se désinscrivent au gré de leur situation amoureuse), l’incitation à flirter avec plusieurs personnes à la fois, la décontextualisation des rencontres (c’est-à-dire qu’aucun contexte social ne consolide le lien établi entre deux personnes), la mauvaise perception – paradoxale – que l’on a des autres utilisateurs sur ces plates-formes (c’est le cas de 54 % des répondants de notre étude), le fait d’être soi-même régulièrement victime de ghosting et de vouloir « rendre la pareille ».

La problématique de l’hypercritérisation présente également des cas plus extrêmes, par exemple la fétichisation, notamment des minorités. De nombreux témoignages ainsi que les travaux du chercheur français Marc Jahjah mettent en évidence ce phénomène sur les applications. La fétichisation consiste dans ce cas à ne plus considérer son interlocuteur comme un individu à part entière, mais à l’assimiler à une catégorie, un stéréotype, basé sur des critères visibles comme la couleur de peau, la taille, une partie de son corps (seins, mains, pieds, cheveux, sexe, etc.). Ici, l’humain est donc réduit à l’un de ses attributs : il s’agit donc d’une forme d’objectification qui contribue à alimenter le sentiment de déshumanisation et de marchandisation sur les plates-formes de rencontre.
Quitter les applications pour réhumaniser la rencontre en ligne ?

La lassitude (la « dating fatigue ») est sans doute le plus grand mal qui ronge le monde des applications aujourd’hui. Si ces plates-formes semblent satisfaire leurs utilisateurs au début de leur activité, ce sentiment semble décroître au fur et à mesure du temps, ce qui amène logiquement les utilisateurs à quitter ces plates-formes. 88 % de nos sondés déclarent avoir déjà désinstallé toutes leurs applications de rencontre. Cependant, parmi eux, seuls 31 % l’ont fait car ils avaient rencontré une personne qui leur convenait. Les 69 % restants ont quitté les applications par lassitude, pour leur caractère chronophage ou suite à une mauvaise expérience. Ces chiffres ne surprennent pas, étant donné que la frustration sur les applications de rencontre fait partie intégrante de leur modèle d’affaires « freemium ».

En guise d’alternative, les ex-utilisateurs, notamment les jeunes, se tournent de plus en plus vers les réseaux sociaux comme Instagram pour faire des rencontres. Sur ces plates-formes, les échanges sont perçus comme plus authentiques, et donc, plus humains.

Nous soulevons donc le rôle essentiel que les utilisateurs ont à jouer pour contribuer à réhumaniser les rencontres en ligne, mais soulignons surtout la responsabilité des applications qui se doivent de proposer une conception éthique de l’expérience utilisateur si elles souhaitent se pérenniser. Un mouvement s’opère déjà chez les plates-formes pour intégrer des dispositifs de sécurité et pour lutter contre les pratiques antisociales mais leur modèle d’affaires semble encore limiter leurs options.

La folie du tout numérique

La folie du tout numérique

Comme à chaque étape d’évolution technologique, le numérique a apporté des progrès indiscutables mais ses excès ont aussi favorisé la déshumanisation des relations sociales.

La vapeur, l’électricité, l’automobile ont constitué des étapes importantes de l’évolution technique mais ont également favorisé des effets pervers. Par exemple, le rail qui a remodelé l’aménagement du territoire et créé de véritables déserts économiques et sociaux en supprimant les lignes secondaires alors qu’au contraire il pouvait être un outil de développement harmonieux et équilibré.

L’ Électricité quant à elle ne doit pas faire oublier ses conditions de production tout autant que les gâchis de consommation. Il aura fallu attendre la guerre d’Ukraine pour qu’on commence à limiter l’inutile illumination permanente des villes qui par parenthèse trouble l’orientation des oiseaux migrateurs. Le numérique aura été la grande découverte et la grande application à partir de la fin du XXe siècle. Entreprises, citoyens, politiques perdent beaucoup en crédit s’ils ne glissent pas le mot numérique à chaque phrase.

Il s’agit évidemment d’un moyen extraordinaire pour transmettre en temps réel des masses d’informations qui demandaient précédemment des jours voire des semaines et même davantage. L’intérêt de la technique -autant que la mode- acontraint une grande partie de l’économie et de la société à se soumettre à la nouvelle religion. Évidemment avec la ferveur des nouveaux convertis.

Même les relations les plus intimes sont donc confiées également aux outils télé informatiques. Les progrès aidants, on pourra même se passer d’un humain pour converser. Et les perspectives d’évolution sont sans limites puisque des robots pourraient se substituer totalement à l’homme lors des échanges. D’autres envisagent d’implanter une puce dans le crane des humains véritablement en situation d’addiction technologique. Le Smartphone fait désormais parti du corps humain même la nuit. De ce point de vue, ses pannes seront un jour pris en charge par la sécurité sociale.

Les situations les plus kafkaïennes sont créées par ce recours surréaliste à la technique du digital. Ainsi toutes les relations administratives et commerciales ou presque passent par des plates-formes Internet ou des robots qui font semblant de répondre aux questions qui se posent.

Les marchands du temple ont bien entendu aussi envahi le numérique avec leur pub, leur fichier, leur site de vente. L’administration elle-même s’est engouffrée dans cette mode. Au lieu de répondre à une question, le robot propose la touche 1 ou la touche 2, 3 ou 4 avant même qu’on ait pu saisir le choix proposé.( Ou on propose de prononcer des mots que l’ordinateur ne comprend pas évidemment). Heureusement , il y a la touche 5 ( Où le mot de départ) qui permet de revenir au premier message qui tourne ainsi en boucle.

Le pire sans doute c’est que la numérisation a affecté encore davantage les rapports humains que les rapports commerciaux et administratifs. Mais en réalité, l’utilisateur du Smartphone, de la tablette ou de l’ordinateur converse surtout avec lui-même. Et les « progrès » aidant on pourra même se passer d’intermédiaires techniques et sombrer dans une sorte de schizophrénie permanente quand l’intéressé finira par se parler à lui-même. Il ne s’agit sans doute pas de déréglementer surtout ce qui relève du privé mais de développer une sorte d’éthique et de formation à l’usage de techniques qui mettent l’homme en situation de dépendance au même titre que l’alcool ou la drogue certes avec des conséquences moins mortelles.

L’excès de numérique ne met pas forcément en cause la vie humaine mais il peut condamner à vivre idiot.

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