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Archive mensuelle de juillet 2021

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Covid France : 27.934 nouveaux cas en 24 heures

Covid France  : 27.934 nouveaux cas en 24 heures

27.934 nouveaux cas en 24 heures et  7208 patients souffrants du Covid-19 étaient hospitalisés en France, un chiffre en hausse par rapport à la veille (7137). Parmi eux, 490 personnes sont entrées à l’hôpital lors des dernières 24 heures.

Le nombre de personnes en réanimation était également en hausse. 992 patients se trouvaient en soins intensifs ce mercredi, contre 978 mardi. 91 personnes ont été admises lors des dernières 24 heures. 40 personnes sont également mortes à l’hôpital depuis la veille, portant le bilan total depuis le début de l’épidémie à 85.225 morts dans les hôpitaux français. 27.934 nouveaux cas ont également été détectés lors des dernières 24 heures, contre 26.871 la veille.

Du côté de la vaccination, 41.188.399 personnes ont reçu au moins une injection (soit 61,1% de la population totale) et 34.403.826 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 51% de la population totale) depuis le début de la campagne vaccinale en France. 765.697 personnes ont reçu leur première ou deuxième dose de vaccin ce mercredi.

Economie, politique, société: les plus lus

Economie, politique, société: les plus lus

 

Une inflation provisoire… qui risque de durer (FMI)

Une inflation provisoire… qui risque de durer

 

Les économistes volontaristes en matière de croissance ont inventé un nouveau concept l’inflation temporaire. Le problème c’est évidemment que cette inflation temporaire pourrait durer car on voit mal dans l’histoire économique  une inflation disparaître presque aussitôt après son émergence. L’inflation aujourd’hui est largement alimentée par la très forte hausse de toutes les matières premières, matières pour l’industrie ou pour les matières agricoles. La seconde raison est liée au dysfonctionnement de la chaîne logistique largement perturbée par la crise sanitaire et qui accroît les coûts de transport sans parler des ruptures de chaînes de production et de distribution.

Naturellement l’inflation de la production se transmet un moment ou un autre à la consommation sauf déflation. Or la demande est suffisante pour justifier une augmentation générale des prix dans nombre de domaines y comprit d’ailleurs les services. Le fonds monétaire international n’échappe pas à cette contradiction qui consiste à constater une élévation générale des prix considérant que cette inflation disparaîtrait comme par miracle en 2022. Cette contradiction est surtout alimentée par le désir des économistes concernés de nourrir l’optimisme des acteurs économiques . Des économistes qui par parenthèse font l’impasse sur  le décalage de plus en plus immense entre la masse monétaire et la richesse réellement produite (phénomène de la planche à billets).

En outre concernant l’inflation, le FMI appelle les Banques centrales à maintenir leur soutien aux économies et ne pas resserrer leurs politiques dans l’immédiat, estimant que « l’inflation devrait retourner à ses niveaux pré-pandémiques dans la plupart des pays en 2022″, malgré « le risque que des pressions transitoires puissent devenir plus persistantes ».

Le FMI table désormais, pour les économies développées, sur 2,4% d’inflation en 2021 (+0,8 point), et 5,4% (+0,5 point) dans les pays en développement.

Néanmoins, l’organisation a prévenu que la persistance d’une inflation élevée pourrait conduire à une « réévaluation » des perspectives de politique monétaire par la Réserve fédérale et les banques centrales des pays avancés. Une action préventive de la part de ces institutions monétaires provoquerait un « double choc » sur les marchés émergents, ajoutant des sorties de capitaux et un durcissement des conditions financières aux difficultés de croissance. Bref le FMI prévoit quand même tout mais  aussi son contraire.

Nos biotechs préfèrent l’étranger

Nos  biotechs préfèrent l’étranger 

Un papier de la Tribune pourquoi les Biotech françaises préfèrent se développer à l’étranger (extrait)

 

Une fois passées les premières étapes de développement, beaucoup de biotechs santé filent Outre-Atlantique. Mais si elles posent leurs valises au pays de l’Oncle Sam, la plupart gardent un pied dans l’Hexagone. .

Cette destination américaines’impose comme un point de passage quasi-obligé. Franck Mouthon, président de France Biotech explique :

« Le marché américain représente en général entre 60 et 80% de la valeur et de la rentabilité dans un portefeuille d’entreprise. Les prix sont également plus élevés avec un ratio de 1-3 à 1-9 par rapport à l’Europe, en fonction des produits. Les investisseurs nous encouragent donc rapidement à conduire des développements dans ce pays. Ces opportunités de développement à l’international sur des marchés porteurs comme les US ne doivent pas éclipser les investissements en R&D en France notamment au bénéfice des patients sur le territoire ».

Les Etats-Unis bénéficient d’un autre atout de taille pour les entreprises innovantes.

« Les réponses des autorités réglementaires à propos d’un développement d’un nouveau produit sont engageantes, ce qui permet aux entrepreneurs et investisseurs de disposer d’informations lisibles précieuses pour anticiper les différentes étapes nécessaires pour que les patients bénéficient de ces innovations médicales ».
Laurent Levy, co-fondateur et directeur général de Nanobiotix, connait bien ce parcours :

« En France, beaucoup de fonds permettent de démarrer les sociétés de biotechs et des avantages très intéressants existent, comme le crédit d’impôt recherche. Mais le recours à des investisseurs spécialisés en grand nombre est indispensable pour permettre un développement à grande échelle. Pour investir quelques dizaines de millions d’euros ou plus, l’écosystème français et européen devient vite limité. Et lever plus de 100 millions d’euros est quasi-impossible. Nanobiotix est entrée au Nasdaq en décembre 2020, huit ans après Euronext. Pour les investisseurs américains, le plus important est la visibilité sur la stratégie de mise sur le marché du produit ».

Passer sous pavillon étranger n’implique pas forcément une réelle expatriation. Rafaèle Tordjman, directrice et fondatrice de Jeito Capital, précise :

« Que les pépites françaises soient aussi financées par des fonds étrangers est normal, le type de contractualisation doit néanmoins leur permettre de garder leur siège social en France sans les obliger à tout délocaliser. Quand elles ouvrent une filiale ou s’installent complètement aux États-Unis, elles ont intérêt à embaucher des dirigeants américains et des équipes déjà bien implantées localement ».

S’il a fait grincer quelques dents au nom de la souveraineté, le rachat d’Yposkesi par le Sud-coréen SK Holdings, a aussi sauvé ce fleuron français de la production de médicaments de thérapies géniques et cellulaires. Les actionnaires historiques l’AFM-Téléthon et BPI France détiennent désormais respectivement 25% et 5% du capital, contre 70% pour le nouvel arrivant. Alain Lamproye est président exécutif :

« Pour pouvoir réellement projeter la dynamique du marché, se doter de moyens financiers et d’expertise industrielle, il fallait doter Yposkesi d’un partenaire de taille, crédible, actif sur le marché des sociétés de service. Cette opération nous donne beaucoup de perspectives de développement, et la construction de notre nouveau bâtiment à Evry (91) en est un premier exemple. Cet investissement va de pair avec un développement de nos effectifs et des créations d’emplois ».

Ses clients futurs vont des Big Pharma aux petites start-ups. Par ailleurs, « nous gardons des liens privilégiés avec l’AFM téléthon-Généthon, Yposkesi continuera à produire les lots cliniques nécessaires pour les essais cliniques » ajoute Alain Lamproye.

De son côté, Eligo Bioscience n’a pas traversé l’océan. Ses antibiotiques de précision, les Eligobiotiques, permettent de tuer les bactéries résistantes et ont une action bien plus ciblée sur le microbiome. La société parisienne s’apprête à lever des fonds pour s’agrandir. Des essais cliniques contre une bactérie provoquant diarrhées violentes et insuffisance rénale chez les enfants devraient démarrer l’année prochaine. Et la startup avance sur d’autres programmes concernant les cancers et l’auto-immunité.

Xavier Duportet, son fondateur, observe : « Dans le domaine de la biotech, les frontières n’existent pas vraiment, notre terrain de jeu est le monde entier, pas uniquement la France. Aujourd’hui, l’ouverture d’une filiale d’Eligo aux Etats-Unis, paraît tout à fait probable pour l’avenir. Nous y avons un gros investisseur, les acteurs en pharma y sont beaucoup plus nombreux et le marché est très grand. Si une biotech a beaucoup d’investisseurs américains, il y a bien sûr plus de risques de transfert de son siège social, mais tout n’est pas joué d’avance, cela dépend non seulement des demandes de ses actionnaires, mais aussi de la vision de chaque société ».

La startup, qui bénéficie de l’appui de Carb-X (consortium mondial à but non lucratif, emmené par l’université de Boston) pour éviter les infections résistantes aux antibiotiques chez les patients transplantés, a également conclu un partenariat avec le britannique GSK pour le traitement de l’acné.

Pour Xavier Duportet, notre pays doit désormais se positionner sur l’ingénierie du vivant. « C’est un fait, de nombreux excellents chercheurs et entrepreneurs qui sont partis à l’étranger ne souhaitent pas revenir en France, souvent faute de moyens. Il faut les inciter à rentrer et leur donner la possibilité de pousser ce nouveau champ d’application de recherche et aider les sociétés qui inventeront les médicaments de demain. … »

Vaccins: 0,3% pour 9 % de la population mondiale pauvre

Vaccins: 0,3%  pour 9 % de la population mondiale pauvre

Plus de 3,93 milliards de doses de vaccins anti-Covid ont d’ores et déjà été injectées dans le monde, selon un décompte de l’AFP. Mais seulement 0,3% de ce total a été administré dans les 29 pays les plus pauvres du monde, où se trouve pourtant 9% de la population mondiale. «Augmenter la production dans les pays en voie de développement pour que davantage de doses de vaccins soient injectées en Afrique, en Amérique latine et en Asie est d’une importance critique» pour tous les membres de l’OMC, a souligné le porte-parole de l’organisation.

Pass sanitaire et licenciement: Un imbroglio juridique et social

Pass sanitaire et licenciement: Un imbroglio juridique et social

. Dans un entretien accordé à La Tribune, Anne-Lise Castell-Barnel, juriste rédactrice en droit social aux éditions Tissot, décrypte les interprétations possibles du nouveau texte relative au passe sanitaire.

Interview dans la tribune

 

- À quelles procédures légales s’expose un salarié en CDI concerné par le pass sanitaire obligatoire et qui ne serait pas en mesure d’en présenter un ?

ANNE-LISE CASTELL-BARNEL - Le motif de licenciement prédéfini avec délai de deux mois suivant la suspension du salarié a été retiré du projet de loi suite au passage devant le Sénat. Cela ne veut pas dire qu’un salarié en CDI ne peut pas être licencié : en revanche, le licenciement n’est plus directement encadré par la loi. Le salarié qui ne serait pas en mesure de présenter un pass sanitaire valide et ne pose pas de congés sera automatiquement suspendu. Si l’employeur en reste là, le salarié suspendu n’est plus rémunéré, mais reste comptabilisé dans les effectifs de l’entreprise, et peut retrouver son emploi et ses droits s’il obtient un pass sanitaire.

S’il le souhaite, l’employeur peut aller plus loin et décider d’entamer une procédure de licenciement au motif que l’absence du salarié pénalise l’entreprise. On peut en effet imaginer qu’il s’agit d’un motif de rupture envisageable, même s’il faut être prudent et pouvoir justifier d’une vraie perturbation dans l’entreprise et d’une nécessité de remplacement.

Suite aux derniers amendements, l’employeur peut ainsi licencier le salarié sans respecter le délai de deux mois après la suspension qui était prévu initialement. À titre d’exemple, un salarié sans pass sanitaire pourrait être licencié au bout d’un mois de suspension. Cette nouvelle version du projet de loi, amendée après le passage au Sénat, fragilise donc encore plus les salariés en CDI que la version précédente.

Existe-t-il d’autres motifs de licenciement qui pourraient être utilisés par un employeur pour licencier un salarié en CDI non-détenteur d’un pass sanitaire ?

Conformément à une jurisprudence de 2012, l’employeur pourrait aussi licencier un salarié pour « cause réelle et sérieuse ». En 2012, la Cour de cassation avait considéré que le licenciement d’un employé des pompes funèbres – secteur soumis à des obligations vaccinales – pour refus de se faire vacciner contre l’hépatite B, était légal et que le motif faisait office de « cause réelle et sérieuse ».

Aujourd’hui, un employeur d’un secteur concerné par le pass sanitaire obligatoire pourrait reprendre cette typologie et licencier ainsi un salarié pour « cause réelle et sérieuse ». Une chose est sûre: qu’il ait recours à ce motif ou à celui d’absence perturbant l’entreprise, l’employeur devra verser des indemnités de licenciement à son salarié, puisque ces motifs ne sont pas des fautes graves.

Le projet de loi est écrit différemment pour les salariés en CDI et ceux en CDD. Quelle est la logique sous-jacente et quelles sont les implications pratiques pour les actifs ?

Les deux causes de licenciement citées précédemment ne s’appliquent pas pour les CDD (un CDD ne peut pas être licencié). Dans le cas d’un CDI, la procédure de licenciement peut être prise à la seule initiative de l’employeur pour cause réelle et sérieuse ou absence pénalisante pour l’entreprise. Dans le cas d’un CDD, ces deux causes ne peuvent pas être citées et la rupture anticipée aurait été compliquée si la loi n’avait rien prévu. En effet, l’employeur ne peut rompre le CDD de façon anticipée que dans des cas très limités comme la faute grave ou la force majeure. C’est sans doute pour cette raison que le projet de loi a été rédigé différemment pour les CDD et CDI.

Conséquence ? Les employeurs peuvent désormais procéder à une rupture anticipée pour les salariés en CDD n’ayant pas de pass sanitaire. Dans ce cas de figure, le salarié qui saisirait les prud’hommes aurait peu de chances de gagner face à son employeur. À l’inverse, pour les salariés en CDI, les prud’hommes aviseront au cas par cas, au regard de certains éléments complémentaires. Il s’agira par exemple de savoir si les salariés pouvaient être reclassés au sein de l’entreprise et si le licenciement était vraiment nécessaire et justifié.

Pour les secteurs concernés par la vaccination obligatoire, à quelles sanctions s’expose un employeur qui laisserait un salarié non-vacciné se rendre sur son lieu de travail ?

L’employeur est tenu de s’assurer que les salariés seront vaccinés. (Même si dans les faits, le contrôle n’est pas effectué par l’employeur, mais par la médecine du Travail, étant donné qu’un contrôle des données médicales par l’employeur irait à l’encontre du Code du travail, la responsabilité du contrôle relève bien de l’employeur, ndlr).

S’il ne le fait pas, l’employeur s’expose à une amende de 1500€ ; s’il récidive et commet trois infractions dans le même mois, la sanction passe à 9000€ d’amende et un an d’emprisonnement. Dans le projet de loi initial, la peine encourue était encore plus lourde, mais le Conseil d’Etat l’a retoquée.

Baisse du chômage ?

Baisse du chômage ?

Le chômage aurait baissé de 1,3 % avril et juin mais il s’agit seulement des chômeurs de catégorie À alors que dans les autres catégories, ceux qui exercent une activité réduite, l’augmentation est- de 1 %. Autant dire que dans les statistiques le chômage n’a guère évolué. À noter que structurellement à l’approche de l’été le nombre d’inscriptions à pôle emploi est régulièrement en baisse. En cause, le fait que les chômeurs potentiels ne s’inscrivent surtout qu’après les vacances.

Ils sont désormais 3,75 millions de chômeurs sans activité, selon le décompte du service statistique du ministère du Travail, la Dares. Ce qui représente un reflux franc de 50.600 personnes en l’espace de trois mois. En revanche, les catégories B et C, qui regroupent les chômeurs en activité réduite (qui ont travaillé plus ou moins de 78 heures chaque mois), affichent une hausse de 1 %, avec 22.000 inscrits supplémentaires.

 

Tunisie: L’enjeu est de sauver le pays de l’emprise islamiste

Tunisie: L’enjeu est de sauver le pays de l’emprise islamiste

Pour Mezri Haddad, philosophe et ancien ambassadeur de Tunisie à l’Unesco, Kaïs Saïed a usé légalement de ses prérogatives présidentielles pour défendre le pays contre l’entrisme islamiste.( Le Figaro extrait)

 

« À l’issue d’une journée de manifestations massives de Tunisiens exaspérés par les turpitudes d’Ennahdha, en ce jour mémorable et hautement symbolique, la fête de la proclamation de la République le 25 juillet 1957, grâce à la lutte menée par le père de l’indépendance Habib Bourguiba, le président Kaïs Saïed a pris des décisions qui feront date dans l’histoire du seul et dernier pays arabe encore gouverné par des théocrates déguisés en démocrates, que certains idiots utiles de l’islamo-gauchisme en France considèrent comme des islamistes «modérés», ou des démocrates musulmans, ou encore des «islamo-conservateurs». Autant de casuistiques terminologiques pour récuser un fait historique, idéologique et politique incontestable, à savoir que l’islamisme, des Frères musulmans jusqu’à Daech et en passant par al-Qaida, puise dans la même doctrine théocratique, totalitaire et terroriste dont la naissance remonte à 1928 en Égypte. Comme l’avait si bien dit ici même dans Le Figaro le président Al-Sissi.. »

Covid Indonésie: 2069 morts en 24h

  • Covid Indonésie:  2069 morts en 24h

L’Indonésie a enregistré mardi un nouveau record de 2069 décès dus au Covid-19 en 24 heures, alors que le pays subit le plus violent pic de contaminations depuis le début de la pandémie. Ce sombre bilan surpasse d’environ 600 décès celui de la veille, selon le ministre de la Santé. Le nombre de nouveaux cas a franchi le seuil des 45.000, contre 28.000 infections lundi.

Covid France : hausse avec 26.871 nouveaux cas en 24 heures

Covid France : hausse avec 26.871 nouveaux cas en 24 heures

La hausse des contaminations continue avec 26 871 enregistrés hier.  

La pression sur les hôpitaux s’accentue aussi de nouveau ce mardi. 7137 patients souffrants du Covid-19 étaient hospitalisés en France, un chiffre en hausse par rapport à la veille (7079). Parmi eux, 557 personnes sont entrées à l’hôpital lors des dernières 24 heures.

Le nombre de personnes en réanimation était également en hausse ce mardi. 978 patients se trouvaient en soins intensifs, contre 952 lundi. 121 personnes ont été admises lors des dernières 24 heures. 28 personnes sont également mortes à l’hôpital depuis la veille, portant le bilan total depuis le début de l’épidémie à 85.182 morts dans les hôpitaux françaisLe taux de positivité des tests s’élevait, lui, à 4,1%.

Du côté de la campagne vaccinale, un Français sur deux (50,5% de la population totale) est désormais complètement vacciné contre le Covid-19, a annoncé mardi soir la Direction générale de la Santé dans un communiqué sur l’avancée de la vaccination. «Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 40.719.515 personnes ont reçu au moins une injection (soit 60,4% de la population totale) et 34.026.476 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 50,5% de la population totale)», indique la DGS dans un communiqué sur l’avancée de la vaccination.

Affaire Ghosn : Rachida Dati mise en examen pour une fausse rémunération de 900 000 €

Affaire Ghosn : Rachida Dati mise en examen pour une fausse rémunération de 900 000 €

Rachida Dati a été mise en examen le 22 juillet pour «corruption passive» et «recel d’abus de pouvoir» dans l’enquête sur ses prestations de conseil auprès de l’ex-PDG de l’alliance Renault-Nissan Carlos Ghosn, a indiqué mardi le parquet national financier Rachida Dati, qui nie toute irrégularité, aurait touché  de Renault 900.000 euros d’honoraires en tant qu’avocate entre 2010 et 2012 alors qu’elle était à l’époque aussi députée européenne.

La justice cherche notamment à savoir si les revenus de Rachida Dati correspondent à des activités déterminées ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance ayant pu aussi  masquer des activités de lobbying, interdites pour les députés européens.

Economie, politique, société: les plus lus

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La hausse sans précédent des catastrophes

La hausse sans précédent des catastrophes

 

Depuis une évaluation précédente en 2019, ils soulignent la «hausse sans précédent» des catastrophes climatiques, des inondations aux canicules, en passant par les cyclones et les incendies. Sur les 31 «signes vitaux» de la planète, qui incluent les émissions de gaz à effet de serre, l’épaisseur des glaciers ou la déforestation, 18 atteignent des records, selon ce texte publié dans la revue BioScience. Ainsi, malgré la chute des émissions de gaz à effet de serre en raison de la pandémie de Covid-19, les concentrations de CO2 et de méthane dans l’atmosphère ont atteint des niveaux record en 2021. Les glaciers fondent 31% plus vite qu’il y a quinze ans et la déforestation en Amazonie brésilienne a elle aussi atteint un record en 2020, transformant ce puits de carbone crucial en émetteur net de CO2. Avec un record de plus de 4 milliards de têtes de bétail, notamment vaches et moutons, la masse du bétail dépasse désormais celle des humains et des animaux sauvages combinés, selon l’étude ( source le Figaro).

République dominicaine: une corruption à 100 millions !

République dominicaine: une corruption à 100 millions  !

 

 

On peut s’étonner qu’une procédure judiciaire ait été engagée pour un motif de corruption en République Dominicaine. Il fallait en effet solliciter la justice ce motif dans certains pays où la corruption cons situe une sorte de mode de régulation alors la vie économique s’écroulerait. En  République Dominicaine, l’affaire a pris une tournure judiciaire compte tenu du montant à savoir une centaine de millions concernant plusieurs responsables dont un ancien ministre des travaux publics.

Observons aussi que cette pratique particulière demeure encore un peu partout dans le monde dans le secteur des travaux publics où il est d’usage d’arroser des responsables  pour empocher des marchés. Dans certains pays en voie de développement, la pratique de corruption est d’autant plus facile qu’elle est largement ancrée dans la culture du plus haut niveau de l’État jusqu’au plus bas. Une sorte de fiscalité virtuelle qui permet d’améliorer le revenu des responsables et autres fonctionnaires mais qui en même temps pénalise en fait l’économie et le développement du pays.

Soutien aux entreprises : Attention à la rupture brutale

Soutien aux entreprises : Attention à la rupture brutale

Benoît Coeuré chargé au début de la crise du Covid, via un comité regroupant des spécialistes des finances publiques, d’évaluer l’impact économique des mesures de soutien à l’économie attire l’attention sur les risques d’une rupture brutale en cas de suppression du soutien aux entreprises d’autant que la quatrième vague en cours pourrait à nouveau affecter gravement le fonctionnement économique.

Le rapport met en garde sur les incertitudes du contexte sanitaire et invite ainsi à prolonger les aides alors que leur débranchement doit être discuté en août. « Les dispositifs […] devront rester réactifs, en complément de la montée en charge de l’activité partielle de longue durée », note le comité. Il rappelle par ailleurs que, exception faite de la Grande-Bretagne, les pays européens n’ont pas prévu de stopper les aides aussi rapidement.

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