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Archive mensuelle de février 2022

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S’approvisionner en matériaux locaux en France

 S’approvisionner en matériaux locaux en France

L’Union Nationale des Industries de Carrières et de Minéraux (UNICEM), qui représente la filière des carrières et matériaux de construction interpelle les candidates et candidats sur la nécessité de maintenir une industrie française des matériaux minéraux forte, dans une double perspective économique et écologique. Par Alain Boisselon, Président de l’UNICEM.

Une attitude cohérente dans la mesure où pour l’instant des motifs « écologiques » la France externalise à l’étranger l’extraction et la pollution des minéraux nécessaires à son économie.

 

Dans un contexte où le changement climatique est une préoccupation centrale et où les ruptures d’approvisionnement mettent en danger le fonctionnement des filières économiques, notre industrie, carrières et centrales à béton principalement, ne cesse de démontrer la nécessité économique et écologique de produire des matériaux « made in France » et de proximité.

Pendant la crise sanitaire, nos entreprises adhérentes ont fait le choix de maintenir leur activité économique malgré l’effondrement des commandes. Maillon essentiel de la chaîne de production, elles ont soutenu la reprise rapide de la filière BTP souhaitée par le Gouvernement. Nos sites, répartis sur l’ensemble du territoire, au plus proche de leurs clients, permettent une grande réactivité, favorisent les circuits courts et contribuent de façon positive à diminuer l’empreinte carbone liée au transport. Ce maillage de proximité participe également à la création et au maintien de l’emploi dans de nombreux territoires ruraux.

Soutenir une industrie mobilisée et engagée pour la transition écologique

Consciente depuis plusieurs décennies de l’importance des sujets environnementaux, notre filière est pleinement engagée dans la lutte pour la préservation de la biodiversité et contre le changement climatique. Avec la charte environnement des industries de carrières, notre filière est l’une des premières à s’être dotée, dès 1992, d’une démarche sectorielle environnementale. Depuis 2017, l’association UNICEM entreprises engagées propose également un référentiel de labellisation RSE (responsabilité sociétale des entreprises) sectoriel, évalué par des organismes tiers indépendants, facilitant l’engagement de nos entreprises dans la RSE.

Nous sommes convaincus que la lutte contre le changement climatique nécessite plus que jamais de favoriser l’emploi du bon matériau au bon endroit à la juste quantité en ayant notamment recours à la mixité des matériaux. Il est bien sûr nécessaire et essentiel de poursuivre les efforts en matière de recyclage (aujourd’hui, 76% des déchets inertes sont valorisés ou recyclés et l’objectif est d’atteindre 90% en 2028). Néanmoins, nous devons un discours franc à nos concitoyens : ni le recours à des matériaux alternatifs, ni le recours aux granulats recyclés ne permettra de couvrir la totalité des besoins de la construction et des travaux publics dans les années à venir.

Les carrières sont des installations classées pour la protection de l’environnement. A ce titre, la durée des autorisations d’activités des carrières peut être de 30 ans. Or, concrètement et dans la majorité des cas, les autorisations sont délivrées pour une durée de 15 ans. Face à cette situation, nous attendons une sécurisation juridique et une simplification administrative pour les entreprises.

L’enjeu est de maintenir la capacité de la France à s’approvisionner en matériaux locaux, durables et bon marché

 

 

La crise sanitaire a montré les limites de la mondialisation. Les donneurs d’ordre doivent valoriser davantage dans les appels d’offres les productions en boucles courtes et nationales. L’UNICEM prône notamment l’utilisation du levier de la commande publique qui représente 10% du PIB, soit environ 200 milliards d’euros, pour atteindre ces objectifs. Il s’agit d’encourager la commande publique locale et responsable.

Pour l’industrie des roches ornementales et de construction soumise à une concurrence européenne et extra-européenne féroce, il s’agit même d’une question de survie. Ces TPE-PME contribuent, avec des matériaux de qualité, à l’aménagement de nos villes et à l’entretien de notre patrimoine. Pour faire face à la concurrence des produits importés, qui a eu pour conséquence la disparation de 20% des entreprises française de la pierre entre 2010 et 2018, nous demandons la mise en place d’un plan d’investissement économique au niveau national. Ce plan d’investissement, en faveur de la modernisation des outils industriels, permettra aux PME et TPE de la filière de participer à la compétition internationale.

Il s’agit de soutenir la modernisation de l’industrie de la pierre de construction, une filière d’excellence au service de la transition écologique pour garantir une concurrence équitable vis-à-vis de ses concurrents extra-européens.

Condamner Poutine devant la cour pénale internationale

Condamner Poutine devant la cour pénale internationale

 

 

 

 

Poutine n’est évidemment pas le seul dictateur qui mérite d’être poursuivi en justice par la cour pénale internationale. Il présente toutefois la particularité de ne s’appuyer sur aucune idéologie, aucun parti, aucune organisation. Poutine ne suit que ses intérêts personnels ( Il détient une fortune personnelle de 40 milliards de dollars quand le salaire médian mensuel est de 500 € en Russie et que par exemple seulement 30 % de la population a pu être vaccinée contre la Covid. Poutine  règne comme un tsar par la peur tant vis-à-vis de ses collaborateurs que surtout vis-à-vis de ses opposants.

 L’éthique de Poutine est celle du KGB qui consiste à éliminer par la violence toute contestation y compris par l’emprisonnement et le meurtre.

 Il n’y a aucune rationalité idéologique voire même politique chez Poutine à moyen et longs termes le régime de Poutine est condamné car il a échoué économiquement et politiquement. C’est précisément parce qu’il est conscient sans doute de la catastrophe économique de la Russie et de l’affaiblissement politique de son pays que Poutine réagit comme une bête blessée en répondant la terreur sur son propre peuple et celui de l’Ukraine.

De ce point de vue, les experts se seront largement trompés dans cette affaire. Beaucoup imaginaient qu’on ne n’avait à faire seulement à une guerre médiatique avec un enjeu sur les deux seules provinces séparatistes du Donbass. L’enjeu va bien au-delà, les forces militaires russes ont pour objectif de détruire la démocratie en Ukraine et d’y substituer un pouvoir fantoche comme en Biélorussie. Surtout il n’est pas certain que Poutine s’arrête à l’Ukraine tellement la réponse des occidentaux est à la fois molle et lâche à la fois.

Poutine mérite donc d’être éliminé, d’abord suivi dans le cas de la cour pénale internationale voir éventuellement même interné car il est évident que la santé mentale du dictateur est largement affectée si l’on en juge par sa posture largement démentielle.

Pour l’instant,  les occidentaux prennent encore des pincettes avec Poutine. Clairement cela se traduit par un quasi abandon de l’Ukraine et de son chef d’État .

Même les sanctions économiques- rarement très efficaces–sont molles et peu adaptés à l’enjeu.

Poutine : la folie meurtrière d’un dictateur condamné

Poutine : la folie  meurtrière  d’un dictateur condamné

 

Il n’est nul besoin d’être un grand psychologue pour vérifier la folie de Poutine. Ce pur produit KGB ne connaît que la violence et le meurtre et son visage reflète les maladies mentales de l’intéressé. En même temps, il fait la preuve d’une intelligence limitée car cette guerre en Ukraine sonnera un jour ou l’autre la fin d’un régime totalitaire au seul service de Poutine. La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

Fin du masque dans les zones de pass

Fin du masque dans les zones de pass

 

Dès lundi, le masque n,’est  plus obligatoire dans les lieux exigeant un pass vaccinal. En clair, il ne sera plus imposé dans les musées, cinémas, restaurants. Il restera obligatoire au travail, dans les magasins, les administrations, les services publics et les transports.

A partir de lundi, un seul test devient nécessaire (autotest, PCR ou antigénique) deux jours après avoir été déclaré cas contact, pour les personnes vaccinées

Après la zone B, les contraintes s’allègent pour la zone A, de retour de vacances. Le protocole dans les écoles y passe au niveau 2, comme l’avait annoncé le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, le 11 février. Cela permet d’enlever le masque pendant la récréation et autorise davantage de brassage entre les élèves de même niveau. Toutefois, le port du masque restera obligatoire à l’intérieur pour les personnels et les élèves de 6 ans et plus.

Un enfant déclaré cas contact ne devra plus faire qu’un seul test de dépistage (PCR, antigénique ou autotest), deux jours après, avant de pouvoir revenir en classe s’il est négatif.

Guerre: Jusqu’où ira la folie de Poutine ?

Guerre:  Jusqu’où ira la folie de  Poutine ?

Un papier de la « Tribune » s’interroge sur les folies de Poutine prêt à tout pour maintenir son pouvoir et qui pourrait y compris étendre le champ de la guerre dans d’autres pays d’Europe.Sans parler de sa dernière menace relative à l’utilisation de l’arme nucléaire.

« A ce stade, nul ne sait où s’arrêtera Vladimir Poutine. Après l’Ukraine, voudra-t-il étendre l’influence russe dans d’autres territoires de l’ancienne URSS comme la Roumanie ou les Etats baltes ? Alors que l’autocrate russe n’hésite pas à brandir l’arme nucléaire pour montrer ses muscles face à l’Occident, l’OTAN prend ce risque suffisamment au sérieux en prévoyant d’y envoyer des troupes. «

 L’opération de Poutine est préparée de longue date si l’on se réfère notamment aux attaques précédentes notamment contre la Géorgie et en Crimée.

« . Tout laisse entendre que l’ « opération spéciale » déclenchée par Vladimir Poutine était prévue de longue date. Pas seulement par la mobilisation massive de 180 divisions aux frontières de l’Ukraine. Mais aussi par son calendrier. Poutine, qui a pris soin de s’assurer de la neutralité de Xi JinPing, le président chinois, en se rendant à l’ouverture des JO d’hiver à Pékin, a su attendre la fin de ceux-ci pour déclencher son offensive. Il a aussi habilement assoiffé l’Europe, en particulier l’Allemagne, en rationnant ses livraisons de gaz, ce qui a accéléré la flambée des prix de l’énergie et accentué le rapport de forces en sa faveur. »

Le papier de la tribune explique que les sanctions prises contre la Russie sont un peu à double tranchant compte sur cette contradiction :

 « Certes, les sanctions contre Poutine feront mal au pouvoir d’achat des Russes via l’impact sur l’inflation et la désorganisation du commerce, mais ceux-ci en ont pris l’habitude depuis 2014 et se sont largement autonomisés. En outre, Poutine a sans doute préparé l’adaptation de la Russie aux sanctions, en négociant une possible alliance commerciale avec la Chine, la moins vocale pour dénoncer son attaque. Pour l’heure, quoi qu’il en soit, les livraisons de gaz de la Russie ne sont pas concernées par les sanctions. »

Les occidentaux s’accommoderaient bien d’une situation qui neutraliserait  l’Ukraine et mettrait fin au conflit, reste que Poutine risque de ne pas s’en tenir à son intervention en Ukraine

« Poutine, s’il parvient à ses fins sans provoquer un bain de sang dans les populations civiles, ce qui n’est pas encore certain vu la forte résistance héroïque de l’Ukraine, ne s’arrêtera pas là. Son objectif affiché désormais clairement est bien plus vaste : revenir à la situation qui prévalait avant 1997. Le monde est donc entré dans une déstabilisation durable avec une Europe »

Des conséquences économique partout

L’économie n’en sortira pas indemne. Le jeudi noir sur les marchés financiers, certes plus calmes vendredi, en donne la mesure, même s’il est pour l’heure impossible de chiffrer cet impact. Pour les entreprises comme pour les consommateurs, une période durable de trouble s’annonce. Emmanuel Macron ne l’a pas caché : cette crise aura des conséquences, directes et indirectes, « sur nos vies, nos économies et notre sécurité ». Vendredi soir, l’OTAN a indiqué qu’elle prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre tous les membres de l’alliance.

Retour de la guerre en Europe ?

Retour de la guerre en Europe ?

 

 

La guerre a commencé en Ukraine. Les choix des Etats-Unis et de l’Union européenne (UE) sont riches d’enseignements et lourds de questions pour l’avenir. A quoi sert l’unité occidentale, si elle n’empêche pas la guerre ?  analyse, dans une tribune au « Monde », l’historienne Maya Kandel.

 

Le fait que la guerre a commencé est d’abord un échec de la dissuasion par les sanctions. Rappelant dans différentes déclarations les principes de l’action américaine, le président Joe Biden avait tracé une ligne rouge : pas d’intervention militaire directe. Il avait en même temps énoncé quatre priorités : choix de la diplomatie et des sanctions ; redéploiements de troupes américaines vers les territoires des Etats baltes, membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) ; unité de la réponse « occidentale » ou de la communauté internationale à travers de nouvelles sanctions visant à « punir et infliger de la douleur » au pouvoir russe ; volonté de limiter les conséquences négatives pour les entreprises et les consommateurs américains (les élections de la Chambre des représentants se tiendront dans huit mois).

Le timing, interprété souvent comme une lenteur confinant à la faiblesse, confirmait au contraire le choix américain de laisser les Européens, plus précisément l’UE – et au premier chef Berlin avec le gazoduc Nord Stream 2 –, en leaders de la réponse à Vladimir Poutine. Un deuxième paquet de sanctions devrait suivre, prêt du côté américain, mais qui pourrait mettre à mal l’unité transatlantique.

Les choix américains ne devraient pas constituer une surprise. Joe Biden met en œuvre ce que trois présidents successifs n’ont cessé de marteler : les Etats-Unis ne sont plus les gendarmes du monde, l’Europe est un théâtre secondaire dans leurs priorités, les Européens doivent assumer davantage leur sécurité.

Les réactions de l’opinion et des responsables politiques américains montrent jusqu’ici l’absence de ralliement autour du président et la force du sentiment anti-interventionniste ou isolationniste des Américains. Les bombardements russes enterrent définitivement l’après-guerre froide ainsi que l’architecture de sécurité européenne héritée de la guerre froide et prolongée dans les années 1990. Le président ukrainien a rappelé amèrement la politique d’apaisement des leaders français et britannique vis-à-vis du nazisme, en 1938, et ses piètres résultats…

La vraie rupture côté américain se trouvait dans les propos de Donald Trump sur une OTAN déclarée « obsolète » et dont il avait été tout près de retirer les Etats-Unis en 2017. Poutine n’avait alors aucune raison d’interrompre son admirateur américain. Trump parti, le président russe teste ce qui reste de cet héritage chez un président affaibli de l’intérieur par les accusations d’illégitimité portées par son prédécesseur et devenues la position dominante du Parti républicain.

Covid France 28 février 2022 : baisse avec 42 600 cas en 24 heures

Covid France 28 février 2022 : baisse avec 42 600 cas en 24 heures

On enregistre ce dimanche 27 février 2022 baisse avec 42 600 cas en 24 heures ,

138.135 morts au total, +76 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.155 (+24) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 109.980 (+52 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,57 le taux d’incidence à 645,99 et la tension hospitalière à 49,2 %. Le taux de positivité est à 18,8 %.

La France compte actuellement 25.277 (+13) personnes hospitalisées et 2.491 (+7) malades en réanimation.

Selon les données de Santé Publique France, Découvrez le bilan des différentes régions françaises et leur évolution :

  • Ile-de-France : 5.061 (+6) hospitalisées, 530 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Grand Est : 2.112 (-6) hospitalisés, 214 (-1) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Hauts de France : 2.208 (-28) hospitalisés, 209 (+4) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 2.906 (+13) hospitalisés, 277 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.706 (+8) hospitalisé, 296 (-1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Bretagne: 1.038 (-7) hospitalisés, 69 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Normandie : 1.386 (+5) hospitalisés, 96 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.920 (-6) hospitalisés, 175 (-2) en réanimation et +8 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 809 (+4) hospitalisés, 78 (+5) en réanimation et +2 décès en 24h
  • Occitanie: 2.248 (0) hospitalisés, , 238 (-8) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 902 (+4) hospitalisés, 83 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 1.048 (0) hospitalisés, 103 (+2) en réanimation et +3 décès en 24 h.

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