Vaccination : faute de courage incitation à la place de l’obligation
Une nouvelle fois le chef de l’État aura montré que le fameux en même temps caractérisait un sérieux manque de courage. En effet un imposant des contraintes à travers le pass sanitaire, le chef de l’État a pris la précaution de ne pas évoquer ainsi l’obligation de vaccination pour tous. Le parole du gouvernement s’efforce de d’expliquer ce flou politique et sémantique «il n’y a pas d’obligation vaccinale, il y a une incitation maximale». Le gouvernement souhaite ainsi réduire au maximum les possibilités de vie sociale des non-vaccinés.
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Gabriel Attal y voit des «Français qui doutaient ou attendaient et qui ont pris rendez-vous. Ils peuvent avoir des doutes (…) mais avec le variant Delta (…) malheureusement on n’a plus le temps de douter, et donc il faut y aller». Cependant pour l’instant, le gouvernement n’envisage pas de vaccination obligatoire pour tous les Français. Emmanuel Macron fait le choix de la «confiance», sans pour autant écarter cette hypothèse. Mais «Il ne faut jamais rien exclure pour l’avenir», a estimé Gabriel Attal. Conclusion le gouvernement ne rend pas formellement la vaccination obligatoire pour préserver les libertés individuelles mais il rend les conditions d’accès à des activités du quotidien tellement difficile que cette vaccination devient incontournable… mais sans le dire. Tout l’art de la politique de dire une chose et son contraire.
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