La croissance française remise en cause
Si l’on se réfère aux déclarations de l’été, les pouvoirs publics envisagés une nette reprise de la croissance de leur dos -6 % en 2021. En fin d’année 2020, l’économie française comme européenne a relativement bien résisté par contrée apparaisse nettement les signes de faiblesse en ce début d’année. Évidemment le commerce extérieur toujours en berne en raison de la pandémie mondiale qui affecte le commerce international mais aussi et surtout le tassement de la consommation et la baisse des investissements. Du coup pour le premier trimestre dans le meilleur des cas l’INSEE ne prévoit qu’une croissance de 1,5 % et à condition qu’il n’y ait pas de confinement sinon la croissance pourrait retomber dans le rouge en fonction de la durée de ce confinement.
. Selon la dernière note de conjoncture de l’Insee dévoilée ce jeudi 4 février, le produit intérieur brut (PIB) au mois de janvier serait en recul de 4% par rapport à son niveau d’activité d’avant crise, après un précédent repli comparable au mois de décembre. Dans leur principal scénario, les statisticiens tablent sur une stagnation de la croissance au mois de janvier. Si la levée du second confinement à la fin du mois de novembre a permis à l’économie française de rebondir, les clignotants sont de nouveau au rouge en ce début d’année.
Le durcissement des mesures de restriction avec l’extension généralisée du couvre-feu à l’ensemble du territoire, la multiplication des variants, les difficultés de logistique pour les vaccins, le blocage des frontières pour les pays extérieurs à l’UE et la fermeture des grands centres commerciaux assombrissent grandement les perspectives économiques pour le premier trimestre 2021. Les économistes envisagent trois scénarios avec une croissance de 1,5 % au premier trimestre sans confinement, une croissance nulle pour un confinement d’un mois et une croissance dans le rouge pour un confinement plus long.
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