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Archive mensuelle de septembre 2021

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Afghanistan : un discours « América first » de Biden

Afghanistan : un discours « América first » de Biden

 

Benjamin Haddad, chercheur en relations internationales, directeur « Europe » au think tank Atlantic council de Washington analyse le discours de Biden après le retrait des troupes américaines en Afghanistan, il estime que c’est un discours « que n’aurait pas répudié Donald Trump » car « ici, on était beaucoup plus dans un discours America first ».(

 C’est un discours assez long, près de trente minutes, comment l’analysez-vous ?

Benjamin Haddad : C’est vrai mais c’est un discours assez énergique et offensif. Au-delà de la question de l’Afghanistan, c’était un discours de vision et de doctrine de politique étrangère.

Joe Biden a essayé de remettre sa décision dans le contexte plus large des priorités des Etats-Unis : la compétition stratégique avec la Chine, la Russie, ce qu’il a appelé la défense des intérêts vitaux des Etats-Unis. Il a expliqué que ce type d’opération [en Afghanistan] n’en faisait plus partie.

Puis, il a parlé aussi du Nation building, le fait de construire des États à l’étranger, de transformer des régimes, des sociétés. Cela a été un peu l’une des axes de la politique étrangère américaine, en tout cas depuis les années Bush… Tout ça, c’est fini.

A cet égard, ce qui était frappant, c’est que Donald Trump n’aurait pas répudié ce discours. On est très loin ici des accents America is back : l’Alliance des démocraties, la défense de la démocratie libérale dans le leadership américain qu’on avait entendu lors de la campagne de Joe Biden ou au début de sa présidence. Ici, on était beaucoup plus dans un discours America First : défense des intérêts vitaux des Etats-Unis. C’est un message aussi que les alliés européens, les Allemands ou les Britanniques,feraient bien d’entendre. En particulier ceux qui étaient très impliqués dans l’opération afghane et qui ont été traumatisés par ce retrait précipité.

Est-ce que ça signifie réellement que c’est la fin de toute intervention militaire dans un pays étranger ?

Il faut être effectivement un peu prudent. Ce qui est certain, c’est que c’est son intention. Il l’a dit, il n’est pas le premier à le dire. Au fond, il est dans la continuité de ses deux prédécesseurs. Il avait été le vice-président de Barack Obama et l’un des voix les plus non-interventionnistes dans l’administration de Barack Obama. Mais bien sûr, on voit des continuités avec Donald Trump. Il l’a dit d’ailleurs lui-même il ne fait qu’appliquer l’accord qui avait été trouvé par Donald Trump avec les talibans à Doha en mai 2020.

Mais les guerres éternelles, comme on dit aux Etats-Unis, ont parfois une tendance à se rappeler aux bons souvenirs des Américains. Barack Obama en avait été la victime, évidemment, avec l’émergence de Daech en Irak et en Syrie. L’agression russe contre l’Ukraine aussi. Les combats en Afghanistan sont peut être terminés pour les Américains, mais on voit aujourd’hui les représailles menées par les talibans contre un certain nombre d’Afghans.

Joe Biden a fait allusion aux autres menaces, la cybercriminalité, mais aussi la Chine et la Russie. Qu’est-ce qu’il faut comprendre par là. Qu’est-ce que vous comprenez dans la nouvelle façon de faire de la politique internationale pour les Etats-Unis ?

Ce qui est certain, c’est que Joe Biden, voyait dans cet engagement en Afghanistan coûtent des troupes, de l’énergie, du capital politique et évidemment de l’argent, alors que l’attention devrait être focalisée sur la rivalité stratégique avec la Chine.  C’est l’une des priorités.

La question aujourd’hui est de savoir quelle lecture font les Russes ou les Chinois de ce retrait précipité qui n’a évidemment pas été « un succès extraordinaire », comme l’a dit le président Biden, au contraire. La couverture médiatique mondiale qui en est faite est plutôt celle d’une débâcle. Pour la crédibilité des Américains vis-à-vis de leurs adversaires stratégiques, effectivement, la question se pose.

SALAIRES DES ENSEIGNANTS: salaire mini à 2000 EUROS ……D’ICI 2024

SALAIRES DES ENSEIGNANTS: salaire mini à 2000 EUROS ……D’ICI 2024

Les enseignants sont toujours aussi mal payés en France; pour preuve, le ministre de l’éducation nationale a fixé un objectif de « 2000 euros net minimum pour tout professeur en 2024″.

Interrogé sur le salaire des enseignants français, considéré comme l’un des plus bas en Europe, Jean-Michel Blanquer a déclaré qu’il « comprenait totalement » les enseignants français qui réclament une revalorisation de leur salaire.

« Il y a encore moins d’un an, c’était 1700 euros net par mois pour commencer sa carrière de professeur. Avec les mesures que nous prenons, en février 2022, ce sera 1869 euros net par mois », rappelle le ministre de l’Éducation .

Chômage partiel : très nette baisse

Chômage partiel : très nette baisse

Selon les dernières statistiques du ministère du Travail dévoilées lundi 30 août, 600.000 salariés étaient concernés par l’activité partielle en juillet dernier, soit environ 3% des salariés du secteur privé. Au mois de juin, plus de 1,4 million de personnes étaient encore dans cette situation. Avec une baisse de 56% entre juin et juillet, le chômage partiel atteint ainsi son plus bas niveau depuis le début de la pandémie au printemps 2020.

La réouverture de l’économie , la levée des barrières sanitaires et la moindre indemnisation du chômage partiel depuis le mois de juin ont fait diminuer les statistiques concernées. La progression de la vaccination a aussi facilité le retour au bureau d’un grand nombre de travailleurs.

Economie, politique, société: les plus lus

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L’industrie d’armement française condamnée ?

L’industrie d’armement française condamnée ?

 

Vauban, association qui regroupe une vingtaine de spécialistes, réitère ses critiques concernant l’industrie d’armement française qu’elle considère comme condamnée à terme. (dans la « Tribune »)

 

D’abord, l’Europe. Bureaucratique comme à son habitude, Bruxelles a mis un soin particulier à accumuler, en pleine crise sanitaire, des projets qui, mis bout à bout, défont, dans un bel élan schizophrénique, les systèmes de défense des pays membres : en premier lieu, cette pantalonnade – hélas ! sérieuse – du temps de travail des militaires. Par un arrêt de début juillet, la Cour de Justice européenne a purement et simplement mis à bas les forces armées européennes : en séparant les activités « ordinaires » des militaires pour lesquelles le droit européen du travail doit s’appliquer et les activités exceptionnelles (opérations), comme la Commission et l’Allemagne l’avaient déjà avalisé d’ailleurs, elle brise l’unicité du régime des militaires dont la noblesse du métier (et non la singularité, étrange mot qui rabaisse la vocation) est de servir en tout temps et en toutes circonstances leur pays.

La Cour, en rendant ainsi impossible le travail de la gendarmerie, des sapeurs-pompiers, du service de santé des armées, etc, réussit là où l’URSS n’avait pas réussi : mettre à bas tout le système de défense des nations européennes sans tirer un coup de feu.

Après le temps de travail, un autre mauvais coup venu de Bruxelles - le projet dit « Corporate Sustainability Reporting Directive » – menace quant à lui le bras armé des forces : l’industrie d’armement, sans laquelle un appareil de défense ne peut songer à l’indépendance et à l’efficacité. La transparence qui s’appliquait aux domaines financiers puis commerciaux (Loi Sapin-II) des sociétés, s’attaque désormais aux domaines de l’environnement, des enjeux de société et de gouvernance : c’est ainsi qu’après avoir soumis le commerce et la gouvernance des sociétés à leur tyrannie opaque et sans appel mais jamais désintéressée, les mêmes acteurs (ONG, avocats, fonds éthiques, agences de notation, etc) désirent désormais détruire le cœur même de son existence : le financement des activités industrielles et commerciales de la Défense.

Forcément coupable de corruption, forcément auxiliaire des dictateurs et autres génocidaires, forcément nuisible à toute société, l’industrie d’armement ne doit plus être financée, ni pour la R&D ni pour la production et a fortiori pour l’exportation. Banques, assurances, bourses : toutes ces institutions financières tremblent désormais devant l’ONG ; peu importe au fond que les financements de celle-ci soient opaques, que ses campagnes ne soient qu’orchestrées que dans les pays où elles sont tolérées et non dans les pays qui en auraient le plus besoin (Chine, Corée du Sud, Turquie, Russie, Biélorussie, Ukraine, Serbie et Israël) et que leurs analyses et informations soient fausses et infondées presque SYSTEMATIQUEMENT, seule l’image compte.

On préfère l’éolienne à l’avion de combat. Aucun banquier, aucun assureur, aucun responsable de fonds ne voudra se compromettre avec les marchands de canon dont tous veulent la peau. Ce mouvement, déjà en branle depuis des années, est désormais légitimé par la Commission avec ce projet de directive. Comme pour le temps de travail, l’Europe s’attaque ainsi à une institution dont la vocation n’est pas la guerre, mais la paix. Le militaire et l’industriel d’armement sont les instruments de cet adage romain, pilier des nations civilisées : si vis pacem, para bellum.

Une telle réalité, à la fois historique et sociale n’étant pas décemment niable, qu’ont donc réellement en tête les autorités européennes en torpillant ainsi coup sur coup les fondements humains et financiers d’un système de défense qu’en « même temps » elles prétendent bâtir (boussole stratégique, Fonds de défense, DG Défense, etc) ? « Comment peut-on être européen », se demanderait un Montesquieu moderne en se penchant sur le fort peu ragoûtant chaudron bruxellois ?

L’Allemagne ensuite qui sera, sans nul doute, le GRAND sujet des années à venir. Force est de constater que les analyses développées il y a un an se sont toutes vérifiées, comme celles de Bainville que nous citions ; le divorce stratégique de fond entre Paris et Berlin ? Il s’est accentué, notamment sur la dissuasion nucléaire et le rôle de l’OTAN, deux pierres d’achoppement fondamentales qui viendront toujours ruiner les espoirs naïfs des dirigeants français qui n’ont TOUJOURS pas compris qu’ils ne rallieront jamais l’Allemagne à ces deux positions.

Les coopérations d’armement ? Là aussi, une doctrine atlantiste et pacifiste ne peut que produire des déceptions dont la meilleure illustration demeure la gifle allemande que Paris a reçue sans broncher sur l’avion de patrouille de maritime. C’est moins ici le fond que la méthode allemande qui aurait dû choquer Paris, puisque pour la deuxième fois (et non la dernière), Berlin n’a pas pris de gants pour l’infliger à ses interlocuteurs français. Il y a avait eu avant, souvenons-nous, le débat sur l’autonomie stratégique européenne, où la ministre de la Défense, pourtant discréditée pour incompétence en Allemagne même, avait pris le parti de critiquer en public et par trois fois le Président français avec le soutien honteux mais réel de la Chancelière… Les difficultés inhérentes aux autres programmes – avion et char de combat – montrent assez que l’Allemagne ne conçoit pas la coopération, mais juste la domination humaines et technologique d’ensembles européens. Délaissée car méprisée, l’industrie d’armement terrestre française vit tous les jours à l’heure allemande.

 L’exportation d’armement ? Avec le poids fondamental car central que les Verts sont en train de se ménager dans la future coalition (qu’elle soit menée par la CDU ou par la SPD), exporter de l’armement en Allemagne, puis en franco-allemand deviendra le pire des parcours d’obstacles. Cette opposition des Verts, des socialistes et de l’extrême-gauche à toute exportation d’armement, n’a pas d’ailleurs seulement convaincu en Allemagne, mais a séduit Bruxelles, ce qui est tout aussi pire. Le rapport de Mme Neumann (septembre 2020) l’avait déjà annoncé : l’exportation d’armement ne sera plus autorisée qu’au sein de l’Union européenne ou de l’OTAN et encore, on lui préférera la coopération sous étroit contrôle de la Commission européenne. Autant dire que l’industrie d’armement française est condamnée à la plus grande joie des autres pays.

Et la France ? En dépit des déceptions européennes et allemandes, le gouvernement maintient le cap, c’est-à-dire qu’il accepte sans sourciller le cours des choses telles qu’elles sont planifiées à Bruxelles et à Berlin ; nulle critique n’est autorisée ; nulle consigne de résistance face la Cour de Justice ; nulle dérogation pour la défense dans le cadre de la directive ESG ; nulle remise en cause des modalités mêmes des coopérations avec l’Allemagne.

Tout se passe comme si la réalité n’avait plus aucune prise, et surtout comme si Mme Goulard, pourtant éphémère ministre de la défense, avait fait triompher sa doctrine définitivement lorsqu’elle annonçait prophétiquement le 8 juin 2017 : « Si nous voulons faire l’Europe de la défense, il va y avoir des restructurations à opérer, faire des choix de compatibilité et, à terme, des choix qui pourraient passer dans un premier temps pour aboutir à privilégier des consortiums dans lesquels les Français ne sont pas toujours leaders ».

Tout était donc dit il y a quatre ans : les partisans acharnés de l’Europe de la Défense telle qu’elle se construit sous nos yeux, ne peuvent qu’adhérer ou se taire. Mais, et c’est l’intérêt de la période actuelle, tout n’est pas consommé : un sursaut est possible, et c’est à celui-ci que nos prochaines tribunes s’attacheront.

À Bruxelles 20 % des lobbys sont américains

À Bruxelles 20 % des lobbys sont américains

D’après une étude, à Bruxelles il y a environ 600 entreprises de lobbying et 20 % sont américaines. Au total elles auraient dépensé de l’ordre de 100 millions sur un an. L’objectif évidemment est de s’immiscer dans les procédures de décision et d’influencer les décideurs européens.

 

Google domine ainsi le classement des dépenses de lobbying avec 5,75 millions d’euros investis, suivi par Facebook (5,5 millions), Microsoft (5,25 millions), Apple (3,5 millions), selon l’étude menée par l’ONG Corporate Europe Observatory (CEO) publiée mardi 31 août. L’autre fait notable est cette année la cinquième place du Chinois Huawei, avec 3 millions d’euros dépensés.

En 6e position se trouve Amazon avec 2,75 millions d’euros, suivi par IBM, Intel, Qualcomm et Vodafone Belgium (ayant dépensé 1,8 million d’euros chacun). Au total, 20% des entreprises pratiquants le lobbying à Bruxelles sont basées aux Etats-Unis, selon cette étude qui précise que les firmes se regroupent parfois sous le statut d’autres entités, telles des associations, pour porter leurs intérêts auprès des décideurs.

SCAF (avion de combat du futur) : un apport de 8 milliards par Berlin, Madrid et Paris

SCAF  (avion de combat du futur) : un apport de 8 milliards par Berlin, Madrid et Paris

L’Allemagne, l’Espagne et la France ont signé lundi soir à Paris l’accord intergouvernemental pour la poursuite du programme SCAF (Système de combat aérien futur) jusqu’au premier vol du démonstrateur en 2027 (phases 1B et 2) avec un apport financier de 8 milliards. Cet accord, qui est un prérequis à la signature des contrats entre les industriels concernés et la Direction générale de l’armement (DGA), prévoit les modalités et les financements nécessaires aux études devant mener à un démonstrateur en vol du SCAF. Au cabinet de Florence Parly, on attend la signature des contrats entre la DGA et les industriels dans « les prochaines semaines ».

Ménages : hausse des dépenses contraintes

Ménages : hausse des dépenses contraintes

Les dépenses contraintes c’est-à-dire les dépenses incontournables peuvent représenter dans les ménages aux jusqu’à 50 % du budget. (  logement ,abonnement ,service etc.). Ces dépenses. sont passées entre 2001 et 2017 de 27% à 32% des dépenses totales des ménages en France, selon une étude publiée mardi par France Stratégie. Cette augmentation est une explication du «net décrochage entre pouvoir d’achat perçu et pouvoir d’achat mesuré», selon cet organisme rattaché à Matignon.

Pour les ménages pauvres, les dépenses contraintes sont passées de 31% à 41% sur la période, que pour les ménages aisés, pour lesquels elles sont passées de 25% à 28%.

Croissance Amérique latine: révision à la hausse à 5,9 %

Croissance Amérique latine: révision à la hausse à 5,9 %

La Commission économique pour l’Amérique latine et les Caraïbes (Cepalc) a revu mardi à la hausse ses prévisions de croissance économique pour la région, à 5,9% pour 2021, dans un effet rebond après la forte baisse provoquée par la pandémie de coronavirus.

En juillet, la Cepalc avait déjà revu ses prévisions à la hausse à 5,2% contre 4,1% en avril. En 2020, le PIB s’était contracté de 6,8% en raison de la pandémie.

Cette prévision de croissance bénéficie «des effets positifs dérivés de la demande extérieure et de la hausse des prix des produits de base exportés par la région, ainsi que de l’augmentation de la demande globale», indique la Cepalc dans son rapport.

 

Europe : le retour de l’inflation ?

Europe : le retour de l’inflation ?

L’Allemagne mène la danse avec 3,9 % d’inflation en août, au plus haut depuis la veille de la crise financière de 2008. La montée des prix

pourrait «entraîner une insatisfaction croissante chez les gens, qui ressentent vraiment la hausse», redoute Carsten Brzeski, économiste chez ING à Francfort. Ce dernier était parmi les rares à anticiper un scénario inflationniste au début de l’année. Tiré par l’Allemagne, ce scénario est en train de se matérialiser bien au-delà des prévisions.

Pour l’ensemble de la zone euro, l’inflation atteint 3 % en août. Jusque-là la plupart des experts avait considéré que cette tendance à la hausse des prix n’avait qu’un caractère provisoire. Du provisoire qui pourrait bien durer avec la reprise économique, la hausse des matières premières et des couts logistiques.

Foot : Griezmann revient à l’Atlético Madrid

Foot : Griezmann revient à l’Atlético Madrid

 

Griezmann est bien de retour à l’Atlético Madrid, club qu’il avait quitté il y a deux saisons. Le français ne s’est jamais vraiment intégré à Barcelone. Il revient donc à ses premières amours là où il avait particulièrement brillé pendant cinq ans.

Covid: encore 10 millions à vacciner

Covid: encore 10 millions à vacciner

Environ 48,5 millions de Français ont reçu au moins une dose à date de lundi, et 43,9 millions, soit 65,1% de la population, sont considérés comme complètement vaccinés.

«On est tombés le 29 août sous les 10 millions de personnes qui ne sont pas vaccinées» parmi les Français de 12 ans et plus, a indiqué le ministère lors d’un point presse en ligne. «Elles sont plus que jamais invitées à aller se faire vacciner, c’est un impératif de santé publique», a-t-on ajouté de même source, alors que se profile l’obligation vaccinale pour de nombreuses professions (dont les soignants) mi-septembre et l’entrée en vigueur du passe sanitaire pour les adolescents fin septembre.

 

Covid- France : stabilisation des indicateurs

Covid- France : stabilisation des indicateurs

Les hospitalisations concernent 11.120 malades du Covid, contre 11.245 lundi et 11.120 le mardi précédent. Après avoir franchi le seuil des 11.000 patients le 23 août, ce chiffre a cessé d’augmenter pour atteindre un plateau depuis plusieurs jours. En 24 heures, 941 patients ont été admis à l’hôpital, contre 725 la veille.

Les services de soins intensifs, qui soignent les cas les plus graves, accueillent 2292 malades, soit deux de plus que la veille, et 2221 sept jours auparavant. Cet indicateur a légèrement progressé sur les sept derniers jours, mais de manière beaucoup moins rapide qu’entre la fin juillet et la mi-août. Le nombre quotidien de décès est néanmoins élevé: 136 personnes ont été emportées par le Covid en 24 heures, portant le bilan total à 114.494 morts depuis le début de la pandémie.

Sur le front des contaminations, 19.425 nouveaux cas ont été enregistrés, contre 24.853 cas il y a une semaine. Depuis jeudi, cet indicateur est passé sous le seuil des 20.000 cas quotidiens.

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