Que risque l’homme qui a giflé Emmanuel Macron : la pendaison ?
Plus qu’une offense -délit reconnut, Macron et surtout victimes d’un crime de lèse majesté qui affecte gravement sans image. Du coup, toutes les forces juridiques et policières -en tout cas une trop grande partie -vont se mobiliser sur cette atteinte à la personne du chef de l’État. Nombre de journaux imaginent déjà la sanction. Certains parlent de trois ans de prison et 45 000 € d’amende, des peines maximales.
Des sanctions évidemment notoirement insuffisantes pour réparer les dégâts à la personnalité jupitérienne du chef de l’État. Certes la gifle n’est pas forcément le moyen le plus démocratique de faire valoir son point de vue en tout cas de contester le pouvoir en place. Mais d’une certaine manière, cette recherche éhontée du soutien populaire et de la foule par les politiques constitue le prix à payer de la démagogie.
Reste qu’il y a crime de lèse-majesté, atteinte à la république même disent certains, à la nation, aux institutions, bref la France. Dès lors la seule sanction qui devrait s’imposer devrait être celle de la pendaison publique en place de grève. Histoire de montrer au bas peuple, aux gueux, , aux mécontents et aux grincheux qu’ on ne s’attaque pas en vain à l’image divine de nos responsables politiques. Lesquels dans un bel élan démagogique et de faux-culs ont aussi par avance condamné celui qui a assassiné l’image du président.
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